Un Plaisir Partagé Est Un Plaisir Double (20)

Un plaisir partagé est un plaisir double (20)

Il est presque quinze heures et j’attends toujours ma copine pour que l’on se rende à la salle de sport. J’ai pris le téléphone pour lui demander si elle n’avait pas oublié notre rendez-vous.

« - Non rassures toi ma chérie, ma belle sœur et mon beau-frère sont arrivés à l’improviste, j’arrive aussitôt qu’ils partent. »

Il était un peu plus de seize heures, quand j’ai vu arriver Annie en survêtement comme moi. Elle était pressée d’aller retrouver Enzo, son beau mâle qui lui avait fait de l’effet lors de notre rencontre dans le sex shop d’Ahmed. J’ai pris mon sac de sport avec mes tennis, ma tenue, une serviette et du gel douche. Aujourd’hui, nous y allons pour faire connaissance avec tous ces appareils de qui allaient nous faire souffrir et transpirer. Nous ne cherchons pas vraiment à nous muscler, mais c'est en essayant notre bikini que nous nous sommes rendu compte que nous devions faire quelque chose pour cet été. Vous allez me dire que nous n’en avons pas besoin pour nos vacances naturistes. Mais ce n'est pas le cas pour toutes les plages, nous sommes obligées parfois de garder au moins le bas par respect pour les usagers de la plage sur laquelle nous nous trouvons.

Nous avons été accueillies par un beau garçon, superbement musclé comme on en voit sur les plages l'été en maillot, roulant des mécaniques pour se mettre en valeur devant les filles. Il était en tenue de sport bien moulante laissant deviner ses pectoraux. Il s'est présenté en nous disant :

« - Je m'appelle Stéphane, Steph pour vous, je suis le responsable de cette salle de sport, comme c’est la première fois que vous venez, la séance est gratuite aujourd’hui pour vous laisser le temps de découvrir les différents appareils de cette salle, nous avons l'elliptique, le stepper, le rameur, le vélo, le tapis de course, la presse à cuisse, le banc de développé couché etc.

.. mais cela je ne pense pas que ce soit pour vous. Je vais vous montrer le vestiaire des dames pour vous changer, si vous avez besoin de moi je suis à votre disposition. Je lui ai demandé :

« - Est-ce que Enzo travaille bien dans cette salle de sport ? »

« - Oui, il est bien chez nous, pourquoi vous le connaissez ? Il est en train de faire un cours de fitness dans l’autre salle, mais dès qu’il a terminé, je vous l’envoie. Vous pouvez même l’avoir comme coach si vous désirez. J’ai oublié de vous dire que si cela vous plaît et que vous avez l’intention de vous inscrire, il me faudra un certificat médical. »

Après un quart d’heure, alors que nous étions en train de faire du vélo, Annie à vu arriver son beau noir. Elle à rougit une nouvelle fois en le voyant.

« - J’attendais un coup de téléphone de vous, mais je suis heureux de voir que vous ne m’avez pas oublié. Je vous trouve toutes les deux bien ravissantes. Je me présente, je suis guadeloupéen et je me prénomme Enzo. Je suis coach sportif et je suis à votre disposition »

« - Moi, je suis Chantal et ma copine que vous connaissez plus intimement se prénomme Annie. Nous allons nous changer, on se voit après. »

« - Je connaissais vos prénoms, je les avais entendus au micro au sex shop. »

Au vestiaire nous avons quitter notre survêtement et nos dessous pour passer notre tenue de sport. Annie portait un ensemble fluo rose et noir composé d’un legging moulant qui lui arrivait en dessous du genou et d’un soutien gorge qui mettait ses seins en valeur et qui dévoilait la grosseur de ses tétons. Moi j’avais ma tenue de l’année dernière lorsque je faisais du fitness, un mini short moulant qui me rentrait dans ma fente et une brassière. Une fois prêtes, nous sommes retournées en salle. Enzo est venu plusieurs fois nous rendre visite durant tout le temps que nous ayons passé à transpirer pour nous expliquer un peu le fonctionnement de certaines machines que nous ne connaissions pas.


« - Il n’y a pas beaucoup de monde, c’est toujours comme cela ? »

« - Non, le samedi la salle est pleine mais avec le covid il y a beaucoup d’adhérents qui ne sont pas revenus. Cela me laisse plus de temps pour m’occuper de vous. » Nous dit-il

Enzo nous a pris de suite en main en nous expliquant le fonctionnement de certains appareils comme par exemple pour durcir le tapis de marche en lui donnant une pente un peu plus raide.

Stef, le boss est venu dire à Enzo qu’il avait une réunion à la mairie en lui demandant de fermer la salle de sport à dix huit heures, covid oblige et qu’il ne pensait pas revenir.

Une heure après Enzo est allé dire à tous les sportifs qu’il était temps d’arrêter, que la salle allait fermer dans dix minutes. Revenant vers nous, il nous dit :

« - Cela ne vous concerne pas, comme c’est votre première fois, je vais rester un peu avec vous pour vous expliquer. »

Lorsqu’il est revenu après s’être assuré qu’il n’y avait plus personne, nous faisions du rameur. Enzo pris Annie à part en lui demandant de bien vouloir s’allonger sur le banc à côté de moi, il lui donnait des conseils en lui disant qu’il fallait toujours qu’elle s’échauffe avant de forcer sur les appareils. Il se plaça derrière elle pour lui masser les bras et les épaules, mais ses caresses devenaient de plus en plus précises autour de ses pectoraux, tellement précises que ses mains glissèrent bientôt en bordure de ses seins qui débordaient de son soutien gorge dans cette position. Il continua à la masser en effleurant délicatement le bord de ses seins. Ses mains glissèrent à l’intérieur des bonnets de son soutien gorge. Annie fermait les yeux et se laissait faire, sans manifester. Sans qu’elle s’y attende et en un éclair, il lui baissa son soutien gorge libérant ses jolies rondeurs. Il se pencha sur elle et se mit à lui sucer son petit bout pendant que de sa main il lui titillait l'autre mamelon. J’en avais fini avec mon rameur, je me suis rapproché d’eux.
Enzo baissa son short son membre que nous devinions derrière son short moulant était maintenant bien devant nos yeux, ce n'était plus un fantasme de nanas, mais bien une réalité qui nous donnait un aperçu de ce qui allait être la suite de notre séance d'initiation. Nous le connaissions pour l’avoir eu devant nos yeux dans le glory hole, mais là en liberté, il paraissait encore plus long et il bandait. Il se pencha de nouveau sur Annie pour continuer à lui butiner ses tétons à la seule exception cette fois, c’est qu'il lui présentait sa trique en érection devant la bouche, elle s’est mise à le sucer la tête en arrière.

Enzo glissa ses deux mains sous l’élastique de son legging. Je voyais par-dessus le tissu qu’il lui asticotait son berlingot. Il avait maintenant découvert que ma copine avait le sexe glabre. Je pense que de nos jours, toutes les femmes qui font du sport en salle doivent être comme nous totalement lisses pour que le foin ne dépasse pas de leur tenue de sport. Si notre coach fait une séance d'initiation à toutes les nouvelles adhérentes comme il le fait avec elle, ce n'est pas un sexe imberbe qui doit l'impressionner.

Annie retira son leggings et son coach lui demanda de s’asseoir sur l'appareil de qui se trouvait de l’autre côté, il l’ajusta à sa demande en lui écartant les cuisses. Enzo avait une très belle queue, volumineuse et irriguée de veines. Elle semblait musclée, comme ses bras  ! Elle lui a pris dans sa bouche avec avidité et a commencé à la lui sucer. Elle jouait avec sa langue sur son gland et engloutissait son membre en faisant coulisser sa bouche sur toute sa longueur. Elle semblait beaucoup l ‘apprécier. Les cuisses ouvertes, Enzo s’est penché sur elle pour découvrir sa minette toute épilée et baveuse de mouille. Il s’est encore rapproché et s’est mis à la lécher. Sa langue ciblait son clitoris. Elle jubilait de tant de sensualité.

Son cours de sport était en train de tourner en séance de sexe.
Quelle meilleure activité pour entretenir son corps et transpirer un peu ? La tournure de son coaching lui plaisait bien, d’autant que notre rapport coach-élève l’excitait au plus haut point. Je pense qu’elle était prête à faire tout ce qu’il lui demandait. Après tout c’était lui le prof !

Steph qui nous avait dit qu’il ne revenait pas, était devant nous.

« - J’ai vu de la lumière de l’extérieur et j’ai pensé que tu avais oublié d’éteindre, aussi je suis revenu pour éteindre. Je vois que l’on ne s’ennuie pas ici. » En s’adressant à Enzo à poil devant lui.

Moi, sur mon tapis de marche, la sueur avait mouillé une bonne partie de ma brassière dans le creux de mes seins dévoilant mes tétons ( que vous avez la chance de voir lorsqu’ils dressent sur mon avatar) et l’humidité de ma fente. Annie et Enzo avaient arrêté leur coquinerie depuis l’arrivée de Stef. Nous sommes retournés au vestiaire pour prendre notre douche et pour se rhabiller. Alors que nous étions en train de nous revêtir, Steph et Enzo notre coach ont fait éruption dans nos vestiaires. Nous avons poussé un cri et instinctivement j’ai porté mes mains sur son sexe et sur sa poitrine pour les cacher alors que
j’étais en string. Ils m’ont attrapé par les pieds et les épaules pour m’emmener hors de la salle. Je me débattais comme une diablesse, mais sans pouvoir faire grand chose entre les mains de ces deux gaillards. Portée par les deux hommes sur la table de leur pièce de repos. Ils essayaient de retirer mon string noir transparent pour s'occuper de mon abricot sans pouvoir y arriver. Comme ils n’y arrivaient pas, l'un d'eux arracha ma petite culotte libérant ma chatte de ce petit bout de tissu, pendant que le second s'occupait de me caresser la vulve. Malgré la libération des mœurs, le sexe de la femme reste un objet secret, invisible…que tous les hommes cherche à découvrir. C'est notre partie secrète, notre objet de convoitise que les hommes désirent le plus au monde. Ils se perdent dans sa douceur et sa moiteur, ils en savourent le goût et son parfum. Alors la révélation de l'exploration de la bête n'est plus un mystère. Mais voilà chaque femme possède une énigme différente sous leur petite culotte qui les fait fantasmer. La main posée sur mon sexe me promulguait de douces caresses, un doigt glissa dans ma fente humide. Caresser une femme, c'est tout un art. Et c'est surtout indispensable pour faire monter lentement le désir. Mais lorsque ceci est bien fait, la sensation à la vue de ce corps féminin qui s'éveille doucement est incomparable. Annie nous avait suivi.

Je ne me débattais plus, j’y prenais même du plaisir. Ma tenue de fitness était tellement moulante, elle me rentrait dans la raie des fesses mettant en valeur mon petit cul rebondissant, sans parler du côté face sur lequel on distinguait la forme de ma chatte. En présence de mes deux hommes cela n’a pas du les laisser insensibles et je pense que c’est cela qui les a poussés à vouloir me prendre. Généreusement accueillante ma chatte devait les mettre en appétit. Il était simple de deviner que leur intention était de me baiser. Des préservatifs et des lingettes jonchaient sur un tabouret. Cette fois, il était évident que j’allais passer à la casserole.

J’en avais prise mon parti et participais sans réserve à mon mini gang bang. J’avais pris en main le sexe d’Enzo pour le branler. J’étais maintenant complètement nue entre les mains de ces deux gaillards qui me caressaient toutes les parties du corps surtout les plus intimes. Je n’avais besoin d’aucun préliminaire, tellement je mouillais. Enzo après avoir mis un préservatif, m’enfonça son cigare dans ma tabatière en me donnant de violents coups de reins dans mon lieu de délices, jusque ce que je ressente les brusques spasmes de sa verge, il venait de jouir en moi.

J’étais tellement occupée que je n’avais pas vu qu’Annie était entre les mains de Steph. A genoux devant lui, elle lui avait pris sa grosse bite dans la main et j’entendais qu’elle lui disait :

« - Ca me change du sexe de mon mari qui est beaucoup moins épais. »

Peut être qu’elle lui a dit cela pour lui faire plaisir parce que moi je ne trouve pas connaissant bien sa verge.

Elle le pompe longuement, savoure le goût de sa bite, lui suces son le gland, lui avale ses boules.

Steph, la relève par ses cheveux et lui demande si elle veut qu’il lui défonce la chatte. Il la fait mettre à quatre pattes sur la table, déroule un préservatif sur son sexe et glisse sa verge dans son vagin. Il s’arrête et lui dit :

« - Attend, je n'ai pas tout mis ! »

Là d’un coup de rein lent et progressif il rentre sa bite jusqu’à la garde. Il commence ses vas et viens avec vigueur. Il la prend en levrette comme une chienne, elle subit les secousses pendant qu’il lui malaxe ses seins fermement. Après quelques minutes de cette baise intense, il se retire, il passe devant elle et lui dit de lui bouffer la bite.

« - Un vas y suce-moi grosse salope. » Sort de sa bouche.

Cela m’a rappelé ma soirée de carnaval avec son mari, lorsqu’il m’avait traité de garce, putain, et de salope, ces mots que je n’avais pas l’habitude d’entendre de mon mari paradoxalement m’avait fait mouiller.

Elle prend sa bite à pleine bouche, un petit jet de sperme se déversa au fond de ma gorge, il lui sort son sexe et finit d’éjaculer sur son visage. Puis se casse, en la laissant là à poil, couverte de sperme.

Je lui ai passé un mouchoir en papier pour qu’elle s’essuie le visage. Ma copine s’était allongée sur le dos, les yeux fermés, la jambe repliée, impudique, offrant son corps nu, sa choupinette encore toute luisante de cyprine. Je savais qu’elle était déçue, elle était venue pour rencontrer Enzo. Et il ne lui avait sucé que les tétons et chatouiller sa chatte en passant ses mains à l’intérieur de son legging. J’avais envie de la prendre dans mes bras mais ce n’était pas ce qu’elle attendait. Je fis signe à Enzo de la tête pour qu’il s’occupe un peu d’elle. Son coach déroula un préservatif sur son joli membre et s’installa sur elle, il glissa sa queue comme une épée de plaisir la traversant tout entière. Il s’était installé dans sa chatte, en envahissant ses parois avec sa belle et longue bite. Il s’est mis à faire des aller-retour dans sa minette trempée en l’embrassant. Ses coups de queue la remplissaient de joie. Annie se cabra pour mieux l’accueillir. elle râlait de plaisir en lui disant :

« Oh oui, Enzo vas-y, défonce-moi ! »

Il a continué à la labourer ainsi, faisant claquer ses couilles contre son cul, enfonçant bien son membre musclé dans son sexe de plus en plus offert et ouvert à la merci de tous ses assauts. Elle aida l’introduction de sa bite épaisse en accompagnant ses coups de butoir. Il n’a pas fallut bien longtemps pour qu’elle jouisse, tellement son désir d’être possédée par cet amant d’un jour était fort. Ses bras s’étaient enroulés autour de son coach. Ils ne faisaient qu’un et elle faisait plaisir à voir. J’étais heureuse pour elle. Des secousses secoua leurs corps. Je l’ai entendu murmurer :

« - Ah ! Que c’est bon ! »

Le sperme chaud se déversait à l’intérieur de son vagin, regrettant sûrement la présence du latex. Unis dans le plaisir, elle avait mis ses jambes autour de la taille d’Enzo et ils ne bougeaient plus profitant de l’instant présent.

Après avoir savouré cette introduction, nous nous sommes rapidement rhabillés, bien que nous ayons eu bien besoin d’une seconde douche mais il était plus de vingt heures et nos maris devaient s’inquiéter. Nous nous sommes essuyées rapidement afin de ne laisser aucune traces de foutre pour retourner chez nous. J’avais l’impression que nous sentions le sperme.

En rentrant Bob m'a demandé :

« - Mais d’où viens-tu ? J'ai téléphoné à la salle de sport et il n'y avait plus personne, je pense qu'elle était fermée. »

Je me suis mise à rougir. Embarrassée tout en lui expliquant que notre coach nous avait montré le fonctionnement des différents appareils. Mon chéri très diplomate ne m'a pas posé d'autres questions qui m'auraient mise dans l'embarras. Je sais très bien qu'il n'était pas dupe et qu'il avait vu d'après mon comportement qu'il s'était passé des choses que je n'étais pas prête à lui avouer pour le moment. Il a seulement rétorqué :

« - Je te fais confiance pour avoir prise tes précautions. »

Ce n'est qu'après quelques jours que je me sois décidée à tout lui avouer en lui contant ce qui s'était réellement passé pour ma copine et moi durant notre séance d'initiation. Nous avions décidé de ne jamais rien se cacher en matière de sexe pour que notre couple fonctionne bien. Mon mari est candauliste et il me laisse saillir par qui je veux et quand je veux. J'ai regretté de ne pas lui avoir avoué de suite en rentrant à la maison que je m'étais faite baiser par mon coach. Je ne sais pas pourquoi je me suis mise à rougir lorsqu'il m'a demandé d’où j'arrivais en rentrant si tard. Peut être parce que je me suis sentie prise en défaut. Je pense qu’Annie à eu davantage de difficulté que moi pour persuader son mari qu’il ne s’était rien passé.









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