Collection Folle Du Cul. La Femme Du Consul. Saison I (1/3)

Cette saga aura certainement IV saisons...

• Victoria prépare, nos valises nous rentrons à Dodoma.
• Tu as eu des vacances Saïd chéri !
• Oui, en vacances jusqu’à fin août et après consul à Paris.
J’ai une promotion.
• Paris, la ville lumière, je suis heureuse.
Viens que je t’embrasse.
• Attention, la femme de ménage pourrait nous voir, tu sais comme ils sont à Tunis.
• C’est un beau pays, mais si tu savais comment je t’aime de m’offrir Paris après tout le travail que tu as fait ici.

Comme l’a dit mon mari, je m’appelle Victoria, j’ai 32 ans et mon mari 41 ans.
Je suis la femme d’un consul et pour le protégé, j’ai demandé à Chris71 de changer et les pays et les villes où il officie.
Je suis originaire d’un village massaï au pied du Kilimandjaro presque à la frontière avec le Kenya.
Les villageois vivaient de l’élevage de vaches et aussi de chasse dans la savane.
Ma mère m’a élevée seule, elle m’a toujours cachée qui était mon père.
Comme toutes les femmes, maman m’a appris à tenir un foyer, la chasse étant réservée aux hommes.
À 15 ans, maman m’a emmené de mon lieu de naissance.
J’ignore pourquoi nous sommes parties.
À 19 ans, j’ai rencontré Saïd qui si je compte bien, 41 moins 32 ans, 9 ans donc 28 pour lui.
Deux mois après nous nous marions catholiquement, mais depuis sans pratiquer.
Ce grand garçon m’a plu dès notre premier regard.
La veille de mon mariage, ma belle-mère a souhaité que je passe une visite nuptiale.
Elle m’a amené chez son gynéco homme d’une quarantaine d'années.
J’étais d’accord, je savais que mon hymen avait toujours préservé même si les garçons rodaient.
J’avais déjà présenté ma chatte à un gynéco en présence de ma mère, car j’avais quelques douleurs.
Aucun problème, avec ma mère, la gynéco était une femme.
Là c’est un homme d’une cinquantaine d’années.

• Reste sur la table les pieds dans les étriers, je te signe ton papier de virginité et je reviens m’occuper de toi.



J’étais surprise, surtout qu’il me tutoie, il me prenait pour une gamine, mais j’ai attendu.
Il est revenu.

• Maintenant que j’ai signé ton papier qui rassure ta belle-mère, si je t’enlevais ton hymen.
Demain pendant ta nuit de noce au lieu de souffrir, tu auras du plaisir dès la première fois avec lui et ton mari en sera enchanté.

Il a sorti sa bite, la table était réglée à sa hauteur et avant que j’aie le temps de dire non, il m’avait fait femme.

• Voilà madame, votre future belle-fille est bien pure.
Votre fils a de la chance de l’avoir trouvé.
À notre époque une jeune fille de 19 ans, vierge, c’est rare.
Oui, j’oubliais, Victoria, pourriez-vous revenir la semaine prochaine je vous programme pour mercredi 18 heures.
• Ma belle-fille a un problème docteur.
• Non, simplement son col que je voudrais vérifier après pénétration.
Mais vous pourrez venir si vous le souhaitez !
• Inutile ce sera le problème de mon fils, j’aurais fait mon travail de mère.
• Alors à mercredi Victoria.

Je suis rentré me préparer, quand je me suis déshabillé, coulait de ma chatte sur mes jambes.
J’ai pris un bain prête pour le sacrifice suprême le lendemain.
Depuis ma puberté si par chance j’avais échappé au dépucelage mes doigts avaient trouvé mon clitoris.
Maman avait fait son travail de mère pour protéger ma virginité et je savais que la porte était fermée.
Là, c’est trois doigts que je me suis mis ressentant une petite douleur, mais rapidement une boule est montée en moi.
Sur la table de Musa, nom du gynéco vu sur sa plaque, j’ai été à deux doigts de jouir, mais il avait déchargé au moment où je sentais que j’allais partir.
Partir de plaisir, car la première stupeur passée de me faire dépuceler la veille de mon mariage était plutôt pour me plaire.
Que dire de ma noce, traditionnelle et ma nuit de noce phénoménale ?
Saïd avait déjà baisé, c’est normal c’est un homme et il m’a fait jouir.

Au moment du réveil, ma belle-mère est venue nous apporter le café et je sentais bien qu’elle désirait voir si les draps étaient tachés.
Heureusement, on était nus et après avoir déposé le plateau elle est sortie.
Le café bu, j’ai repris mon mari dans mes bras et je l’ai sucé avant de m’empaler sur sa grosse bite.

Nous devions partir pour le poste ou il venant d’être nommé.
Le mercredi, j’ai parlé de mon rendez-vous chez le gynéco.

• Demande à ta mère ou à la mienne.
• Ma mère est prise et ta mère a dit que maintenant c’était ton problème.
• Non, c’est le tient, tu peux y aller seule, c’est un toubib, qu’aurais-je à craindre.

À 18 heures tapantes, je me présentais chez Musa.
J’allais appuyer sur le bouton quand sur sa plaque, je lis « Musa, gynéco, sauf les mercredis ».
J’avais du mal noté, mais j’ai appuyé et la porte s'est déverrouillée.

• Entre Victoria, je t’attendais.
Comment c’est passé ton mariage et surtout ta nuit de noces ?
• Parfaitement.
Pourquoi cet examen ?

Je dégraphe ma robe apparaissant en sous-vêtements roses.

• Je monte sur la table.
• Inutile, viens là.

Il m’a pris par le bras conduit à son bureau m’a défait mon soutien-gorge et m’a couché à côté de ses dossiers.

• Voyons voir si tout cela fonctionne bien.

Le salaud, je comprends très vite quand il me plante direct en me tirant sur mes seins.

• Ça coulisse bien, c’est normal, le travail était bien fait.
Et là que vois-je !
Une petite rosette, je pense que je vais lui faire subir le même traitement que pour ta jolie chatte.

Je l’ai senti cracher sur ses doigts et me mouiller l’anus.
J’ai eu plus mal au cul que ma chatte, mais je peux le remercier d’avoir fait de moi une parfaite salope.

Passons les premiers postes de Saïd, j’étais trop inexpérimenté pour prendre des initiatives et à part mon mari, les hommes semblaient éviter la femme du consul.

À Tunis, un jour, je suis rentrée d’une balade en ville quand j’ai entendu du bruit dans notre salle à manger.
Je me suis approchée et j’ai vu !
Vu Saïd baiser la bonne espagnole avec son gros cul et ses gros seins.
C’était bestial, mais j’ai laissé faire, il faut toujours avoir un coup d’avance quand on aspire à devenir une parfaite salope.

Quelques jours plus tard, j’ai vu Saïd me regarder me faire bouffer la chatte par cette femme que je trouvais obèse quand c’était mon mari qui la baisait.
Moi, le matin, lui souvent l’après-midi.
C’était comme un accord tacite, mais jamais tous les trois.
Pourquoi aurais-je fait un scandale, il me baisait régulièrement et je prenais du plaisir avec l’un et avec l’autre.
Avec lui, rapidement les choses ont évolué après notre mariage.
Il a été très fier de me prendre le petit pensant là encore être le premier.
La sodo était même devenu l’un de nos plaisirs favoris, il entrait comme dans du beurre.
Joanna savait-elle qu’il m’enculait, car souvent elle me soulevait les jambes dégageant ma rosette et me faisait des feuilles de rose.
J’aimais qu’il nous regarde, avoir un mari candaulisme comme moi je l’étais quand c’était mon tour de les regarder.

Les valises faites, nous l’avons quitté sans effusion.
Ça avait été une étape dans ma vie de femme et celle de notre couple.

De retour à Dodoma, j’ai retrouvé ma mère et ma belle-mère.
Le premier rendez-vous que j’ai pris s’était chez Musa mon gynéco à 13 heures un mercredi.

• Saïd tu m’accompagnes !

J’aurais été dans la merde s’il avait dit oui.
On connaît sa réponse.

• Je suis contente de te voir Victoria, viens là, nous serons plus à l’aise pour t’ausculter.

Je savais ou j’allais quand je l’ai appelé et sa chambre plus sympa que sa table d’occultation.
Il m’a fait une visite complète, il m’a ramoné mes diverses cheminées et de mon côté je lui ai montré que ma technique des fellations était devenue très au point.

Même si ensemble, nous avions oublié d’en faire, j’étais aussi bonne que pour me faire enculer lui mettant deux doigts dans sa rosette.
Dommage, j’aurais bien remis le couvert une deuxième fois, mais il partait à un congrès.
La seule chose qu’il m’a fait cadeau avant de nous quitter, c’est une vidéo de nos ébats même dans la salle de bains quand j’ai réussi à le faire gicler avec ma main le sperme remontant en surface.
Je l’ai rangé dans le bas de mon armoire de chambre où je l’ai oublié.

Je refais nos valises.
Saïd, Paris attend Victoria à nous la ville aux mille facettes.
Pardon, à moi la ville aux mille facettes…

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