Apprentissage 2

Apprentissage 2


Vendredi 14

J'ai attendu quelques jours avant de recontacter mon inconnu de l'autre soir. Lorsque je l'appelle enfin, il me propose de le revoir le soir même, ce que j'accepte volontiers. Toute la journée, je ne pense qu'à ça, qu'à lui et à tout ce qu'il pourrait me faire. Je n'arrive même plus à me concentrer sur mon travail. Lors de ma pause, je vais au toilettes et je me rend compte que je commence déjà à mouiller, rien que d'y penser. La journée va être très longue. Je m'asperge le visage d'eau pour tenter de calmer l'excitation qui commence déjà à surgir en moi et je tache de me concentrer sur mon travail quelques temps. Je regarde l'heure sur la pendule. A chaque battement de l'aiguille, je l'imagine me pénétrer. Chaque seconde, un gémissement, un cri, une jouissance. Dès que je peux, je prends mes affaires et je pars le rejoindre. Il m'a donné rendez vous dans un café, non loin de chez lui. Moi qui pensait qu'il pourrait me sauter dessus à la seconde où je le reverrais, je dois avouer que je suis déçue. Enfin, le voilà. Il fait très charmeur avec sa chemise légèrement ouverte, son sourire franc et son assurance. Il a même des attitudes de gentleman, à me tenir la porte ou me saluer d'un baise-main. J'aime bien ça, et, quand je pense à son caractère entreprenant de l'autre soir, je me dis qu'il cache bien son jeu. Ce coté mystérieux m'attire. On finis par s'asseoir et on commande à boire. Il commence alors par me dire qu'il est heureux que je sois là. Il me demande si j'ai pris le temps de réfléchir à sa proposition. Devant mon acquiescement, il ajoute tout de même que si je décide d'accepter, je devrais toujours l'écouter, sans discuter, à moins que je ne choisisse de partir. Je dois avoir l'air étonnée par cette précision parce qu'il rajoute d'un air charmeur, « Tu es loin de t'imaginer tout ce que je pourrais te faire découvrir ». Bien que je ne sache pas encore tout ce que cela implique, Notre pacte est scellé.




Tout d'abord, il me tend ce carnet me demande de le remplir consciencieusement pour chaque étape de mon apprentissage. Ainsi, jour après jour, je pourrais voir ma progression d'après lui. Cela étant dit, il me ramène chez lui. Dès le seuil de la porte franchi, je ne pense plus qu'à lui sauter dessus. Mais l'engagement que j'ai pris plus tôt m'en empêche. Je me contrains donc à attendre, en dévorant ce corps du regard. Il me regarde, et, visiblement amusé, me demande si j'en ai envie. Je ne peux pas le lui cacher, et c'est là qu'il décide de m'enseigner une première leçon : l'attente. Il me fait me déshabiller et attendre, nue, debout face au mur, jambes et bras écartés. Je ne dois pas bouger. Chaque mouvement ou protestation pourrais au mieux diminuer la récompense qu'il souhaitait m'accorder, soit donner lieu à une punition, ou même empirer une punition déjà existante. Dans cette position, j'attends, longtemps. Je rêverais de me retourner, d'arracher ses vêtements et de venir m'empaler sur sa bite fièrement dressée. Mais je ne peux rien faire de tout ça. Alors j'attends. Et j'imagine tout ce qu'il va me faire. Mon corps en frémit déjà, rien qu'au souvenir de sa langue. Et ne parlons même pas de celui de sa bite. Je n'attends que de les revoir. Le temps me semble long, mais après quelques temps, je crois entendre quelque chose derrière moi. Je sens son souffle chaud sur ma nuque, ce qui provoque un frisson d'excitation. Son corps se colle au mien et je peux sentir une chose dure qui se frotte contre moi avant de rentrer d'un coup dans ma chatte. J'en crie de plaisir. Il vient placer une main devant ma bouche pour m’empêcher de crier encore et retient mon corps de l'autre pour pouvoir continuer de me baiser encore plus fort, plus profondément. Je me laisse envahir par le divin plaisir qu'il me procure. Puis, d'un coup, il décide de ressortir et me demande de me mettre à genoux, il me tend alors sa bite à lécher, à sucer. Elle est déjà si dure, si grosse, mais il me la fait prendre toute entière dans ma gorge.
C'est difficile de la garder aussi profond, mais il a tellement l'air d'aimer ça, je ne peux pas l'en priver. Rapidement, je sens même les spasmes de sa jouissance dans ma bouche, ainsi que le goût de sa semence. Il me sourit, me demande si j'en ai eu assez. Il en faut beaucoup plus que ça pour me contenter, je ne veux plus n'être que plaisir. Ma réponse semble lui plaire. Il m’entraîne alors jusqu'à son « Temple du plaisir » et viens m'attacher, bras et jambes écartées. Mais contrairement à la dernière fois, je suis placée sur le ventre. Au souvenir de ce moment, je ne peux que le laisser faire avec envie. Il va ensuite chercher un bâillon. Car je criais trop tout à l'heure et qu'il compte utiliser ses deux mains. Je le laisse donc me le mettre. Il vient ensuite se placer à coté de moi, et me caresse le corps du bout des doigts, mon corps frémissant au contact de ses doigts, qui descendent de plus en plus bas, vers mon cul. Ses doigts s'attardent sur mes fesses à les caresser, à les empoigner. « J'ai tellement envie d'y rentrer ». A ces mots, mon corps tout entier se raidit. Je n'ai jamais été baisée par mon cul et sa demande suscite de nombreuses appréhensions. Il le remarque, et se penche à mon oreille pour me rappeler de le laisser faire, et que je vais adorer. Il reprend alors ses caresses jusqu'à ce que mon corps se détende à nouveau. Avec sa langue, il vient ensuite caresser ma chatte, pour m'exciter autant que possible, puis il vient l'approcher de plus en plus d'un autre trou, comme pour me montrer qu'il y a beaucoup de plaisir à prendre vers cet endroit également. C'est ensuite avec un doigt qu'il s'approche. Il devait avoir été lubrifié car malgré mon appréhension, il rentre sans trop de mal. La sensation est étonnante mais pas désagréable. Devant tant d'enthousiasme de ma part, il ne tarde pas à remplacer ce doigt par une bite bien dure. Malgré le bâillon, je ne peux m’empêcher de pousser un gémissement de plaisir. Ça lui donne envie de baiser mon cul encore plus fort, plus vite, comme il a pu le faire avec ma chatte.
Il me fait jouir avec ses va et vient, mais, bien loin de s'arrêter, il continue à m'enculer de plus belle, encore et encore jusqu'à ce qu'il jouisse en moi. Alors, il se retire et s'en va, me laissant attachée comme ça, le cul béant, empli de sa semence, exposé à la vue de quiconque passerait dans cette chambre.

Je ne sais pas combien de temps je vais rester là, ni pourquoi il me fait attendre dans cette position.


(A suivre)

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