Mélissa, Ma Belle Fille

Cela faisait longtemps que j’attendais cette opportunité,
En effet, il y a deux ans elle avait lors d’une réunion familiale eu ce propos : coucher avec son beau-père….d’ un air dégouté. Cela faisait suite à un geste que j’avais eu vis-à-vis d’une de ses sœurs, je lui avais très brièvement peloté sa poitrine, pensant qu’elle me provoquait (ce qui n’était pas complètement faux) vu le nombre de fois où elle m’avait appelé dans le dos de sa mère pour des sujets à connotations sexuelles !
Toujours est-il que ce matin elle se tenait devant moi, pas très fière de son comportement avec un de mes employés la veille.
J’avais il est vrai demandé à celui-ci de la séduire, ce qui n’était pas très difficile puisque manifestement elle en pinçait pour lui mais pas inversement pour cause il préfère les hommes.
Nous étions dans mon bureau, je me délectais de ce que j’allais lui demander, pour planter la scène, elle a 42 ans, mariée, deux s, cheveux châtain clair, des formes agréables, bien qu’elle se plaigne d’avoir gardé quelques rondeurs depuis ces deux accouchements qui d’ailleurs font qu’elle est complexée ce qui me laisse à penser que son mari aujourd’hui doit son salut de non cocu à cela !
Elle se tenait debout devant moi dans une robe verte lui arrivant à mi-cuisse, collant noir opaque, quant au reste j’allais le découvrir dans quelques instants…
Moi : penses-tu que ton mari serait heureux de se savoir cocu ?
Elle : il ne l’est pas !
Moi : c’est toi qui le dis, avec cette photo tu auras du mal à le convaincre et à lui donner une explication rationnelle ?
Elle : je t’en prie, je compte sur ta discrétion,
Moi : et pourquoi voudrais-tu que je sois discret ? tu te souviens de ce jour où tu as fait la moue en disant que tu ne pouvais imaginer coucher avec ton beau-père, sachant que mis à part moi tu n’en as pas d’autres ? tu faisais référence à l’anecdote avec ta sœur ?
Elle : tu ne vas pas casser notre couple, pense aux s,
Moi : j’y pense, toi sans doute pas hier soir, c’est pourquoi tu as les cartes en main, un silence vaut mieux que de longues explications ?
Elle : tu ne veux pas…que nous ayons une relation ?
Moi : à ton avis ?
Elle : pense à ma mère ?
Moi : laisse ta mère hors de cette situation, tu sais qu’aujourd’hui notre relation n’est plus aussi intense,
Elle : un long silence,
Moi : rapproches toi ?
Elle avance d’un pas puis d’un deuxième, à présent elle est à un mètre de moi, je me saisis d’un chausse pieds qui a l’avantage de faire aussi gratte dos, vous savez ce bâton avec une main qui porte un doigt redressé que j’ai rapporté ce matin,
Je le porte sur le flanc de sa cuisse et commence par effleurer sa robe, petit à petit je le fais glisser de bas en haut en appuyant un peu ce qui a pour effet de remonter très légèrement sa robe.

Je m’en amuse quelques minutes puis je déplace cette petite main entre ses cuisses.
Je recommence mon mouvement, l’avantage c’est que le rebord de la robe me dévoile un peu plus ses cuisses.
Elle est mortifiée mais ne dit rien, je remonte plus haut, je ne vois pas mais la résistance me dit que je suis en contact avec son entrejambe. Je fais tourner mon bâton pour que le doigt redressé puisse glisser contre sa féminité encore protégée par le collant et sans doute sa culotte.
Je la regarde, mais son regard est fixe face au mur. Je la masturbe délicatement, je suis persuadé que cela ne doit pas la laisser insensible.
Moi : tu te sens mouillée ?
Pas de réponse de sa part,
Moi : retrousse ta robe !
Elle : se saisit de l’ourlet et doucement relève le tissu, si doucement que je me demande si elle ne participe pas ajoutant une touche d’excitation à son geste,
Moi : plus haut, la prothèse plastique toujours en contact avec son entrejambe, le collant est si opaque que je ne vois pas la couleur exacte de sa culotte, je m’en amuse quelques instants, je fais glisser cette prothèse plastique contre son intimité,
Quelques minutes plus tard, je pose le bâton et pose mes mains sur ses cuisses et remonte vers ses hanches, je refais le geste plusieurs fois puis accroche l’élastique du collant et d’un geste brusque descends le tout au 2/3 de ses cuisses. Sa culotte est en dentelle blanche, j’entrevois sa toison plus brune que ses cheveux, je suis surpris, je pensais qu’elle s’épilait totalement.
Moi : j’apprécie ta touffe, ma queue va adorer se frotter sur ton duvet de poils,
Elle ne répond pas, se laisse manipuler sans donner le moindre signe de participation,
Je suis un peu furieux, je lui demande de glisser une de ses mains dans sa culotte et de se caresser, elle ne s’exécute pas. Je porte ma main sur son sexe et commence au travers du fin tissus à la caresser. Elle a beau faire de son mieux pour ne pas participer, la nature à ses faiblesses et je ressens que ce traitement commence à porter ses fruits, le tissu s’humidifie.

Moi : tu ferais mieux de participer, ton corps te trahie ! tout en continuant à frotter ma main sur son sexe.
Je regarde son visage, des larmes glissent sur ses joues, elle est résignée, je vais pouvoir en faire ce que je veux.
Je quitte momentanément son entrejambe, me lève et me mets dans son dos, j’en profite pour ouvrir mon pantalon, je descends la fermeture éclair de sa robe, dégage les épaules, elle tombe sur ses hanches, je lui fais lâcher les pans de sa robe et celle-ci tombe au sol.
La voilà en sous-vêtements collant aux genoux, en effet quelques rondeurs qui ne me gêne nullement s’offre à mes yeux, j’empoigne ses seins au travers du soutien-gorge, belle rondeur sans maintien, je pense que lorsque je vais le décrocher sa poitrine va s’affaisser mais rien de grave, il y a de quoi bien s’amuser.
Je suis bandé et plaque mon vit contre ses fesses. Elle ne se dérobe pas, bien au contraire, j’ai le sentiment qu’imperceptiblement elle se frotte contre.
Je léchouille ses oreilles puis mes lèvres glissent vers les siennes, elle tourne son visage et nos bouches se soudent, ma langue vient au contact de la sienne, la voici complice et participante.
Sa main glisse dans son dos et recherche ma queue qu’elle caresse au travers de mon pantalon, la mienne quitte sa poitrine et glisse sous l’élastique de sa culotte et vient envelopper sa toison. Elle s’ouvre en écartant un peu ses cuisses.
Elle est bien humide, mon doigt glisse le long de ses lèvres et vient titiller son bouton d’amour, elle ne cherche pas à se dérober et quelques soupirs me font comprendre que le traitement qu’elle subit n’est pas pour lui déplaire. Sa main s’introduit dans mon boxer, je l’aide en rentrant mon ventre pour lui permettre d’y accéder plus aisément.
Je dégrafe son soutien-gorge et le jette plus loin, nos bouches sont toujours soudées, ma main s’active de plus en plus dans son nid d’amour, je pense qu’elle va capituler. Sa main s’active sur ma queue.

Un feulement me fait comprendre qu’elle vient de prendre son pied, complété par une humidité plus soutenue de son nid d’amour.
Je la déplace et la fait se courber sur le bureau, je descends un peu sa culotte, lui fait plier les genoux pour qu’elle s’ouvre d’avantage, elle s’exécute sans dire mots. Je fais tomber mon pantalon aux chevilles, me saisit de mon sexe, le frotte un instant le long de ses lèvres vaginales, puis le gland s’introduit dans la moiteur de son ventre, je pousse, quel bonheur de la pénétrer. Je saisis ses hanches et me lance dans des allers retours plus ou moins soutenus. Je sais que je ne vais pas chercher à me retenir, je veux la marquer dans son corps.
Elle : ne jouit pas en moi stp, retires toi, je n’ai pas de protection, ce sont ses premiers et seuls mots depuis une demi-heure,
Cela ne fait que m’exciter d’avantage et je sais que je vais plonger au plus loin de son intimité et déverser tout mon foutre au plus profond de son être !
Elle n’est pas insensible à mon action, elle se manifeste plus bruyamment, elle prend son pied c’est certain, je l’insulte un peu pour faire monter la pression dans ma queue, je sens le point de non-retour, je l’agrippe plus fortement, me bloque et me déverse dans son utérus.
Elle ne réagit pas de suite, bien que les soubresauts de ma queue atteste que je me vide les couilles en elle. Je reste dans son ventre un long moment jusqu’à ce que ma queue s’en extraite toute seule.
Le trop plein tombe sur le fond de sa culotte qui entrave encore ses cuisses.
Moi : à son oreille, tu vois ce n’est pas si désagréable que cela de baiser avec ton beau-père,
Elle : salaud, je t’avais demandé de te retirer, une chance que je ne sois pas dans ma période,
Moi : pas grave elle viendra, je n’en ai pas fini avec toi, ni maintenant ni dans les jours à venir,
Elle : il faut que j’aille au travail, je suis déjà en retard !
Moi : pas tout de suite, je veux ta bouche avant !
Je m’assois dans le fauteuil, lui demande de me faire face, elle hésite, je lui rappelle que si elle ne veut pas perdre trop de temps il faudrait qu’elle s’exécute plus vite.

Elle finit par abdiquer et me fait face cachant son intimité d’une main et la poitrine de l’autre, j’en souris. Son collant entrave encore ses jambes et sa culotte souillée est à mi-cuisse.
Moi : cesse de faire ta vierge outragée, mets-toi à genoux,
Elle se plie à mon ordre, mon pantalon toujours avec mon boxer à mes chevilles, ma queue est à quelques centimètres de ses lèvres. J’ai toujours pensé qu’elle ne devait pas pratiquer la fellation.
Qu’est-ce que tu attends, viens me sucer,
Elle pose sa main droite sur ma queue, je la reprends en lui demandant de la faire avec la main gauche et lui rappelle qu’elle est mariée.
Moi : tu as déjà trompé ton homme ?
Pas de réponse, je lui repose la question, pas plus de réponse.
Pas grave, le plus difficile est la première fois, après cela devient normal, tu vas voir, je te ferai rencontrer des gens qui apprécieront de baiser avec toi.
Elle : tu as eu ce que tu voulais, tu pourrais me laisser tranquille,
Moi : certainement pas, je vais te former à devenir une bonne bourge catin !
Moi : en attendant, montre-moi ce que tu sais faire avec ta bouche,
Avec quelques retenues, elle finit par poser sa langue sur mon gland, puis petit à petit elle l’a enveloppé puis sa bouche s’est entrouverte. Elle a commencé à me sucer avec application, je donnais le tempo mes mains dans ses cheveux. Par moment, je poussais profondément ma queue et des haut le cœur me laissait à penser qu’elle pourrait vomir. Au bout de longues et agréables minutes j’ai reculé un peu lui demandant de bien ouvrir sa bouche que j’allais me vider et que je lui conseillais de ne rien en perdre.
Elle : je n’avale pas !
Moi : avec ton mari peut-être, pas avec moi, tu vas tout avaler !
Elle a fermé les yeux, je me suis appliqué à bien diriger mon jet au fond de sa gorge, contre sa volonté elle a fini par déglutir l’intégralité de ma semence.
Moi : à présent tu peux te rajuster et aller au travail,
Je l’ai regardé remonter sa culotte lui interdisant de s’essuyer puis son collant, elle a récupéré au sol soutien-gorge et robe,
Moi : à l’avenir soit tu portes des collants plus fins et sans culotte où des bas, je ne veux plus te voir avec des collants si foncés, de plus chaque fois que tu viendras chez ta mère, je t’interdits d’être en pantalon, je dois pouvoir accéder à ton entrejambe sans difficultés.
Une fois rhabillée elle a tourné les talons, je l’ai rappelé pour qu’elle m’embrasse, j’en ai profité pour glisser à nouveau ma main sous sa robe et sentir la moiteur de son entrejambe, j’étais fier de moi !

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