La Caméra Espion 2

A partir de ce moment, j’ai la conviction que je suis cocu en double ! Par ma femme et par mon ami. D’un côté je suis excité, de l’autre j’ai la colère. Surtout que je ne sais pas du tout quelle conduite tenir. Jouer les voyeurs et me branler en matant ma femme me faire cocu avec un de mes meilleurs amis ? Aller voir sa femme Annie et tout lui dire. Rapidement je rejette cette solution car Annie n’est pour rien dans cette infamie. Toute la journée je n’ai pas pu oublier, imaginant toutes les situations.
Ma caméra est restée muette, mais avaient-ils découvert mon espion ? L’avaient-ils désamorcé ? Je pouvais imaginer le pire.

Le soir je rentre après elle. Elle semble radieuse, très gaie et me plaisante sur ma mine déconfite sans imaginer que c’est elle, la responsable de ma mine inquiète.
En tous cas, je ne sais pas si c’est l’obsession mais je trouve que ses lèvres ce soir ont une odeur et même un goût de sperme. Cela me déclenche immédiatement une érection.
En attendant de se mettre à table, j’inspecte tous les coins et recoins de la maison à la recherche du moindre indice de leur présence ici dans la journée. Rien. C’est ce qui doit expliquer la tranquillité sereine qu’elle affiche ce soir, provocante presque. La salope elle est vraiment perfide.
A table, je renouvelle mon envie de la prendre, redoutant l’excuse qu’elle va inventer. Je suis débouté, elle vient près de moi, m’embrasse tendrement dans le cou en me souffle qu’après le dîner …
- Tu sais que cela fait 15 jours que nous n’avons pas baisé ?
Elle me dit qu’elle m’aime, qu’elle a envie de moi. Je ne comprends plus.
Le repas à peine terminé, elle m’entraîne dans la chambre, me déshabille et se jette sur moi. Elle me prend la bite, l’enfourne dans sa bouche et en même temps me branle, sans s’occuper vraiment de mon plaisir. Elle m’enfile brutalement son majeur dans le trou du cul car elle sait que cela m’emmène rapidement à l’éjaculation.

Je réalise soudain qu’elle a l’intention de me régler mon compte au plus vite.
Je lui prends alors la tête pour tenter de me dégager. Elle résiste me confortant dans mon impression initiale. J’insiste et finis par sortir ma queue de sa bouche. Elle grimace. Je la relève.
- Qu’est-ce qui t’arrive, tu n’aimes plus que je te suce ?
- Si bien sûr, mais j’ai aussi envie de profiter de toi. De ton corps, tes gémissements…
Et comme je m’empare des boutons de son chemisier pour lui dénuder les seins, elle esquive.
- Écoute mon amour, je suis fatiguée par une journée de travail. J’avais vraiment envie de toi mais tu gâches tout ! Je pensais que tu serais content de me jouir dans la bouche, et me sentir avaler ton foutre.
- Mais bien sûr j’aime ça, mais ça fait longtemps qu’on n’a pas fait l’amour. J’ai envie de t’aimer moi, pas de baiser ou de me faire seulement sucer.
- C’est une pipe ou rien, na !
- Ok,Ok pour la pipe.
Alors sans même se déshabiller elle me fait asseoir sur le lit, s’agenouille entre mes jambes et prends rapidement ma bite dans sa bouche. Elle accompagne ses succions par une branlette. J’ai aussi droit à nouveau au doigt dans le cul ! Seulement pour moi, le cœur n’y est plus. J’ai du mal à bander. Elle s’acharne sur ma queue sans aucune douceur, et finit par me faire mal au gland. De guerre lasse, je me dégage. Elle est furieuse.
- Tu es impossible ! Je vais me coucher.
Penaud, lâche et apeuré, je n’ose pas l’affronter. Avant de venir au lit, je l’entends qui va dans la salle de bain. Alors je pense soudain à sa petite culotte qu’elle ne va pas manquer à découvrir pleine de mon foutre séché sans doutes. Comment va-t-elle réagir ? Je suis couché, j’attends. J’entends clairement qu’elle ouvre la panière de linge sale. Un silence. Des bruits de vêtements, la panière est refermée, elle sort de la salle de bain, passe devant la porte de la chambre et s’en va dans la buanderie qui est à la cave où elle va faire une lessive.
Je ne dors pas. Elle revient un quart d’heure après. Elle se couche à mes côtés sans un mot. La lumière est éteinte, je la sens qui remue, se tourne, se retourne. Apparemment, comme moi elle n’arrive pas à s’endormir.
- Tu dors ?
- …
Je fais semblant de dormir. Elle répète
- Tu dors, mon amour ?
- Quoi ?
- Excuse-moi pour tout à l’heure. C’est dur au bureau en ce moment et on est tous sur les nerfs. Tu ne m’en veux pas ?
- T’en vouloir pourquoi ?
- Ben, je crois que je me suis un peu énervée tout à l’heure. J’avais vraiment envie de toi.
- Mais non, ce n’est pas grave, c’est de ma faute aussi, je devrais comprendre. On se rattra demain. Dors maintenant tu dois encore te lever tôt demain. D’ailleurs je dois te dire que j’ai une réunion demain soir qui risque de s’éterniser. Tu peux dîner sans moi et te coucher. Comme ça j’aurai l’esprit tranquille.
- D’accord mon amour. Je t’attendrai au lit et si tu en as envie, réveille moi pour un petit câlin.
- Dors bien mon amour, à demain.
La salope, non contente de me faire cocu avec notre meilleur ami, elle me donne le change de la femme amoureuse. Il me faut une bonne heure pour qu’enfin je m’endorme. Elle aussi je pense.
En fait, je viens de leur tendre un piège. Je sais que la femme de Jacques est en province pour plusieurs jours et qu’il est seul. Elle ne va pas manquer de lui dire et ils vont peut-être venir ici baiser. Et mon espion me permettra de venir mater. Car en fait, si je l’aime toujours, je vais risquer de la perdre car j’ai envie surtout de la voir se faire prendre par ce salaud. Cocu, complaisant oui mais candauliste.

Au réveil, elle est déjà partie. Vite je file dans la salle de bain regarder dans la panière. Elle est vide bien sûr puisqu’elle a fait une lessive hier soir. Je descends à la cave, les sous-vêtements sont suspendus à sécher dans la chaufferie. Je pense toute de suite qu’elle est venue ici avant de partir pour les préparer pour tout à l’heure.
Je suis certain qu’elle s’est rendue compte que je m’étais branlé dedans. Mais elle avait choisi de se taire et allait certainement en parler à ce salaud.
Avant d’aller au bureau, je téléphone à Jacques. Je lui dis que Chantal m’inquiète.
- Je la trouve tendue et inquiète. Elle a de gros problèmes à son bureau m’a-t-elle dit ? Tu es au courant ?
- Ben pas vraiment, je ne l’ai pas vue depuis ton retour des états unis. Tu m’avais demandé de ne pas la laisser seule. Elle est venue souvent dîner à la maison. Annie était très contente. Non, je ne vois pas.
Le salaud, « jamais la femme d’un ami ! ». Il se foutait bien de moi. Je l’avais vu hier midi la draguer et la peloter devant mon espion. Et dans ma maison.
- Jacques, demain soir je dois rentrer très tard, cela me rassurerait si tu pouvais passer lui faire un petit coucou amical pour la réconforter.
- Bien sûr mon vieux, tu peux compter sur moi ? Sois tranquille. Bonne journée
- Salut et merci.
En raccrochant, je ne pouvais pas m’empêcher de bouillir de rage. Il s’est bien gardé de me dire qu’Annie était absente. Il se foutait bien de moi. Mais là cela ne me faisait pas le même effet que les mensonges de Chantal. Lui, il n’était plus mon ami. Elle, je l’aimais toujours et c’est ça qui était le minimum pour m’exciter de la savoir infidèle. Quand je ne l’aimerai plus, et ça va arriver, elle ne fera plus partie de ma libido.
En quittant la maison, je prenais soin de vérifier l’état de veille de mon espion. Je le déclenchais à distance, je le laissais aussi capter ma présence et m’envoyer un signal d’une intrusion. Tout marchait parfaitement.
Au bureau, je n’arrivais pas à me concentrer.
Midi, le signal se déclenche. Je me précipite sur mon IPhone. J’active la caméra. Une image d’une netteté parfaite. Je vois Chantal pénétrer dans le salon. Elle va sortir deux verres de whisky. Elle semble nerveuse. Elle se sert. Deux minutes passent et je vois Jacques qui entre.
Elle se jette à sa rencontre et se blottit dans ses bras. Je sens mon ventre qui se noue. J’ai mal d’abord. Visiblement l’adultère n’est pas simplement sexuel. Elle est éprise de notre ami et cette image me le confirme. Lui, semble plus détaché.
Les yeux fermés, elle relève la tête et colle à ses lèvres aux siennes pour un baiser fougueux. Il la repousse et se sert un whisky. Mon whisky. Lentement il vient s’asseoir sur le fauteuil près de mon espion. J’entends parfaitement leurs conversations.
- Hier soir ça été chaud. J’ai voulu faire comme tu m’as dit et lui sucer la queue pour le calmer, mais comme il m’en demandait plus, je me suis mise en colère et ça a mal fini. Je ne le supporte plus, Jacques. Je te veux.
- Calme toi ma belle, ce n’est plus pour longtemps ; laisse-moi préparer Annie.
- Tu sais, j’ai découvert ma culotte sexy pleine de foutre. Je suis sûr que ce pervers s’est branlé dedans hier. J’espère qu’il ne s’est pas rendu compte des souillures de ton sperme et de celui de Philippe.
En entendant ça, je crus m’évanouir. Je venais de recevoir un coup de poing dans le ventre. Philippe, Philippe saute aussi ma femme. C’est un copain avec qui nous jouons au tennis dans le club local. Je ne peux pas le blairer et Chantal m’a avoué qu’elle ne l’aimait pas non plus.
Ma femme est devenue la putain du quartier. J’entends d’ici les ricanements de tous les membres du club. « Voilà le cocu. Ils sont tous passés dessus, il paraît que c’est un bon coup. »
- Ecoute Chantal, ne t’inquiète pas. Je sais qu’il t’aime et qu’il ne se doute de rien. Tu sais, il m’a demandé de venir ce soir te faire un petit coucou car il s’inquiétait de te savoir seule.
- Ah bon ? Tu vas venir ? Je rentrerai plus tôt si tu veux.
- Oui, à 5 heures, je viendrais avec Philippe. Je crois qu’il veut te présenter une copine intéressée par ton boulot.
- Ce n’est pas un plan cul hein ? Tu sais que je n’aime pas les femmes. J’aimerai que tu viennes seul, c’est de toi que j’ai envie.
- Ne t’inquiète pas, tu sais combien je t’aime. Bon ! Je dois partir, à ce soir.
Là, je les vois échanger un baiser profond. L’image est tellement nette que je vois la langue de Chantal fouiller la bouche de son amant, s’enroulant autour de sa langue. Je l’entends gémir alors qu’elle frotte son ventre contre celui de son amant. C’est lui qui la repousse un peu fermement.
Ils partent ensemble, et j’imagine qu’ils ne se préoccupent pas des voisins et que mettre leur trahison au grand jour ne les gêne pas, ni de me faire porter des cornes de cocu.
Ce soir à 17h, je compte bien assister à leur partouze. Je sais déjà où je pourrais me cacher pour mater la débauche de mon épouse adorée.

(à suivre)

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