Vacances En Tunisie

Cette fois, c’est la bonne. Je peux enfin prendre quelques jours de vacances. J’hésite sur ma destination. J’en ai marre de la ville, des ses bruits de ses odeurs et ses râleurs. Je cherche un endroit tranquille, mais pas le Sahara: un peu d’animation. Je ne cherche surtout pas les « club ». Je préfère me débrouiller seul. J’opte pour visiter à mon rythme la Tunisie.
Atterrissage à Tunis-Carthage, passage de la douane et de la police, parfait, Je loue une voiture juste pour me déplacer et rejoins mon hôtel pas très loin à la Baie des Singes: je passe devant une grande nécropole où reposent les tués de la guerre 1942/1943 pendant la campagne de Tunisie. Enfin me voilà rendu après 4 heures de voyages depuis chez moi. Le temps de déposer mes bagages et je ressorts pour Tunis: je suis à la recherche d’un restaurant où on mange pas mal. Je trouve mon bonheur près de la cathédrale. (Et oui, il existe une cathédrale à Tunis). La salle est comble: le maitre d’hôtel demande à une cliente si elle veut bien m’accueillir. Je peux la voir: c’est une Tunisienne qui me plait bien physiquement. Pourvu qu’elle me veuille !!!
Elle consent à ce que je déjeune avec elle. En arrivant à « notre » table je la remercie: nous entamons aussitôt une grande conversation sur rien. Rien ne mène qu’à une seule chose: flirter. Je commence à la draguer. Il semble que ça lui plaise.
Je sais pas mal de choses sur elle; elle habite Tunis, pas loin du restaurant, est gynécologue, sa vie sentimentale est totalement vide: elle vient de divorcer. Elle n’a même pas d’ ami. Je lui prends une main qu’elle ne retire pas; je la caresse et la regardant bien dans les yeux. Je reste un peu surpris quand je sens un pied sur contre le mien. J’accentue ma caresse en remontant légèrement vers le coude: elle me sourit d’un air coquin. Nous finissons le repas quand elle m’invite à prendre le café chez elle.
Ce genre d’invitation ne se refuse pas, surtout un Dimanche qui comme pour nous est férié.

Elle me fait entrer dans un bel appartement avec vue sur la Kasba. Elle va préparer le breuvage et je l’attend gentiment assis sur un divan posé sur un magnifique tapis de Kairouan. Elle reviens enfin avec deux tasses et la cafetière. Elle pose le tout sur une petite table avant de s’assoir juste en face de moi sur un fauteuil de cuir. Nous buvons le café et bavardant cette fois de chose plus sérieuse au moins pour moi: son divorce après un mariage arrangé, son manque de vie sexuelle satisfaisante pendant et après la séparation. Elle avoue même qu’il lui arrive de se contenter toute seule. Elle s’en satisfait faute de mieux.
A mon tour de lui raconter ma vie: comme elle je suis divorcé, ma femme était d’uns froideur épouvantable, et comme elle je me satisfais seul.
Nos récits nous excitent tellement que je ne peux plus me retenir. Je vais vers elle, me penche et je rencontre sa bouche qui vient à moi. Notre baiser est un peu plus que normal. Nos langues de veulent plus se quitter. Même quand elle se lève nous sommes toujours liés par nos bouches. Elle vient de serrer contre moi. Elle sent bien que je commence à bander et c’est vrai j’ai envie de cette femme. Nous allons nous assoir sur le divan pour aller plus loin. Elle passe une main derrière mon cou pendant que nous nous embrassons toujours. Mise comme elle est j’ai accès direct sur ses seins que je commence à caresser. Elle accentue son baiser, sa langue va plus loin. J’arrive à défaire les bouton de son chemisier: je trouve un soutien gorge en dentelle laissant voir toute la poitrine. Je cherche l’ouverture. C’est peut être la mode là bas, il ne reste qu’un agrafe à défaire entre les seins. Elle est torse nu, belle et encore plus désirable. J’oublie ses lèvres pour poser ma bouche sur uni mamelon que je lèche avant de le sucer: il durci rapidement. Son autre sein n’est pas à jeun de caresses.
Elle prend la bosse de mon pantalon, cherche un moment pour arriver à me sortir la queue. Elle m’étonne d’avoir été si vite, surtout qu’elle commence à me branler.
J’arrive à la faire mettre debout. Je peux facilement ôter sa jupe et sa petite culotte. Cette fois je peux lui chercher ce que je veux dans son sexe. Sa nudité ne la gêne pas du tout. Au contraire, elle en profite pour me mettre nu à mon tour. Nous revenons enlacées. Elle colle son ventre contre mon abdomen; elle sait parfaitement ce qu’il faut faire pour exciter un homme. Je me m’assoit en la gardant debout: j’ai un besoin impérieux de la sucer. Elle écarte les jambes à peine, juste pour que le bout de ma langue aille sur son clitoris. Si au tout début elle ne réagit pas, il n’en est pas de même juste un instant après. D’abord elle pose ses mains sur ma tête en ensuite commence à gémir: il dure tout le temps du cunnilingus. Elle s’assoit, les jambes bien ouvertes. Je peux aller partout dans sa féminité. Les lèvres, le clitoris , son entrée de sa grotte, tout y passe, y compris une chose qu’elle ne connait pas: ma langue sur son cul. Elle ne veux pas que je la lèche là. Et pourtant elle accepte quand elle en jouit. Elle veux me rendre la pareille. Elle me relève pour prendre ma queue dans la bouche. Je sens sa langue aller et venir sur mon gland bien durci. Elle enfourne presque toute ma pine dans la bouche. Je ne sais exactement ce qu’elle me fait en tout cas elle va me faire jouir. Je le lui dit, elle sort ma queue pour que mon sperme aille sur son visage.
Comme je débande, elle me montre ce qu’elle se fait comme masturbation: elle se lève d’abord pour aller chercher un gode et s’assoit à nouveau. Je me suis installé sur la fauteuil. Assise les jambes ouvertes, elle commence par se caresser le clitoris, se doigte à la fois. Elle est sur le point de jouir quand elle se baise avec le gode: c’est une vrai baise: elle se fait jouir.
En la regardant je recommence à bander. Elle vient sur moi, le dos contre ma poitrine pour que je la lui mette dans son trou de devant. Elle assure seule les premiers mouvements. Je sens qu’en plus elle se caresse le bouton. J’accentue la vitesse: elle suis bien, surtout qu’elle recommence à jouir.
Je la fait lever légèrement après un orgasme, juste pour la déplacer un peu vers l’avant: ma queue est juste sous son cul. Je la fais retomber. Elle ne veut pas que je la sodomise et pourtant en appuyant sur ses épaules, j’arrive, brusquement peut être, à la lui entrer. Elle commence par dire qu’elle a mal, que je sorte: je maintiens ma pine dans son anus. Je vais même le plus loin possible. Elle a ses fesses sur mes cuisses. Je la fait monter et descendre et enfin le miracle se produit: son sphincter commence à s’ouvrir et se ferme: elle jouit en gémissant et disant que c‘est bon. Elle ne veux plus que je sorte d’elle. Sa masturbation accompagner de la sodomie a sur elle un effet dévastateur: elle n’arrête pas de jouir.
A mon tour de lui donner mon sperme, cette fois pas sur son visage, dans son cul simplement.
Nous avons chaud, nous restons nus toutes la journée. Le diner est plus érotique que gustatif. Nous partageons les aliments avec nos bouches, façon habile de faire que nos langues se rencontre pour des long léchage des lèvres. Nous avons découvert qu’il était bien meilleur de lécher la langue de l’autre. Le dessert et pour elle et pour moi, c’est quand elle vient sur la table, les jambes offerte avec son clitoris. Je la suce comme un mets nouveau. Cette fois elle veut me suer à fond: en effet elle suce comme dans l’après midi: quand je lui dit que je vais jouir, elle me garde en elle. Mon sperme remplit sa bouche: en me regardant bien dans les yeux, elle avale tout pour finir en disant que s’était bon.
Je téléphone à l’hôtel pour demander la note que je passerai payer demain.
Notre nuit a été la plus érotique depuis longtemps pour l’un comme pour l’autre. J’ai passé des vacances merveilleuses. Elle a des rendez vous qu’elle a tous remis. C’est trop bon de baiser quand on aime ça.
Mes vacances tranquilles se sont révélées actives. Elle doit venir le mois prochain chez moi.

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