Apprentissage 6

Le maître fut très content de mon comportement lors de la visite de son amie. Il ne s'attendait pas à ce que je me soumette si facilement. C'est bien la preuve que mon apprentissage porte ses fruits. Il décide de me donner mon dessert préféré, sa bite, pour que je puisse y goûter, tant que je ne la touche pas de mes mains. Il se met debout devant moi, déboutonne son pantalon pour découvrir son membre et me le laisser. Dès que je peux, je bondis presque dessus. Je commence par l'embrasser du bout des lèvres, pour m’imprégner de son odeur, retrouver son goût, la chaleur qu'elle dégage. Ma langue la caresse toute entière, avant que je ne puisse plus me retenir de la prendre avec envie dans ma bouche. Je la suce avec vigueur, essayant de la laisser rentrer aussi profondément que possible. Il att ma tête pour que je garde sa bite bien en bouche le temps qu'il s'assoie sur le canapé derrière lui. Il s'y allonge presque et je viens par dessus lui pour pouvoir continuer à jouer avec ce que j'ai en bouche. Maître à donc une très belle vue sur mon cul que la mini jupe ne couvre pas vraiment. Ces mains glissent le long de mes cuisses pour remonter jusqu'à mes fesses puis redescendent jusqu'à découvrir ma chatte. Le contact de ses mains chaudes contre mon corps est toujours très excitant, et, rien que d'imaginer tout ce qu'il pourrait me faire, je sens la chaleur d'une envie qui monte en moi, ma chatte qui mouille de plus en plus. Ses doigts tournent autour de ma chatte, s'approchant à chaque fois un peu plus, sans jamais ne faire rien d'autre que de la frôler, l'effleurer puis repartir, pour me rendre folle d'excitation. Il les fait rentrer deux doigts dans ma chatte, et de son autre main libre, viens caresser mon clitoris. Maître me connaît si bien, il sait que je ne résiste jamais aux caresses tentatrices de ses doigts. Mon corps se tord bientôt de frissons de plaisir, qui pourraient même devenir des spasmes d'extase, mais il décide de s'arrêter avant.

Mon corps est tout tendu, prêt à recevoir tout signe qui lui accorderait le droit de relâcher le plaisir qui s'est accumulé en lui et s'efforce de retenir. Et pourtant il se relève, remonte son pantalon et part regarder la télévision.

Je m'installe à genoux à coté de son fauteuil, bras croisés dans le dos, et j'attends d'autres ordres. Quand son programme est terminé, il m'annonce que son amie lui a donné quelques idées pour compléter mon apprentissage, et qu'il a hâte de voir comment je me comporterais. Il me demande d'aller chercher tous mes vêtements et de lui les rapporter. Je m’exécute et je vais jusqu'à la chambre les chercher. A quatre pattes bien sur. Il avait déjà fait le ménage dans mes tenues, en raccourcissant ma jupe jusqu'à mes fesses. Là il prend tous les vêtements et m'ordonne même d'enlever ceux que je porte. Il va chercher un sac, les met tous dedans et me demande d'aller jeter ce sac dans la poubelle, en bas de l'immeuble. Mon corps nu frissonne à l'annonce de cette mission. Non seulement je perds tous mes vêtements, mais en plus je dois aller les jeter nue. Pour la première fois, je suis décidée à lui tenir tête. Non Maître je n'irais pas jeter tous mes vêtements, j'en ai besoin. Le Maître me regarde d'un drôle d'air, m'att par le cou et me demande de répéter ce que je viens de dire. Je répète, le souffle court. Il me relâche le cou, me demande de me mettre face au mur, jambes et bras écartés et va chercher son fouet. Les coups fusent sur mes fesses jusqu'à ce que je le supplie d'arrêter, et promette d'aller jeter le sac. Il me demande alors de me retourner, dispense 3 bons coups sur ma chatte et me tends le sac d'un air satisfait. Je prends les clés et je sors de l'appartement, avec le sac. Il est assez tard. Je devrais réussir à ne pas croiser grand monde. Et heureusement, car je n'ai que mon sac pour me protéger. J'arrive à descendre et jeter mes affaires sans trop de mal. Je reprends l'escalier, et lorsque j'arrive près de son étage, j'entends du bruit.
Mon coeur se met à battre encore plus fort que tout le long de ce gage. Je monte dans l'escalier menant à l'étage supérieur, pour ne pas être vue si quelqu'un arrive à cet étage. La porte s'ouvre ! C'est Maître. Quand je le vois, je descends jusqu'à lui. Il est content de voir que je n'ai plus mon sac, et me fait rentrer chez lui, m'affublant d'une petite claque sur les fesses quand je passe à son niveau.

Une fois rentrés, il me demande si je comprends pourquoi j'ai été punie tout à l'heure. Il faut qu'il m'apprenne ce qui est bon pour moi et me punisse si je fais des fautes. Comme une petite fille et son papa.  Et tu es une gentille fille non? Me demande-t'il. J’acquiesce. Il continue. Et tu sais que j'ai raison ? Oui. Tu vas écouter papa alors ? J'acquiesce à nouveau, mais l'utilisation de ce terme est assez dérangeante. Alors viens sur les genoux de papa. Sur ces genoux, sa main passe partout sur mon corps, avant de venir se glisser plus longuement vers mon clitoris. Son autre main me retiens contre lui. Il me dit à quelle point il aime que je sois sa gentille petite fille. Et que quand il me punit, c'est uniquement pour mon bien, pour que j'apprenne à être une gentille fille. Ensuite, il décide que je dois aller me coucher, sans lui, car j'aurais beaucoup à apprendre demain.

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