Ta Meilleure Amie 10 Fin

-- ATTENTION HISTOIRE FICTIVE POUR LECTEURS AVERTIS --

Ta meilleure amie 10

Mireille marche sur la pointe des pieds, les talons de ses escarpins ne touchent pas le sol. Elle veut voir avant d’être vue; ainsi elle découvrira un spectacle brut,sans mise en scène artificielle. Je la suis sans bruit, une main posée sur sa hanche droite. Elle s’arrête, porte une main à la bouche et secoue l’autre pour marquer son étonnement. Par-dessus son épaule je découvre les acteurs à l’œuvre.

Sur la gauche, de dos, Angèle, agenouillée, paraît petite et fluette entre Ahmed et Igor aux muscles dorsaux développés. Ses deux bras battent la mesure au même rythme de chaque côté de sa taille: elle masturbe hardiment les deux hommes. Ses deux coudes montent et descendent en même temps. Elle est efficace si on en croit les gémissements sourds des deux heureux mâles. A sa droite, Igor s’occupe de ses seins cachés à nos yeux. Nous distinguons plus clairement les mouvements de la main droite d’Ahmed au bas du dos , elle passe entre les cuisses desserrées, paume vers le haut, se déplace vers l’avant puis recule, en un va et vient appuyé. Ahmed frictionne le sexe de sa partenaire de façon automatique et la femme commence à tendre les fesses pour mieux accueillir l’émoustillante caresse.

Léon , à droite,est allongé sur le dos. Il a gardé ses bas, on voit d’abord la semelle de ses pieds, talons au sol. Le regard remonte vers ses genoux relevés, redescend le long de cuisses poilues et s’arrête sur deux mains fines qui enveloppent et secouent tranquillement une verge déployée dont le gland apparaît ou disparaît alternativement sous un prépuce mobile. En arrière, son ventre proéminent et sa poitrine velue sont surmontés par la chevelure rousse de Gaby, dont les seins se balancent d’avant en arrière. La fille est sensible, ses tétons en pointe réagissent aux coups de langue de sa monture.

A l’arrière plan, on devine la tête de l’homme enfouie sous le ventre mouvant de la femme.

En réalité il a le menton, la bouche et le nez pris dans les plis de la vulve de Gaby et se délecte de ses senteurs et de ses fluides : il doit se croire au paradis des buveurs de liqueurs féminines. C’est le moment choisi par la prostituée pour entreprendre une fellation. Du coup les mains masculines se rabattent à la jointure du tronc et des cuisses de sa cavalière et impriment un déplacement plus vif et plus important à ses hanches de professionnelle aguerrie.. Les voici lancés dans un soixante-neuf parfait avec des chuintements troublants.

Mireille frémit. Je lui demande de prendre la place de la femme dont Léon broute le minou. Elle tourne la tête, colle sa bouche sur la mienne pour un baiser rapide et souffle :

- Il n’en est pas question. Je t’aime. Il est inutile de me tenter.

A gauche on bouge, on se retourne. Angèle a pris appui sur les épaules athlétiques de ses deux compagnons, s’est relevée pour donner à l’un et à l’autre un baiser propre à les enflammer. Ils ont effectué un quart de tour vers elle pour recevoir cette déclaration de désir. Ah! Elle remarque ma présence, lève les bras au ciel, ses tétons montent, elle me désigne ensuite de l’index et s’exclame à l’intention du groupe ::

- Enfin, voici la reine de la fête. Viens vite ma moumoute,nous commencions à nous impatienter. Cela fait un moment que nous attendons de passer aux choses sérieuses. Mais tu t’es rhabillée. Vite à poil, ma chérie, viens profiter des largesses de ton mari. Vois ces deux lascars couillus et cette magnifique femme qui tient ta place sur Léon.. Paul a dû la commander pour lui. Viens et donne le signal du grand début des plaisirs.

Mireille d’une voix assurée répond :

- J’ai décidé d’observer vos ébats pour me mettre dans l’ambiance. Je verrai ensuite

Angèle tente de reprendre la main.

- Nous t’attendions, Paul, tu as décidé de participer ? Difficile à convaincre ton mari, ma chérie, mais tu vois, il est là et avec du renfort ! Voilà une nouvelle thérapie pour soigner tes migraines, Mimi.


Elle pense toujours exercer le commandement et donne des ordres:


.. Toi, Ahmed, tu atts cette jolie femme, tu la dévêts des pieds à la tête, tu la penches sur la table et tu t’occupes d’elle ! Elle espérait la trique de Léon , montre lui la tienne; cela la décidera à entrer immédiatement dans la danse.

Je m’interpose :

- Angèle Mireille veut se gaver d’images sexuelles. Respecte ses désirs, ne la brusque pas. Laisse lui la possibilité de mesurer les avantages de ces compagnons en action : regarde, la queue d’Ahmed est beaucoup mieux que le machin de ton étalon ! Que dire du gourdin d’Igor.

- Mais… mais, c’est moi qui ai organisé, veut plaider l’intrigante

- Ici, c’est chez nous. Tu te conformes à nos souhaits ou tu retournes d’où tu viens. Le jour où tu organisera une partie chez toi, tu régleras l’ordre de passage des participants. Je tiens à donner le commandement à ma femme.

Mireille se délivre du fardeau aussitôt

- Paul, tu es le meilleur, je te délègue mes pouvoirs.

Angèle n’avait pas prévu cette rébellion. Elle veut consulter Léon. Le malheureux voit la croupe de Gaby. Celle-ci obéit aux consignes communiquées lors de son embauche : épuiser le mari. Elle lui a écrasé le visage sous son sexe, il voit mais ne peut pas parler. La coquine a généreusement parfumé son sexe et ses poils, elle est ardente et chaude et vient de s’emparer du cierge du mâle. La reprise du soixante-neuf prive Léon de la volonté de contredire ses hôtes. Angèle ainsi isolée se sent désarmée et se soumet lorsque je ravive les consignes :

- Ahmed, cette femme a besoin d’un calmant : Vas-y, mon gars, rentre dedans et bonne bourre ! Mets -la sur le dos, astique-lui l’écoutille et fourre lui ta baïonnette dans la boîte à plaisir. Fais la brailler de bonheur. Go !

Angèle se retrouve pattes en l’air, pénétrée par la fine lame, bouche cousue sous les lèvres du jouisseur enfin prié d’assouvir ses fantasmes : baiser une femme consentante.
ment consentante puisqu’elle a tout organisé et s’est offerte.

De l’autre côté il faut occuper Igor :

.. Toi Igor, tu pousses le monsieur à moustaches dans le fauteuil ! Tiens, tu lui colles les jambes aux pieds du Voltaire, il ne doit pas toucher le sol !

- Léon, cher ami, es-tu bien installé ? Évidemment, avoue que Gaby est une artiste!

Les poses évoluent au gré des auteurs.

Angèle aux prises avec le long calibre est bien chaude après les préliminaires. Nichons en amortisseurs sur la table la meneuse déboulonnée encaisse des coups redoutables. Ahmed est patient et calme. Il a patiemment frotté l’extérieur du sexe, ses gros doigts ont écrasé et agité le clitoris, il a fait affluer le sang dans les fesses en les giflant fortement. Angèle n’a pas aimé la fessée, a voulu protester. Ça n’a pas plu à Ahmed, il a été pris d’une sainte colère et sa main s’est faite plus lourde sur le postérieur récalcitrant. Angèle a compris et s’est contentée d’un cri à chaque frappe. Il va doucement, sort la longue tige du fourreau , ramène la tête du gland en surface, guide d’une main la pointe imposante et se propulse dans l’antre tranquillement, mais entièrement.

Son ventre pousse contre les fesses et Angèle signe un accusé de réception en poussant un han encore contenu, mais on peut s’attendre à une intensité croissante. Ahmed a quartier libre. Elle voulait de l’homme, elle en a et ce n’est pas fini, Igor attend son tour en surveillant Léon. Je l’ai embauché sur preuves. Si Ahmed fait bien le travail, Angèle n’aura pas trop mal quand Igor la pénétrera.

Gaby est une professionnelle, elle est bien fichue et sait ce que j’attends d’elle. Elle a besoin de la deuxième moitié de la prime.

- Léon, cette dame pleine de talent ne s’occupe-t-elle pas bien de toi ! Sois poli et aimable ! Ne répète pas sans cesse

- Oh ! Putain, sinon tu la vexeras. Je vous ai préparé une fête ! J’ai avancé l’argent, vous saurez me remercier en me remboursant !

.
. Mimi, si tu le souhaites, mes trois amis, moyennant une prime, te réserveront leurs dernières forces !

Mireille sanglote.

-Pourquoi ces larmes? Regrettes-tu la fête en petit comité organisée par Angèle ou as-tu des remords ?

- Je verse des larmes en pensant que j’ai échappé à une humiliation préparée par Angèle et que tu aurais pu aggraver en me livrant à tes invités. Comment te remercier. Tu avais de bonnes raisons de me punir. Merci de m’avoir avertie à temps

Ahmed, parcourt le vagin d’Angèle au ralenti et elle ne peut pas ne pas entendre mes commentaires :

- Vois Léon dans les mains de Gaby, il arrive au sommet de l’excitation, hurle que nous sommes des salauds. Sa semence devait remplir ton ventre, elle coule sur ses cuisses poilues. Il espère en vain un temps de repos. Sur une chaise, assise face à lui tu vois le sperme, que tu convoitais il y a environ une heure encore, se perdre une fois, deux fois, trois fois. Souviens-toi, tu l’avais en bouche, tu t’enivrais de son odeur, tu te gavais de sa chair, tu le caressais, tu partageais avec Angèle ce sexe. Je te propose de donner un coup de main à Gaby. Tu me regardes, effarée. Angèle ironise, te demande d’y aller, de me faire plaisir. Tu pleures. Pour la faire taire je connais un bon moyen :

- Ahmed, mets -la à genoux sur le sol, à côté du tapis, laisse la place à Igor et donne lui ta bite à nettoyer avec la bouche. Si elle mord, tu cognes.

Elle proteste, te demande de la secourir. Pourtant elle t’avais promis les délices d’une double pénétration. Tu restes assise, muette. Je lui rappelle le goût prononcé qu’elle manifestait pour les fantaisies amoureuses. Par orgueil, pour t’éblouir, elle se rend et dit attendre de ses deux servants un traitement de faveur bien plus hardi. Du pied Igor sépare les deux genoux, il se baisse, se met en place, se masturbe un peu, fait grossir l’extrémité de sa monstrueuse massue.

-Un instant, Igor, Mimi a peut-être envie de tâter ton bâton de berger. Elle n’a jamais vu un gourdin de cette taille et se demande si elle pourrait prendre en bouche un engin de ce diamètre. Veux-tu approcher?

Je m’adresse à toi :

-Mimi, compare. Qui a la plus grosse. Léon ou Igor. Tu veux le prendre en main et le sucer pour comparer ?

Tu caches tes mains dans ton dos, tu pinces les lèvres.

-Tu as le droit de choisir, ou il te baise ou il baise Angèle. Que choisis-tu? Tu ne réponds pas. Cela signifie que tu n’oses pas avouer que tu le veux pour toi? Dans ce cas, on va coucher Angèle sur le dos, te coucher sur elle et Igor vous prendra à tour de rôle, comme Léon l’aurait fait dans vos prévisions Il trempera sa queue en toi, puis en Angèle, reviendra chez toi, retournera en elle et ainsi de suite. Tu veux bien Igor?

-Ce sera un plaisir.

Je te tends la main pour te conduire sur le ventre de ta meilleure amie. Enfin tu te décides en voyant Ahmed disposer Angèle sur le dos.
-Paul pitié, pas ça. Je ne supporte plus ces turpitudes.

Je feins de ne pas comprendre.
-Tu refuses de soulager Angèle? A deux contre son bélier, ce serait moins fatigant.

-Non, je ne veux pas coucher avec tes hommes. Fais ce que tu veux à Angèle. Elle n’attend que ça.

Angèle, allongée nous insulte. Quelle vulgarité. Gaby en est surprise, elle croyait ce vocabulaire réservé aux filles de sa profession.

-Bien, je prends note. Igor et Ahmed, sur ordre de Mimi, faites du bien à Angèle.

La meilleure amie se retrouve à quatre pattes. Ahmed lui presse sur la mâchoire inférieure. La furie serre les dents. Un aller-retour de la main droite lui ouvre les lèvres. Ahmed a empoigné la tignasse, propose sa longue tige, elle l’accepte et il pénètre jusqu’à la luette. Igor se prépare à l’autre extrémité.

-Mimi, ouvre les yeux et regarde, sinon tu devras la remplacer. Ce que tu n’auras pas vu, tu le sentiras. Voilà comment tu m’as transformé. Ma rage fait de moi un bourreau. La présence de ces mercenaires, leur entière soumission à mes ordres te donnent à réfléchir. Le hurlement de douleur d’Angèle t’effraye et me glace le sang. Igor vient d’introduire un quart du bélier, le plus gros, dans son vagin. Et pourtant, il avait bien dégagé les petites lèvres en les tirants vers l’extérieur, mais malgré la mouille héritée d’Ahmed, la pénétration s’est faite en forçant. Du coup la fausse amie a craché le bâillon d’Ahmed pour crier sa douleur.

Léon proteste aussi. Par pure amitié je lui colle mon poing sur le nez. Tu es horrifiée. Le sort de tes complices et amis n’est pas enviable, mes menaces de te livrer à mes hommes ne te rassurent pas. Ma soudaine violence te terrifie. Tu regardes avec effroi la poussée d’Igor, sa progression lente dans le conduit vaginal. Les grognements de douleur d’Angèle femme libérée étouffés par la bite qui lui bourre la bouche te font trembler de peur et de commisération
-Paul, arrête ça et je te serai fidèle. Combien de fois devrai-je te jurer amour et fidélité ?

Mes trois salariés me fixent. Ils seraient déçus de devoir s’arrêter au début de l’action. Je tiens à en avoir pour mon argent. Et la fidélité de Mimi est sujette à caution, même si sa résolution reste inébranlable malgré mes paroles Elle m’avait juré fidélité dans la joie. Elle m’a trompé. Que vaut un serment donné dans les circonstances présentes. Où en serait-elle si j’étais resté dans mon bureau. Donc je n’entends pas.

-Va soigner ta migraine, prends un cachet et dors. Ces deux là n’ont que ce qu’ils méritent, ne sont pas au bout de leur peine et je veux bien t’épargner le spectacle de ce qui les attend. Continuez, mes amis
!
Mireille n’a pas vu la suite, mais si elle n’a pas dormi, elle a dû entendre des cris, des plaintes, des supplications; après les cris de révolte des demandes de pardon. J’ai laissé les portes ouvertes pour rester maître de la situation et surveiller mon épouse.

Léon, par crainte d’une crise cardiaque à la suite du traitement de faveur prodigué par Gaby, m’a supplié d’accepter un chèque pour le dédommagement de mes frais de location de services à condition que le supplice prenne fin immédiatement pour lui. Son chéquier était dans sa poche. J’ai refusé et Gaby pour le persuader a joint sa bouche à ses mains sur une bite en état de décrépitude. Il m’a fourni les codes d’accès à son compte en banque et j’ai effectué un virement de son livret A sur son compte chèque, puis j’ai procédé à un virement de ce compte sur notre compte joint. La somme m’a remboursé entièrement et comme Angèle et Léon avaient usé et peut-être abusé de toi, j’ ai payé les services extras de Mireille sur la base des tarifs de Gaby. Nous pourrons partir en vacances, ensemble ou pas, selon ce que Mimi décidera dans les prochains jours. Nos comptes sont renfloués, c’est justice. Internet, c’est formidable.

Les deux tentateurs diaboliques chercheront leur prochaine victime en dehors de ma maison.

Gaby m’a demandé de pouvoir reporter ses talents sur Angèle. Il ne faut pas oublier la situation : Igor passe son écouvillon de canon mortier dans le vagin d’Angèle et Ahmed joue à la brosse à dents. Angèle s’est adaptée, ses cris de douleur se transforment en plaintes de plaisir, son dos ondule de joie, la punition tourne à la récompense.

Le spectacle indigne le pauvre Léon; sa femme jouit devant lui et sans lui ! Gaby ajoute sa touche au tableau : elle se couche sous la garce et se met à lécher le clitoris. Ses cheveux chatouillent les couilles d’Igor et pour l’exciter elle les saisit d’une main et les triture. Le taureau rendu furieux redouble d’ardeur, fait hurler Angèle. Hurler n’est pas le mot, la trique d’Ahmed limite considérablement l’expression de son bonheur. La râpe du russe écorche ses chairs, Ahmed la bâillonne en collant ses bourses contres les lèvres. A trois ils ont du mal à maîtriser ses soubresauts convulsifs. L’orgasme la secoue. Ils se retirent pour se concerter.

Angèle est traînée, toujours agenouillée, jusqu’au Voltaire où Léon se remet de ses émotions antérieures et rumine sa déception. Sa mine déconfite laisse voir le choc de sa frustration: il a rêvé de faire l’amour à Mireille mais mon arrivée lui a volé son rêve, Gaby l’a transformé en cauchemar et en supplice. Je savoure de lire sur son visage décomposé la colère d’avoir en sus à payer de ses deniers les fausses bonnes idées de sa femme. Aussi quand Gaby plaque la bouche d’Angèle sur la faillite de sa verge de Léon proteste-t-il et m’accuse-t-il de ne pas respecter ma parole. J’avais promis de le délivrer de Gaby, d’Igor et d’Ahmed. Mais si sa femme lui taille une pipe, ce n’est pas de mon ressort. Angèle n’a pas le choix, sa tête obéit à des mains étrangères et la menace d’une punition toujours possible la rend docile. Elle vient de comprendre mes motivations.

Igor se place sous son ventre de l‘épouse, tâtonne longuement à l’entrée de son vagin. Gaby le guide charitablement, ouvre au maximum la cramouille endommagée et l’aide à y retourner. Igor soulève ses fesses sous lesquelles Gaby glisse un épais coussin de canapé. Il s’ installe profondément dans le Mezytou et attend sans bouger. Gaby fait approcher Ahmed, réveille sa lance en quelques succions et manipulations de qualité professionnelle puis elle le pointe sur l’anus d‘Angèle. Gaby gagne son salaire, elle est meilleur maître de cérémonie que moi. C’est sans doute une question d’habitude. Je suis émotionnellement trop impliqué pour rester aussi calme. S’i le trou anal était encore vierge (j’ai des raisons d’en douter) il ne l’est plus. L’article d’Ahmed gagne en longueur ce qui lui manque en diamètre quand on le compare au marteau piqueur d’Igor. Pour l’instant Igor immobile se prélasse, bien serré dans le con soumis.

Raffermi par la gaine enveloppante des deux mains de Gaby, Ahmed perfore le trou du cul qui regardait le plafond. Angèle avait-elle rêvé pareil bonheur? Le mari occupe sa bouche, encore un peu mou, mais lui touchera les amygdales, elle est élargie à la limite du possible par une grosse, une énorme gaule de cheval et une tige longue lui sonde les intestins. La composition se met en mouvement. Léon impliqué dans l’affaire malgré lui sent les mouvements alternés de la tête lui redonner force et dimensions et des picotements insupportables le remplissent d’inquiétude. Moins glorieux que lorsqu‘il lorgnait la culotte de ma femme le vaincu pleurniche :

-Je vais mourir.

C’est inattendu, Léon s’endort assis, malgré les bons soins de sa femme. Je confie le trio à Gaby. Que faire du dormeur? Il n’est pas pensable de l’allonger dans mon lit, ni dans celui de Jean, notre fils, suffisamment souillé par sa mère et son amie. Je le soutiens et il marche comme un somnambule vers la chambre d’amis où Mireille s‘est endormie. Dans son état, il ne lui ferait aucun mal. Il est tombé à l’horizontale les yeux clos, nu à côté de ma femme en chemise de nuit. Il paraît inoffensif, dans le cirage, incapable de chercher à conquérir n’importe quelle femme.

Ma salive est amère, le pire a été évité, les risques sont écartés, son zizi est lamentable, tout petit, ridicule et inapte pour longtemps, il lui rentre dans le ventre ! A l’autre bout de la maison Angèle pousse un jappement de chienne. A mon arrivée je comprends pourquoi. Le trio a adopté une nouvelle tactique. Igor est couché. Angèle descend en grimaçant sur la matraque, seins en pendules, penchée en avant pour regarder l’intromission du sexe à la place que venait de quitter le cierge d’Ahmed. C’est une autre histoire. Gaby est accroupie, les yeux rivés sur la performance, donne des conseils secs comme des ordres. Enfin l’enculée est assise. Gaby la pousse en arrière, omoplates au contact de la poitrine d’Igor, anus bouché par la bite d’amarrage et la chatte bâillant au-dessus. Sur un signe de l’experte Ahmed pénètre la chagatte en bouillie, prend son temps pour trouver la bonne position. Gaby lui claque les fesses pour lancer le mouvement et me regarde pour obtenir un bravo.

En réalité cet accouplement me soulève le cœur et je deviens furieux de voir Angèle, un peu sonnée, prendre de plus en plus de plaisir à cette effroyable double pénétration. En cuisine je bois une bière, j’ en offre une à Gaby. Elle se croit obligée de me proposer une passe gratuite. Je la remercie mais décline l’offre. Angèle annonce un nouvel orgasme. J’en ai marre d’entendre ses râles de jouissance. Je l’exprime bien haut :
- Stop, vous allez reconduire la dame chez elle et vous pourrez continuer le cirque là-bas. Rhabillez-vous. Gaby reconduira Léon quand il tiendra debout. Merci les gars.

Ils approchent de la porte, un cri inhumain les change en statues. Mimi hurlait

« Au secours! Au secours! » .

Premier arrivé je ne vois d’abord qu’un amas de chair. Léon est arrivé à grimper sur elle, s’est mis en place pour la pénétrer, chemise relevée, mais demeure immobile et l’écrase de ses 95 kilos. Elle hurle, essaie de le repousser, crie qu’il est mort en émettant son dernier souffle. Angèle pleure, accuse le viagra cause de crises cardiaques. Gaby avec sang froid annonce qu’il n’a pas franchi la vulve. Les deux gros bras dégage Mireille, j’appelle le SAMU. Le médecin diagnostique une crise cardiaque, procède à une injection et Léon part pour les urgences sans saluer. Mireille tremble de tout ton corps, je la conduis dans notre lit. Enfin je raccompagne nos hôtes.

J’ai voulu rejoindre Mireille. Elle avait fermé la porte à clé et me criait :

- Je ne veux plus te voir. Tu as tenté de me faire violer par Léon.

C’est un comble ! Tout ça pour ça !

Cela fait huit jours que ça dure. Elle se nourrit quand je travaille, s’enferme quand je suis là. J’ai rencontré Ahmed. Avec Igor ils soignent le moral d’Angèle et logent chez elle. Léon va quitter le service de réanimation pour partir en cure de repos. En attendant Angèle a besoin de deux chauffeurs, pour sa voiture et pour son lit : ça roule. Elle se gave de sperme. Je glisse un mot sous la porte de la chambre :

-Mais Annie t’a certainement raconté tout ça sur ton portable. Je t’écris puisque tu refuses de m’écouter. Ton silence est insupportable. Si à 20 heures tu n’as pas ouvert ta porte, tu ne me verras plus. Adieu.


A 20 heures la clenche de la porte de la chambre résiste à ma main. Le coin de l’enveloppe qui dépassait dans le couloir a disparu. Donc Elle a trouvé mon écrit. Mais elle se mure dans son silence. Je déprime. Sur la table de la cuisine, j’ai versé une vingtaine de cachets: ceux qu’elle me faisait ingurgiter comme fortifiants et qu’ elle appelait viagra avec Angèle, son âme damnée. J’ai ouvert un champagne, j’ai bu deux coupes. Je porte le quatrième cachet à la bouche, je savoure mes derniers instants. Mireille me tombe dessus:
-Mais tu es fou. Pas plus de deux cachets de viagra par jour, tu veux faire une crise cardiaque comme Léon. Crache ça. Avale ce verre d’eau, ouvre la bouche, idiot!
Mireille me surprend, plonge ses doigts dans ma bouche, au fond et provoque un vomissement chaotique et nauséabond. Les rejets aux relents de vinasse inondent la table, trempent mes vêtements. Je tousse, je crache, mes yeux pleurent.

Le médecin arrive, calme le débit de paroles de l‘épouse éplorée, m’examine, prend en main le flacon, regarde un cachet.
-Qui vous a fourni ce médicament?
-Angèle, une amie
-La femme de Léon? Évidemment, elle s’est procuré ça sur internet. Ce n’est pas du viagra. Vous avez été victimes d’une arnaque. Ce produit est pratiquement inoffensif; vous risquez juste une diarrhée carabinée si vous en avez gardé dans l’estomac. 12/8, votre tension artérielle est normale, même excellente. Permettez que j’examine votre sexe, je serais étonné qu’il ait subi une transformation. Allez vous allonger sur votre lit. Madame veuillez dégager le corps du délit.
Trois semaines d’abstinence contredisent le pronostique du médecin. Entre les doigts de la « dame » jaillit une érection formidable.
- Oh, pas croyable ! C’est étonnant s’écrie le médecin
Sa main quitte la fesse de cette femme sans doute privée de sexe. Il était prêt à la consoler et posait déjà ses marques en la pelotant par derrière. Il nous quitte en oubliant de réclamer ses honoraires. Porte close, commence une réconciliation méritée.







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