La Robe.

J’avais une soirée à la fin du mois au boulot.

Je voulais me trouver une belle robe, de beaux talons et ma secrétaire m’avait conseillé un magasin dans la ville voisine, j’avais donc prit mon après-midi pour m’y rendre.

Arriver enfin sur le lieu, je rentrais et c’est vrai que d’un coup d’œil je vis quelques jolies robes ! Une vendeuse vint près de moi et me salua, tout en me demandant si elle pouvait m’aider.

Je lui expliquais donc ce que je cherchais et que le prix m’importait peu, elle me proposait d’aller m’asseoir et que son gérant allait venir m’aider.

Je n’attendis pas bien longtemps, et il arrivait.


Stephane.


Je le connaissais, mon premier amour, mes premières douleurs, j’avais 50 kilos en plus, mais ça c’était avant qu’il me brise le cœur et que je me mette à faire des régimes et du sport en plus d’étudier comme une dingue, allait-il me reconnaitre ?


- Bonjour madame, ma vendeuse m’a fait part de votre requête, veuillez me suivre.


Et non, il ne reconnaissait pas la petite Justine qu’il avait humiliée.


On entrait dans une salle, et plusieurs robes étaient mises sur mannequin, il s’approchait près de une rouge, un joli décolleté, courte, mais pas trop… Et les chaussures qui allaient avec étaient vraiment jolies !

- Qu’en dites-vous ?

- Je vais l’essayer.


Je pris la robe et les talons et il m’amena près de la cabine d’essayage.

- Votre visage m’est familier !

- Oh, nous le saurions si nous nous connaissions.


Je l’enfilais, je mis les talons et me regardait dans le miroir, finalement, bien qu’elle mettait ma poitrine en valeur, je trouvais qu’elle me descendait trop bas ! Je me regardais dans le miroir et me dit alors : « Quand tu penses que j’étais la petite grosse avec qui tu t’amusais, aurais-tu imaginé cela ? »… Je n’étais pas peu fier de ma métamorphose !

Mais comment ça s’était passé ? Ah oui !


Une soirée, avec mes deux fidèles amies, sauf ce soir-là où elles m’avaient oubliée quand le père de l’une d’elles était venu nous rechercher, enfin « nous », plutôt les rechercher !

J’étais repartie à pied et il passait avec sa voiture, m’avait gentiment proposé de me ramener, ce qu’il fit, il avait même pris la peine de discuter avec moi…

Par la suite, il me disait bonjour, et un jour me proposait que l’on se voie, mes parents n’étaient pas très friand de me savoir dehors la nuit, 18 ans ou non, ça ne changeais rien, et moi, j’en avais pas l’habitude, je passais le plus clair de mon temps à étudier, je me disais toujours que quitte à être repoussée ou finir seule, autant avoir une belle carrière.



Alors, il venait me chercher, il se mettait un peu plus loin dans ma rue, sur le parking et nous discutions.

Il me faisait me sentir vivante, une nouvelle moi ! Et un jour il m’embrassa.

Il me ramenait direct en me disant qu’il s’excusait, qu’il avait dépassé les bornes.

Ce soir-là, nous discutions par messages, il me dit que ce fut plus fort que lui, que je l’attirais, que j’étais spécial et si gentille.

Et le lendemain on se revit et recommençait, et ainsi de suite pendant plusieurs jours.

Le soir quand nous rentrions on continuait de discuter, il savait que je n’avais pas d’expérience, il voulait m’apprendre, moi, j’en tombais amoureuse !

Je me souviens, un mardi, nous étions dans la voiture, on s’embrassait et je le vis détacher son pantalon, je pris peur, il sortit son sexe, je le regardais un peu effrayée et excitée.

- Tu peux le toucher. Me dit-il en emmenant ma main dessus.

Il fit faire des vas et viens de ma main et me laissait ensuite continuer, très vite il rapprochait ma tête de son pénis et me fis le mettre en bouche, c’était bizarre, moi qui n’en avais jamais vu, sauf sur internet, j’avais un sexe en bouche, après un certain moment il finit par venir et bloquait ma tête dessus.

- Il faut avaler, toutes les filles font cela.

Ce que je fis, et ce que je fais toujours depuis, je ne saurais pas sucer sans avaler.


- Je n’aime pas trop, vous n’auriez pas une autre robe à me proposer ?

- Le bleu ici, je pense qu’elle pourrait vous convenir !

- Je vais l’essayer, c’est le seul moyen de le savoir.

- Bien.


Même effet que la précédente, je sortis, et je le vis me regarder de haut en bas, s’attarder sur mes jambes et ma poitrine.

- Vous êtes sûr que l’on ne se connait pas ?

- Certaine.



Chaque fois que l’on se voyait, je le suçais et j’avalais.

- Bébé, ce soir je sors, je sais que tu n’aimes pas les sorties, je peux venir te voir un peu ?

Et il arrivait, sortait son sexe, le mettait dans ma bouche et une fois craché repartait… Et j’étais heureuse, on vivait caché pour vivre heureux. Enfin, je le pensais !

Il me proposait de venir à son kot un mardi, dormir, j’étais excitée à l’idée de pouvoir enfin passer une nuit avec lui.

À peine arrivée, je me retrouvais nue, à le sucer, et puis il me prit, une fois, deux fois, par derrière, j’étais épuisée, toutes ces choses pour une première fois !

Et ça devenait une habitude, je finis par aller tous les mardis et les jeudis, il m’achetait des petites tenues, on essayait des nouvelles choses. En parlant de chose, il aimait que je sois la sienne.


- Désolé, je trouve que cette robe me boudine, pourrait-on essayer une autre ?

- Bien sûr madame, j’ai ici un autre bleu, plus nuit, je suis sûr qu’elle vous irait à ravir !

Jolie robe, une nouvelle fois dans la cabine j’enfilais la robe et les talons qui allait avec, je n’arrivais pas à l’attacher derrière et je l’appelais.

Il rentrait dans la cabine déjà étroite et était collé presque à moi, alors qu’il resserrait, je le vis regarder ma poitrine dans le miroir.

- Alors qu’en pensez-vous ?

- Vous êtes somptueuse !

- Je trouve que la fente à hauteur des jambes remonte de trop, non ? Dis-je tendant ma jambe vers lui afin d’exagérer.

- Non, non. Dit-il rougissant.

- Vous avez une jolie robe noire, puis-je l’essayer ?

- Oui, madame.


Il revint avec, je vis son regard interrogateur, il me reconnaissait, mais ne savait plus d’où. C’était assez marrant.

Lorsque l’on s’envoyait en l’air, ça l’était aussi, je pense que l’on a presque tout essayé ! Ce qu’il préférait, c’était lorsque j’étais à quatre pattes, qu’il me tenait en laisse et me sodomisais.
Je ne sais combien de fois il a fait cela !

Où lorsqu’il considérait que je devais être punie et qu’il m’attachait dans ma douche, prenant soin de me faire boire et tant que je ne me lâchais pas, il ne me libérait pas… Je finis la plupart du temps par faire pipi, honteuse ! Mais excitée, j’aimais lui appartenir et puis qui d’autre que lui me regarderais ?


J’enfilais la robe, courte, juste en dessous des fesses, ma poitrine ressortait bien et c’était un joli décolleté en V !

J’ouvris le rideau de la cabine en tenant les talons et lui demandant :

- « vous sauriez me les enfiler ? »


Je le vis me regarder, envieux, je suis certaine qu’il était prêt à me prendre là, sur place !

Alors que j’étais assise sur l’un des divans, lui un genou par terre en train de m’aider à mettre les talons et surement regarder mes jambes, il relevait la tête et me dit :

- C’est affolant, je suis persuadé vous avoir déjà vu !


Oh oui, il m’avait déjà vu, de plusieurs manières inimaginables !

Comment ça s’était terminé encore ? Ah oui, cette nuit chez lui, comme les autres, à me prendre et puis on vient sonner à sa porte, je me cache dans sa chambre.

J’entends la voix de l’un de ses amis, je remets mes vêtements et merde, j’aimerais me montrer ! Alors, je sors, et vais les rejoindre.

- Mais, c’est la grosse que tu te tapes !

- Oh, parle autrement, tu coucherais avec que tu comprendrais !

- Je ne saurais pas coucher avec ce tonneau !

J’avais envie de pleurer.

- En même temps, elle ne voudrait pas de toi !

Et toc c’est envoyé !

- Tu la laisserais faire, même si elle voulait ?

- Oui, je suis sûr que je lui demanderais de te prouver tes torts qu’elle le ferait.

- Grande gueule.


- Quoi ? T’es sérieux là ?

- Oui, je vois que t’es amoureux.

- Justine ?

- Oui… Dis-je complètement perdue.

- Déshabille-toi un peu complètement.

- …

- Allais ! On va le remettre en place ce con.

Et je me déshabillais, son ami se pouffait de rire en me regardant, j’avais honte et je sentis les larmes monter, pourquoi se moquer de moi ?

- Va le sucer.

Et je partis près de son ami, qui ne savait s’empêcher de se retenir et me jeta sur son sexe pour ne plus y penser, une fois que je me mis à le sucer, il cessa plus ou moins vite de rire et il crachait et j’avalais, j’étais à genoux entre ses jambes, et Stephane lui dit :

- Alors ?

- La meilleure suceuse que je n’ai jamais vue !

- Baise là, tu vas voir.

Et il me fit monter sur le canapé, il me baisait sans retenue, s’amusant à peloter mes bourrelets à les pincer et crachait en moi.

- Alors ?

- D’accord, elle est bonne à baiser.

- Tu n’as pas vu le mieux.

- Comment ça ?

- Justine, va chercher te préparer.

- Oui…

Et je partis dans la chambre, je savais ce qu’il voulait, je mis le collier et la laisse, la boule bâillon dans ma bouche et il vint me chercher, me ramenant à quatre pattes près de son ami.

- Justine, je vais t’enlèves le bâillon, demande lui ce que tu as à demander.

- Voulez-vous bien m’enculer s.v.p. ?

- Plutôt deux fois qu’une !

Et il vint se mettre derrière moi après m’avoir remis le bâillon et m’enculer, sans retenue, sans douceur, en claquant mes fesses et se vidait en moi.

Il voulait lui montrer une dernière chose, m’attacher dans la douche, ils me firent boire tous les deux et se mirent à rire ensemble en me voyant pisser devant eux, attacher, là, complètement impuissante.

Ils avaient en plus bu, l’alcool les aidant, ils décidèrent de me pisser dessus, comme si je n’avais pas assez honte et ils se mirent à rire ! Me regardant et me laissant ainsi avant de faire couler l’eau sur moi.

- Une belle petite salope tu as là !

- Je sais, je savais que j’en ferais ce que je voulais, on pourrait la faire tourner avec les autres une fois ? La prendre à plusieurs !

- Non ! Dis-je ENFIN en signe de protestation.

- Toi tais-toi, sinon on t’oblige à chier et mettre ta tête dedans !


Ce soir-là, tout était différent, après m’être encore fait prendre par celui que j’aimais au matin et qu’il me ramène, je ne voulus plus le voir, je tombais même en dépression, mes parents ne comprenant pas ce qui m’arrivait décidèrent de déménager à la fin de mon année scolaire.

Dans une nouvelle école, en perte de poids constante je commençais le sport, dans une salle ou un coach me suivait, lorsque ma dépression finie par disparaitre petit à petit, bien aider par le sport, j’entre pris un régime, et me donnait à fond dans le sport.

Et arrivait ce jour où, je finis par me regarder dans une glace, nue, et me trouver belle, j’avais des larmes qui coulaient chaudement le long de mes joues, j’allais terminer mes études et je n’étais plus cette fille de qui on s’était moquée et avait humiliée !

- Effectivement, on s’est déjà vu Stéphane.

- Vous connaissez mon prénom ?

- La grosse Justine.

- C’est toi ?

- Oui.

- Tu es magnifique maintenant !

- Merci.

- Que dirais-tu d’aller boire un verre ?

Me dit-il alors que je retournais dans la cabine.


J’ouvris le rideau, j’étais en sous-vêtement, je le vis sourire à la vue de me regarder.

- Très peu pour moi.

Lui dis-je le regardant de haut en bas avant de refermer le rideau pour me rhabiller.

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