Odile

J’allais à l’école avec une copine Odile, qui après la 3° a déménagée. Nous nous aimions bien, partageant certaine secrets intimes. C’est elle qui, quand j’avais une douzaine d’année, m’a initié à un certain plaisir que j’aimais bien et je dirais même que j’aime toujours. Oh, ce n’était pas très grave, elle me disait qu’elle trouvait un grand plaisir en se touchant entre les cuisses, qu’elle y avait un drôle de petit organe qui la faisait trembler quand elle le massait. Je voulais moi aussi connaitre ce plaisir. C’est ainsi que je me suis masturbée pour la première fois.
J’ai continué à vivre ma vie un peu terne à partir de son absence. Le temps faisant son œuvre, je pensais l’avoir oubliée totalement. Je venais d’avoir 35 ans, mariée, mère de deux s. Elle a déboulé dans ma vie calme un jour de printemps. Elle était nommée dans notre ville et sa première visite était pout moi. Nous nous sommes embrassées plusieurs fois sur les joues : enfin nous nous retrouvions, nous retrouvions surtout des souvenirs anciens qui nous évoquions avec nostalgie.
- Est-ce que tu es mariée ?
- Non, divorcée.
- Pourquoi ?
- Je ne l’aimais plus et il me trompait.
- Ca doit te manquer un homme dans ta vie ?
- Pas du tout, je me satisfais moi-même, tu sais comme ce que je t’ai appris.
- Tu te branles alors.
- Bien sur et toi ?
- Souvent.
- En plus, je trouve quelques fois des filles pour faire des choses.
- Des choses ?
- Oui, nous nous donnons de plaisir à deux ou trois.
- Vous vous faîtes l’amour, quoi.
- Je n’osais pas le dire.
- C’est agréable avec une autre ?
- Bien sur. Tu ne voudrais pas essayer une fois toutes les deux ?
Elle me déstabilise. Je ne sais que répondre à cette demande totalement inattendue. D’un coté, mon homme que j’aime et avec qui j’ai des rapports normaux, trop normaux sans doute, et elle qui me propose de baiser avec elle.
C’est elle qui décide que nous sommes faites l’une pour l’autre et m’invite à la rejoindre le lendemain chez elle dans l’après midi.


Je pense à tout ça la nuit à tel point que je me lève pour me caresser. Le lendemain, dès le départ de le mari, je retourne dans la chambre pour me mettre nue, je me regarde dans la glace pour me regarder en détail. Je me sens encore très sexy, mes seins ne tombent pas, ils ne sont pas trop gros. J’ai peut-être un poil de taille en plus. A par ça je me trouve encore appétissante.
Me détailler ainsi me donne une envie de jouir, pas cet après midi, de suite. Je reste devant le miroir, écarte les jambes pose deux doigts sur le clitoris qui lui aussi m’assure de son désir. Je sens ma violence sur mon organe quand je me masturbe. Pourtant d’habitude seule ou devant mon mari, je suis tendre avec moi-même. Cette brutalité inattendue me fait jouir comme jamais. A midi mon époux ne rentre jamais. J’en profite pour rester nue dans la maison, je prépare un rapide repas que je grignote toutes seule. Je suis resté debout volontairement dans le salon, devant l’autre miroir. Je me regarde encore un fois et encore une fois je me caresse. Cette fois je me doigte simplement. C’est une impression bizarre de manger en se mettant deux doigts dans la chatte. Je m’arrête avant de jouir. En guise de dessert, je lèche mes doigts pleins de cyprine.
Je vais m’habiller. L’éternelle question : qu’est-ce que je vais porter ? Le choix est vite fait, c’est le printemps, je peux porter une petite chose légère. Je prend une robe boutonnée devant, un petit string, celui que mon mari m’a offert pour que je le porte avant de baiser. J’oublis le soutien gorge. Une paire de ballerine fera l’affaire. Je vais chez Odile en ayant comme un creux dans ma poitrine, comme si j’étais amoureuse !
Je suis royalement reçue. Elle a préparé des petits gâteaux et du café. Nous allons directement au salon. Nous nous embrassons sur les joues. Assises à cote sur le divan, nous buvons lentement notre café quand elle pose une main sur mon genou... Je commence déjà à mouiller, alors qu’elle ne m’a rien fait de particulièrement excitant.
J’avais un creux dans la poitrine en venant, ce creux a émigré vers mon bas ventre. Odile se tourne vers moi, pose ses lèvres sur ma bouche, juste en un baiser rapide. Je m’attendais à un vrai baiser. Pourtant sa main est déjà à mi cuisses. Enfin sa bouche revient sur la mienne. Cette fois elle ouvre sa bouche pour que sa langue puisse entrer dans ma propre bouche. Elle passe sa main sur mes cheveux comme pour les caresser alors qu’elle vient pour me tenir le visage contre elle. Je suis à sa merci. Ma langue aussi participe au jeu. Je commence à bien l’apprécier avec son goût un peu sucré à cause du café. Elle continue son baiser quand la main est sur mon string.
- Petit cachotière, tu aimes les caresses de femmes.
- Je ne sais pas encore.
- Alors pourquoi tu es toute mouillée. Enlève ton string sinon tu vas l’abimer totalement avec ta mouille.
- Qu’est-ce que tu vas me faire ?
- Te branler d’abord.
Je me soulève pour enlever mon string. Sa main est vite contre ma chatte. Elle sait où aller pour me faire jouir. Mon clitoris est dans tout ses états devant la caresse tendre qu’il subit. Je la laisse faire en ayant déjà la tête en arrière, signe que je vais jouir sous peu. Elle remarque la fermeture de ma robe, elle l’ouvre facilement, je parait nue devant elle. Elle en oublie ma bouche pour me sucer les tétons durcis par le désir.
Qu’est ce qu’elle peut bien me donner ces petits plaisirs en bas sur le clitoris et plus haut sur mes seins. J’écarte encore plus les cuisses pour qu’elle aille à l’entrée de mon vagin. Elle y met d’abord un doigt pour arriver à en entrer trois. C’est une vrai bite que j’ai dans mon ventre: je m’entends gémir longtemps, jusqu’au moment où je ne peux plus me retenir: je jouis brusquement comme rarement. Ses lèvres reviennent sur la mienne tout le temps de l’orgasme. Lorsque je finis de jouir, elle sort ses doigts, les mets dans la bouche pour que je suce ma cyprine.
- Je vais t’appendre la suite si tu veux.

- Je pourrai te faire jouir maintenant avec le bouton ?
- Je veux bien, je suis trempée aussi.
- Déshabilles toi.
Elle le fais et je vois son corps presque juvénile. La seule chose qui me semble bizarre c’est son bas ventre rasé. Je trouve ça plutôt laid je peux voir tout son sexe d’un seul coup, alors que le mien reste bien caché.
Je ne cherche même pas l’emplacement de son bouton, je le vois aussitôt. Elle pose une cuisse sur la mienne et ma main va presque de suite sur elle. Je caresse lentement sa cuisse avant d’aller sur son point sensible. Je me souviens qu’un jour elle m’avait dit comme elle faisait. Je passe deux doigts légèrement d’abord avant d’appuyer et d’aller plus vite. J’en étais sure, elle aime toujours être branlée ainsi. Je la fini rapidement. J’ai pris l’initiative de l’embrasser sur la bouche. Elle gémit comme moi. J’arrête quand elle jouit pour la doigter avec tous mes doigts sauf le pouce qui lui remonte là où j’étais au paravent. Je lui donne mes doigts pour qu’elle les suce.
Odile a bien aimé mes caresses.
- Si tu veux nous allons faire comme deux vraies lesbiennes.
- Je ne sais pas comment font les lesbiennes, j’en ai une vague idée sans plus.
- Je vais t’appendre.

La suite dans pas longtemps.

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