Mariee Malgre Moi (3)

Hier pour la première fois j’ai rejoint un réseau d’escorte girl et pour la première fois j’ai passé une soirée pleine de sexe et de luxure avec Valérie, la responsable du réseau et deux clients.

Dans l’après-midi lorsque je me réveille mon ventre, crie famine. Je descends en cuisine, je vide le frigo et je m’installe lorsque le majordome vient me prévenir que l’avocat de mon mari veut me voir.
Il a réussi sa mission et me donne mes renseignements.
Je lui donne le chèque avec une gratification pour la célérité qu’il a mise à répondre à mon attente.

J’appelle mon chauffeur et je lui confie une mission qu’il devra régler demain.
Le soir venant, je me prélasse dans mon bain après avoir pris une petite collation.
Je suis malheureuse, car Valérie est restée muette.
Mon portable que j’ai posé à mes côtés sonne. Je manque de le faire tomber dans l’eau à cause du savon.
C’est Valérie qui semble catastrophée. Une de ces filles vient de lui faire faux bons et un client attend à l’hôtel.
Je suis enchanté de lui rendre ce service.
Comme elle me la demandé, je mets ma guêpière qui souligne mes seins que je couvre par un imperméable. Avec des talons haut en me regardant dans la glace, je suis bandante.
Comme elle me la dit, pour aller plus vite et rattr le retard, elle m’a envoyé un motard qui me donne un casque. J’enlève mes chaussures et je monte derrière le conducteur.
Lorsque je m’assoie sur le cuir ma chatte nue viens au contact et mes lèvres intimes s’ouvrent et se collent dessus.
Je tiens d’une main mes chaussures et de l’autre le corps du conducteur qui démarre sans rien dire.
Les vibrations de l’engin m’apportent un maximum de plaisir. J’espère que mon client terminera de me faire jouir, car la distance a été trop courte.
Le parcours jusqu’à l’hôtel est rapide surtout à la vitesse où il roule.
Ma main a une drôle d’impression lorsqu’elle se pose sur la combinaison, je sens un sein.


Arrivé, je descends, j’enlève le casque imité par mon conducteur qui me présente une magnifique chevelure blonde qu’elle secoue pour remettre en place.
Elle me souhaite une bonne nuit, remet son casque et repart.

À la réception lorsque je rentre, je vois le réceptionniste me regarder avec un petit sourire en coin. Il était déjà là hier et me fait comprendre qu’il me reconnaît Si en temps normal, je passe inaperçu, ma tenue lui montre que je suis une pro qui vient gagner sa pitance. Je lui demande la chambre 223 et je prends l’ascenseur jusqu’au deuxième étage.
Valérie avant que j’accepte de venir m’a prévenue que le client est un peu spécial mais qu’il aime certains jeux et que si je fais ce qu’il me demande, je vais passer une bonne soirée.
J’ai peur de l’inconnue, mais d’une main décidée, je sonne.
L’homme qui ouvre à la cinquantaine, sans embonpoint pour son âge.
Dès que je suis entré, il me tend une enveloppe. Sans pudeur, je l’ouvre et je vérifie que les trois mille euros prévus son bien là. Il m’enlève mon imperméable et me félicite sur ma tenue pourtant très restreinte. Il me demande de tendre mes mains et avant que je me demande ce qu’il m’arrive, il prend dans sa ceinture placée derrière lui une paire de menottes qu’il me fixe aux poignets.
La sensation de devenir prisonnière de cet homme me transporte dans un nouveau monde que j’ignorais existé.
Heureusement que Valérie m’a prévenu, car j’aurai certainement pris peur en me voyant à la merci de ce client.
Il m’amène vers le lit fixent mes menottes avec un mousqueton à une corde qu’il a préalablement installée et qui me permet de tourner sur moi-même en m’empêchant de m’échapper.
Mon client me fait voir rapidement ce qui lui fait prendre son pied quand je me retrouve le nez dans les oreillers mon postérieur à sa merci.
J’ai toujours en tête, ce que m’a dit Valérie, mais les caresses qu’il me prodigue sur mes rondeurs devient très vite assez agréable.

Hélas, cela est de courte durée. Où a-t-il pris l’objet qui lui permet d’un coup de me lacérer les fesses.
Mon cri est vite bloqué lorsqu’il me place dans la bouche une boule qu’il attache derrière ma tête avec des lanières de cuir.
Le deuxième coup qui me zèbre le postérieur est inaudible, car je mords fortement la boule.
Je tourne la tête et je vois le troisième coup partir avec le martinet qui me faisait peur lorsque j’étais petite et que je n’étais pas sage.
Je le voyais plus que je n’ai le souvenir de l’avoir reçu, car sa seule vue me calmait immédiatement.
Au début, chaque coup qu’il me porte me fait souffrir, mais dès que mon cul est très chaud le mal se transforme en une sensation loin du plaisir mais pas désagréable au point que je le fixe directement dans les yeux lui faisant comprendre que j’aime qu’il continue.
Le jeu a l’air de ne plus l’amuser, car il me fait placer à quatre pattes sort son sexe et me le plante dans la chatte.
Dommage, mon anus est tellement chaud que j’aurais aimé qu’il m’encule pour que ses jets de sperme me le rafraîchissent.
M’enculer, il va le faire dans une position que je n’ai encore jamais pratiquée. Il me met sur le dos me relève, les jambes dégagent ma rosette qui se trouve à hauteur de son sexe. En me regardant cherchant une autorisation que je ne peux lui donner, car la boule est toujours là.
Dans cette position sa pénétration est totale et je vois ses couilles venir en contact de mon petit trou.
Contrairement à hier avec Valérie, je ressens un plaisir plus intense.
Dans peu de temps je pense que je jouirai en me faisant sodomiser avec la même intensité qu’elle hier, mon corps apprenant beaucoup depuis quelques jours.
Mes mains toujours attachées finissent par me faire mal surtout avec les bras levés en permanence.
Ce soir dans mon travail, il semble que cet homme ait envie de me faire avancer sur le chemin de la douleur et de la soumission.

Il y parvient assez bien, car il m’est impossible de protester et mon corps reçoit tout ce qu’il me fait directement dans mon cerveau.
Inconsciemment je passe la meilleure nuit de ma vie.
Lorsque au matin l’homme me libère, remet ses vêtements et après avoir posé sur le chevet quelques billets de rallonge pour ma bonne prestation, je suis dans l’incapacité de bouger et surtout d’enlever la boule qu’il m’a laissée soit par oubli soit pour que je prenne bien conscience que pendant une nuit, j’ai été sa chose ayant perdu son libre arbitre.
J’ai dû dormir, car lorsque je me réveille, j’ai recouvré la liberté de mes muscles qui me conduisent jusqu’à la baignoire qui me revigore complètement.
Je téléphone à Christophe pour qu’il vienne me chercher. Malgré le bain, je suis trop faible pour chercher un taxi.
Quand je descends le réceptionniste qui avait un petit sourire lorsque je suis arrivée est toujours là. Il voit que j’ai subi une nuit torride et me propose une tasse de café qu’il me sert sorti d’une thermo.
Lorsque Christophe entre sa casquette sous le bras, je remarque son incompréhension. Pourquoi une femme qui semble avoir de gros moyens se prostitue elle ?
Pour m’en faire un ami me doutant que je risque de revenir fréquemment dans son établissement, je sors de la poche de mon imper le billet de cinq cents euros que le client vient de me laisser.
La tête bien droite, je rejoins mon chauffeur qui m’ouvre la porte de ma voiture et me reconduit à Neuilly.
Christophe est obligé de comprendre ce que je viens faire dans cet hôtel, pour éviter qu’il ne rapporte cela à mon mari, je l’invite à venir dans mon lit lorsque nous rentrons.
Il respecte ma fatigue et j’ai plaisir à me lover dans ses bras assez musclés et je dors en sentant que sa queue a envie de moi. Je suis loin d’être une surfemme et j’ai besoin de récupérer. Lorsque c’est fait, je suis heureuse de le recevoir en moi sans menottes ou lien m’attachant au lit.

Je me suis rendormi et lorsque j’ouvre un œil un plateau avec du café fumant attend apporté par mon amant.

Un coup de téléphone de Virginie me remerciant de l’avoir dépanné m’invite pour le week-end suivant chez elle a son pavillon à Chennevières sur Marnes.
Je viens de raccrocher lorsque l’on me prévient que l’avocat de mon mari vient d’arriver.
En sortant au-devant de lui, du palier au bas de l’escalier, je le vois avec Camille qui a un petit sac de voyage à la main.
Je descends l’escalier, lorsqu’elle me voie d’un seul mouvement, elle s’élance dans ma direction
Avec mon peignoir que j’ai passé sur mon corps, j’ai mis des mules. À cinq marches d’elle, ma mule glisse et je pars en avant et j’atterris dans ses bras.
Elle me récupère et m’embrasse.
Nos bouches se trouvent et je sens ses seins à travers le tissu se poser sur les miens.
Dans le même mouvement, je me retourne et repars vers ma chambre en la tirant littéralement.
La porte fermée, je lui enlève ses vêtements pour la mettre nue.
Pour mon peignoir en soie, cela a été rapide, il lui a suffi de défaire ma ceinture et il a glissé au sol.
J’étais contente de l’avoir retrouvé et de finir ce que nous avions si bien commencé en Suisse avant que son amante ne vienne nous jeter.
Sa poitrine toujours aussi belle a toute mon attention. Elle toujours aussi bandante que la dernière fois que je l’ai vu à l’internat
Elle me l’offre en l’avançant avec ses mains comme si elles les avaient posés sur un plateau. Ma bouche gobe l’un après l’autre ses seins et la chair de poule que j’aperçois me montre que Camille n’est pas insensible à mes caresses.
Elle fait la même chose avec les miens et la petite boule qui avait commencé à monter en moi dans sa chambre, il y a quelques jours me rappelle qu’il y a peu, j’étais vierge et je n’étais ni marié ni une escorte. L’accélération de ma vie m’apparaît d’un coup et lorsque habitué aux jeux lesbiens, elle quitte mes seins pour ma petite chatte, je la laisse faire persuadé qu’elle va m’apporter plein de plaisir nouveau pour moi.
Aucune déception, lorsqu’elle met mon clitoris sous sa langue, à la manière qu’elle a de le faire rouler déclenche des vagues de plaisir en moi.
Depuis que mon corps a été pénétré par diverses bites, de la belle de Christophe suivie de la petite voire minuscule de mon mari sans compter celle de mes premiers clients, j’étais persuadé qu’il fallait être pénétré pour avoir d’immense orgasme.
Camille en une nuit m’apprend que je fais fausse-route et qu’un doigt une langue et surtout l’amour peut transporter n’importe laquelle d’entre nous vers des plaisirs toujours plus fort. Avant de sombrer dans un sommeil profond, nos deux chattes que nous avons jointent permettant à nos clitoris de ne faire qu’un est le sommet pour cette nuit des amours féminins, surtout lorsque je sens sa chatte m’inondent de petits jets sortis de nulle part.

Heureusement que Valérie m’a mise au repos cette nuit, je serai allé au rendez-vous pour lui plaire, elle qui a su voir en moi la femme susceptible d’accepter de satisfaire des hommes pour de l’argent et aussi de me venger de ce que la décision de mon père à entraîner pour moi.
Devant, la tasse de café que nous prenons assise dans le lit apporté par Christophe et qui si je lui demande plongerait entre nous deux.
La demande de Camille si elle me surprend coupe cours à mes idées de baise à trois.
Il est vrai qu’elle est lesbienne, qu’elle vient de faire avec moi des actes lesbiens et que j’aurais pu avoir une rebuffade de sa part en lui offrant la bite de mon amant.
Je lui prête une robe de chambre et des mules et elle me prend la main.

Quel effronté, sans frapper, elle ouvre la porte de la chambre de mon mari et va se planter devant le lit où il est allongé un drap lui recouvrant le bas du corps.
Elle l’interpelle comme s’ils se connaissaient depuis des lustres.
Elle dit être là pour s’excuser du bruit qu’elle m’a fait faire cette nuit en déclenchant des vagues de plaisir dans mon corps et du bruit qu’il a dû entendre et qui l’a certainement empêché de dormir.
Elle s’assoit sur le lit et sans que mon mari ait le temps de répondre semblant chercher ses mots depuis que cette tornade blanche est entrée dans sa chambre.
L’impossible se produit lorsqu’elle passe sa main sous le drap et que je peux aisément comprendre ce qui se passe.
Devant moi sa femme, elle a l’outrecuidance de masturber mon mari.
Je le sais lorsqu’elle lui dit que je suis une femme indigne qui ne prend pas soin de lui alors qu’il bande comme un taureau et que je devrai plus souvent le satisfaire.
La scène est dantesque pour moi surtout lorsque le corps d’Alfred se tend et qu’il jouit.
Elle sort sa main avec un peu de sperme dessus et l’essuie sur le drap.
Le félicitant elle lui demande s’il est d’accord qu’elle devienne ma dame de compagnie et pour enfoncer le clou en se levant et en m’entraînant vers notre chambre, elle lui promet que la prochaine fois qu’il la verra elle lui sucera la queue.
De retour dans notre chambre, nous éclatons de rire et elle a le toupet de me dire qu’une petite branlette vos biens les moments que nous allons vivre.

L’après-midi, je demande à Christophe de nous conduire dans une boutique que j’ai trouvée sur Internet ou je sais pouvoir acheter des tenues affriolantes de qualité pour Camille et moi.
Nous entrons chez un parfumeur pour acheter un cadeau pour Valérie Dimanche midi.
Sur les champs, nous prenons un verre à la terrasse du Fouquet, j’adore le regard que nous portes les hommes, Camille a passé sa nouvelle tenue que je lui ai offerte dans les tons violines alors que j’ai la même en rose et qui leur font dire mon Dieu les deux belles salopes.
C’est là, au soleil que je lui révèle les évolutions de ma vie depuis notre rupture après l’incursion de sa maîtresse et son renvoi.
Elle est enchantée de l’apprendre de ma bouche, mais elle m’apprend qu’elle a été mise au courant d’une partie des choses par l’avocat, car au début de son récit, elle avait du mal à comprendre pourquoi j’avais épousé mon mari.
Je lui apprends mes rencontres avec celle que je considère comme ma marraine et pourquoi je suis devenu escorte.
























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