Aux Sources De Ma Sexualité, Partie 4

A présent père je fus invité par Jean à partager sa couche. Les années n'avaient pas atténué l'envie mais j'étais étonné par le cérémonial que représentait, pour ces hommes, une action aussi simple que le sexe. Il n'était pas question de pipes furtives en milieu de journée ni de s'éclipser lorsque les hommes étaient réunis après le repas. J'ai toujours su qu'ils se donnaient du plaisir entre eux mais je ne savais pas où, quand, et comment. C'est Jean lui même qui m'invita chez lui. Tout était organisé.
Victor, Paul, Marius, Jean, Philippe et Armand étaient là, je suis venu avec mon père. A l'entrée, il serra la main de Jean, Armand et Philippe et me fit signe de les suivre pendant qu'il se rendait dans une autre pièce avec Victor, Paul et Marius.
J'étais donc seul avec des deux hommes beaucoup plus âgés que moi. On m'avait expliqué qu'étant le plus jeune, je devais satisfaire mes aînés, mon plaisir n'était pour l'instant pas à l'ordre du jour. Il me firent coucher sur un canapé et me massèrent le corps avec de l'huile.

Le gros manche court de Jean englobait presque totalement les boules de métal qui en sortaient de part en part. La queue de Philippe était plus mesurée mais d'une beauté incroyable. Tendue et raide, elle était constellées de bijoux qui étaient des comme des ex voto qu'il s'était fait poser à la naissance de chacune de ses filles dans l'espoir que le prochain soit un garçon. Celle d'Armand présentait son petit buisson enflammé caractéristique et ses percements coincés dans un gland abondant. Je n'avais jamais ressenti de réel désir sexuel pour un autre homme avant ce moment car je n'avais connu que Marius, un ami avec qui j'avais du plaisir naturellement, normalement. La première fois, j'avais simplement saisi sa queue pour la sucer car il dormait à côté de moi et je sentais son érection contre ma jambe. Je ne lui ai pas demandé l'autorisation, il ne m'a pas demandé de le faire, ça m'a juste paru naturel.

Il n'y a jamais eu de frustration avec lui puisque nous donner du plaisir était quelque chose d'entendu. On nous faisait dormir ensemble car nous avions des pulsions à extérioriser, car c'était hygiénique de nous faire gicler.
Pour Jean c'était totalement différent puisque j'avais nourri un véritable désir refoulé de jouer avec lui. Un peu moins avec Philippe mais il était là, il fallait que je le laisse profiter de moi, il en avait le droit. La sensation de sa queue dans ma bouche fut surprenante, toutes ces boules de métal qui hérissaient son gland claquaient un peu contre mes dents mais contribuaient à rendre impressionnant un membre qui ne l'aurait pas été sans cela. Jean me lécha l'anus avec avidité, on ne m'avait jamais fait ça.
Une hiérarchie stricte nous séparait dans le plaisir. Ils me firent découvrir les règles qui régissaient l'orgasme entre les pères. Tout était codifié. Ayant déjà produit un fils, je me plaçais au dessus de Philippe mais en dessous de Jean qui avait un fils et une fille et d'Armand qui avait deux fils et deux filles. Le sperme de Philippe était considéré comme moins bon que le mien et il aurait été avilissant pour moi de le recevoir. Il détourna donc sa bite de moi au moment de l'orgasme et répandit sa semence sur le sol dans un râle rauque et des coups de mains vifs qui passaient sur son membre lubrifié. Il était à la fois mon initiateur et mon inférieur, il devait accepter ma queue dans son trou et me demanda de l'y fourrer. Armand, assis sur un fauteuil regardait la scène en se faisant sucer par Jean, jouissant de la supériorité sur nous tous. La semence est l'essence de notre virilité et toutes ne se valent pas. Philippe demanda à recueillir la mienne dans sa bouche et je lui accordait pour ne pas le froisser. J'aurais préféré décharger dans son cul et me promis de la lui refuser la fois suivante. Exténué, je ne pouvais toutefois pas refuser Jean qui m'honora par trois fois. Il me pilonna l'orifice, m'arrachant des cris à chaque fois que son gourdin m'écartait jusqu'au moment fatidique de la coulée chaude dans mes entrailles.
Il me servit une deuxième rasade de son liquide dans la bouche, le gland rouge carmin et les couilles tendues. Enfin, il me pris à nouveau, montrant bien à tous, s'il le fallait encore, que sa queue était indestructible et déchargea sur mon dos.
Ce fut en suite le tour d'Armand, presque coincé dans son rôle de supérieur, il aurait voulu que je le baise, il lorgnait sur ma belle queue depuis longtemps et voulait savoir si mon gros gland aurait du mal à passer. Jean avait jouit dans mon trou, sur mon dos et dans ma bouche, j'étais souillé et il refusa de me posséder. Je ne savais pas si je devais être soulagé de ne plus avoir à me faire enculer ou me sentir déshonoré par ce refus. Il fit approcher Jean et lui demanda pourquoi il s'était permis de me maculer. Jean ne sut rien dire et ce fut son cul qui fut perforé par le rouquin sans ménagement. Philippe et moi devions rester là et regarder. L'endurance d'Armand était proverbiale mais ici il ne fécondait pas une femme. Je ne l'avais jamais vu baiser un homme et ce fut un choc pour moi de le voir remplir le cul de Jean au bout d'une petite demie heure.


Constamment en chaleur pendant ses grossesses, Irène ne me laissait alors plus le temps de respirer et je la laissait parfois profiter d'un autre homme à condition qu'il soit propre et ne jouisse pas en elle. Mon père aurait été furieux d'apprendre que je laissais ma femme être touchée par un autre mais je m'en fichais car elle me laissait choisir ses partenaires. Avec d'autres femmes, elle m'échangeait, me demandant d'aller les satisfaire si leur mari n'y arrivait pas. J'étais très fécond, produisait beaucoup de sperme, j'en produit toujours beaucoup d'ailleurs et nombreuses étaient celles qui, ayant des problèmes à procréer, voulaient que je les fertilise. Je refusais bien entendu et giclait à grosses lampées sur leur dos, leur ventre ou dans leur bouche. Ces infidélités programmées diminuèrent en régularité à mesure que nos fils grandirent. Irène devint aussi beaucoup plus territoriale.

Certains de mes frères épousèrent des femmes qui n'acceptaient pas ment notre mode de vie et s'éloignèrent un peu de notre tribu, ne partageant plus notre nudité et nos exercices virils. A l'inverse, tous les hommes de la famille de Victor, conquis par cette philosophie de vie demandèrent à passer notre rite. Son père avait près de 60 ans quand il se fit retirer le prépuce et percé le gland. Il était veuf et paru comme rajeuni après cette épreuve.

Contre mon avis, mes fils ont par la suite décidé de laisser le choix aux leur quant à la possibilité de se faire circoncire, pour ceux qui en avaient besoin, et de se faire percer. C'est du moins ce qu'ils ont dit au début. Jérémy et Luc furent, à 18 ans passé, les deux premiers à opter pour cette solution, motivés par la promesse d'un plaisir décuplé qu'offrent les bijoux intimes à ceux qui ont, comme ils disent, le gland "cartonné" par les frottements contre les habits. Après ça, d'autres ont suivit et puis finalement on ne laissa pas vraiment le choix aux derniers car, il faut l'avouer, c'était quand même un peu honteux pour leur père, d'autant plus qu'ils sont tous adeptes du nudisme. Beaucoup d'entre eux n'ont même pas eu à passer par la case hôpital étant donné que nous avons le prépuce très court dans la famille, les autres s'y sont soumis sans réellement broncher, par mimétisme.
La plupart d'entre eux étant très portés sur le sexe (au moins autant que moi !), les histoires circulent a un fréquence infernale. En visite chez moi, l'un ou l'autre, souvent plusieurs d'entre eux (ils viennent toujours en groupe) me lancera, avec un naturel déconcertant qui n'aurait pas déplu à mon père "Ca te dirais une petite branlette ?" ou encore "On va se faire gicler, tu veux te joindre ?" et ils m'entrainent dans le récits de leurs expériences les plus folles. Je suis estomaqué par la richesse tant en qualité qu'en quantité, de leur sexualité et suis presque envieux du fait que ce qui naguère fut pour moi une épreuve, celle de gicler devant un parterre d'autres hommes, est en fait pour eux un plaisir simple de la vie, une sorte de façon de resserrer les liens sociaux.
Une semaine de vacance chez moi, chez l'un de mes fils ou dans notre camp nudiste habituel est pour eux une occasion de partager sans complexes une sexualité dénuée de tabous à la fois à travers des récits relatés comme des contes à une assistance virile réunie en cercle la queue à la main mais aussi à travers des escapades échangistes ou des partouzes avec des partenaires hommes et femmes toujours heureux de passer de l'un à l'autre d'entre eux dans la même soirée. Ils aiment prendre leur pied, se donner du plaisir et ne se posent aucunes limites et je suis content quand ils me disent que c'est un peu grâce à moi.

J'espère d'ailleurs pouvoir, avec leur autorisation, vous raconter très prochainement certaines des expériences qu'ils ont vécu et ont choisi de me confier.

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