Marinette 1

J'étais un ami d'enfance de Marinette, je l'avais connue quand elle avait 13 ou 14 ans et nous étions une petite bande d'amis qui faisaient souvent la fête ensemble.
Il y avait seulement deux filles pour trois garçons, et si nous étions proches, nos contacts n'allaient pas plus loin que les bisous sur les joues.
Marinette avait des origines Créole, elle n'était pas très grande mais migonne.
Nous nous sommes perdus de vue vers l'âge de 20 ans, quand j'ai fait mon service miltaire.
Notre passion commune était la musique, je savais qu'elle jouait du piano depuis toute petite, un jour, j'ai vu sur les réseaux sociaux qu'elle donnait un concert à Poitiers, où elle habitait.
J'ai réussi à la contacter, nous avons renoué et j'ai reçu une invitation en retour.
Après le concert, nous sommes allés boire un verre, elle était avec quelques amis qui sont partis peu après et nous somme restés seuls.

Nous avons longuement discuté, elle m'a dit qu'elle vivait seule depuis quelque temps, qu'elle avait été obligée de rompre avec son petit ami qui était trop instable, il l'avait trompée et même giflée quand elle avait protesté.

N'étant pas de Poitiers, je lui ai demandé si elle connaissait un hotel sympa, elle m'a di "tu n'y penses pas, tu vas dormir chez moi et c'est tout !", je n'ai pas refusé évidemment.

Son appartement était comme elle, petit mais très migon, décoré avec un goût exquis.
Elle m'a servi du rhum "arrangé" qui m'a bien chauffé, j'ai vu tout de suite qu'elle l'était également, elle m'avoua, "après un concert, il faut que je me saoule"..

Je lui ai pris la main, elle me l'a laissée, puis ses lèvres délicatement charnues, nos langues se sont mélées, j'ai pris un de ses seins qui m'a paru d'une fermeté incroyable à travers son soutien-gorge.
Finalement elle l'a dégrafé elle-même et j'ai découvert une magnifique poitrine, des seins en forme de poire avec des tétons presque noirs, je les ai tétés longuement, j'ai ouvert sa braguette et mis la min sur son sexe, le tissu de son slip était déjà trempé, elle protesta mollement, puis me laissa faire.



Je la déshabillai lentement sans lâcher ses lèvres, puis je retirai mes vêtements, je me tournais pour qu'elle ne voie pas mon sexe en érection.
Nous allâmes dans la chambre, elle s'étendit sur le lit, sur le dos, elle serrait les cuisses et je ne voyais qu'une toison noire bien taillée, le fameux "ticket de Métro.
Elle balbutia qu'elle avait un peu de mal à m'imaginer devenir son amant, quand nous étions gamins, il y avait une barrière invisible que nous ne franchissions jamais antre nous.

Je me mis à la caresser sur tout son corps, il était magnifique, sa peau était douce et ferme, elle sentait bon, elle frissonnait dès que j'effleurais un sein, ou que je posais la main sur son pubis.
Je promenais mes lèvres sur ses cuisses en essayant d'atteindre l'intérieur, là ou la peau est incroyablement douce et plus haut là où elle devenait humide et odorante.
J'arrivai enfin à lui écarter les cuisses, je lui fis remonter les genoux pour bien ouvrir sa chatte, elle résista mollement, puis son sexe s'ouvrit comme une fleur éclot.
Je me plaçai entre ses jambes, j'avais une vue imprenable sur son sexe offert, j'écartai ses lèvres ourlées de noir, avec l'intérieur d'un rose tendre et son petit trou qui me paraissait minuscule.
Je n'avais jamais vu un sexe d'aussi près, c'était tout simplement magnifique, une vraie merveille..
Plus haut, je découvrai son clitoris que je libérai de son petit capuchon, il était bien gonflé.
Son minou était tout mouillé, une perle de cyprine descendait lentement vers son anus, j'interrompis son voyage d'un coup de langue, puis je remontais vers son petit bouton, elle tressaillit.
Plus bas, son anus brun bien plissé plapitait, je pensais que ce serait maladroit pour une première fois, et n'y touchai pas.

Je recommençai d'explorer son sexe avec ma langue, elle gémissait, je bandais comme un âne en rut, à chaque fois, ma langue finissait sa course sur son petit bouton et elle sursautait.

Puis je passais de plus en plus de temps sur son clitoris, j'en faisais le tour, je tentais d'introduire un doigt dans son vagin, elle se crispa, elle n'était pas prête, je le retirai.
Chaque fois que la pointe de ma langue atteignait la base de son clitoris, elle se tendait, je finis par trouver le bon rythme, me synchroniser et elle se mit à gémir doucement, puis de plus en plus fort.
Puis soudain, son corps se tendit comme un arc et je faillis être désarçonné, mais je tins bon et ma bouche resta collée à son sexe pour receuillir la liqueur de son plaisir.
Nous restâmes ainsi un long moment, moi le nez dans son minou...
Je bandais toujours à en avoir mal et elle s'en aperçut, elle me demanda de remonter, ceuillit mes lèvres au passage, puis elle descendit sur mon sexe tendu.
Elle l'embrassa d'abord sur toute sa longeur, y frotta ses lèvres et ses joues, puis elle donna de petits baisers sur mon gland qui sursauta.
Elle l'enduisit de salive soigneusement, puis l'entoura de ses lèvres, pendant que sa langue dardait le méat.
Finalement, elle l'engoutit avec une douceur infinie, j'avais l'impression d'être dans un étui de velours, dont je ne sentais pas les parois, j'étais au bord de l'explosion et elle s'en rendit compte.
"Je ne veux pas que tu partes dans ma bouche, me dit elle", je lui répondis que je me retiendrais autant que je pouvais, je me sortirai au bon moment.
Elle continua un peu, puis je n'y tins plus, je retirai rapidement sa tête et j'éjaculais d'une longue giclée qui atterrit sur mon ventre et ma poitrine.
Elle regarda mes spasmes d'un air amusé, puis lorsque la source fut tarie, elle reprit mon sexe en bouche presque en entier et remonta en creusant les joues avec une longue succion.
Je me disais qu'elle allait finir par y prendre goût.
Je la remontais alors jusquà ma bouche et, assise sur mes lèvres, je nettoyais son petit minou à nouveau trempé, elle se laissa faire...

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