Un Coup Vite Fait Dans Le Sous-Sol.

Un coup vite fait dans le sous-sol.
Je m’appelle Gilles, j’ai 35 ans, je suis grand, brun, et assez costaud, je suis sportif. Je conduis une moto. J’habite dans une cité depuis que je suis gosse. Je travaille comme ouvrier dans une usine qui se situe à une dizaine de kilomètres de chez moi et cet après-midi, j’ai les boules, ma moto est en panne et j’en ai besoin pour aller au boulot demain. Ce n ‘est pas que je suis un grand fan du boulot, mais j’ai besoin de fric pour payer les factures.
Je décide de contacter Corinne, une fille un peu plus jeune que moi, 30 ans une blonde au petits seins mais avec un cul à se damner. Je sais que son mec, Cyril, un type un peu bourge qui est venu vivre à la cité par amour pour elle, a une bécane et qu’il ne s’en sert pratiquement jamais.
Il est 17 heures, j’arrive devant la porte de Corinne, je sonne et Cyril ne tarde pas à venir m’ouvrir. Je vois à son regard qu’il n’est pas franchement ravie de me voir. En effet Cyril est un type de taille moyenne, maigrichon, et je pense que Corinne est plus avec lui pour son fric que pour son physique.
Cyril me fait entrer et dit à Corinne qui est sous la douche : « c’est ton pote, il veut te parler ». Au bout de cinq minutes Corinne arrive, elle est habillée d’un jeans moulant et d’un t-shirt. Elle me fait la bise, elle sent bon le savon.
Corinne m’a toujours fait fantasmer. Dans ma jeunesse, j’ai baisé pas mal de filles de la cité, j’avais et j’ai toujours eu du succès. Mais Corinne n’était pas le genre de fille à se faire sauter comme ça et surtout, elle avait rencontré Cyril très jeune et lui était resté fidèle.
Je m’assois dans un fauteuil, elle est son mec sont fasse à moi dans le canapé. Elle me sert un verre à boire et me demande ce qui m’amène. Je leur explique mon problème de moto et je leur demande si je ne peux pas empreinter la leur. Je vois que Cyril fait la gueule, mais il n’ose pas dire non.
Cyril donne les clés de la moto à Corinne et lui dit sur un ton sec : « Va lui montrer où elle est et explique-lui comment elle fonctionne.

Moi je ne veux pas rater le début du match de foot à la Télé ».
J’emboite le pas de Corinne, qui m’explique que la moto est dans le box en sous-sol de leur immeuble. Je suis derrière elle dans l’escalier. J’ai les yeux rivés sur son petit cul bien moulé dans son Jeans. Cette fille me fait toujours autant fantasmer.
Nous voilà maintenant arrivée devant le box, Corinne ouvre la porte. C’est un grand box dans lequel il y a leur voiture et la moto. Corinne me regarde est me dit : « voilà la bête, ce n’est pas la peine que je t’explique comment ça fonctionne, les motos n’ont aucuns secrets pour toi ».
C’est alors qu’une pulsion m’envahit. Corinne est là face à moi, c’est l’occasion rêvée, elle ne se représentera pas d’aussi tôt. Je me lance, je la sers contre moi et je l’embrasse à pleine bouche. Contre toute attente elle me rend mon baisé. Je lui dégrafe le bouton de son jeans, je fourre ma main dans sa culotte et je devine une toison déjà humidifié par le désir qu’elle a pour moi.
Je la fixe droit dans les yeux, tout en lui malaxant son petit minou. Je me dis que le bourgeois coincé qui lui sert de mec ne doit pas lui faire ce genre de choses. Il doit plutôt être position du missionnaire, une fois par semaine, le samedi soir après le film.
Je commence à baisser son pantalon, qui glisse le long de ses cuisses, pour finir sur ses chevilles. Je l’assois sur le capot de la voiture, son jeans fini sa course par terre. Je dégrafe ma ceinture, ouvre la fermeture éclair de mon pantalon et libéré ma queue bandée qui n’en pouvait plus de se sentir à l’étroit.
Je suis existé comme une puce, j’allonge Corinne sur je le capot de la voiture, elle écarte les cuisses, quand je me rends compte que j’oublié de lui enlever sa petite culotte en dentelle blanche. Tant pis, je ferais avec, je l’att par les cuisses, positionne son cul sur le bord du capot, je lui écarte le morceau de tissu qui masque son joli minou puis j’enfourne mon braque marre dans sa caverne humide.

Je commence à lui labourer son petit jardin, tout en pensant à son mec qui pour une raison ou une autre risquait de débarquer à n’importe quel moment. Il faut faire vite, en plus de ça, la porte du box est restée grande ouverte, n’importe qui pourrait nous voir. Je la pilonne comme je n’ai encore jamais pilonné une nana, et pourtant je m’en suis déjà faite un certain nombre.
La situation devient de plus en plus excitante, Corinne jouie, elle commence à pousser des cris qui risquent d’alerter le voisinage. Malgré l’intensité de l’acte, mon sperme ne veut pas venir. Mes mouvements de plus en plus rapides commence à me déclencher des crampes aux niveaux des cuisses. Je me retire, je prends quelques secondes pour reprendre des forces, je retourne ma partenaire pour qu’elle soit face au capot et l’enfourne de nouveau. Moins de 30 secondes plus tard, je sens la délivrance dans un jet de sperme chaud et un hurlement de bonheur de ma blonde.
Je me retire définitivement, je reboutonne mon pantalon, Corinne se rhabille sans rien dire, juste un sourire qui me fait comprendre sa satisfaction. J’enfourche la moto et je quitte le box dans un vrombissement amplifié par les murs du sous-sol.
Et dire que pendant des années, j’ai pensé que Corinne était une fille sage, voir même un peu coincé, elle cachait bien son jeu sous ses airs de sainte ni touche.


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