Marion

J’en ai assez. Mariés depuis 15 ans, notre vie est d’une routine particulièrement morose. Si nous nous entendons bien dans la vie de tous les jours, au lit, la routine installée ne me convient plus. Elle aime toujours que je lui fasse l’amour. Les positions sont toujours les mêmes: en levrette ou en missionnaire. Marion me dit jouir, j’ai des doute: je pense qu’elle simule beaucoup.
Je gagne bien ma vie et pour les vacances je décide (pour les vacances, c’est moi qui doit décider) de nous dépayser. Je choisis la Tunisie, pas les endroits bronze cul comme Djerba. Nous allons vers Carthage à Gamarth à la baie de singes exactement. Bel hôtel sur la plage. Comme souvent il y a trop de monde, sauf aux heures que nous aimons: le soir. La journée en ville arabe ou européenne pour trouver des repères français.
Le surlendemain de notre arrivée un jeune d’une trentaine d’année est seul à sa table. Il plait à ma Marion, je ne sais pas pourquoi, a à moins qu’elle ai envie de se faire sauter par lui. Je pose la question. C’est un peu le sens de la réponse, elle n’ose pas me dire qu’elle passerait bien une bonne partie de la nuit avec lui. C’est moi qui le lui propose.
Elle accepte avec un grand sourire. Tant mieux si elle s’est décoincée. Nous sortons de table, en passant je laisse tomber un papier au pied de ce jeune. Il doit le lire, puisqu’il se retourne pour nous voir quitter la pièce d’un air étonné;
Vers 22 heures nous sommes sur la plage, ma femme en petite tenue, selon son habitude seins nus. Pour ses 34 ans, elle porte ses seins comme des trophées: bien en l’air et tendus. Nous allons dans l’eau pour nous baigner quand nous voyons le jeune sur la plage. Sous la lune il parait bien fichu. Si ma femme s’écoutait elle irait à sa rencontre. Nous sortons de l’eau ensemble pour aller nous assoir pas loin de ce bel inconnu. Marion peut maintenant lui parler: il s’approche de nous. Ses yeux sont sur la poitrine de ma femme.

Je sens que si je partais ils se sauteraient dessus. Je n’ai rien contre, elle se décoincerai ainsi. Je veux surtout ne pas être loin et surtout la voir se donner à un autre: depuis notre mariage, elle n’a jamais eu d’amant. Je baisse la tête, je l’ai trompée plusieurs fois en y prenant beaucoup de plaisir à chaque fois;
Nous bavardons un peu. Il invite Marion à retourner prendre un bain avec lui. Je trouve la ruse imparable. Il veut se la payer dans l’eau. Je sais d’avance que s’il lui propose de baiser ainsi elle ne refusera pas.
Je me lève pour aller m’assoir sur le sable. Je les observe: ils bavardent quand il lui passe un bras sur les épaules. Elle se laisse faire. Je suis curieux de savoir jusqu’où ils iront ou jusqu’où ira ma femme. Même si elle se laisse baiser au moins elle jouira d’un autre que moi et qui sait, sans doute qu’elle me demandera de venir participer à cette fête.
Ca y est; ils démarrent par un patin sur la bouche. Aux mouvements des bras du jeune je crois qu’il la pelote particulièrement sur les seins.
Elle n’a pas l’air d’en être offusquée.
Ca y est: il la couche sur le sable. Il vient sur elle pour l’embrasser sur la bouche. Il me semble qu’elle a enlevé son slip. En tout cas pour lui c’est certain il est nu; je vois sa bite bandée. Elle va se faire mettre, je ne sais pas où, à moins qu’elle le suce ou le branle. Je commence à être un peu jaloux et pourtant c’est moi qui est provoqué la rencontre.
Il me semble que la lune éclaire plus que tout à l’heure: il est sur elle, pas longtemps, juste le temps de faire connaissance. Marion aimait bien être assise sur ma bite. Elle se relève, l’enjambe et se met sur lui. Ils baisent maintenant. J’entends ses soupirs de satisfaction d’avoir son vagin occupé. Pourtant je la lui mets souvent.
Elle m’a vu: elle me fait signe de venir. Je bande de la voir baiser un autre, alors quand j’arrive elle me demande une chose très simple: mets la moi au cul.
Elle se met allongée sur ce brave jeune qui lui donne des envies plus que coquines.
Je vais sur elle qui écarte ses fesses. Je n’ai pas à chercher son cul, je connais parfaitement sa place. Elle a pris ses précautions en se tartinant l’anus de cyprine. Je peux l’enculer facilement, comme avant. Je sens son sphincter écarté et son conduit anal. Je sens surtout la bite dans son con. C’est une drôle de sensation de sentir une autre bite dans sa femme. C’est agréable. Pour elle ce doit être sensationnel: elle gémit comme dans les grandes occasion!
- Oui, mes chéris, oui, mettez les moi profond, c’est bon, je jouis. N’arrêtez pas; baisez moi encore;
Elle est littéralement déchaînée. Je la sens jouir longuement à chaque orgasme; Son amant ne tient pas plus que moi: nous lâchons ensemble notre sperme dans son ventre.
Nous sortons de Marion satisfaits. Elle l’est plus que nous: elle nous tiens par la queue pour aller dans l’eau. Nous apprécions la chaleur de l’eau et de son corps.
Elle prend la bonne décision: si nous allions dans la chambre pour baiser à trois.
Adopté à l’unanimité. Nous sommes donc à nouveau nus dans notre chambre. Je regarde la bite de ce jeune: il est bien monté. Marion me dit qu’elle a bien pris du plaisir en l’ayant dans son sexe. La mienne elle la connais depuis longtemps, c’est pour ça que maintenant que je viens de l’enculer, je passerai devant et lui derrière.
Avant tout elle tient à se branler devant nous. Il y a longtemps qu’elle ne l’a pas fait au moins devant moi. Elle est au milieux du lit, les jambes ouvertes ses deux mains sur sa chatte, une pour le clitoris et l’autre pour se doigter. Nous bandons bien sur. Il me tarde qu’elle nous donne l’autorisation d’aller en elle. L’amusant est de voir les mouvements de ses yeux: elle regarde successivement nos bites.
Enfin, je commence à avoir mal à ma pine, je me branle un peu, je suis suivi par l’autre. Marion décidée à jouir encore avec deus bites me demande ou plutôt me supplie de venir la baiser. Je lui saute dessus comme un jeune puceau sur sa première fille.
Elle m’entoure de ses jambes, comme avant. Je murmure dans son oreille qu’il faut qu’elle soit plus chaude avec moi. Elle me dit qu’elle m’aime pour appeler aussitôt son amant: elle se tourne pour lui donner son cul.
Pendant notre séjour nous pouvons compter sur les doigts les instant où nous n’avons pas baisé.
Ceci se passait il y a trois ans. Depuis nous baisons particulièrement bien. Un peu de fantaisie débloque souvent les femmes en panne

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