Marathon

Ça y est, on y est. Dimanche 17 octobre. Qu’est-ce qui m’a pris de me lancer là dedans. Il est 6h du mat, beaucoup trop tôt pour un dimanche, heureusement j’ai pris mon lundi pour me reposer. J’ai tout organisé, planifié mais vais-je réussir ? J’espère que ça va se passer comme prévu. Tout va dépendre si j’arrive à aller jusqu’au bout. Je travaille sur ce projet depuis 2 mois, quant tout c’est compliqué . J’ai dû m’entraîner pratiquement tous les jours. Comme toujours le plus dur c’est de prendre la décision. Je sais que ce soir, je vais le regretter. Même si tout se déroule comme je l’ai imaginé, ce soir j’aurais sûrement du mal à trouver le sommeil. Et lui, comment va-t-il réagir ? Est-ce qu’on pourra continuer à se voir ? Pas sûr, l’avenir nous le dira. Si seulement j’étais pas aussi tête de pioche, pourquoi je suis incapable de laisser couler et lui qu’est-ce qu’il lui a pris de me mettre au défi.
Je lui avais promis que s’il se présentait j’irai le soutenir, putain de marathon. Putain de Marc, bon après on peut pas lui en vouloir à Marc, quant vous vous êtes lancé là-dedans il pouvait pas savoir qu’un petit bout de chou viendrait lui mettre des bâtons dans les pattes. Léa étais pas encore enceinte et on n’aurait, de tout façon pas pensé qu’il y aurait des complications. Heureusement maintenant on sait que ça va aller mais il a quant même préféré rester avec Léa et le bébé. Le marathon pour lui, ce sera l’année prochaine.
Oui, aujourd’hui c’est le Marathon de Paris alors choses promises choses dues. J’irai le soutenir.... Ou pas. Quant tu as su que Marc ne participerait pas tu m’as emmerdé jusqu’à ce que je craque.
J’ai étudié le parcours et je sais a peu près jusqu’où je peux te suivre mais toi, me suivras-tu ?
Donc 6h le réveil à sonner, douche vite fait, je mange, tu m’as briefé sur le petit dèj et même si j’aime pas manger au réveil je suis tes consignes à la lettre. Tu dois passer me prendre (j’aime l’expression) à 6h40 pour être sur place vers 8h.

J’ai préparé mon sac a dos avec soins hier soir, je ne dois rien oublier.
Finalement a 8h on a déjà récupéré nos dossards, il y a un monde de dingue. Je te rappelle pour la millième fois que tu as promis que si je t’accompagnais tu irais a mon rythme sinon je vais exploser en vole.
Bon je suis hyper motivée pour le coup et j’ai vraiment tout planifié, toi tu ne le sais pas encore, mais on a un rendez-vous.
8h25 PAN 💥. Le départ est donné, on s’est mis derrière, une vague humaine c’est mise en mouvement. C’est beau et impressionnant.

Ça y est, on s’est mis en route. Tu regardes ta montre on cours à 6’40. Exactement ce que je t’ai demandé. On est tous les deux en short et t-shirt de course. On a fait broder le nom du bébé perturbateur dessus alors on a pris soin de passer devant la caméra, j’espère qu’ils nous verront.
1km, 2km, 3... pour le moment ça va. Tu espère pouvoir me faire faire un semi marathon soit 21km mais moi j’ai un tout autre objectif.
5, 6.. et voilà tu annonces les 10km, je suis en sueur mais toujours motivé.
J’aperçois la rue que j’avais repéré sur Google Map. J’att ta main et te tire pour bifurquer sur la droite. Bien sûr ça nous ferait disqualifier d’office alors tu me regardes sans comprendre.
- ça va, tu veux arrêter ? Tu a pas l’air trop mal pourtant.
- S’il te plaît, fais moi confiance. Viens.
J’aurais pensé que tu résisterais plus, mais non. Toujours main dans la mains on court, on a pris à droite et tu te laisses guider. Après une centaine de mètres, je m’arrêter, me retourne et je t’embrasse a pleine bouche sans que tu es eu le temps de dire quoique ce soit. Mes lèvres se sont collées aux tiennes, j’ai attrapé ta tête, me suis légèrement mise sur la pointe des pieds et ai plaqué ma bouche sur la tienne. Je te mords légèrement la lèvre inférieure ce qui te fait entre-ouvrir la bouche et ma langue rentre en toi avec fougue. 10km que j’attends ce moment.
10km et deux ans, deux ans qu’on se tourne autour et que je refuse catégoriquement de tromper mon mari.
Après un moment où je te sens un peu désorienté tu me rends enfin mon baisser, tes bras se sont refermés autour de ma taille et tu me plaques contre toi.
Le temps aurait pu s’arrêter là mais j’ai d’autres projets en tête, d’autant que toujours plaqué à toi, en short moulant de courses, j’ai bien senti l’effet que je te fais. Il me suffit de m’écarter de toi un peu et impossible pour toi de nier. Ton sexe se dessine parfaitement dans ton short. J’ai l’envie furieuse de me jeter dessus mais stop.
- viens avec moi, j’ai un cadeau pour toi.
On court encore un peu et rattrapant encore ta main je te fais soudain rentrer dans un petit hôtel, pas la grande classe mais mignon. Je l’ai trouvé sur internet en cherchant « hôtel discret pour des amants». Je ne m’arrête pas à la réception et me dirige directement vers l’ascenseur.
- Qu’est-ce qu’on fait ici ?
- Tu n’as pas une petite idée, pas très perspicace monsieur.
Je rigole, mais les portes de l’ascenseur viennent de se refermer et je me jette sur cette queue qui me fait envie depuis que je l’ai aperçu tout à l’heure même si mademoiselle à déjà ramolli durant le trajet. Comme je l’ai précisé plus haut, j’ai vraiment tout planifié et si j’ai choisi cette hôtel, c’est aussi qu’il précisait qu’il y avait moyen de bloquer l’ascenseur durant 3 minutes en appuyant sur le 4 étage (l’hôtel n’en comportant que 3).
Alors je vais profiter de ces 3 minutes pour redonner à mademoiselle toute sa splendeur et ce malgré l’odeur de sueur qu’a inévitablement laissé les 10km de run. Je me suis agenouillé entre tes jambes et je caresse ton sexe à travers le tissu du short. Ça gonfle instantanément, je sens tes couilles durcir et remonter légèrement, je les gratte légèrement pendant que je dépose des baisers sur ta queue. Tu sens mes dents et mes lèvres a travers le tissus. Je t’entends gémir légèrement, j’aime ça. Tu as attrapé la barre métallique qui court tout autour de la cabine et tu t’y cramponnes.

Je tire sur le cordon qui ferme ton short et fais apparaître ton gland déjà humide. Je passe ma langue dessus très doucement tout en douceur mais mes mains, elles viennent de s’emparer de tes bourses et elles exercent une pression vers le bas, mon pouces les massant par petits cercles l’une après l’autre. Je viens de rentrer tout ton gland dans ma bouche en l’aspirant. Ma langue n’arrête pas d’en faire le tour.
- oh putain, c’est bon. Continue
Je me relèves en rabattant ton short sur mademoiselle. L’ascenseur vient de se remettre en marche.
- doucement monsieur, j’ai des projets pour vous.
Les portes s’ouvrent au deuxième étage et je sors de ma poche une carte magnétique qui ouvre la porte numéro 8.
- comment as-tu la clé ?
- Tu crois peut-être que j’improvise, je t’ai dit que j’avais des projets pour toi.
On rentre dans une chambre assez jolie avec un grand lit qui trône au milieu, des miroirs au plafond,un fauteuil au pied du lit et un petit bureau . Sur la droite il y a une porte que je pousse.
- A la douche monsieur, tu pues. Et je baise pas avec un mec qui pue.
Tu rentres s’en faire d’histoire pendant que je dépose sur le bureau mon sac à dos. J’en sors quelque chose que je glisse dans le cousin du fauteuil. Je me déshabille pour ne rester qu’en sous-vêtements. J’avais pris soin de mettre mon soutien-gorge en dentelle noir sous celui bien plus efficace de sport. Je me mets dans l’encadrure de la porte et profite quelques secondes du spectacle de ton corps sous la douche, la mousse glisse de tes épaules à tes fesses. Ton année d’entraînement a redessiner ton corps. Tes fesses et tes cuisses sont musclées et j’en perçois la fermeté d’ici. Tu te retournes et nos regards se croisent.
Tu me tends la main.
- Tu viens ?
Toujours en tanga et soutien-gorge je rentre sous la douche et me place devant toi de sorte que tu vois mon dos, mes hanches, mes fesses. Tes mains se referme directement sur mes seins, ta queue se plaque entre mon fessier et ta bouche se referme sur mon cou.

- Quel beau cadeau te me fait. Enlève moi tout ça.
Tu m’arraches plus que tu ne m’enlèves mes sous-vêtements
- C’est pas ton cadeau ça, ça c’est le mien. Lave moi je pue autant que toi.
Une pression sur le distributeur et le savon atterrit dans le creux de ta paume, tu te mets à me laver les épaules, tes mains sont douces et fermes. Je lève les mains et att ta tête, tes mains remontent sur l’intérieur de mes bras puis redescendent sur mes aisselles, descendent encore sur ma poitrine, je penche ma tête en arrière et la pose sur tes épaules, mes mains aussi se sont déplacés vers l’arrière et je caresse tes fesses en te plaquant à moi. Après avoir malaxer mes seins en pinçant légèrement les pointes, tes mains ont recommencé à descendre vers ma toison brune. J’ai une pensée pour l’hôtel et me demande où il trouve un savon qui mousse autant.
- Je vais te baiser, ici et maintenant
En disant ça deux de tes doigts sont rentrés brutalement en moi. Me faisant crier de surprise. Et puis le mouvement que tu leur donnes me fait gémir, je me tortille, ton gland pousse de plus en plus sur mon cul et je sens bien que si je ne fais rien, je vais perdre le contrôle. J’aime l’anal et l’idée est plus que sympathique mais pas question que ça arrive j’ai mis trop de temps à préparer mon coup. Avec un effort de volonté je m’arrache à toi, me retourne et plaque mes deux mains, bras tendus sur ton torse.
- non monsieur, vous n’allez pas me baiser ici et maintenant. Je dois encore me répéter mais j’ai des projets pour vous. Ton cadeau est dans la chambre. Je saute hors de la douche pour être hors de ta portée, je m’enveloppe dans une serviette et cours me réfugier dans la chambre.
- Reviens, s’il te plaît, je veux te prendre dans la douche
- Si tu as encore assez d’énergie tout à l’heure, ce sera avec plaisir.
Je me suis installée dans le fauteuil en face le lit que je fixe maintenant intensément. Tu apparaît enfin, nu de la tête au pied, des gouttes d’eau coulent encore sur toi. Tu te figes. Dans le lit il y a deux filles, la trentaine chacune, une blonde comme les blés et l’autre brune. Elles sont nues, belles mais surtout elles baisent. Elles ne tournent même pas la tête a ton arrivée, la brune Isabelle est sur le dos avec les yeux bandés, ses mains sont attachées au barreaux de la tête de lit, entre ses jambes il y a les cheveux blonds de Sandrine qui, a quatre pattes, lui fait visiblement beaucoup de bien. Toi tu es a un mètre a peine du cul de Sandrine qui pointe vers toi. Je crois bien que tu ne m’as même pas vu. Je me lève et me place à côté du lit
- Voilà, je te présente Sandrine avec ses magnifiques fesses. Comme tu peux le voir elle et Isabelle ont commencé sans toi.
J’accompagne les présentations d’une caresse sur ses fesses, et je finis en introduisant deux doigts dans son sexe déjà très humide. Je viens vers toi, te contourne, me place derrière toi et att ton sexe à pleines mains. Je continue en te masturbant.
- Elles sont là pour toi. Elles feront presque tout ce que tu demandes ou ce que moi je demande.
Je te prends par la main et te dirige vers le fauteuil. Je t’y assois. Pour étayer mes propos, je me dirige ensuite vers Isabelle, toujours en train de gémir sous l’effet de la langue et les doigts de Sandrine, je me penche vers elle et tout en détachant ses mains et retirant son bandeau, je me mets à l’embrasser. Sa mains droite va immédiatement s’incruster entre mes jambes et je laisse échapper un soupir. Toi tu nous regardes et ta main s’est posée sur ton sexe. Je me redresse et te vois.
- non monsieur, c’est nous qui allons nous occuper de ça. Allez les filles ils est à vous.
Je viens me placer derrière le fauteuil pendant que Sandrine et Isabelle se lèvent du lit et s’approche de toi. En passant ma main sous ton menton, je tire ta tête en arrière et prends ta bouche. Mon autre main caresse ton torse en s’attardant sur les pointes de tes seins. Les deux filles sont maintenant agenouillées entre tes cuisses. Je ne sais pas si c’est ta première ou pas mais je voulais t’offrir une double fellation. Deux langues et deux bouches qui s’occupent en même temps de ta hampe, de ton gland, de tes bourses. Moi je t’embrasse, je te veux en bouches pour sentir chaque vibrations, chaque gémissements. Ton excitation entraîne la mienne sans même que tu me touches. Mon pouce remplace ma langue dans ta bouche et je gobe ton seins. Ton bassin a commencé a se mouvoir dans la bouche d’Isabelle et tes mains lui bloque la tête.
- Doucement, fais doucement. Prends ton temps, elles aiment ça alors donnes en plus.
Je vois tes bourse disparaître et réapparaître de la bouche de Sandrine.
- Si tu veux je peux aussi participer.
- Oui vas-y. S’il te plaît donne moi ta bouche.
- Les filles amenez monsieur sur le lit et attachez le. S’il vous plaît
Les filles se relèvent, chacune te prends par la main et tu te laisses guider vers le lit. Chacune attache une de tes mains. Elles se couchent le long de toi, Sandrine est a ta gauche et Isabelle a ta droite, elles t’embrassent et te caressent chacune de leur côté. Leurs jambes se sont entortillées autour des tiennes comme des lianes.
- écartez ses jambes, mesdames. S’il vous plaît.
Toi tu fixes le plafond où les miroirs d’offres une vue d’ensemble.
- tu veux regarder ou tu veux un bandeau ?
- Non je veux te voir.
Je monte sur le lit, telle une chatte a 4 pattes, j’avance lentement vers ton entre jambes sans te quitter des yeux.
- les filles occupez-vous bien de monsieur, moi je ne veux que sa queue.
Ma tête est maintenant juste au dessus d’elle, mademoiselle est belle, dur et gonflée à bloque. Je me penche très lentement sur elle. Le bout de ma langue frôle a peine la base de tes bourses et très lentement je remonte vers son extrémité, je te touche a peine. Arrivée sur ton gland ma pointe de langue en fait le tour et je souffle légèrement dessus. Je vois tes fesses se contracter et ta queue se projette vers moi.
- soit patient, profite de tout ça. Tu dois me guider, dis moi que tu aimes ça, que tu en veux plus, plus vite, moins vite.. pas sûr que j’obéisse mais je veux t’entendre. Si tu arrêtes de parler, j’arrête de sucer. Quant tu sens que ça monte, dis le. Si tu veux jouir, dis le. Tu as compris ?
- Ouiii. Vas y. Recommence
J’ai parlé juste au-dessus de ton gland en donnant de petits coups de langue de temps en temps et le souffle de ma voix sur l’humidité laissé par ma salive te provoque de petits courants d’air frais. Je recommence ma première progression en plaquant un peu plus ma langue. En arrivant au gland, j’entrouvre mes lèvres et je fais glisser très très lentement ton sexe dans ma bouche. Mes lèvres frôlent a peine la peau tendue de ton extrémité puis ce referme fermement sur ton sexe et tu t’enfonces d’un coup au fond de ma gorge.
Sais tu qu’on sent sur nos lèvres le sang qui pulse dans votre queue ? Je remonte avec lenteur en tirant mademoiselle vers moi, mes pouces ont commencé a caresser tes testicules. Arrivée au sommet je la laisse s’échapper de ma bouche et elle vient claquer ton bas ventre. Les filles doivent mordre tes seins car tu pousses des petits cris et te tortille comme un vers.
- les filles tenez le mieux que ça.
Elles basculent légèrement et elles se retrouvent chacune sur une de tes jambes. Je les vois qui en profites pour se frotter à toi. Tes cuisses sont en contact avec leurs sexes et elles ont l’air d’apprécier tes muscles.
- vas-y, reprends moi dans ta bouche
- Veux-tu qu’on te détache ?
- Oui
Après encore quelques aller retour dans ma bouche je me glisse sur toi. Je finis avec un genou de chaque côté de ta tête, tu sais donc ce qui se trouve devant ta bouche.
- lèches moi s’il te plaît
Les filles ont pris ma place, a la fellation.
Tu commences par de petits coup de langue sur mon bouton d’or et je prends tout mon temps pour te détacher. Dès que tes mains sont libres, tu att mes fesses a pleines mains et enfonce ta langue aussi loin que possible. Je gémis et un frisson parcours mon échine.
- je vais te baiser, laisse moi te prendre. Je vais pas pouvoir tenir encore très longtemps
Je m’appuie sur tes épaules, les filles ont juste le temps de relever la tête et je m’empale sur toi. On crie tous les deux mais immédiatement, je me redresse et t’abandonne. Je suis maintenant debout a côté du lit.
- je veux te voir les baiser, ne sois pas trop rapide, elles sont deux et ont toutes les deux envies de jouir.
Je m’installe dans le fauteuil cuisses ouvertes. Je récupère Pitt que j’avais dissimulé entre le cousin et je me mets a me masturber. Est-ce que cela t’excite, est-ce que cela te frustre ? Je sais pas mais tu atts Sandrine, comme par hasard la blonde😉, l’a place en levrette devant moi, et sans me lâcher du regard tu te mets a la baiser sauvagement. Tellement sauvagement qu’elle finit par protester un peu
- Et doucement.
- Tais-toi, réponds Isabelle. Elle lui plaque le visage dans les draps et s’assoit un genou de chaque côté de sa tête. Vas-y baise là, défonce là. Elle aime ça. On dirait un entraîneur qui motive son poulain.
Toi tu as attrapé ses poignets et tire déçu mais c’est toujours moi que tu regardes, je suis sur le point de jouir, j’ai fermé les yeux et Pitt s’occupe de moi. Je sens que je vais exploser.
- ouiii, ouiii ça vient.
Mon orgasme déclenche le tiens, tu te retires et en même temps que tu atts Isabelle par les cheveux, et tu t’enfonces dans sa bouche pour jouir.
Après quelques va et viens tu t’effondres sur le lit et moi dans mon fauteuil. Les filles se relèvent et je trouve la force de les envoyer à la douche avec un grand merci. Je les ai payé d’avance et largement. Sur le chemin de la salle de bain elles s’arrêtent toutes les deux et déposent un chaste baiser sur mes lèvres.
- merci, à toi. Appelle quant tu veux.
Elles disparaissent dans la salle de bain. Aux bruits qui nous parviennent je me demande si elles ne finissent pas sans nous. Tant mieux, aucune raison qu’elles n’y trouvent pas leur compte.

FIN de la première partie. Si tu veux une suite demande.

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