Mariee Malgre Moi (4)

J’ai retrouvé Camille et nous venons de passer la nuit torride qui avait été interrompue par la directrice du pensionnat en Suisse.
Sans le savoir, j’ai fait venir auprès de moi une grande effrontée capable d’entrer dans la chambre de mon mari et de le masturber pour qu’il accepte qu’elle devienne ma dame de compagnie.

Après une nuit pleine de luxures où j’ai offert Camille à Christophe, me prouvant ainsi qu’elle aime autant les hommes que les femmes, en début d’après-midi après avoir déjeuné ensemble, elle entre comme la veille dans la chambre de mon mari. Il est dans la même position qu’hier et semble l’attendre.
Elle s’approche me tenant par la main et près du lit ouvre une boîte en carton que la cuisinière lui a apportée à table.

• C’est pour toi pépère.

Telle est la phrase que je lui entends dire dans le même temps où elle lui retire le drap.
Elle me montre le sexe de mon mâle qui bande du haut de ses cinq à six centimètres. Elle me tire la main vers lui et me fait saisir la verge matrimoniale.
Elle me tient le poignet tout le temps où je le secoue et pendant ce temps de l’autre, elle lui fait manger les gâteaux de la boîte.
J’ai déjà vu ce genre de gâteaux en Suisse dans une boutique de produits cuisinés dans le pays du Sud.
Gorgé de sucre et de miel, j’ai du mal à dire si c’est bon pour Alfred, mais l’appétit gourmand qu’il met à ingurgiter ces pâtisseries me fait taire.
Elle va même jusqu’à me faire sucer la verge de celui qui m’a acheté à mon père. Je devrais la haire, mais tout ce quel fait semble si naturel que je suis comme si j’étais sa chose.
Pépère comme elle a dit à l’air d’apprécier le traitement car en peu de temps il me remplit la bouche.
Si tout est à rejeter chez cet homme de la manière dont il a profité de la détresse de ma famille pour m’acheter son sperme est assez agréable à avaler.
Camille a raison autant lui donner du plaisir régulièrement et éviter son courroux.


Même le dimanche matin, nous passons par sa chambre pour le soulager de quelques gouttes de liquide séminal et pour que Camille lui donne ses gâteaux qu’il lui réclame dès qu’elle arrive avec la boîte. Je vois bien la réprobation du majordome qui doit s’interroger sur le but de mon amie.

• Pépère, on aime bien nous occuper de toi, mais ton bonhomme qui nous regarde te donner du plaisir me glace le sang, tu peux le virer.

D’un revert de main, la bouche pleine, mon époux congédie son majordome.
Je crains qu’elle ne vienne de se faire un ennemi.

Christophe nous conduit chez Valérie, car j’ai emmené Camille avec une petite idée derrière la tête.
En chemin, je lui parle du majordome qui peut nous poser problème. Elle a ressenti la même chose et me promet de faire ce qu’il faut dès mardi lorsque nous rentrerons.
Pendant que j’y suis, je lui demande, comment elle a fait pour récupérer les gâteaux qu’elle fait bouffer à mon mari depuis plusieurs jours auprès de la cuisinière. Je dis bien bouffer, car lorsque nous entrons, la boîte est pleine et lorsque nous partons, il a tout mangé l’un derrière l’autre.
Elle m’apprend deux faits que j’ignorais.
La cuisinière est maghrébine et plus spécifiquement kabyle et alors que je dormais, elle a visité les lieux et l’a rencontré. De suite, elle a remarqué que Camille était « du pays » quoique jamais ses origines arabes ne m’aient marqué.
Son père a épousé sa mère avant les événements en Algérie, mais c’est en Tunisie qu’ils habitaient avant de revenir en France ayant peur que les événements d’un pays ne se propagent aux pays voisins. Son père est français et sa mère kabyle. Elle s’appelle bien Camille, mais son deuxième prénom est Naima. Elle lui a demandé de faire des gâteaux de chez eux pour amadouer mon mari. Les choses sont aussi simples que celles-là.

Pour le moment, Christophe nous ouvre la porte pour que nous descendions.
Il a le temps de voir que ni ma Naima ni moi n’a mis de petites culottes, mais même s’il sait avoir droit à nos corps, il reste à notre service et n’a aucun geste déplacé.

Valérie vient nous ouvrir en maillot de bain deux pièces et nous fait pénétrer dans une maison agréable.
Elle nous présente Aline jolie petite eurasienne qui semble être sa petite-maîtresse de la manière dont elle se pend à son bras pour éviter qu’on ne là lui vole.
Je lui présente Camille ou Naima prénom que je trouve mieux adapté à la petite fille délurée qu’elle est.
Valérie est enchantée que j’aie amené ma copine et nous entraîne vers une chose merveilleuse. Son jardin avec une magnifique piscine recouverte l’hiver.
Grâce au beau temps, elle a fait dresser une table où le repas est servi.
La question directe qu’elle pose à Naima si elle est au courant de nos métiers parallèles, si elle veut nous rejoindre et devenir une escorte elle aussi me paraît osée, mais lorsqu’elle répond « oui » dans la foulée me fait voir l’amour qui s’est instauré entre nous.
Lorsque je demande à notre amie, comment se fait-il que je suis resté sans appel depuis trois jours, elle me répond qu’elle voulait me garder en forme pour aujourd’hui.
Elle ponctue cette phrase par un éclat de rire et nous montre une porte sur le mur mitoyen de son jardin en nous expliquant que ce passage même vers la villa de Magalie lorsqu’elle est Escorte absente pour le travail, mais qui s’appelle Christine. En ce moment, elle est en Italie à Rome avec la sœur jumelle d’Aline.
J’ai bien du mal à suivre tous ces prénoms, mais je comprends bien que leur vie de tous les jours soit protégée et qu’elle travaille sous un pseudonyme.
Dans sa villa, manque aussi Madeleine qui s’occupe de l’intendance des deux maisons et qui vient d’acquérir une librairie.
Comme Naima, la vie trépidante de ces femmes courant aux quatre coins du monde pour rencontrer des hommes voire des femmes moyennant finance comme j’ai commencé moi-même à le faire avec grand plaisir est complexe à certains moments.

• Vous voulez commencer la journée en vous baignant ou en allant au sauna, toutes ces installations sont là pour vous faire passer la meilleure journée possible.


Nous plongeons rapidement une tête et nous faisons des longueurs bien agréables par cette chaleur.
Bien sûr, comme notre hôtesse qui nous présente sa magnifique plastique en nous rejoignant.
Valérie a une tendance à avoir une attitude enveloppante pour celle qu’elle semble avoir choisi de séduire, moi en l’occurrence alors qu’Aline suit Naima comme son ombre à chaque mètre qu’elle fait rn nageant.
En Suisse, nous avions une piscine et je m’entraînais tous les jours alors même si elle est bonne nageuse, j’épuise Valérie qui se pose sur les marches permettant de rejoindre le bord.
Lorsque je la rejoins après un tour de plus, elle me reçoit dans ses bras et pour la première fois depuis ma première nuit de prostitué, je retrouve la saveur de sa bouche et la tonicité de ses seins que je caresse.
Nous sortons de l’eau et nous passons à table servie par Aline qui semble aimer être au service de Valérie.
Le téléphone de Valérie sonne. Elle écoute, pose sa main sur le combiné.

• Belle es-tu prête à accompagner Naima pour une soirée avec des hommes d’affaires qui avaient demandé deux filles et qui en souhaitent deux de plus, cela permettra à Naima de débuter, sur place vous trouverez deux de mes filles Marie-Ange que vous reconnaîtrez facilement, car c’est une magnifique jeune fille noire et Véronique grande femme rousse avec de beaux yeux émeraude.
Oui, je vous ai donné leur vrai prénom Marie-Ange en mission s’appellent Maryline et Véronique Séverine.
Naima, si tu es d’accord d’accompagner ton amie que nous appelons Belle, quel nom va-t-on, te trouver ?
• Sébastien m’irait bien.
• Émilie, ta copine est une marrante et c’est bon pour les clients, ils aiment.
• Sur, j’aime l’humour, mais je suis aussi sérieuse lorsque je le veux. Je garde Naima, car mon vrai prénom est Camille, Naima, est le prénom que me donne ma maman qui est d’origine Kabyle.
• Une beurette, si tu le souhaites, ton origine peut te servir, car beaucoup de nos clients sont des personnes des régions arabes et aiment avoir des filles venant de ces pays.

• Vous êtes donc partante pour neuf heures ce soir à l’hôtel où tu as travaillé avec moi.
• Oh ! c’est super, Bell, j’aime beaucoup ton prénom mon cœur.

Valérie reprend le correspondant au téléphone et lui confirme qu’avec Naima, mon mari sera doublement cocu ce soir.

• Je vous reconduirais chez roi vers dix-sept heures que vous vous prépariez.
• Non, je téléphone à mon chauffeur qui va venir nous chercher et nous conduira à l’hôtel où il est venu régulièrement.
Tu pourras continuer à te reposer.

Nous profitons de la piscine pour passer un bon moment avant d’aller à notre dur labeur de faibles femmes au service du mâle en rut.
Naima passe un coup de fil à quelqu’un et je me garde bien de l’interroger.
À l’heure prévue Christophe est devant la porte du jardin, nous quittons nos amies plus tôt que prévu et en ayant eu que des amourettes avec nos hôtesses mais business is business et des verges vont nous déchirer ce soir pour la première fois en professionnelle pour ma copine Naima.
Extravertie comme elle est, je suis sûr qu’elle va nous faire passer une soirée trépidante.
Dès que nous sommes chez moi elle quitte notre chambre et revient quelques minutes après avec plat sur lequel la cuisinière lui a préparé un gâteau de semoule Kabyle. Elle prend une fiole et avec le compte-gouttes met un peu du liquide sur l’ensemble du gâteau bien réparti sur la totalité de la surface.

• Tu viens, on va dire bonsoir à pépère.
• Tu veux l’empoisonner.
• Non, le faire dormir pour qu’il soit cool toute la nuit. Pourquoi crois-tu que je lui ai fait éloigner son majordome, un gâteau des gouttes et notre pépère passent une bonne nuit pendant que sa femme va se faire exploser la chatte voire le cul ?
• Tu es démoniaque.
• Non, juste prévoyante.

Une fois de plus son plat à la main elle entre chez Alfred.
Toujours couché, j’ai l’impression qu’avec ce qu’elle lui a fait ingurgiter comme pâtisserie depuis ce matin, il s’est encore un peu plus étalé sur son lit.

• Avant d’aller nous coucher, je voulais t’offrir une spécialité de chez moi que j’ai cuisinée spécialement pour toi. Je pense que tu t’ennuies tout seul sur ton lit.
Je t’ai aussi amené ta femme qui va se faire enfiler pendant que je te donne la béquer.
• Belle, fait le bander.

Alfred la regarde avec des yeux étonnés qu’elle m’appelle Belle, mais son souffle étant très court, aucun son ne sort de sa bouche que des borborygmes.

• Tu les aimes, mes gâteaux, mange.

Elle pose le plat de la semoule à son côté et en prend un gros morceau avec ses doigts qu’elle enfourne dans sa bouche et pousse pour que cela rentre.
J’enlève mon peignoir que j’ai passé pour venir voir mon mari avant de partir et je monte sur le lit.
J’arrive difficilement à le faire bander puis pénétrer en moi et je sens sa petite jouissance au bout de quelques minutes.
Au moment où Naima, donne une nouvelle bouchée de semoule un bruit vanant de la pièce où dort le majordome lorsque mon mari va mal et qu’il doit le veiller comme le médecin l’a demandé.
Personne ne vient, ce doit être une erreur.
Mon mari ayant joui je me rhabille. Le gâteau terminé, nous quittons la chambre.

Lorsque nous sommes prêtes après avoir pris une douche ensemble, j’appelle Christophe qui avance la voiture pour nous conduire à notre adresse habituelle pour devenir des travailleuses du sexe…



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