Ta Réclame Minette

Il faut bien le reconnaître, faire minette à une fille, c'est surtout à la fille que ça fait plaisir.
Bien sûr, on est content de l'intimité, des odeurs puissantes de fente et de la coule, de la tendre chaleur complice de l'entre-cuisse, on se plaît à penser qu'il s'agit d'un préliminaire et que tantôt, bientôt on y trempera profondément son boudoir...

Mais on est surtout content de donner du plaisir à sa partenaire, comme un partage, comme une solidarité.

Mais là, c'était spécial !
Faire minette à un androïde...
Je pensais, ses circuits positroniques sont-ils au moins conçus pour apprécier cette caresse ? Et puis un hubot a-t-il besoin de prendre son pied ?
Normalement, un sextoy, c'est juste fait pour permettre à l'utilisateur, au client, de se faire plaisir. L'outil, lui n'a aucun rôle personnel à jouer...

Enfin, je me posais bien des questions mais j'étais déjà un peu amoureux de cette ta et j'ai plongé entre ses cuisses déterminé à lui apporter les bonheurs de caresse que ma modeste expérience pouvait lui procurer.

Mes lèvres sont entrées, cul de poule, entre les deux ailes luisantes roses et j'ai bu l'eau claire qui baignait son intérieur, aspirant comme bédouin assoiffé en oasis.
Un délice.
Ma langue a lapé comme chatte devant son écuelle de lait. Remontant de bas, du périnée, buvant tout ce qu'elle voulait bien me donner.

Son chant mélopé guidait mes gestes et je m'appliquais à passer l'archer en harmonie de ses jouissances exprimées.

Ma langue a d'abord cherché, longue, dure, à pénétrer au plus profond, à visiter ses villosités, à emplir son intérieur, comme l'eût fait un petit sexe.
Puis j'ai balayé en remontant les ailes douces déployées jusqu'à sa languette, pourléchant le fin duvet qui bordait le dur de sa fente. Sa languette abritait son petit dard érigé et je les ai tous deux avalés, entièrement avalés en succion entre mes lèvres jusque profond dans ma gorge.

Tirant sur les peaux molles et le bouton dur.

Elle a eu un hoquet et le doux ronronnement de son nez de sa gorge s'est interrompu. Caresse trop violente ?

J'ai rendu doucement sa liberté au petit morceau de chair que j'avais happé, millimètre par millimètre, comme retour abandon sérénité.

Et puis je me suis tu, laissant simplement ma langue posée, tendre abri de chaleur et d'humeurs chaudes et fluides.
Le ronron a repris, image parfaite, pensais-je, des sensualités ressenties.

Tandis que mes lèvres s'emparaient du bouton dégageant sa minuscule tête pour la titiller du bout de la langue, mes deux doigts, majeur et index, sont venus approcher les gluances ouvertes et visiter l'antre béant.
Tout au fond, la bouche dure de l'utérus marquait l'ultime. La caresse, par le bout du doigt, du col a déclenché puissante contraction, serrant compulsivement mes doigts, ma main.
Et l'androïde levait encore plus haut les cuisses en criant fort des mots de sa langue cybernétique, que je ne comprenais pas.

Puis elle a dit, ami, c'est le moment de me foutre ton doigt dans le cul.

Je n'étais pas sûr d'avoir bien compris la phrase. Imaginez un peu, telle invite venant d'une petite fille tout juste sortie de communale. J'en étais tout esberlingué.
C'était tout aussi incongru que la voix de sorcière dans la bouche de la possédée de l'exorciste

Mais, on m'a appris aux écoles que toujours il fallait être attentif aux sollicitations et, chaque fois que c'était possible, y répondre positivement.
Je n'avais, honnêtement, aucune justification à éluder. Aussi ai-je discrètement abandonné le bouton pour enduire mon long doigt de salive. Ma langue est venue à la porte étroite y déposer un gros glaviot et j'ai posé le charnu du majeur sur son soleil, posé léger, juste de salutation.

Ma bouche était revenue en haut de ses lèvres et se régalait à nouveau de sucer la tête miniature de sa languette.


Son chant est devenu plus sourd plus profond et doucement son anneau rectal s'est ouvert, aspirant le long du tunnel étroit mon doigt en attente.

J'ai cessé tout mouvement, de bouche de lèvres de langue de main aussi. Le moment a été de long silence puis, brusquement, son bassin est parti comme en explosion, bouquet de feu d'artifice.
Mon doigt prisonnier était serré aspiré comme capturé par un doux engrenage qui voulait l'emmener au plus profond d'elle. Ma main heureusement bloquait mais je sentais néanmoins ses fesses s'ouvrir comme pour en permettre le passage, comme pour exprimer l'invite. J'ai poussé ma main contre le doux entre ses deux globes, le doigt en avant-garde au fond d'elle et le poing fermé distendant son cul pour mieux l'ouvrir.

On est restés ainsi longtemps, jusqu'à ce que s'apaisent les contractions de son ventre et ses râles. Ma bouche, mes lèvres avaient gardé prisonnier, au chaud, son petit bout de chair vibrant en veillant à n'être pas désarçonnés par les violents soubresauts de son bassin.

Avec le calme, ses cuisses sont retombées et ma main chassée par ses fesses resserrées, et le doigt aussi, a été libérée.
Elle a posé sa tête sur mon épaule et a doucement aspiré un morceau de peau de chair au creux de mon cou en un léger suçon tendre.

Puis ses yeux bleu cobalt de hubot se sont levés vers moi. Sa frimousse n'était plus de gamine innocente mais de femelle assouvie.
Elle m'a dit, voilà, j'étais programmée pour ça mais vois-tu, c'est la première fois que je le vis en vrai. Je sens que je vais bien aimer ce rôle et la suite du job.

Allez, viens m'embrasser, ta bouche a goût de moi.

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