Leslie Rf03

Leslie RF03 – Rêves et fantasmes.
Lesbienne soumise, mais pas que… Suite

« Je suis arrivée cinq minutes en retard dans le salon.
Il faut dire que même si je n’ai pas mis très longtemps pour m’habiller, le temps de me maquiller et de me parfumer, conformément aux directives de Viviane, ont pris un peu de temps, puis j’ai passé le string fendu et les bas auto-fixant qui étaient sur le lit, la petite jupe noire ultra courte, fendue sue le côté et le corsage blanc transparent, sans dessous, laissant mes seins bien visibles et libres. Ce qui explique le léger retard…
- Vous êtes en retard !
- Pardon, Madame… Excusez-moi, mais...
- Silence, il va falloir respecter les consignes…
- Oui Madame…
Je regarde autour de moi et m’aperçois que la grande tenture qui couvrait le mur au fond du salon est ouverte, laissant place maintenant à un immense miroir, qui reflète toute la pièce et ceux qui sont présents.
Je me demande si ce miroir n’est pas simplement une glace sans tain, et que des voyeurs de l’autre côté sont entrain de reluquer ce qui se passes de ce côté-ci…
Dans un coin du salon, Maryse assise dans un fauteuil est en train de sucer un homme, alors que Diane et Déborah sont en train de se gouiner dans le canapé.

Tandis que j’observe le miroir, je vois en reflet dedans, Viviane s’avancer vers moi et la vois se saisir d’une baguette…
Cette baguette est une longue tige épaisse en roseau, ou un bois de ce type, car tout le long il y a des espèces de nœuds ronds espacés régulièrement, le manche est fait de cuir pour maintenir la baguette fermement et possède en son extrémité une boule assez large et de forme ovale.
Je vois aussi que Viviane est très en beauté, elle porte une jupe en cuir noir jusqu’aux mollets, mais fendue largement sur les deux côtés, des bas noirs, certainement tenus par un porte-jarretelles, qui s’enfoncent dans une paire de bottines à très hauts talons et un chemisier rouge très cintré qui lui serre la taille et met sa poitrine en valeur.


Un maquillage soigné embellit son visage et un rouge à lèvres pourpre orne ses lèvres, elle fait très maîtresse ainsi et est tout à fait désirable.
- Je présume que la petite partie avec Louis vous a plu, de même que le moment avec les filles ? Dit Viviane.
- Oui Madame… Beaucoup.
- Je vais être obligée de vous punir, qui vous a permis.
- Ohhh non, Madame ! Pas de punition !
- Oh, mais si ! Vous allez voir !

C’est à cette instant, qu’un homme, que je n’avais pas remarqué, assis dans un fauteuil se lève et vient vers moi.
Il est juste vêtu d’un jockstrap qui lui couvre le sexe et laisse ses fesses accessibles, mais rien d’autre.
- Allez, sucez-le un peu ! S’exclame Viviane.
Je m’agenouille et m’exécute, pour le plus grand plaisir de l’homme devant moi, à qui ma prestation fait son effet, le faisant gémir de plaisir.
Alors que je suce ce membre avec application, mes seins se gonflent et apparaissent dans toute leur splendeur sous le fin voilage tendu de mon chemisier blanc transparent, puis celui s’ouvre, laissant mes aréoles brunes et mes tétons déjà très agressifs tendus à l’extrême, nus aux regards.
Je vois de coin de l’œil, Viviane déglutir de plaisir, les yeux rivés sur ma poitrine et sur ma bouche déformée, mais elle se reprend rapidement et dit :
- Enlevez-le et montrez-nous vos seins !
- Bien Madame…
J’enlève mon corsage et je me retrouve torse nu, mes seins libres aux regards de tous.
Après un bon moment, Viviane me fait relever et me dit :
- Levez-vous, mettez-vous nue et placez-vous sur le fauteuil votre ventre contre le dossier.
Je fais comme Viviane me le demande, au grand désespoir de l’homme que je suçais et que je laisse le sexe raide et me positionne contre le fauteuil qui fait face au miroir, et je me retrouve les fesses exposées aux inconnus…

- Penchez-vous en avant, dis Viviane, en vous appuyant sur le dossier et gardez les bras le long de votre corps.

J’obéis aveuglément à son ordre, ma chatte commence à être en feu et dégouline déjà, malgré que je ne veuille pas, enfin pas encore et mes seins sont durs.
En osant me retourner, je peux voir mon image dans le miroir, dans une position qui me fait cambrer mon cul à l’extrême, je ne peux pas être plus offerte aux regards et à Viviane. Je la vois se positionner à côté de moi, tapant le plat de sa main avec la badine et disant :
- Vous allez voir comment vous allez devenir une bonne fille...
De sa main libre, elle relève alors ma jupe noire et la remonte jusque sur mon dos, exhibant ainsi mes fesses seulement couvertes par mon string fendu, en pensant que ma vulve humide s’offre aux regards par la fente du string.
- Petite dévergondée, vous mouillez déjà !
Elle passe derrière moi, certaine que derrière le miroir on m’observe et l’on prend du plaisir à reluquer la scène que nous offrons, les filles qui s’adonnent aux plaisirs de la luxure, moi le cul cambré attendant sagement face à la glace et Viviane qui m’a m’infliger sa punition…

Elle me tape l’intérieur des cuisses avec la badine en disant :
- Allez, écartez un peu les jambes !
Je m’exécute en ouvrant mes jambes, je ne cache plus rien de ma chatte en feu, à peine dissimulée par le symbolique string fendu. Je me sens ouverte et humide comme une vraie cochonne, tandis que Viviane fait glisser le large bout ovale de la baguette sur une de mes fesses comme une caresse.
- Un cul pareil est fait pour être honoré de mille et une manière, qu’en pensez-vous ma petite ?
- Ohhh, oui Madame, comme vous le désirez…
Bien sûr que je ne m’étais jamais laissé aller à ce genre de pratique, mais aujourd’hui totalement abandonnée aux volontés de Viviane, reluquée par des regards inconnus et invisibles, je suis dans un état de transe sexuelle absolue et je ressens en moi un désir urgent de plaisir.
Mais le coup suivant arrive sur mes fesses, donné d’une main experte, car le plaisir qu’il donne est largement supérieur à la douleur que j’aurais pu ressentir, puis plusieurs coups suivent avec le même savoir-faire, je ne peux me retenir de pousser de petits cris.

Je tourne ma tête vers le miroir, comme par défit envers ceux qui me regardent dans l’ombre derrière le miroir, alors que Viviane prends son plaisir en me fouettant les fesses de sa baguette, ses yeux sont grands ouverts et la jouissance éclaire son visage.
Je peux aussi voir dans le reflet du miroir, Maryse en train de se faire sodomiser par l’homme qu’elle suçait quelques temps auparavant et Diane prendre Déborah avec un gode ceinture…

Je suis surprise de prendre du plaisir de la sorte, mais Viviane stoppe les coups et me dit :
- Relevez-vous et allez devant la glace exposer votre intimité aux voyeurs qui attendent de vous voir prendre du plaisir…
Je me redresse, bouillante du plaisir que j’ai pris, ou plutôt reçu en disant :
- Bien Madame…
- Allez ! Collez-vous à ce miroir.
Obéissante je me colle le nez à la vitre, alors Viviane dit :
- Petite salope, vous ne faites vraiment aucun effort, collez-vous complètement et écartées bien vos jambes !
Une fois mes jambes bien écartées, elle est passée derrière moi, et je sens la partie large de baguette glisser entre mes cuisses et venir me frotter le sexe, cela me tire un gémissement. Elle effectue alors un va-et-vient le long de mes lèvres avec la tige et je sens mon clitoris caresser à chaque fois qu’un nœud passe dessus, c’est plus fort que moi, mon cul s’agite, se cambre et va au-devant du prochain nœud, je gémis au bord de l’extase, alors elle s’arrête…
- Plus près !
Je me colle encore plus au miroir et elle me pousse dans le dos pour que mes seins s’écrasent sur la vitre, je sens le contact glacé de la vitre sur ma poitrine. De l’autre côté la lumière blafarde de la pièce le laisse le début, alors que désormais j’exhibe l’intégralité de ma nudité et que soumise je me laisse guider par Viviane…
Mes seins nus collés à la vitre, ma chatte complètement offerte aux regards de ces deux couples.
- Ohhh ! Madame… Dis-je dans un souffle.

- Maintenant, je veux vous entendre jouir de ma main.

Elle s’est rapprochée de moi, ma figure collée au miroir et mon cul tendu vers elle, je vois dans la pièce d’à côté les deux couples tournés vers moi, les femmes se faisant prendre par leur mâle qui s’agite derrière elle.
Sa main se pose sur mon sexe, je sens ses doigts courir le long de mon antre en feu, nu, livré à tous ses caprices…
- Vous en mourez d’envie, n’est-ce pas ?
- Ohhh ! Madame… Dis-je en gémissant.
Et ses doigts commencent leur lent va-et-vient sur ma fente humide. Sachant très bien à quoi elle fait allusion, elle insiste en me demandant :
- Dites que vous en mourez !
- Oui, Madame… J’en meurs d’envie !
Ses longs ongles font du bon travail sur ma chatte nue, je sens le contact de ses doigts sur mon clitoris et elle m’arrache un premier cri. Puis ce contact se transforme en quelque chose qui me pénètre doucement.
Un regard sur le côté m’en dit plus sur ce qui me pénètre et me donne tant de plaisir, Viviane me pénètre du bout ovale de sa baguette et commence un lent va et vient en moi.
Elle manipule vraiment l’engin avec une précision folle donnant chaque fois un résultat extraordinaire qui m’oblige à lui crier mon orgasme. Entre deux râles de plaisir, je me dis qu’elle doit vraiment utiliser son truc sur elle-même pour en avoir une telle maîtrise. D’autant plus que son autre main se défoule sur mon clitoris.
Je ne tarde pas à avoir le regard flou, mes jambes flageolantes me portent avec peine.
Ses doigts sur ma chatte attaquent une masturbation féroce, je gémis sous les yeux des deux couples, et en hurlant mon plaisir je perds conscience…

Quand je reprends conscience, je suis dans le fauteuil et le courant d’air qui caresse ma chatte nue, me confirme bien que je n’ai pas rêvé… »

A suivre…

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