Séance Photo.

(Récit de 07.2011 à partir de l’ébauche écrite par une amie libertine qui pose pour des photos coquines afin d’arrondir ses fins de mois).

Manuela raconte :

Il y a quelques semaines, j’ai passé un casting pour réaliser des photos destinées au catalogue de vente par correspondance d’un site spécialisé dans tout ce qui touche à l’érotisme.

Dans ma région, je suis bien connue pour fréquenter assidument les clubs échangistes. J’aime beaucoup cette ambiance coquine où hommes et femmes se mélangent pour baiser sans complication : du sexe pour le plaisir du sexe ! Je pose aussi très souvent pour des publicités pour ces clubs ou pour la réalisation de catalogues de lingerie coquine. Çà m’arrive aussi de faire quelques séances de vidéos érotiques qui sont ensuite diffusées dans ces clubs pour pimenter les ébats des uns et des autres...



Le rendez-vous est fixé dans un grand hôtel de la ville où, avec deux autres modèles que je croise pour la première fois. Nous disposerons d’une suite pour nous changer et réaliser les prises de vues dans une grande chambre aménagée à cet effet par le photographe et son assistant.

Je passe donc la matinée à me pomponner, sourcils épilés, toison pubienne retaillée en triangle court, bref, je veux être à mon avantage. Au moment de partir, je me rappelle la promesse faite au photographe : je ferai absolument tout ce qu’il me demandera.

J’arrive donc dans cette fameuse chambre plutôt spacieuse avec un très grand lit et des décorations plutôt sobres.

Tout le matériel de prises de vues est déjà en place : des projecteurs pour éclairer le lit, un fauteuil dans un angle de la pièce, plusieurs ventilateurs, etc. Je retrouve les deux autres modèles sélectionnées par le patron du magasin, une blonde aux formes remarquables, des seins volumineux et des hanches larges sous une taille mince et une rousse avec des seins plus petits et des hanches étroites.


Toutes les deux ont comme moi des cheveux longs qui nous permettent de jouer avec pour le prise de vues. L’habilleuse et la coiffeuse maquilleuse sont dans la salle de bains où elles nous attendent avec les différentes tenues et gadgets de nous allons revêtir ou présenter.

Le photographe est très grand et bien fait avec un regard sévère. J’ai déjà posé pour lui à plusieurs reprises et comme je sais ce dont il est capable, je sais qu’il fera du bon travail si nous suivons rapidement ce qu’il demande. D’une voix sèche, il nous rappelle que nous devons lui obéir sans perdre de temps. Quant à moi, il me dit sèchement que je sais ce qui m’attend : Je dois être sa chienne obéissante tout l’après-midi.

Les changements de tenue s’enchainent rapidement pour des photos individuelles ou à deux. Nous passons ainsi de guêpières en ensembles string et soutif principalement noirs, blancs ou mauve (la couleur de l’année).

Personnellement j’essaie une combinaison en latex qui me moule comme une seconde peau. Seuls les pieds, les mains et le visage sont découverts, mes cheveux sont pris dans la cagoule qui revient masquer mes yeux, ne laissant que deux orifices pour voir et un autre plus grand sur le nez et la bouche. J’enfile ensuite des cuissardes en cuir verni qui montent à mi-cuisse.

Dans ce costume de dominatrice avec tous les accessoires : collier de chien et ceinture en cuir cloutés d’acier, badines, fouets, je dois faire semblant de fouetter la blonde qui est entravée avec des menottes recouvertes de velours et une poire d’angoisse l’empêche de crier.

Ensuite nous devons présenter tout un tas de gadgets érotiques, une série de godes du plus fin au plus noueux, des fouets et des martinets de formes et tailles diverses. À chaque fois nous devions en mimer l’usage. Toutes les trois nous étions bien chaudes et excitées, mais nous étions des habituées de ce genre de prises de vues.

Vers 17 heures la séance a pris fin.
Lorsque l’habilleuse et la coiffeuse sont parties non sans nous avoir remis notre chèque, le photographe a congédié sèchement les deux autres modèles. Il m’a ordonné, alors que j’étais déjà rhabillée, de me foutre entièrement à poil sur le lit en disant que la séance continuait pour moi.

Il a pris à nouveau un appareil photo plus maniable que ceux qui lui avaient servi auparavant et commencé à mitrailler pendant que je prenais quelques poses classiques puis il m’a ordonné de prendre des poses érotiques.

C’est à ce moment qu’il a sorti des godes de sa mallette en me disant de me les fourrer partout. Je commence donc à me baiser avec ces différents godes de toutes tailles, à la fois excitée par l’appareil photo qui me shoote dans tous les sens et plutôt gênée par cette attitude glaciale dont il ne se départit pas. Son téléphone se met à sonner, il dit juste :
• Oui c’est ok !
Et à peine il a raccroché que deux autres hommes entrent dans la chambre. Le photographe me présente :
• Manuela, votre garage à bite ! Profitez bien d’elle, elle sait ce qui l’attend !
Je n’ai même pas le temps de protester que je me retrouve avec une bite au fond de la gorge et une main qui pénètre mon sexe qui auparavant était occupé par un gode de belle taille. Le flash qui ne cesse de crépiter en fonction des poses de plus en plus pornographiques que je dois prendre.

Je peux à peine respirer tellement le sexe de l’homme qui me baise la bouche est gros. L’autre me fouille la chatte déjà grande ouverte par son énorme main et de l’autre il ouvre mon cul avec deux ou trois doigts. Au bout d’un petit moment celui qui était dans ma bouche m’att par la taille, se couche sur le dos, me retourne et enfile sa queue trempée tout au fond de mon cul qui était déjà bien dilaté et préparé par son partenaire. Ce dernier pénètre ma chatte toute trempée d’excitation. Mais, même si je mouille comme une salope, leurs queues me paraissent malgré tout énormes, ils sont en train de me défoncer dans une double pénétration démente, mais je ne peux pas protester car j’ai promis de subir tout sans broncher.


Je suis ouverte de partout. J’ai la bouche ouverte en grand aussi tant la double pénétration que je subis me fait parfois manquer d’air. Le photographe fait de plus en plus de photos en gros plan quand soudain, lui aussi sort sa queue et me l’enfourne dans la bouche. J’en ai mal aux amygdales.

Je me retrouve avec trois queues en moi, effectivement : un vrai garage à bites. Tour à tour ils me claquent les fesses et elles commencent à devenir rouges et à me chauffer sérieusement. Celui qui est dans mon cul change de place avec le photographe et prend l’appareil et me shoote pendant que je le suce. Je comprends qu’il veut un cliché de sa giclée sur mon visage. Celui qui est dans ma chatte sort également et se rapproche aussi de mon visage. Je sais ce qu’ils veulent : me cracher leur sperme au visage ou dans la bouche. Je les branle et suce chacun leur tour. Ils crachent leur jus quasiment en même temps, j’en ai plein le visage et le haut du buste. J’ai à peine le temps de respirer qu’ils enfilent leurs habits et s’en vont.

Le photographe est toujours en train de m’enculer. Il me fait mettre à quatre pattes le cul levé et bien tendu. Il me fesse toujours d’une main tout en me godant avec l’autre puis en me fouillant la chatte. Sa main entière entre dans mon vagin. Je ne peux retenir plus longtemps une nouvelle jouissance.

Soudainement, il m’att par les cheveux et me colle sa bite dans la bouche. Alors que je m’attends à recevoir une giclée chaude et abondante sur mon visage, je sens plutôt sa main pousser l’arrière de ma tête, et sa bite atteindre les bas-fonds de ma gorge. Quelle gorge profonde vigoureuse ! Malgré un haut-le-cœur et des larmes d’ qui perlent sur mes joues, je jouis encore une fois braillant en grognant mon plaisir haut et fort pendant que le photographe déverse son sperme directement dans ma gorge.

Je suis une vraie salope. Il le savait pour me traiter ainsi. Je ne sais même pas combien de fois j’ai pu jouir pendant cette heure.
Je suis trempée et dilatée de partout. Il m’annonce alors que je peux utiliser la salle de bain pour me laver pendant qu’il prépare le CD de cette série de photos. C’est vrai que j’en ai besoin car j’ai été baisée et rebaisée sans aucune précaution. J’espère que mes baiseurs étaient sains !
Si j’avais déjà fait des photos de charme quelques années auparavant, cette fois-ci, celles réalisées aujourd’hui sont carrément pornographiques. Que va-t’il en faire ? Moi, je vais conserver précieusement le C.D. pour me remémorer cette partie de jambes en l’air démente…

Merci mon Matou libertin d’avoir réécrit cette histoire !

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