Oh Cloéphile

Cloéphile se tourne et se tourne dans son sommeil, elle doit faire un cauchemar terrible, puis elle se réveil en sursaut, elle s’assoie au bord du lit, il lui semblait que son entrejambe étais humide, elle y porte une main, effectivement, elle sent la mouille sans sa chatte. Elle découvre le drap, là aussi à l’endroit quelle dormais, tout étais mouillé.
Cloéphile s’efforce à se rappeler à ses rêves, en collant flash sur flash, elle n’envoyait une seule raison qui expliquerait, ce qu’elle avait mis dans cet état, de jouir en plein nuit déversant une grande quantité de sa cyprine et souiller sa literie. Elle s’affaire vite pour changer sa literie et mettre une machine en route. Malgré la protection, la quantité de son effluve avait traversé le matelas. D’un bain de mousse elle effaçait les traces.
Dans la journée d’hier, Cloéphile se souvient quelle avait déposé deux CV à la recherche d’un nouveau emploi. D’accord le directeur des ressources humaine dans une boîte, comme homme, l’avait émoustillé, mais sans laisser transparaître quoi que ce soit.
- On vous écrira, Mademoiselle, lui tenant une carte de visite : Maurice Colvert.
Bon au retour dans l’immeuble, Cloéphile tombait sur un nouveau voisin, en train d’emménager en compagnie d’une belle femme que je prenais pour son épouse, elle lui avait donnée un coup de main, il était charmant. Dommage qu’il est déjà pris, il avait quelques chose de rayonnant en lui, on se sentait tout de suite à l’aise.
Mais pourquoi je me suis mis dans un tel état, ce n’est quand même pas cette rencontre furtive qu’il aurait provoqué ? Pas possible ! Ou est-ce le chef du personnel ? Impossible de se rappeler des détails de son cauchemar. Mystère total. Face à ce vide Cloéphile se sentait perdu, elle essayait, en ferments les yeux à s’y ré-transposer,… à se reconnecter au rêve…
Puis ça sonne à la porte
- Bonjour, je suis Lorianne, la sœur de votre nouveau voisin.

On c’est demandés, mon frère Lucien et moi si vous n’auriez pas un peu de temps à nous consacrer ?
Elle accepta rentrer et fit constater :
- Il est splendide votre appart. Non, franchement vous avez un goût exquis, vous ne seriez pas une l’architecte d’intérieure, par hasard ? C’est exactement ce qu’il nous faut, votre avis nous sera précieux. Je ne me suis pas trompé sur vous ; j’avais une prémonition très favorable en vous voyant dans l’escalier. Croyez-moi, je suis dans la partie de ressource humaine d’une célébrissime marque de mode. En plus votre beauté me ravie…et surtout le naturelle que vous dégagez…vraiment ravie !
- Merci de votre flatterie Lorianne, en quoi puis-je vous être utile ?
Elle se sentait captivé par la présence d’elle ainsi l’aisance de ses propos. Non seulement elle avait une forte personnalité, sa beauté était étincelante.
- Il y en a juste besoin d’un avis, mais je vois ça… votre intérieur, je n’ai qu’à me féliciter, d’avoir osée de sonner à votre porte. Dans son enthousiasme Cloéphile se voyait cordialement embrassé par Lorianne.
- D’accord, voyons vor cela, j’ai du temps devant moi, car je suis en recherche d’emploi. Je prends juste le téléphone avec, car j’attends peut-être un appel.
Elle accompagne Lorianne dans l’appart de son frère. Evidemment tout se trouvait en-dessous, en-dessus, comme dans chaque déménagement. Très vite ils se sont soumises, sans discuter, aux conseils de Cloéphile. Le rangement mobilier s’achevait au bout de deux heures dans la plus grand gaité, elle apprenait que Lorianne aussi emménageait. Ils avaient signé le bail aux deux noms. Ses affaires vont venir le mois prochain au terme de son ancien bail. Elle les sentait très proche de l’un et l’autre, ils eurent une conversation très animées et joviale, autour d’un apéro, avant Cloéphile rejoignait son appartement. Prise de fatigue elle se coucha le divan et ferma ses jeux.
Elle ne parvint à s’endormir, en somnolant, les images de Lorianne et Lucien prédominaient son esprit, puis encore celle du chef de ressources humaines, dont elle attendait une réponse.
Cloéphilese leva pour se coucher dans son lit.
Le lendemain matin l’événement se répéta, comme la veille. Heureusement elle avait préconisait, mettant une toile étanche avant de rhabiller son lit. En nouveau Cloéphile avait jutée une flaque sa cyprine, sans savoir pourquoi.
Pas de souvenir au rêve, mes images présentes des trois personnes dès son réveil : Maurice, Lorianne et Lucien. Il lui semblait que ce matin sa mouille était plus abondante que la veille.
Que se passe-t-il ?
Puisque son matelas elle savait protéger Cloéphile s’invitais à se donner libre cours aux gâteries sensuelles, à son étonnement tous les trois visages imaginés l’accompagnaient. A peine sa main effleurait ses seins, elle a du constatée, comme par magie, que ses mamelons étaient déjà tous fièrement érigés. Enfermée dans sa bulle, seule maître de soi, elle laissa glisser l’autre main au long se son corps svelte, elle eut pleins de frissons, passant son nombril, allant chercher son mont de vénus lisse, écartant deux doigts en fourche enclaver son vagin. Puis elle écarta ses grandes lèvres encore mouillées, poussa ses doigts aux petites lèvres, décapsulant le gland de son clitoris. Elle abandonna son téton pour le titiller délicatement. Un choc électrique lui parcourait, la paralysant un bref instant, elle eut l’audace à s’imaginer que Lorinanne pourvoyait son bourgeon. En même temps elle sentait les lèvres de Maurice s’emparer des siennes, sa langue enlacer, et Lucien prendre le relais sur ses mamelons. Les trois personnages qu’ils l’avaient émues, émoustillées ses deux derniers jours, n’habitaient pas seulement son corps…elle croyait vraiment qu’elle jouerait de leurs ferveurs, comme si s’était réel. Elle se voyait dans ce jeu de rôle soumis à leurs étreintes communes, elle, Cloéphile, elle…………elle, n’en arrivait plus à se contenir…elle…elle se laissé porter à sa jouissance qui l’ébranla comme un cyclone…..non, noooooooooooooooonnnn !
Ses doigts habillent continuent l’entrain, qu’elle pensait être guidés par ses amants.
Il eut un moment d’extase, quand elle croyait sentir la langue de Lorinanne lécher sa vulve…oui, oui, ouiiiiiiiiiii iihhhhh… elle sentait ses tétons triturés, une main parcourir la raie de ses fesse et rondelle joué…ohhhhh….ohhhh…. ! Puis elle recommençait à ahaner…han, han, han….han…les mouvements accélèrent encore, encore, des doigts habitaient ses deux trous et la cadençait conjointement…plus vite, vite….encore, encore … jusqu’au sommet d’Everest qui est à elle. Ses visages visionnaires alors s’empressent ensemble de chercher un baiser, quatre langues se réunissant se parlent, touchent ainsi langoureusement. Cet émoi lui laisse échapper un flot de cyprine. Ce sera le tour à Lucien de récolter son jus, Maurice jouera son pistil gorgé de sang, tantôt Lorianne, les seins et baisers. Son robinet s’ouvre d’avantage, abreuvèrent les deux mâles en train de la faire jouir, et jouir, et jouir. Elle voit clairement la belle Lorianne positionner son entrejambe sur sa bouche, une magnifique fleur de vulve s’ouvrir à son étreinte langoureux, elle va la faire chanter à son tour, elle va festoyer son clitoris qui bande en arrogant. Ce sera également son festin à elle, pendant ses seins sont chargés par ses mais délicieuses de Lorianne.
Soudainement les lèvres de son vagin sont écartées, une queue d’un mâle s’y glisse dans sa mouille, une cadence est imprimée pour la faire passer à un autre sommet de jouissance, quelques doigts remuent son rectum pour accélérer son passage à l’ascension du non-retour jouissive, gratifié par des jets semencier chauds, son antre soutiens par des contrecoups sa possession, en plus du labeur anal. Changement d’équiper se fait ensuite, Lorianne pourvoi son rectum, Maurice reprend le labeur vaginal et Lucien pourvoi son dard dans sa bouche.

Cloéphile se réveilla épuisé, mais définitivement, regardant autour d’elle. Elle est seule, il se fait midi, son drap froissé, mouillé à essorer, un coin du cousin encore dans sa bouche… elle revient lentement à elle de son escapade sexuelle épuisante…mais ses pensées sont toujours vouées aux trois figures imaginées, pourtant bien vivantes.

Cloéphile gardera le secret saillant pour elle, à moins que…
Elle descendit ouvrir la boîte aux lettres contenant une enveloppe adressée à elle. Sa candidature a été retenue, les conditions rédigées dans un contrat de travail joint. Dans quinze jours elle débutera le poste chargé commerciale pour la région de Rhône Alpes et Haute-Provence. Habillement de rigueur exigé, une voiture de fonction lui est mise à sa disposition.
Cloéphile signera et renvoi immédiatement son contrat à l’attention de M. Maurice Colvert « confidentielle », elle joignit sa carte de visite personnelle.
Elle sonna à la porte de ses nouveaux voisins, Lucien rayonnant lui rouvrira en l’invitant de rentrer.
- Ça est Lucien ! Je l’ai eu le boulot ! Tu peux le dire à Lorianne. Mumm, je suis contente !
- Tu peux lui dire toi-même, pétillante, ravissante voisine Cloéphile elle est dans la cuisine. Je suis sûr que tu le mérite. On va fêter cela ?
Lorianne vient les rejoindre avec une bouteille de champagne en main.
- Donne-moi juste quelques minutes pour préparer quelque bouchées fines, toi Lucien, tu prendre les coupes de cristal, on va fêter ça comme il faut chérie.
Cloéphile a eu un petit pincement de cœur pour le p’tit nom « chérie » prononcé par Lorianne. Est-il était formulé sans arrière pensée, ou… ?
Non, Cloéphile, ne s’était pas trompé, pendant leur agape, copieusement arrosé, elle se sentie comme un joyau enchérie parmi eux. Quand Lorianne embrassai Lucien ce n’était pas un baise fraternelle. Cloéphile aussi était embrassée d’abord par Lorianne en suite par son frère. Et ce n’était pas un baiser sur les joues, ce baiser engageait avidement la langue par elle et lui. Celui de Lorianne lui mettait précisément dans le même qu’elle se trouvée ce matin. Sa cyprine transperçait son jean et la trahissait.
Cloéphile, l’après-midi, voyait réaliser son rêve, elle n’était pas rentrée chez elle la nuit. Cloéphile était aimé par le couple d’amant, dont elle a appris qu’ils étaient par vraiment frère-sœur, ils provenaient d’une famille décomposée, pas de lien sanguin et ils aiment depuis trois ans, d’où l’emménagement en couple.

Un moment donné, dans ce bonheur qu’elle vivait à trois, Cloéphile a eu une réflexion très audacieuse…mais vraiment audacieuse et délirante! Et si ça marchait aussi avec Maurice… ?
Un frisson froid lui parcourait dans son dos…waouh !!!
Cloéphile est devenu très courageuses avec ses amants, passant aux aveux, celles-ci acquiesçaient l’idée même avec l’enthousiasme.


(Je vous laisse prendre libre cour à vos imaginations, bises Gouineur)

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