Séance Photos Pour Son Mari

A juste 45 ans, elle est l'épouse d'un homme d'affaires très riche. Elle a l'habitude des plus hautes sphères de la société. Toujours souriante, raffinée, elle est une vraie femme du monde.
Son mari explique à un ami qu’il est un mari voyeur et qu’il cherche complice pour piéger son épouse, pour la voir entre les mains d'un tiers.
Le mari informe sa femme qu’il devait rencontrer d'importants clients. Il avait alors décidé qu’elle l'accompagnerait.
La table réservée, le maître d'hôtel, les placeraient à cote de la table de son complice. Le mari engagerait la conversation, jetterait un coup d'œil à quelques photos posées sur la table. Le complice se présenterait alors comme étant un photographe de mode. Et la soirée commencerait ainsi.
Quand le complice la vit pour la première fois dans le hall de l’hôtel, il lui donna trente ans tout au plus, et il se plut à constater la différence d'âge si physiquement marquée avec son mari.
Le mari, grand et sec, marchait un pas derrière sa femme, souriant, visiblement fier et amusé des regards que les quelques clients masculins présents dans le restaurant jetaient discrètement sur elle.
Elle souriait légèrement, son regard doux ne fixant personne. Le complice, s'amusa à l'estimer du regard. 1m 65-70 tout au plus, difficile à dire en raison des hauts talons de ses escarpins. Il sourit en constatant qu'elle portait une jupe portefeuille plissée arrivant à mi-cuisses. Mais la vue de ses cuisses fines gainées de bas, occupaient son esprit.
Il s'amusa intérieurement en pensant aux arguments que son mari avait dû déployer pour convaincre sa femme de porter cette jupe si sexy. Mais, elle lui avait alors promis dans un charmant sourire de se faire la plus belle possible. Le moins que le complice puisse dire, c'est, qu'a première vue, c'était réussi.
Elle s'assied à cote du complice de son mari, sur la même banquette. Elle ne put empêcher ses cuisses de se dévoiler au regard du complice, sous l'œil coquin de son mari.


Le complice, sourit en apercevant la couleur plus foncée de la lisière d'un bas. Le mari et le complice, conversaient depuis quelques minutes, sur le métier de photographe, ses attraits, ses contraintes, échangeant toutes les banalités qu'on peut échanger sur un métier. Elle se contentait de suivre la conversation en silence, la ponctuant de temps à autre d'un sourire, c'est alors que le complice plaça son premier trait.
Le mari, venait de dire à son complice, qu'à force de photographier des mannequins, il devait être blasé des jolies femmes, réflexion anodine en apparence. Le complice, feignant une attitude teintée de respect et de timidité mêlée répondit en jetant un regard furtif et enveloppant à la femme prêt de lui :
- Vous savez, la beauté des mannequins est souvent stéréotypée, alors elle devient banale. Alors que le mélange subtil entre beauté, charme et sensualité est une alchimie rare. Cher monsieur, pardonnez ma franchise, mais votre épouse est l'incarnation de cette harmonie.
Cette phrase fut prononcée avec pudeur. Le mari jugea alors que le premier acte avait produit son effet. Le complice vit que le maître d'hôtel veillait à ce que les verres ne soient jamais vides. Durant le reste du repas, elle parla très peu en suivant toutefois la conversation entre son époux et cet inconnu. Le café fut servi, c'est alors que le mari passa à l'étape suivante.
- Dites-moi franchement cher ami, simple curiosité masculine, pardonne moi ma chérie. Durant votre carrière, combien de fois avez-vous disposé d'un modèle répondant aux même vertus de mon épouse.
Le complice observant la réaction de sa femme, elle avait regardé son époux d'un air surpris, vaguement teinte de reproche, puis saisit son verre à nouveau. Le complice jubila intérieurement de voir la main trembler légèrement crispée sur le verre. Reprenant son air faussement timide, le complice avala sa salive pour répondre dans un souffle.
- Une fois c’est un privilège très rare de posséder un tel modèle.

Les deux complices avaient sciemment employé ces termes ambigus, soudain mal à l'aise, la femme s'était raidie sur la banquette, se tenant droite, fixant son mari étonnée du tour que prenait la conversation.
- Voyez-vous, mes affaires me conduisent souvent à être loin de mon épouse. Pourriez-vous réaliser quelques cliches de ma femme, ce serait une façon originale d'immortaliser sa beauté.
Elle se raidit à ses mots n'en croyant visiblement pas ses oreilles. Son mari ajouta :
- Des photos décentes bien entendu, mon ange, rassure toi.
Sa femme honteuse que son mari ait pu penser une seconde qu'elle pourrait poser pour un autre genre de photos, elle se détendit, soulagée, qu'il ne s'agisse que de quelques photos souvenirs.
Le complice s'empressa alors d'accepter l'offre du mari, remerciant par avance sa femme d'être son modèle bien que celle-ci émit quelques protestations, murmurant :
Mais, je ne suis pas recoiffée, et à peine maquillée.
Le complice la rassura, sur sa beauté naturelle si éclatante. Le mari déclara que l'affaire est entendue. Le complice sourit à la femme et dit, d'un air gêné :
- Mes appareils et mes éclairages sont dans ma suite.
- Et bien allons y Cher ami dit le mari.
Puis le mari hélant le maître d'hôtel :
- Montez donc une bouteille de champagne dans la suite de monsieur, je vous prie.
Elle conserver un air naturel, tendue, gênée par la tournure que prenaient les événements, elle marchait devant eux. Le mari et le complice eurent le temps d'échanger un sourire, leur plan fonctionnait à merveille. Ils traversèrent le hall, se dirigeant vers les ascenseurs.
Le mari, passa sa main dans le dos de son épouse et frôla ses fesses un instant comme pour lui signifier le plaisir qu’il prenait par avance à cette séance de photos. Accentuant ainsi le trouble de sa femme pour ne pas attirer l'attention a la caresse insistante de son mari
L'ascenseur s’arrêta à l'étage, le portier leur ouvrit la porte et s'effaça, ils entrèrent dans la suite meublé d'une table basse, d'un canapé, et de profonds fauteuils.
Derrière le canapé, une arcade donnait sur la chambre à coucher. Dans cette dernière, une porte était entrouverte sur la salle de bains.
Le mari s'assit dans un des deux fauteuils. Le photographe invita son modèle à prendre place sur le profond canapé. Elle s'assit timidement, les fesses tout au bord de l'assise, les pieds joints. Le canapé assez bas donnait une vue charmante sur ses cuisses grâce à sa jupe légèrement remontée par sa position. Elle était visiblement encore très tendue.
- Vous savez, dit le photographe, prendre des photos de quelqu'un, c’est un peu fixer sur la pellicule des instants de sa vie rien de plus alors, soyez naturelle oubliez l'appareil, vous allez bouger comme si vous étiez seule.
Tout en lui parlant, il installait autour de la pièce trois projecteurs parapluie et des réflecteurs de lumière, un peu partout dans la pièce. L'installation terminée, il prit en main une cellule photoélectrique, pour régler la lumière, il sourit à son modèle.
- Placez-vous au centre des projecteurs, je vous prie que je mesure la réflexion de la lumière sur vos vêtements, les ombres et les contrastes, quand ils ne sont pas maîtrisés retirent toute âme à un cliché. Restez à votre place et pivotez sur vous-même, comme si vous cherchiez quelque chose autour de vous. Vous ne trouvez pas ce que vous cherchez, accélérez vos mouvements, faites bouger vos cheveux, retournez-vous brusquement vers l'objectif.
L'appareil crépitait. Elle se détendait peu à peu.
- A présent, allez vers la fenêtre, là-bas et retournez-vous vers moi, en passant la tête par-dessus votre épaule, doucement.
Alors qu'elle marchait en lui tournant le dos, vers la fenêtre, sa jupe très souple voletant autour de ses cuisses, il s’arrêta brusquement de mitrailler et dit tout haut en regardant son appareil photos il regarde le mari et lui dit mari :
- Comment est-ce possible, c’est incroyable, on ne voit que ça. C'est un phénomène de contraste actif, lié à la combinaison des lumières la superposition des tissus et l'impression de la pellicule les filtres donnent souvent ce résultat, c'est pour ça que les mannequins n'en portent jamais.

Elle se raidit a ses mots et d’une voix mal assurée et demande :
- De quoi voulez-vous parler ?

- Et bien répond le photographe, ce sont vos dessous, sur les clichés, on voit nettement votre slip et l'attache de votre soutien- gorge. Le résultat est esthétiquement déplorable.

- Vous ne pouvez pas régler les lumières différemment demande le mari complice ?
- Non ! les lumières n'y sont pour rien c’est l'ensemble si je baisse les lumières, les photos vont être sous exposées non, vraiment je suis désolé. Mais il vaut mieux arrêter.
Elle soupira de soulagement enfin cette soirée étrange allait se terminer elle allait se retrouver seule avec son époux comme prévu. Le mari marqua un long silence, paraissant réfléchir.
- Et si tu allais dans la salle de bains retirer ton slip et ton soutien- gorge, après tout, tu ne seras pas nue, Il sourit au photographe, elle pourra garder sa jupe et son chemisier tout de même hein ? Elle peut utiliser votre salle de bains ?

- Oui, bien sûr répondit celui-ci d'une voix enrouée, comme s'il était surpris de la demande du mari.

- Mon ange nous t’attendons dit-il en lui indiquant d’un geste la porte entrouverte.
Elle soupira longuement puis se dirigea vers la salle de bains refermant la porte sur elle. Les deux hommes échangèrent en silence un long regard de satisfaction tout se déroulait à merveille.
Après quelques minutes, Elle revint dans le salon le feu aux joues. Le photographe remarqua tout de suite un premier changement physique, son buste tout a l'heure figé, paraissait maintenant plus élastique. Il se réjouit intérieurement en la voyant enfouir rapidement dans son sac à main, une boule de satin et dentelles, la voilà donc fesses et seins nus pensa-t-il.
- Je suis navré, mais j’ai oublié tout à l'heure, votre broche il faut l'ôter également, en rentrant bien les deux pans de votre chemisier dans votre ceinture vous ne dévoilerez rien.
Elle se retourna vers son mari, cherchant de l'aide et n'en trouvant pas se résigna ses mains tremblantes défaisant la broche. Libérés de l'attache, les deux pans s’entrebâillèrent, offrant une vue assez large sur l’intérieur du galbe des seins.
Quand le garçon d'étage entra avec le champagne, elle était en train de rajuster les pans du chemisier dans sa ceinture, impuissante à masquer le décolleté qui maintenant allait jusqu'à son nombril, ce qui attira l'œil du garçon, qui posa la bouteille de champagne sur la table basse.
Elle se mordit les lèvres imaginant ce que pensait le garçon, une bourgeoise perverse s’offrant a deux hommes. Pourquoi ne partait elle pas ? Elle était incapable de réagir. Le garçon ressortit sans un mot, mais non sans s’offrir un dernier regard sur le buste largement décolleté et sur les cuisses découvertes.
Le photographe s’avança vers elle pour lui donner une coupe de champagne. Mais alors qu'elle allait se saisir du verre, il trébucha, et le contenu de la coupe se renversa sur son chemisier. Le satin trempé collant à sa peau sur le sein gauche elle poussa un petit cri, il se confondit en excuses et se mit à genoux à côté, son mouchoir à la main, le liquide glacé collait littéralement le satin sur le sein en épousant les moindres contours le dévoilant totalement par transparence.
Elle se mordit les lèvres jusqu'au sang, tant la situation lui échappait. Elle ne fit pas un geste quand le photographe commença à tamponner doucement le sein avec son mouchoir. Il s'attarda pour tamponner où plutôt effleurer le mamelon. Elle fut parcourue d'un frisson, on voyait son buste se soulever sous l'action de sa respiration de plus en plus rapide elle jetait des regards désespérés a son mari qui restait impassible elle ne se rendit même pas compte que, dans son désarroi, elle avait légèrement écarté les cuisses, alors que le photographe était à genoux devant elle.
Constatant que le téton s’érigeait sous les frôlements de son mouchoir. Il dirigea son regard entre les cuisses qui se relâchaient des jambes, ornées de bas fins en soie, tenus par des jarretelles en satin assorti. Tout en haut, entre les cuisses qui se séparaient en une fossette, Il vit le sexe de la femme de son complice aux lèvres épilées sur toute leur longueur, roses serrées surmontées d’un petit triangle de poils courts impeccablement taillé.
Elle remarqua le regard de cet homme et honteuse humiliée d’être ainsi dévoilée devant un inconnu, resserra les genoux regardant son mari avec une moue désespérée elle ne vit pas dans les mains de celui-ci, un large bandeau de velours noir, Il se leva et passa derrière le canapé en silence elle le suivit un instant du regard puis baissa à nouveau ses yeux sur son sein le photographe avait un peu asséché le tissu laissant néanmoins visible son téton durci sa honte était telle qu’elle ne réagit même pas à cette vision, pas plus qu’elle ne réagit quand son mari, placé derrière elle, glissa sur ses yeux le bandeau de velours noir qu'il noua sur sa nuque.
Elle resta là assise sur le canapé les yeux bandés elle sentit que son mari lui prenait doucement les poignets, les tirait doucement dans son dos le contact d’un lien qui les attachait ensemble dans son dos la fit trembler. Elle murmura :
- Mais ! Chéri, qu'est-ce que tu fais ?
Elle n'osait comprendre Ses poignets liés dans son dos tiraient ses épaules en arrière, projetant son buste vers l'avant, faisant glisser sur le côté les pans du chemisier dévoilant à présent toute la partie intérieure des seins. Elle creusait son ventre instinctivement, sentant sa peau nue au contact de l'air tiède de la pièce, crispée, anxieuse complètement perdue les yeux voilés par son bandeau. Elle sentit que des mains la prenaient doucement aux épaules pour la faire lever du canapé elle se releva, aveuglée par le bandeau, elle perdit un instant l'équilibre. Retenue par une main dans son dos, le photographe la contempla en souriant au mari.
Elle était devant eux, debout, les pieds presque joints sur ses hauts escarpins qui affinaient ses jambes, soulignant leur galbe parfait avec sa jupe courte, plissée, plaquée sur ses fesses qu'aucune marque de dessous ne barrait plus son chemisier ouvert jusqu'au ventre les mains liées au dos, les yeux bandés elle restait immobile, secouée de temps à autre de frissons.
Anxieuse ! Redoutant la suite, elle comprit que ce soir son mari, avait décidé de l'offrir à ce pseudo- photographe et Elle restait là, immobile comme hypnotisée, horrifiée par cet acte si pervers, et en même temps, elle était résignée à le subir, par amour pour son mari, son cœur battait la chamade, alors qu'elle arrivait à cette conclusion.
Le photographe, de façon à être assis juste derrière elle, le mari lui, s'était confortablement calé dans l'autre fauteuil pour ne rien perdre du spectacle qui allait suivre. Le photographe posa sa main sur sa croupe qu'il caressa doucement, sur toute la surface des globes fessiers, d'un geste évaluateur, lissant du même coup, le fin tissu, de façon a bien le tendre sur les fesses de la jeune femme. Elle se raidit à ce contact. Son corps se tendit et elle fut agitée de tremblements convulsifs qui s'espacèrent à mesure que la caresse. Comme si elle s'habituait au contact de cette main sur son corps, comme si elle l'acceptait progressivement. La caresse dura plusieurs minutes.
- la chute de reins de votre femme est superbe, cher ami dit le photographe, et elle est très prometteuse. Dit-il en faisant glisser un doigt du bas des reins, tout le long de la raie...
La pauvre femme émit un moment de honte. La main du photographe quitta alors les fesses, pour cette fois, toucher l'intérieur de son mollet juste sous le genou la main enserra le mollet, et le souleva légèrement, l’obligeant à porter tout le poids de son corps sur l'autre jambe ce qui, força le genou à s'écarter de l'autre jambe.
Elle se mordit les lèvres, honteuse de sa docilité, et de sa position indécente, le buste projeté en avant. Elle réprima un sanglot quand la main posée sur l'intérieur de son genou remonta, effleurant l'intérieur de la cuisse. Quand la main se posa sur la peau nue et dorée au-dessus des bas, elle devina que le photographe devait commencer à relever l'arrière de sa jupe et à dévoiler plus largement l'arrière de ses cuisses.
La main du photographe avait dépassé la lisière du bas ses doigts frôlaient la peau nue très douce, satinée, son geste faisait progressivement remonter la jupe, dévoilant successivement la lisière des bas, et la peau nue. Sa main remonta jusqu'à la jointure de l'aine. Il effleura le muscle tendu, les tremblements de son corps étaient visibles.
A l'œil nu. Son geste avait à présent largement découvert l'arrière des cuisses de la jeune femme. Les jarretelles ornaient délicatement la peau. La jupe était remontée jusqu'à la limite des fesses. Un pli superbe séparait le haut de la cuisse et le bas des fesses, les délimitant dans une courbe harmonieuse.
La cambrure de la femme était si prononcée qu'entre ses cuisses, les lèvres du sexe, closes, d'un rose foncé, complètement lisses, étaient parfaitement visibles et accessibles grâce à sa position et au creux naturel qui séparait le haut des cuisses.
Ses doigts s'approchèrent au ras du sexe. Il sentit tout son corps se tendre. En souriant, il retira lentement sa main en disant d'une voix basse mais parfaitement audible :
- Ce sexe s'ouvrira...tôt ou tard.
Le photographe vint se placer face à la jeune femme qui devina sa présence. Les narines pincées, les joues écarlates. Elle respirait fort, la bouche entrouverte, dévoilant des dents bien blanches. Son buste protégé jusqu'aux mamelons par les pans du chemisier se soulevait rapidement. Il tira doucement sur les pans du chemisier coincés dans la ceinture de la jupe et fit glisser l'étoffe sur les côtés de façon à dégager les seins.
La pauvre femme fit une moue désespérée en sentant son buste mis à nu. Elle tournait la tête de droite à gauche, aveugle, cherchant une aide de son mari qui restait silencieux, elle hoquetait nerveusement.
Le photographe s'arrêta un instant pour contempler le buste qui s'offrait à ses yeux. Les seins étaient très écartés, les aréoles roses pâle, les tétons érigés par l'émotion pointaient vers le ciel.
Elle comprenait avec horreur que son mari voulait depuis longtemps la voir ainsi, humiliée, traitée en objet, tripotée, par un inconnu.. Des larmes coulaient sur ses joues elle murmura dans un souffle :
- Chéri ! Ou-est-tu ? je t'aime.
Le silence lui répondit, elle sentit une main, qu'elle devina être celle de son mari, lui caresser doucement la joue.

- Bien, passons à coté à présent ! dit le photographe, nous allons voir jusqu'où va l'amour de votre épouse pour vous mon cher ami.
Il la prit doucement par le bras et la guida doucement vers la chambre à coucher. Aveugle, les jambes chancelantes, elle avait du mal à marcher tant ses jambes tremblaient. Il la plaça face au lit à baldaquin. Elle sanglotait légèrement, elle sentit qu'on défaisait le lien qui entravait ses poignets. Résignée, elle ne savait quoi faire ses bras le long du corps.
Le photographe saisit délicatement le col du chemisier et le fit glisser, dévoilant l'arrondi des épaules, le tissu glissa le long des bras et il vit avec plaisir qu'elle ne faisait rien pour le retenir. Mieux d'un mouvement à peine perceptible, elle l'aida à dégager les manches de ses bras le chemisier tomba au sol, elle se redressa en respirant très fort...
Sentant son corps entièrement dévoilé jusqu'à la ceinture, elle ne fit rien pour empêcher le lien de se nouer mais autour d’un poignet cette fois. Un autre lien serra ensuite son autre main. Le photographe prit l'extrémité libre du lien de la main gauche, et le tira vers le coin supérieur du baldaquin ou il le fixa solidement, puis il fit la même chose avec l'autre main. Elle était à présent debout devant le lit, les bras levés écartés.
Toujours, les bras liés à mi-hauteur, écartés, torse nu, la ceinture de la jupe faisant ressortir l'extrême finesse de la taille. La position des bras laissait apparaître de chaque côté du torse l'arrondi des seins, jambes tendues sur ses hauts talons, elle incarnait vraiment la féminité offerte.
Elle ne vit pas le photographe sortir de l'armoire une barre métallique d'une cinquantaine de centimètres, munie à chaque extrémité d'une bride en cuir. Elle l’entendit juste dire à son mari :
- Je préfère lui maintenir les jambes à l'écartement voulu avec ça pour éviter qu'elle ne se dérobe à certaines manipulations en serrant les cuisses.
Elle entendit avec horreur son mari acquiescer. Elle sentit qu'on ajustait une bride à sa cheville gauche, puis qu'on la forçait à écarter l'autre pied de façon à fixer l'autre boucle.
Entravée ainsi, torse nu, le ventre et les fesses nues sous sa jupe, elle ne pouvait plus qu'attendre, attendre et subir le bon vouloir du photographe. Pendant une dizaine de minutes, on la laissa ainsi.
Elle sentit à l'odeur, qu'ils fumaient une cigarette en parlant d'elle, non pas comme d'une personne, mais comme d'un objet son cœur se serra en entendant son mari dévoiler au photographe certains secrets de leur vie intime d'une manière très crue. Notamment, le mari décrit dans le détail ses talents de fellatrice, elle se mordit les lèvres en entendant les détails que donne son mari.
- Ma femme s'applique toujours beaucoup a bien couvrir la totalité de la verge de salive, elle est très douce. J'aime aussi quand je jouis, ne pas éjaculer entièrement dans sa gorge, et finir ma jouissance sur ses lèvres et ses joues voir son visage ainsi maculé me ravit toujours.
La pauvre femme était anéantie, ses jambes tendues et toujours écartées s'engourdissaient. Le photographe s'assit sur le lit face à elle. Le buste nu et offert par les bras écartés était là, à portée de main Il posa un doigt à l'entre seins, elle sursauta au contact et se raidit. Le doigt se déplaça, et suivi la courbe d'un sein passant sous le globe il soupesa un instant le sein le faisant rebondir sur ses doigts. Il saisit un téton entre le pouce et l'index. Elle poussa un gémissement de honte il souleva alors le globe par le téton le plus haut possible arrachant un petit cri a la jeune femme.
Il continua quelques minutes à manipuler les seins, alternant douceur et dureté. Elle gémissait et secouait la tête en tous sens en signe de refus. Mais sans chercher à se dérober. Sous ce traitement, les seins avaient gonflé et paraissaient plus volumineux.
- Votre femme réagit parfaitement malgré elle, son corps s'échauffe dit le photographe au mari toujours à maté sa femme.
La pauvre femme entendit ces mots humiliée d’être traitée comme du bétail et de ne pouvoir se maîtriser. Le photographe repassa derrière elle, d’une main il saisit le bas de la jupe et le releva le coinçant dans la ceinture de façon à bien dégager les fesses. Des fesses parmi les plus belles qu'il eut vu d'une rondeur parfaite, bien cambrées, séparées par une raie régulière et bien serrée, bronzées, à l'exception d'un adorable triangle plus clair, minuscule au bas des reins, juste au-dessus du début de la raie.
Elle se tendit, il posa alors ses mains sur les côtés des fesses et exerça une pression qui fit s'écarter les globes, elle sanglotait le sillon ouvert offrait une peau plus claire et découvrait l'œillet, légèrement plissé, de couleur nettement plus sombre, Il fit glisser son pouce vers le sillon et palpa le contour de l'anneau pour en tester la souplesse. Le muscle délicat offrait, une souplesse parfaite, Malgré les efforts désespérés de la pauvre femme pour le contracter sous la pression du pouce, l'œillet s'entrouvrait légèrement.
- Quelle élasticité étonnante ! Est-ce un don de la nature ou le fruit d'un usage intensif de cet orifice dit le photographe au mari.

- Quand j'ai connu ma femme, elle avait 20 ans. La première fois où j'ai pris ses reins, j'ai été étonné de la facilité avec laquelle j'ai force son anus. Elle était pourtant vierge de ce côté-là ! Enfin, c'est ce qu'elle m'a toujours dit. Cela dit, même si l'anneau est souple, la gaine anale est très serrée, très agréable, vous verrez.
Sous l'effet d'un fouet, elle comprit que son mari ne voulait pas uniquement l'exhiber à cet homme. Elle devrait aussi le recevoir en elle. Abattue, pendant que son mari parlait, au photographe qui appuyait sur l'intérieur de sa cuisse, au ras du sexe, en maintenant sa pression. Elle sentait son sexe palpiter et, humiliée, elle se rendait compte que, peu à peu, ses lèvres s'entrouvraient. Un doigt du photographe effleurait le renflement de la lèvre, frôlant le bord délicatement crénelé, plus sombre, l'attouchement faisait trembler ses jambes.
- L'épilation décuple les sensations, la peau est beaucoup plus sensible regardez le sexe s'ouvre, alors que je ne l'ai pas encore directement sollicité voyons maintenant la lubrification commente le photographe au mari.
Le photographe passa rapidement son doigt entre les lèvres entrouvertes et le tendit au mari.
- Voyez ! Elle est déjà parfaitement lubrifiée entre les grandes lèvres le vagin doit être prêt.
Il essuya son doigt négligemment sur un des globes fessiers puis se dirigea vers sa valise. Elle entendit qu'il s'affairait, mais ne pouvait voir que le photographe était occupé à fixer sur un tabouret, un support métallique sur lequel il fixait un gode fin mais très long. Il plaça le tabouret ainsi juste derrière les genoux de la jeune femme, le gode juste sous elle et appuyant sur son épaule lui dit :
- Fléchissez doucement les genoux, je vous prie.
Elle obéit les jambes flageolantes, descendant doucement. Il ajusta le gland du gode juste à la verticale des lèvres du sexe il tira à nouveau sur la peau des cuisses, de façon à ce que les lèvres du sexe s'ouvrent bien.
Elle stoppa brusquement son mouvement en sentant cet objet froid toucher l'intérieur de ses lèvres mais le photographe accentua sa pression sur son épaule le gland de latex disparut entre les grandes lèvres.
Elle haletait en sanglotant elle sentait l'objet qui écartait ses petites lèvres et s'insinuait dans son intimité. Il ne relâchait pas sa pression, le gode glissait lentement disparaissant progressivement. Elle le sentait qui repoussait les parois de son vagin, s'enfonçant inexorablement.
- Ce premier instrument est fait pour préparer l'orifice, pour bien l'ouvrir et sa longueur permet de mesurer la profondeur exacte du vagin dit le photographe. Le ventre de votre femme doit permettre des pénétrations très profondes, et surtout, avec une telle profondeur on peut effec des va et vient de grande amplitude et très violents. Elle doit arriver au bord de la jouissance.

- Ça oui ! Ma femme jouit très rapidement. et très longtemps. Confirme le mari.

- Souvent en levrette, j'imagine ajouta le photographe ! Avec une telle cambrure et une taille si fine, elle est faite pour cette position facile à maintenir soit en tenant les côtés des fesses soit en enserrant sa taille entre les mains.

- C'est vrai dit le mari, elle se tient les mains a la tête du lit quand je la prends ainsi.

- Vous devriez au contraire lui faire poser la tête contre l'oreiller et ne garder que les fesses relevées. L'angle serait encore meilleur vous verrez je vous montrerais tout à l'heure.
La pauvre ne réagit même plus à cette discussion technique, dans laquelle elle n'était plus qu'un ventre et des fesses elle était presque assise sur le tabouret, sentant le gode en elle l'ouvrir lentement. Le photographe posa sa main sur le bas du dos de la jeune femme.
Elle s'empressa de se relever le gode ressortit entièrement accompagné d'un bruit de succion dont l'obscénité la fît frémir. Elle ne pouvait le voir, mais devinait qu'il devait être luisant de sa cyprine. Le photographe passa son doigt le long de la verge artificielle.
- Sécrétions abondantes dit-il, l'excitation produit son effet le corps obéit à l'esprit. Elle refuse de l'admettre encore, mais elle est excitée par ce que nous lui faisons.
Le photographe dévissa le gode du support et d'une main écarta les fesses il posa le gland de latex sur l'œillet, et appuya doucement. Elle réprima un hoquet l'anneau joua parfaitement le gland franchit sans peine le sphincter anal et s'enfonça dans la gaine. Elle haletait, humiliée et honteuse de la facilité avec laquelle ses reins s'ouvraient.
- Incroyable ! Il est entré quasiment sans effort regardez, il coulisse sans problème... Elle a des reins parfaits. je crois que votre femme apprécie inconsciemment. Mais, il ne faudrait pas que le plaisir la gagne trop vite qu'en pensez-vous ?

- Oui ! Ce serait trop dommage, car la nuit ne fait que commencer répondit le mari.
Repassant derrière la jeune femme, le photographe écarta doucement les fesses, dégageant l'œillet dans lequel était enfoncé l'épais sexe de latex. Il le retira lentement et constata avec plaisir que lorsque l'anus fut libéré, l'anneau resta quelques secondes ouvert, béant...avant de se resserrer. Lentement, restant légèrement entrouvert.
- Elle est prête à présent, cher ami.
Le photographe prit alors un mouchoir de coton très doux, et agenouillé derrière la femme, il entreprit d'essuyer le contour de l'orifice anal distendu. Puis, il nettoya le sexe duquel la cyprine s'écoulait. Il essuya les grandes lèvres, puis l'intérieur de celles-ci doucement, en tenant la lèvre entre deux doigts, procédant méticuleusement, comme on nettoie un bibelot fragile. Puis, il essuya le capuchon du clitoris et les petites lèvres. Il dit au mari :
- Oter l'excédent de sécrétions est indispensable, car il faut essuyer de façon à ne laisser sur les muqueuses que la lubrification nécessaire aux différentes pénétrations auxquelles votre femme va être soumise. Les sécrétions trop abondantes nuiraient aux sensations de celui qui la prendra.
Elle sentait le photographe manipuler délicatement son intimité, avec des gestes précis. Elle entendait ses explications techniques, machinalement comme s'il ne s'agissait pas d'elle dont il parlait mais d’un objet de plaisir. Elle entendit comme dans un brouillard le photographe lui dire d'une voix douce :
- Je vais vous détacher ? Nous allons nous rendre chez un ami à moi qui demeure à quelques kilomètres. Acceptez-vous par avance de ne pas vous opposer de quelque façon que ce soit aux différents usages qui feront de votre corps et de vos orifices ? Nous utiliserons des préservatifs. Il n'y a que votre bouche que nous utiliserons à nu. Pour mieux jouir de vos qualités buccales, et pour que vous receviez notre sperme dans la gorge et sur votre corps. Donc, acceptez-vous par avance de prêter docilement votre corps à toutes nos envies ?
Elle resta silencieuse un long moment, puis elle murmura dans un souffle qui scellait sa soumission :
- Oui ! Je veux bien. Elle ajouta dans un souffle pour son mari : mais, c'est pour toi chéri.
Le photographe sourit au mari son complice. La première partie du plan avait marché à merveille. La jeune femme fût autorisée à se rajuster. Le photographe lui ôta même le bandeau qui lui couvrait les yeux. Elle fit la grimace en retrouvant la lumière crue après un si long moment passé dans l'obscurité. Le photographe observa son visage. N'osant regarder en face ni le photographe ni son mari, son regard restait le plus souvent baissé. Il lui tendit son sac à main et lui dit :
- Allez remettre un peu d'ordre dans votre maquillage dit-il en souriant. Et soulignez mieux votre bouche, que vos lèvres ressortent mieux mais sans excès vous n'êtes pas une prostituée.
Les yeux baissés, elle allait se saisir du sac quand le photographe aperçut à l'intérieur un morceau de satin gris perle. Il arrêta son geste et sortit lentement du sac le soutien-gorge et le slip que la jeune femme portait au début de la soirée. Jetant les délicats dessous sur le lit, il tendit à nouveau le sac à la jeune femme.
- Ni slip, ni soutien-gorge, vous serez beaucoup plus excitante ainsi. Et plus accessible aussi, si on veut utiliser rapidement votre ventre ou vos reins, ou si on veut caresser vos seins.
Sans un mot, elle disparût dans la salle de bains. Quand elle ressortit, de longues minutes plus tard, sa tenue, toujours très sexy, était redevenue plus décente. Et ses yeux, à nouveau maquillés avec soin, brillaient d'un éclat turquoise encore plus clair qu'au début de la soirée, comme si les larmes les avaient délavés. Ces larmes qui lui avaient légèrement gonflé et cerné les yeux, au lieu de l'enlaidir, lui donnaient un charme supplémentaire et un côté plus vulnérable...
Malgré sa grâce naturelle, nul ne pourrait ignorer en-là voyant qu'elle était très tendue et très angoissée. Le photographe et le mari avaient convenu durant son absence, que dès qu'elle serait installée à l'arrière de la voiture, ils lui banderaient à nouveau les yeux, de façon à ce qu'elle ignore où on la conduisait et à qui on allait l'offrir.

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