La Saillie

La Saillie

Après avoir passé une semaine en Espagne nous nous sommes arrêtés chez Yan un ami et complice de longue date. Nous connaissons Yan depuis plus de vingt ans, il fut un de mes premiers amants lorsque nous avons commencé à faire du triolisme. Yan a la magie de savoir me faire jouir de façon vaginale, alors que je suis clitorienne par nature. Endurant et patient il sait se retenir jusqu’à m’amener à l’instant suprême.
Yan élève des chevaux dans une ferme des Hautes Pyrénées. Lors de notre dernier séjour il nous a conviés à assister à quelque chose qui n’est pas banale ou commun de voir, la saillie « monte en main » d’une jument de son élevage.
Yan nous a amené Paul et moi dans un hangar ou devait se passer la saillie. Par sécurité du moins c’est ce qu’il a dit nous étions à l’écart sur une mezzanine permettant de dominer la scène. Yan était avec nous pour commenter l’action.
Deux palefreniers ont amené la jument et l’étalon tenus en longe. L’un tenait la jument entre deux barres formant un box, l’autre l’étalon. J’étais fasciné par le sexe démesurément long de l’étalon qui excitait par les phéromones de la jument en chaleur bandait de tout son sexe. Alors que les deux chevaux se sentaient l’un et l’autre depuis plusieurs minutes, comme s’appréciant avant l’acte de reproduction, Yan me fit mettre les bras en appuis sur la rambarde de la mezzanine. Il susurra à mes oreilles « tu veux une saillie toi aussi, tu as envie ? » « Oui » répondis je sans hésiter. Doucement il fit glisser mon jean et ma culotte à mes pieds, les enleva. J’étais les fesses à l’air, cambrée, regardant le spectacle qui se déroulait plus loin à nos pieds. Yan se mit a caresser mon clitoris, mes fesses tout en disant « cambre, cambre toi bien, donne ton cul ». Je me cambrais au maximum , sentant alors sa verge qui glissait entre mes fesses. Paul regardait sans rien dire, fascinait comme il l’est chaque fois que je me fais baiser devant lui.


Bientôt Yan me pénétra , doucement d’abord , puis alternant puissants coups de boutoir et moments de calme. En bas les choses allaient en se précisant. La jument semblait décidait. L’étalon grimpa sur elle et se mit à la pénétrer. De son coté Yan avait activé ses coups de boutoirs. Soudainement l’étalon se mit a hennir, pour s’écrouler sans bouger sur la jument, vidé de toute sa semence, le spectacle était fascinant. Je crois que c’est à cet instant que Yan s’est vidé en moi. Il s’est retiré et me dit « reste comme cela ma belle ». Il est descendu alors voir les deux palefreniers. Je pense être restée ainsi plus de dix minutes les fesses à l’air. Entre temps les chevaux et les palefreniers avaient disparus. Paul toujours à mes cotés m’encourageait à rester ainsi .Je commençai à avoir froid, dans le même temps je sentais le sperme de Yan qui s’écoulait lentement à l’intérieur de mes cuisses . Nous connaissons Yan depuis si longtemps qu’en toute confiance nous faisons l’amour sans préservatif, c’est le seul homme hormis Paul avec qui je me permets cela.. Au bout de vingt minutes Yan revint . Je l’entends encore dire « Elle est à vous, c’est votre récompense ». Je me retournai et vis les deux palefreniers. Yan me tapota gentiment les fesses avec une cravache , tout en disant « allez cambre toi, donne ton cul, c’est la saillie pour toi aussi ».Je regardai Paul qui acquiesça. Le premier palefrenier baissa son pantalon et sans autre artifice après avoir mis un préservatif, me pénétra. Il avait une verge énorme , à me faire mal. A chaque mouvement le claquement de son ventre contre mes fesses résonnait dans tout le hangar. En quelques minutes il cracha toute sa semence. Le second prit la suite de la même façon. Ils sentaient chacun la sueur humaine et animal confondues, peut être aussi l’odeur du foutre. Yan alternait les encouragements au palefrenier « allez baise la bien , il faut la saillir comme la jument », et à moi-même « allez cambre , cambre , donnes toi! Tu as une croupe de jument ! Tu es une jument à saillir ! » Contre toute attente je me suis mis à jouir sous les coups du second, alors qu’il se répandait à son tour.
« Tu es bien prise ma belle, c’est bien, très bien, un petit avant la fin de l’année » conclut Yan en tapotant mes fesses avec sa cravache. Les deux palefreniers sont partis en silence sans un mot. Je suis resté plusieurs minutes ainsi, les fesses à l’air, reprenant mon souffle. Paul en a profité pour venir à son tour se soulager.
Les deux jours suivants de notre séjour chez Yan ont été riches en émotions, mais à trois seulement. Yan mis un point d’honneur à me faire jouir de façon vaginale. Plusieurs fois il y est parvenu dans un cri bestial en disant « Je me vide les couilles, je me vide ! », Paul prenant la suite de façon tout aussi bestial. Un beau souvenir.

Virginie



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