Androïde, Pipe Feeling

On s'était réveillés, elle et moi, dimanche matin, dans les bras l'un de l'autre, repus d'une nuit d'amour partagé.
Elle avait pris mon bitos en main, comme pour dire bonjour, comme pour me dire sa tendresse. Mais le dit bitos n'avait rien de bien vaillant, montrant plutôt un aspect cartilagineux modeste, frêle, fatigué, épuisé.

Elle a dit, passe moi donc la zapette, là sur la table de nuit.
Vu comme tu l'as mouché hier soir, je suppute que tu ne crains plus rien de l'androïde...
En plus, il a passé la nuit au placard, OFF. Comme le simple sextoy qu'il est.
Permets-moi de l'appeler. Tu vas voir les pipes qu'il fait ! Du grand art ! L'est programmé essentiellement pour ça, pour feller.

Es-tu déjà resté avec un garçon ? Tu sais, les garçons font les pipes bien mieux que les filles. Normal, ils savent où quand comment s'y prendre. Et pourquoi.
Mais là, c'est un must absolu, un androïde mâle programmé pour sucer, la perfection suprême.

Je n'ai pas eu le temps de donner mon accord que le Hubot était déjà là. Il est entré dans la chambre. Il était tout nu avec son corps d'ado aux petites fesses uniformément bronzées, coiffé mi-long, ange. Enfin plutôt angelot vu qu'on lui donnait quinze ans à peine.

Enfin, quinze ans... Il avait de beaux attributs solidement épanouis d'homme adulte en belle santé ... qui donnaient à penser.
Je me disais, tout ça ça doit faire du bien par où ça passe...

J'ai pensé, la Cougar elle s'est payé un tendron, elle a fait dans le gamin.
Elle m'a dit, de toutes façon, sont tous programmés pareil les sextoy, alors autant prendre de la chair fraîche, non ?
Tu préfères pas la caille, la poulette, toi ?
Alors accepte que moi j'opte, direct, pour le pigeonneau.

L'androïde avait un sourire ravi, le sourire numéro trois bis du clone qui va se faire mettre ou pire encore, profond.
Dans la pénombre de la chambre il est venu au lit et s'est glissé entre nous sous la couette.


Sa peau était chaude et douce et parfumée
Je l'ai trouvé svelte, fin, presque sylve sylphide.

Il a disparu sous le drap et j'ai senti son corps fluide entre mes jambes entre mes cuisses et ses mains sur mes hanches à ma taille. Ses cheveux mi-long d'ange battaient mon ventre et sa bouche est tombée sur la peau nue au dessus de ma toison juste sous mon nombril, chaude humide frémissante de lèvres disertes.

Quand il m'a engoulé, mon appareil était encore au repos et sa bouche a su aspirer et le gland encapuchonné et la tige molle, entièrement tout, tout entier. Moi je sentais sur moi ce corps frêle de garçonnet allongé entre mes cuisses ouvertes, ses cheveux balayant mon pubis et ses bras à mes hanches, ses mains à ma taille serrés.

Ses lèvres sans dents à la base de mon engin maintenant pleinement épanoui, le fin le sensible libéré, malaxé entre glotte et luette tout au fond de lui baigné de glaires clairs et chauds en palpitations régulières, vivait l'aubade comme en jour de fête.
Tati, comme qui dirait.

Deep throat ... petit joueur l'amie Linda Lovelace, enfin petite joueuse versus l'androïde de ma copine à moi...
Qui avale, avale, avale. Sans fin.
J'ai su refuser.
Enfin ... il me fut malgré tout facile de refuser vue la nuit passée à aimer sincèrement et à avoir tout donné.
Mais le pied, même sans aboutissement, j'avoue que je l'ai, longuement, pris.

Mon amie, mon aimée, a chopé le sextoy à la nuque et l'a mené, à son tour, dans ses propres villosités viscosités à elle.
Enfin propres, le mot est probablement un peu fort, inapproprié... Vue la nuit endiablée que nous avions, elle et moi, passée ensemble à nous aimer.
Mais les androïdes n'ont manifestement pas de retenue de cet ordre et il a plongé ses lèvres dans l'épais dans le velu pour pourlécher et boire ce que j'y avais dans la nuit généreusement déversé, mêlé aux humeurs endogènes. A satiété. Maintenant gluant dru dense collant épais.


Ses petites fesses d'ado précoce me tentaient et j'y ai mis la main. Elles étaient dures rebondies appétentes.
Trois doigts par entre elles, par en dessous touchaient le sac à couilles strié serré dur.
Tandis que cambré agenouillé il broutait, abandonné.

La couette était à terre et lui à genoux.
Je suis venu par derrière et je l'ai pris aux hanches
Je l'ai promptement enfilé
Lui n'a pas moufté mais, relevant les cuisses de ma Mie, il l'a prise de son organe de silicone bandé, long comme le bras, gros comme la cuisse, prise comme l'eût prise un Grenadier du Premier Empire.

Nous étions trois sur ce lit emmanchés les uns dans les autres, ma Mie et moi et ce sextoy entre nous deux, prolongement puissant de ma modeste virilité.

Je pensais à Emmanuelle en pays exotique qui recevait entre les cuisses l'hommage de son ami à travers un indigène autochtone local insignifiant.
Image forte, Just Jaekin Sylvia Kristel, le livre des troubles de mon adolescence...

Le sextoy avait un fondement diablement accueillant et la machine montrait là sa supériorité sur l'être humain par sa capacité à lubrifier le sphincter étroit en bon accueil.
Je lutinais de bon coeur ma mie à travers au delà le sextoy
Et ma bite modeste était, symbole, prolongée rene de l'engin rutilant de la machine, mieux, beaucoup mieux approprié à faire reluire mon aimée.

Quand j'ai déchargé dans son cul j'ai senti qu'il obéissait promptement et lâchait à son tour le signal en puissantes giclées au coeur de ma belle.
Les pieds d'icelle sont montés encore plus haut au dessus des épaules de l'androïde et j'ai ressenti au fond de moi les soubresauts de ses reins.
Nous étions, elle et moi, en unisson à travers l'avatar.

Whahh

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