Le Bain Avec Ma Belle-Fille

LE BAIN AVEC MA BELLE-FILLE

Tout a débuté en septembre dernier. Belle arrière saison, chaudes journées…
Nous passions la semaine chez le fils et sa femme.
Après un après-midi dans le jardin, ma belle-fille décida de prendre un bain.
Mon fils travaillait, ma femme partie chez le coiffeur….
Soudain, un cri strident ! Puis un appel au secours :
- Alian, viens vite, il y a une énorme araignée dans la salle de bain ! Viiiite !!
Karine a toujours eu une véritable phobie des araignées, au point d’en devenir folle.

Je m’approchai de la porte de la SDB :
- Mais Karine, c’est fermé… et puis tu n’es pas visible… Tu dois être nue dans la baignoire !
- J’m’en fous, ouvre quand même, je suis terrorisée là. Je vais me trouver mal !

J’entrais donc dans la salle de bain et effectivement, une magnifique araignée pendait au-dessus de Karine !
Il ne me fallu pas longtemps pour la pauvre bête et je reluquais discrètement ma belle-fille. Elle cachait ses seins avec ses mains et sa chatte était à peine visible dans l’eau.

- Voilà ma belle, j’ai vaincu le monstre !
- Te moques pas, j’ai vraiment eu très peur.
- C’est fini maintenant, détends-toi… laisses-toi aller…
Je lui caressais doucement la joue et essuyais une larme qui coulait.

- tu sais que tu es très jolie… Montre-moi un peu tes seins, en récompense…
- Alian ! Tu te rends compte de ce que tu me demandes ?
- Ben quoi, on est en famille ! C’est pas grand-chose….
Tout en parlant, je prenais une main et l’enlevais du nibard qu’elle cachait.
Karine résista un peu, puis me laissa faire…
J’ôtais l’autre main découvrant ainsi une splendide poitrine.
- Tu es magnifique, tes seins me font bander… J’ai envie de les embrasser.
Sans attendre sa permission, je posais mes lèvres sur un nibard en même temps que je le pelotais doucement.


- C’est pas bien Alian, il faut pas….
- Laisse-toi faire ma chérie, tu en a autant envie que moi…
- Hummm, tes lèvres sont douces, tes mains aussi…
- Tu vois bien, je savais que tu aimerais çà !
Je pétrissais maintenant les 2 nichons de Karineet ma langue titillait les tétons qui durcissaient. Les seins de Karine ? 2 beaux obus de belle taille, bien fermes, arrogants, larges aréoles brunes avec en leur centre de magnifiques tétons pointant fièrement.
Devant l’abandon de ma salope de belle-fille, je l’embrassais sur la bouche, ma langue forçant le passage. mais Karine se refusait à mon baiser. J’insistais un peu et elle céda. Je pouvais enfin lui rouler une pelle comme j’en avais envie depuis longtemps.
- Tu embrasses bien Alian, j’aime ta langue, continues…

Je n’avais pas l’intention d’arrêter ! Tandis que nos langues se mélangeaient, une main descendait sur son corps, jusqu’à son nombril.
- Non, juste un baiser et mes seins, je ne veux pas aller plus loin, c’est mal.
- T’en fais pas personne n’en saura rien…
- Non, je ne veux pas, je t’en prie…
- D’accord, mais au moins, montre-moi ta foufoune, écartes un peu les cuisses que je te mate un peu.
- Tu me promets de ne pas en profiter ?
- Promis ma chérie, je veux juste te mater. Montre-moi ta chatte.
Karine alors a entr’ouvert ses cuisses et j’ai pu voir sa toison, brune, bien taillée en triangle, la pointe dirigée vers sa petite fente étroite, des grandes lèvres bien fermées ne permettant pas de voir le clitoris …
J’ai posé mes mains sur ses cuisses afin de les ouvrir plus. Karine a fermé les yeux et m’a laissé faire. Je voyais maintenant parfaitement la jolie vulve de ma belle-fille et je commençais à bander sérieusement.
Des cuisses, mes mains sont venues se placer sur sa chatte. Karine a protesté mollement :
- Tu avais promis… tu exagères…humm c’est trop bon !
Elle venait de capituler. J’en profitais pour me déshabiller tout en continuant de caresser la moule de ma petite salope.

- Tu as vu l’effet que tu me fais ? je bande comme un cerf !
- Waouh ! Quelle belle bite ! Elle plus grosse que celle de ton fils… enfin je veux dire mon mari !
- Vas-y ma belle branle-moi !
- Non j’peux pas !
Tout en disant çà, elle prit ma queue dans sa main et commença une merveilleuse branlette.
Je ne restais pas inactif et j’introduisais un doigt dans sa fente.
- Noon, enlèves ton doigt…Ouiiiiiii… encore tu fais du bien !
Je profitais alors de son abandon pour monter dans la baignoire. Je m’asseyais en face d’elle.
- Mais qu’est-ce que tu fais ? Tu es fou ?
- Non ma chérie, je ne suis pas fou, je vais donner du plaisir.
- J’ai peur de comprendre. Qu’est-ce que tu vas faire ?
- Je vais te baiser ma puce. Là dans le bain. Je suis sûr que tu n’a jamais fait l’amour comme çà avec Christophe (mon fils).
- Non, non, je ne veux pas ! Je l’aime, je ne veux pas le tromper !
- Mais ma chérie en me laissant te caresser et fouiller ta chatte, tu le trompes déjà, alors va au bout de tes désirs. Tu as envie de moi autant que j’ai envie de toi.
- C’est vrai, mais pour qui tu vas me prendre ? Pour une trainée ? une salope ?
- Non ma chérie, pour une femme qui désir un homme… Allez assez parlé ! Approche ta chatte de ma queue.
Karine est résignée, elle est assise dans la baignoire, cuisses ouvertes. Elle se glisse jusqu’à moi. Sa fente frôle maintenant ma bite. Mes mains se posent sur ses nibards que je pétris à nouveau. J’étire les tétons bien durs, ce qui a pour effet d’attirer Karine vers moi. Nos lèvres se rejoignent, s’ouvrent. Ma langue pénètre sa bouche à la recherche de la sienne. Cette fois-ci, pas de dérobade, Karine répond à mon baiser et nos langues s’enroulent, nos salives s’échangent. C’est ma belle-fille elle-même qui prend mon braquemard dans sa main et le dirige vers sa moule.

- Tu me rends folle ! J’en peux plus. Prends-moi maintenant !
Disant cela, elle se soulève un peu et introduits ma queue dans sa chatte.
Quel bonheur à 60 balais de pénétrer une jeune femme de 30ans ! Karine est maintenant collée contre moi, ses merveilleux seins écrasés contre mon torse. C’est elle cette fois qui a rentré sa langue dans ma bouche. Nous nous embrassions passionnément tandis que ma queue a totalement investi son con. La position n’est pas aisée pour une bonne baise. Je me retire de sa cramouille et je lis la déception sur son visage.

- Tu ne veux plus ?
- Si mon amour, bien sûr que si ! Retourne-toi et mets toi à genoux, je vais te prendre en levrette.
Aucune hésitation ce coup-ci, ma jeune maîtresse se retourne de suite et m’offre la vision de son superbe cul que je n’avais pas encore pu admirer.
Je malaxe un peu ces beaux globes, les embrasse, je lèche la chatte bien humide, le périnée et sa rosette bien serrée. Karine soupire doucement de plaisir. Plus aucune résistance de sa part, elle est maintenant complètement soumise. Elle réclame même ma queue ! Je reviens sur sa fente que je lèche à nouveau, ma langue s’immisce dans ses chairs.

- Viens, j’en peux plus moi ! Baise-moi vite ! Baise-moi fort !
Je prends ma petite pute par les hanches, mon gland contre sa chatte et la pénètre brutalement, d’un coup sec. Ma hampe est entrée d’un seul coup au fond de son con, arrachant un râle de jouissance à ma maîtresse. Je me retire et rentre à nouveau à fond. Plusieurs fois de suite, puis je m’introduis à nouveau et commence alors des mouvements de va-et-vient dans son vagin. Lentement d’abord, puis de plus en plus vite, de plus en plus fort.
J’ai lâché ses hanches et repris possession de ses nibards que je pétris, malaxe, écrase. J’étire ses tétons, les roule entre mes doigts. Quelles sont belles ces mamelles qui tressautent à chaque coup de boutoir !
Heureusement que nous sommes seuls, car Karine ne se retient plus et hurle de plaisir.

- OUiiii, que c’est bon !!!! Baise-moi encore ! Plus fort, plus loin, pilonne-moi la chatte ! Fais-moi jouir !
- Tiens prend-ça salope ! Tu les sens mes couilles contre ton cul ?
- Ouiii je les sens bien, c’est trop booooooonnnnnn ! Je jouiii !
- Qu’est ce que tu es bonne ma salope ! Je vais jouir aussi .
Je vais décharger dans ta chatte.
- Oui mon chéri, envoie-moi ta purée. Inonde ma cramouille, remplis-moi de ton foutre

Je lui ai balancé 5 ou 6 jets de sperme au fond de son con puis je suis sorti et j’ai voulu essuyé ma queue sur son cul.
- Non, viens je vais l’essuyé moi-même. Donne-moi ta bite que je la suce.
Elle a soigneusement nettoyé ma queue qui commençait à rebander, ce qui n’a pas échappé à ma belle-fille.
- Hummm, ta queue est à nouveau bien raide ! Je vais me régaler !
Karine a alors entrepris une fellation royale. Elle me lèchait la hampe des couilles jusqu’au gland qu’elle a ensuite pris en bouche, le titillant avec sa langue. Je n’en revenais pas : il y a 1/1 heure elle était choquée par mes avances et maintenant c’était une vraie experte que me taillait une pipe d’enfer ! Sa langue agaçait mon gland, puis avalait entièrement mon gourdin dans une gorge profonde comme j’en avais peu eu. Mes burnes n’étaient pas oubliées par Karine qui me les gobaient l’une après l’autre. Elle a bien essayé de les prendre toutes les deux en bouche en même temps, mais elles étaient trop grosses pour sa bouche de salope.
A ce rythme là, je ne tins pas longtemps et j’ai vite senti que j’allais jouir à nouveau. J’ai prévenu ma petite pute et j’ai voulu me retirer…
- Non chéri, lâche tout dans la bouche, je veux avaler ta semence, j’adore ça !
- Ouiii,… je jouiiii, bois mon foutre ! Tu es bonne ma salope !
-
J’ai largué 3 ou 4 jets de crème bien épaisse que Karine a avalé d’un seul coup. J’étais aux anges, je venais de baiser avec ma belle-fille réalisant un fantasme vieux de plusieurs années
- Tu sais mon chéri, je n’ai pas peur des araignées… J’avais envie de toi depuis longtemps mais je pouvais te le dire comme ça… Il fallait un prétexte…Avoue que c’était bien pensé !
J’en revenais pas, je m’étais fais manipuler par cette petite cochonne !
Nous avons pris une douche ensemble et nous n’étions pas rhabillés depuis 5 minutes que ma femme et mon fils rentraient….

A ce jour nous n’avons pas pu recommencer une partie de jambes en l’air, juste échangé quelques baisers, quelques caresses mais on en a toujours autant envie et dès que l’occasion se présente…….

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