Vacances En Tunisie 1

Vacances en Tunisie 1

Nous avions attendu ce moment avec impatience mon épouse Estelle et moi, passer des vacances au bord de la mer à Djerba en Tunisie.
Nous étions sur place depuis deux jours, et nous profitions de l'hôtel et de la plage.
Nous sommes un couple milieu de cinquantaine et nous aimons prendre du temps lorsque nos loisirs nous le permettent.
Nous aimons le soleil, la mer et le confort d'un séjour dans un bel hôtel. Nous profitons aussi de nos séjours pour découvrir les curiosités de la cuisine locale et nous aimons bien dénicher de bons restaurants.
A la suite de quelques investigations sur internet et auprès de la réception de l'hôtel, j'ai retenu pour le soir dans un petit restaurant typique les pieds dans l'eau qui présente une carte de la mer qui semble fort intéressante.
Le restaurant était situé à quelques kilomètres, pour nous y rendre nous avons fait appel à un des nombreux taxis stationnant devant l'hôtel en espérant en trouver un pour le retour.
Il y avait peu de monde et nous avons été très bien accueillis. Un charmant jeune homme répondant au prénom d'Ali s'est chargé de nous placer à une très bonne table en terrasse prés de la mer. Il nous précisa qu'il était a notre service et a notre disposition pour quoi que ce soit. Il nous amena le menu ainsi que la carte des vins. Je lui ai fait remarquer que cela n'étai pas courant dans son pays mais que c'était une excellente attention.
Nous avons commandé du poisson une bouteille de vin blanc et pour patienter, deux cocktails.
Ils nous furent servis avec de petites choses à grignoter, il rajouta ensuite un bouquet de fleurs sur la table en complimentant mon épouse pour son élégance.
- Il est vraiment très attentionné, dis-je, et je pense que ce n'est pas pour moi.
Un haussement d'épaules et un petit coup de pied dans les chevilles nous firent changer de conversation.
La soirée fut très agréable, le repas excellent et le vin frais a souhait tant et si bien qu'Estelle était même légèrement euphorique.

Et le service n'était pas en reste.
Toute la soirée Ali à été à ses petit soins, la complimentant tour a tour pour sa beauté, sa coiffure, sa tenue, sa silhouette. Nous avons bavardé avec lui tout au long du service, parlant de notre ville, de notre hôtel, de notre séjour. En plus d'être euphorique, elle semblait enjouée par tous ces compliments. J'étais moi même, non pas surpris mais plutôt flatté qu'un garçon aussi jeune trouve ma femme aussi belle.
Au moment du départ, nous avons demandé s'il était possible d'avoir un taxi pour le retour. Il nous a répondu que c'était un peu compliqué compte tenu de l'heure, mais comme nous partions, il avait fini son service et ce serait un plaisir pour lui de nous raccompagner. Nous avons accepté.
Il ouvrit galamment la portière arrière à Estelle et m'invitât à monter à l'avant avec lui. Chemin faisant, il continua à la complimenter et certainement enhardi par mon sourire il avoua qu'il avait pensé à elle toute la soirée.
- Pensé comment? lui ai-je demandé.
- Heu!...Pensé comme l'on pense à une jolie femme, avec les conséquences qui vont avec.
J'étais de plus en plus amusé.
Estelle d'un air étonné lui pose la question:
- Et qu'elles sont les conséquences lorsque vous pensez à moi?
- Heu!...hé bien j'ai bandé toute la soirée en vous regardant, voila! c'est dit.
- Vous n'allez pas me faire croire qu'une femme de mon âge fait bander un jeune garçon comme vous.
Je fus bien étonné par la réponse de mon épouse, je pense que le l'alcool y était un peu pour quelque chose.
- Nous aimerions bien voir ça dit elle.
Nous étions en vue de notre hôtel mais il ne fit ni une ni deux, il se gara dans une contre allé et en se tortillant, il fit glisser son pantalons libérant un sexe de belle taille en pleine érection.
A la suite de mon sifflement admiratif, Estelle nous fit remarquer qu'elle ne voyait rien. Sans attendre, il descendit de l'auto et vint s'asseoir à coté d'elle à l'arrière.

- Je n'en reviens pas, dit-elle, c'est moi qui suis la cause de cette belle bite qui bande.
J'étais de plus en plus étonné par la désinvolture de mon épouse et par la hardiesse d'Ali.
- Tu ne vas pas le laisser comme cela, le pauvre garçon.
Elle me regarda dans les yeux et sans attendre pris la queue dans sa main et commença à la branler lentement. Ali prit ces aises, en se tortillant encore une fois, il fit glisser complètement son pantalon et se calla confortablement au fond du siège. La main d'Estelle allait et venait le long du mandrin dressé verticalement, elle le relâchait, lui caressait les couilles puis revenait le long de la queue dans une lente caresse. Il lui passa un bras derrière les épaules et avec une pression sans équivoque sur sa nuque, il guida son visage vers son ventre. Elle ne résista pas, et lentement elle introduisit la bite dans la bouche. Sa tête montait et descendait le long du membre au rythme de sa fellation. De temps en temps elle se dégageait, le léchait sur toute la longueur, suçotait le gland et le renfournait au fond de sa gorge. Ali semblait aux anges, il respirait bruyamment en poussant de lourds soupirs. Tout a coup, sa respiration s'accélérât, il passa la main dans les cheveux d'Estelle et se mit à lui imprimer son rythme à lui. La tète montait et descendait de plus en plus vite, jusqu'au moment ou dans un râle, il vint coller son ventre contre son vissage, je compris qu'il était en train de jouir et de lui éjaculer dans la bouche. Pour reprendre sa respiration, elle se recula et reçut les derniers jets sur le vissage et dans les cheveux.
Pour ma part, j'étais partagé entre une pointe de jalousie et une grande excitation, je pense que je bandais aussi fort que notre nouvel ami.
Après quelques instant, il s'excusa presque d'avoir joui tout seul, mais dit il, j'en avais tellement envie.
- Cela ne fait rien dit elle, je suis fière de faire encore bander un aussi jeune homme.
Il nous déposa à l'hôtel en nous disant qu'il espérait nous revoir au restaurant.

Estelle remis un peu d'ordre dans sa tenue et nous traversâmes, en catimini, le hall et les couloirs jusqu'a notre chambre.
Elle se dirigeât aussitôt vers la salle de bain et face à la glace elle aperçut les taches sur sa robe et le sperme encore collé a ses cheveux. Je suis allé vers elle, j'ai relevé sa robe sur ses hanche, arraché prestement son petit string et après m'être déboutonné, je l'ai pénétrai d'une seule poussée. Sa chatte était trempée, ma queue n'a eu aucune difficulté à s'introduire. Estelle a aussitôt tendu ses fesses vers moi en haletant et après quelques rapides vas et viens nous avons joui ensemble, elle en râlant bruyamment et moi en me déversant à long jets mon ventre collé a ses fesses.
Au matin, après une bonne nuit de sommeil;
- Nous n'avons pas été raisonnables hier au soir, me dit-elle, je pense qu'il ne faut pas recommencer.
Mais au fil de la journée elle a petit a petit trouvé de bonnes raisons pour changer d'avis, tant et si bien que le soir nous nous sommes rendu a nouveau au restaurant du bord de la plage.
Nous avons été accueillis par un Ali radieux. La soirée s'est déroulée aussi agréablement que la veille sinon mieux pour la table et le vin était toujours aussi bon. Nous avons demandé à Ali de féliciter le chef pour sa cuisine.
- C'est mon meilleur ami Ahmed, il est un peu débordé ce soir à cause du banquet dans la grande salle mais il tient à venir vous saluer.
En effet quelques instant plus tard, le chef en grande tenue est venu nous serrer la main en nous remerciant d'avoir apprécié ses plats et en s'excusant d'avoir si peu de temps.
Vint le moment du départ, Ali nous proposa de nous raccompagner. Estelle sembla réfléchir, mais cela ne dura pas et c'est elle qui acquiesça.
Nous prime le chemin du retour comme la veille et en route notre chauffer avoua que toute la journée, il avait pensé a la soirée de la veille et qu'il tenait à remercier madame à sa façon.
- De quelle façon veux-tu parler?
Sans attendre, il gara la voiture en retrait de la route, il descendit, fit le tour et ouvrit la portière arrière.
Il attira Estelle vers l'extrémité de la banquette, se pencha et l'embrassa dans le cou. Elle ne se déroba pas. Il s'enhardi et l'embrassa sur la bouche. Il défit les premier boutons de sa robe et pris un sein dans une main. Il la caressa longuement tout en continuant à l'embrasser, passant d'un sein à l'autre, faisant rouler les mamelons entre ses doigts. Son visage descendit vers la poitrine et sa bouche remplaça ses doigts. Il finit de déboutonner la robe sur toute sa longueur, et entrepris de faire glisser le slip le long des jambes. Estelle souleva ses fesses pour l'aider dans sa manœuvre. Une fois les deux jambes dégagées, il fourra le slip dans sa poche et descendit vers son ventre. Il commença à lécher son entrecuisse, tournant autour de la chatte avec sa langue. Il finit par coller sa bouche sur la fente luisante et commença à la lécher à son tour. La tête levée vers le plafond, Estelle gémissait de plaisir. Pour lui faciliter la tache, elle ouvrit ses jambes autant qu'elle put et les reposa sur les dossiers des sièges. Le mouvement de la tête s'accélérait, en plus de ses grands coup de langues sur la chatte, il mordillait les lèvres, il suçotait le clitoris, tant et si bien que, se tendant comme un arc, Estelle joui bruyamment.
Il lui laissa à peine le temps de reprendre ses esprits qu'il sorti sa queue tendue, s'allongea sur elle et la pénétra d'un seul coup. Elle poussa un feulement en avançant son bassin à chaque coup de boutoir. Il prit son temps et vaincue, elle entoura ses jambes autour de sa taille et se laissa mener à son rythme à lui. Il amplifiait les vas et viens de plus en plus rapidement. Tout à coup, elle se détendit et joui une deuxième fois en gémissant. Cela déclencha sa jouissance à lui. Il colla son ventre contre le siens, et la bite bien au fond de la chatte il libéra son sperme. A chacun de ses coups de bassin, une giclée chaude devait inonder son vagin.
A nouveau, je les avais regardés faire et à nouveaux, ma queue était tendue à me faire mal.
Ali se releva, s'essuya avec la culotte qu'il remit dans sa poche et aida Estelle à se relever. Il la remercia pour ce merveilleux moment et nous repartîmes vers l'hôtel tout proche ou il nous déposa.
- A demain j'espère! dit-il en repartant et en agitant sa main par la vitre ouverte.
Elle réajusta sa robe, remis quelques boutons et nous rentrâmes dans le hall de l'hôtel.
- Dépêchons nous, dit-elle avec un fou rire, je sens que cela coule le long de mes cuisses.
Nous avons regagnés la chambre en quatrième vitesse et à peine la porte fermée, je l'ai adossée au mur, j'ai prestement sortie ma queue et je me suis introduit d'un seul coup avec délice dans sa chatte détrempée de mouille et de foutre de son assaut précédent. Pendant que je la labourée a grands coups de reins, elle glissa sa main entre nous deux et avec ses doigts elle se mit à astiquer frénétiquement son clitoris. A ce rythme j'étais trop excité pour tenir longtemps et j'ai joui rapidement mon ventre collé contre le siens sentant ses doigts qui continuait à branler son bouton. A son tour, elle joui à nouveau en poussant de long râles bruyants.
Après un passage sous la douche, le reste de la nuit fut bienvenu pour s'octroyer un peu de repos. Au matin, Estelle était radieuse;
- Hier au soir Ali nous a dit, a demain, nous ne pouvons faire autrement que de revenir diner a son restaurant, d'autant plus qu'il reste encore à découvrir des plats qu'il nous à venté.
Je n'étais pas dupe, je comprenais bien qu'il n'y avait pas que le diner qui la poussait à vouloir y revenir, ce que je lui fis remarquer. C'est avec un haussement d'épaules qu'elle partit vers la salle de bain.
Le soir, nous voila donc retourner pour la troisième fois au restaurant de la plage.
Comme les soirs précédents, Ali fut aux petits soins, le service, les plats ainsi que le vin, tout fut parfait.
Le chef vint nous saluer, il était plus disponible que la veille et tout aussi charmant, nous l'avons à nouveau complimenté sur sa cuisine, il remercia et releva qu'Ali avait bien de la chance d'assurer le service de gens aussi sympathiques.
Ali nous proposa à nouveau de nous ramener, cette fois, il n'y eu pas d'hésitation.
Toutefois, en arrivant à la voiture, Estelle eut un petit mouvement de recul, Le chef Ahmed était déjà installé sur la banquette arrière. Ali expliqua brièvement que sans voiture ce soir là, il profitait de la course pour rentrer chez lui.
Avec un grand sourire il invita Estelle à s'installer, ce qu'elle fit après sa petite hésitation. Ensuite, tous les quatre nous primes la route habituelle pour renter à l'hôtel. Ahmed en profita pour la complimenter sur son charme et sa beauté.
- Si ce que me raconte mon ami Ali et ce dont il me parle est vrai, c'est un plaisir de vous avoir prés de soi.
- Et de quoi donc vous a parlé Ali? Dit-elle.
- Il ne tarit pas d'éloge sur vous, lui répondit il en tournant son regard vers moi.
- Mais encore, dis-je, en souriant.
Rassuré par mon sourire, il expliqua à Estelle que depuis qu'Ali lui racontait nos soirées, il fantasmait sans arrêt sur elle. Sur la douceur de sa peau, de ses mains, de sa bouche et qu'il n'avait qu'une seule envie, celle d'y gouter.
- Rien que d'imaginer tout cela, je bande tant que cela me fait mal.
- Je ne crois que ce que je vois, dit elle.
Il fit ni une ni deux, en remuant ses hanche, il fit glisser son pantalon sur ses cuisses ce qui découvrit sa queue en pleine érection. Comme pour la première fois avec Ali, elle ne résista pas et pris la bite dans sa main et d'un mouvement régulier, elle commença à le branler. Il finit de se débarrasser de son pantalon et se pencha vers sa bouche pour l'embrasser.
Une main caressait les cheveux d'Estelle et l'autre partit a la découverte de ses seins. Il déboutonna le haut de la robe, afin de les libérer. Il les malaxés l'un après l'autre, faisant rouler les tétons entre ses doigts. Sa bouche les remplaça bientôt. Après les seins, la main descendit vers son ventre, il fit remonter la robe et pour lui faciliter l'accès à sa chatte, elle ouvrit ses cuisses en grand.
Sa fente, déjà luisante, apparut aussitôt, elle ne portait pas de culotte. Décidément, je me demande ce qui pouvait encore m'étonner de la part de mon épouse.
Après quelques caresses du plat de la main, il introduisit ses doigts pour la masturber. A chaque aller et venus, son pouce lui titillait le clitoris et rapidement, elle commença à pousser de petit gémissements.
Cela ne l'empêchait pas de continuer à branler la bite qu'elle avait dans la main. De temps a autre, elle portait sa main a sa bouche et revenait branler avec de la salive dans les doigts.
Avec sa main libre, il fit pression sur sa tète et amena son visage vers son ventre. Sans cesser ses vas et vient, elle ouvrit ses lèvres et englouti la queue au fond de sa bouche. Ce fut à son tour de rapidement pousser quelques gémissements de satisfaction.
Ali conduisait un œil sur la route et l'autre sur le rétroviseur et il ne perdait rien de se qui se passé à l'arrière de sa voiture. Dés qu'il eu rejoint l'endroit ou il s'était arrêté la veille, il gara la voiture et descendit sans tarder.
Ahmed avait fait de même. La portière ouverte, il était descendu de la voiture, et avait fait mettre Estelle à genoux sur la banquette, les fesses vers l'extérieur. Il se pencha, les ouvrit avec ses mains et plongea son visage et sa bouche vers sa chate qu'il se mit à lécher a grand coup de langue.
Pendant ce temps, Ali s'était lui aussi débarrassé de son pantalon et s'était présenté à genoux sur la banquette, sa queue dressée en avant. Estelle compris l'invitation et elle se mit à le sucer à son tour.
A l'extérieur, Ahmed s'était redressé, avait saisi les hanches a deux mains et présentant sa bite contre la fente luisante de salive et de mouille, il s'introduisit d'une seule poussée. Il se mit à alterner les vas et viens, quelques uns avec lenteur, quelques autre a toute vitesse, faisant claquer son ventre contre les fesses. Ces changements de rythme déchèrent un orgasme d'Estelle. Elle lâcha la queue d'Ali et ouvrit sa bouche cherchant à reprendre sa respiration.
Cela déclencha la jouissance de son baiseur, qui, le ventre collé aux fesses, déchargeait dans sa chate avec de petits coups de reins. Ali avait fait le tour de la voiture et dés que la queue du premier fut dégagée, il s'introduisit à son tour. Cramponné aux hanches, il imprimait son rythme. Il prit son temps, une main passa sous le ventre et caressa le clitoris au rythme des aller et venue. Estelle ne tarda pas à jouir a nouveau. Il accéléra ses mouvements et jouis a son tour. Ses petits coups de queue se répétèrent tant qu'il lâchait son sperme au fond de la fente ruisselante.
Les deux garçons se rhabillèrent et nous repartîmes vers l'hôtel. Avant de nous laisser, Ahmed l'embrassa rapidement en lui souhaitant bonne nuit et c'est à l’unisson qu'ils nous dirent ; A demain!
Ce soir, Estelle eu du mal à réajuster sa robe tellement elle était chiffonnée. Elle fit au mieux pour traverser le hall, passage obligé pour rejoindre la chambre.
- Cela recommence comme hier mais en pire, me glissa t'elle à l'oreille, je sens que ma chate se vide, je pense même que cela doit gouter par terre.
Arrivé dans la chambre, elle se débarrassa se sa robe et rejoignit la salle de bain pour s'essuyer. Elle se pencha pour récupérer une serviette, il ne m'en a pas fallu davantage. J'avais déjà ma bite hors du pantalon et la prenant par les hanches, j'ai essayé de m'introduire. La chate était tellement lubrifiée que ma bite glissait une fois vers le bas, une fois vers le haut. Penchée contre la baignoire, pour me faciliter la tache, elle ouvrit ses fesses à deux mains. La queue à aussitôt était avalée par la chatte. Introduit à fond, je profitai de la douceur du lieu tout en ayant une vue plongeante sur le bas du dos.
J'eu vite fait de réfléchir, elle me devait bien cela. Je dégage ma queue, me redresse un petit peu, et la pointe sur son anus. Cette entrée m'est habituellement refusée, mais là, elle poussa vers moi ses fesses toujours ouvertes à deux mains en disant;
- Profite, j'ai envi par là aussi, encule moi!
Il ne m'en fallu pas plus pour pousser bien à fond et je me suis vu disparaître tout entier dans son petit trous tout écarquillé par la pénétration. Malgré mon excitation, j'ai pris mon temps, avec de petit vas et viens j'ai profité de cette douceur que je découvrais. Petit à petit, j'ai accéléré le rythme. Excitée elle aussi, je pense qu'elle appréciait cet assaut. Elle s'est mise à se caresser la chate a l'unissons avec mes coups de butoir, tant et si bien que nous avons jouis à l'unisson.
Le passage sous la douche avant le coucher était une nécessité. Au réveil Estelle vint m'embrasse;
- Tu sais, jusqu'à présent je ne regrette vraiment pas ces vacances, le moins que l'on puisse dire c'est qu'elle nous change du quotidiens.
- Nous faisons effectivement des choses qui nous sortent de l'ordinaire, et pour le moindre celle ne pas mettre de culotte pour sortir le soir.
- C'est normal, le premier soir tu me l'as déchirée, le deuxième soir, Ali me l'a enlevée et ne me l'a pas rendu alors j'ai décidé que cela suffisait. Je n'en remettrai pas jusqu'à notre départ.
Après une journée de farniente, nous primes pour le quatrième soir la route du restaurant préféré d'Estelle et du mien aussi d'ailleurs.
Comme à chaque foi, la soirée fut des plus agréables et après le diné, nous rentrâmes bien évidement avec la voiture d'Ali. Cette fois ci, c'est son collègue qui conduisait et Ali s'était installé à l'arrière avec Estelle.
- Nous voulions vous proposer quelque chose, dit-il. Ne pourrions-nous pas vous rejoindre dans votre chambre. Soyez rassuré, Ahmed connaît l'hôtel et les gardiens, nous garerons la voiture sur le parking du personnel et nous entrons par l'entrée de service, cela se fera ni vu ni connu.
Estelle me regarde, attend une réponse de ma part et fini par dire;
- C'est d'accord, au moins ce soir ma robe ne sera ni tachée ni froissée pour traverser le hall de l'hôtel.
Cette réflexion fit rire tout le monde et nous finirent cette discussion en donnant l'étage et le numéro de la chambre.
Ils nous déposèrent devant l'hôtel, la voiture disparut et nous avons tranquillement regagné notre chambre.
Aussitôt rentré, Estelle se débarrassa de sa robe, elle était nue dessous.
Dans le plus simple appareil, elle ouvrit en grand la baie du balcon et elle s'installa sur le lit en se recouvrant du drap.
- Tu pense qu'ils vont venir?
- Il faut leur laisser le temps d'arriver.
Quelques minutes plus tard, deux ou trois coups discrets contre la porte et je suis allé ouvrir.
Les deux compères étaient là, ils entrèrent dans la chambre et se dirigèrent vers le lit ou était allongée Estelle.
- Vous avez une très belle chambre.
- C'est au moins ce qu'il faut pour une femme aussi jolie.
En disant cela, Ali à retiré le drap et ils la découvrirent resplendissante dans sa nudité.
Les deus garçons se sont déshabillés et on rejoint Estelle sur le lit, pour ma part, je me suis installé sur le sofa, bien plus confortable que le siège de la voiture.
Ali mit à caresser les seins avec ses mains et en se penchant, il lui prit la bouche avec ses lèvres. Dés ce baiser, je vis qu'il se mit à bander, sa queue se dressant contre son ventre. Il lui saisi une main et la dirigea vers son ventre, elle comprit aussitôt l'invitation et se mit doucement à le branler.
Ahmed les regarda pendant quelques instants et se mit lui aussi à bander. Il lui prit les jambes et la fit glisser le long du lit jusqu'à ce que ses fesses atteignent le bord. Il s'agenouillât et lui ouvrant les jambes à l'équerre, il pencha sa tète et plaqua sa bouche contre la chate se mettant à l'embrasser et à la lécher.
La bite d'Ali avait remplacé sa langue dans la bouche d'Estelle, tout en continuant à la branler, elle faisait aller et venir ses lèvres tout le long. Elle passait sa langue sur le gland, descendait jusqu'à lui lécher les couilles, remontait et l'engloutissait à nouveau. Il s'allongea ensuite et après s'être relevée, lui tournant le dos, elle vint s'emmancher sur son mandrin dressé à la verticale en poussant de longs gémissements.
Ahmed en profita pour monter debout sur le lit et présenta a son tour sa queue devant la bouche. Il saisit la tète d'Estelle et la plaqua contre son ventre, ensuite, il imprima son rythme de vas et vient.
Elle était ballotée entre les allés et venue de la queue dans sa chate et ceux de la bite qui coulissait dans sa bouche. Elle se mit à pousser de plus en plus rapidement des gémissements étouffés en se tendant comme un arc, elle venait de jouir.
Elle repoussa les hanches d'Ahmed et dégagea sa bouche pour reprendre sa respiration.
Ali en profita pour se dégager, il la fit se retourner et se réintroduisit aussitôt au plus profond de sa fente. Il reprit sa bouche avec la sienne et se mit à lui pétrir les seins et à faire rouler ses tétons entre ses doigts.
Son compère s'agenouilla a nouveau et lui ouvrant les fesse a deux main, il avait devant ses yeux la bite qui allait et venait dan la chate et au dessus son petit trou tout luisant.
Il se pencha et se mit à lui embrasser puis lécher l'anus. Elle se cambra sous la caresse. En plus de la langue, il introduisit un doigt, puis deux et les fit aller et venir en cadence. Il se releva ensuite et présenta sa queue aves sa main pour l'introduire. Elle comprit son intension, se cambra d'avantage et écarta ses fesses avec ses mains. Le trou était bien lubrifié, il appuya avec son gland et l'encula d'un seul coup. Il s'introduisit entièrement dans son anus et son ventre vint buter contre les fesses toujours ouvertes à deux mains. Après un petit moment d'arrêt, les deux garçons se mirent à bouger en cadence bourrant les deux orifices en même temps. Les seins d'Estelle ballotaient au rythme des vas et viens des deux bites et elle se mit à raller bruyamment en secouant sa tète de droite à gauche.
Je n'en revenais pas de cette charge qui semblait la ravir. Assis juste en face j'avais devant les yeux ces deux bites qui allaient et venaient en cadence dans le con et dans le cul de ma chère et tendre épouse. Mais, rien ne m'étonnais plus vraiment, même pas, que, de la voir se faire baiser, enculer et prendre son pied devant moi me fasse terriblement bander. Je bandais tellement que je dus me mettre à l'aise moi aussi et j'ai fini par me débarrasser de mon pantalon.
Ils prenaient leur temps, et elle, elle n'arrêtait pas de gémir perdue dans son plaisir. Les vas et viens s'accélérèrent et j'ai eu l'impression que les trois jouissaient en même temps. Elle s'écroula sur le torse d'Ali et les dernières giclées d'Ahmed se perdirent sur son dos. Ali se dégagea à son tour et elle resta comme tétanisée dans sa position, à genoux, les fesses en l'air, les cuisses légèrement écartées. Le sperme des ses deux baiseurs s'échappait de ses orifices et goutait jusque sur les draps. Elle eu du mal à retrouver ses esprits mais fini par s'asseoir entre les deux garçons.
- Regarde dans quel état est ton maris, tu pourrais aller le soulager.
- J'ai le feu aux fesses, il me faut un peu de temps.
- Il te reste ta bouche, pas sur qu'il soit contre une bonne pipe.
C'était le monde à l'envers, voila qu'un de ses amants lui demande de faire plaisir a son mari et d'aller le sucer.
Ils la firent mettre à genoux devant moi et Ali lui guida la tête vers ma queue en érection. Elle commença à me lécher le gland, ensuite sa langue descendit le long de ma verge, elle me suçota les couilles puis remonta et m'engloutit entre ses lèvres. Elle imprima un doux vas et viens avec sa bouche en me saisissant a la base de la queue avec une de ses main. C'était divin. Je me retenais de jouir pour profiter de la caresse.
De la voir faire, Ali bandait à nouveau. Il la contourna, et vint se placer entre ses jambes légèrement écartées. Je le vis guider sa bite entre les cuisses et avec un han! De bucheron, il s'introduisit.
Elle se cabrât sous l'asseau et laissa échapper ma verge.
- Il n'encule! laissa-t-elle échapper dans un gémissement.
Il ne m'en faillait pas davantage pour jouir à mon tour. Je me suis lâché a long jets longtemps retenus qui atterrirent sure son visage et dans ses cheveux.
Ahmed qui s'était remis à bander se positionna devant le couple et me remplaça entre les lèvres d'Estelle. Il lui bloqua la tête avec ses mains et en cadence avec son comparse, il se mit à aller et venir se servant de la bouche comme d'un vagin. Là aussi, ils prirent leur temps, faisant varier leur rythme, ils accéléraient, ils ralentissaient, le corps d'Estelle était balloté par leurs a coups. Ali passa la main sous son ventre et il se mit a lui branler la chate et son clitoris avec ses doigts. Elle ne résistât pas longtemps. Elle se dégagea de la queue qui lui envahissait sa bouche et se mit à pousser de longs râles de jouissance. Ali plaqua son ventre contre ses fesses et joui a son tour entre ses reins avec de petits coups de bassin. Ahmed finit en se masturbant contre sa bouche et déchargea de longs jets de sperme qui lui maculèrent le visage.
Repus, ils l'aidèrent à s'allonger sur le lit et disparurent dans la salle de bain. A leurs retours, ils étaient habillés et après avoir dis au revoir à Estelle, je les ai raccompagnés a la porte de la chambre.
- Comme demain c'est votre dernière soirée, nous aimerions que vous soyez nos invités au restaurant et si vous nous permettez de vous raccompagner à nouveau dans votre chambre, nous voudrions lui faire une surprise qui devrait la combler.
Ils m'expliquèrent en deux mots, je leur donnais mon aval, cela devrait effectivement la combler, dans tous les sens du terme.
J'accompagné Estelle sous la douche et s'est à peine si elle s'est aperçu que je la couchais, elle s'endormit aussitôt. Au réveil, tard dans la mâtiné, je n'en revenais pas, elle était en pleine forme.
- Il me semble que je vous ai entendu chuchoter hier au soir, que vous êtes vous dit?
- Ce sont eux qui nous invitent ce soir et au retour, ils tiennent à te faire une petite surprise.
Je dus batailler toute la journée sous le flot de ses questions pour ne rien lui expliquer. Elle était un peu boudeuse en arrivant pour le diner, mais cela ne dura pas et rapidement elle retrouva sa bonne humeur habituelle.
Le repas fut grandiose, ils nous firent gouter tout un assortiment de plats, chaque fois accompagné de vin différents, tout cela contribua à détendre encore plus l'atmosphère. Ils nous raccompagnèrent comme la veille, nous déposant devant l'hôtel.
- Nous vous rejoignons, dirent-ils en me faisant un clin d'œil.
Nous avons regagné notre chambre et comme la veille, Estelle se débarrassa de sa robe et alla s'installer sur le lit pendant que j'ouvrai sur le balcon afin de laisser entrer un peu de fraicheur.
- Tu ne veux toujours pas me parler de cette surprise?
- Bien sur que non, d'ailleurs, ils m'on demandé de te bander les yeux.
En disant cela je me suis approché avec un bandeau que l'on met habituellement la nuit dans les avions. Elle me laissa le lui attacher autour de la tête et je lui dis qu'il lui suffisait d'attendre.
Quelques coups discrets contre la porte m'indiquèrent leur arrivée et je suis allé leur ouvrir.
Ils étaient là avec leur surprise.
En partant la veille, ils m'avaient dis qu'au vu de "l'appétit" d'Estelle ils voulaient venir accompagnés de deux autres de leurs amis, les deux gardiens qui les avaient laissé enter la veille. En fait de deux amis supplémentaire, je découvris qu'ils étaient trois. Je reconnus le grand black Karim qui s'occupait du room service et parfois du bar de la piscine. Ali m'expliqua que s'était aussi un ami et qu'il se trouvait la veille au soir avec les gardiens lors de leur départ. Il avait entendu que j'avais donné mon accord pour leur venue. Même sans savoir qui nous devions rencontrer, il a lui aussi voulu profiter de cette occasion.
Sans plus tarder les deux meneurs se sont déshabillés et ont rejoins Estelle sur le lit, commençant à la caresser. Me voyant installé sur le sofa, les trois autres ne savaient pas trop que prendre comme contenance. Le plus téméraire se dévêtit lui aussi, et vin rejoindre les autres sur le lit. Le quatrième avait fini par sortir son sexe de son pantalon et se masturbait en regardant le tableau devant lui. Seul le black tout en en perdant pas une miette du spectacle restait les bras ballant. Son collègue s'enhardit, il se déshabillât et rejoint lui aussi le lit.
Estelle se laissait caresser lançant ses mains à la recherche de la queue de l'un ou de l'autre. Dans ses mouvements, cela dû lui paraitre bizarre de ne pas trouver son compte de bras et de jambes tant et si bien qu'elle finit par enlever son bandeau.
- Je me doutais bien que c'est une surprise de ce genre que vous me réserviez, vous n'êtes pas raisonnable, pour quel genre de femme je vais passer.
- Ali répondit; pour une femme qui aime faire l'amour.
- Son compère rajouta; et qui aime les queues bien raides.
- C'est pour cela qu'ils ont voulus en mettre quatre à ma disposition? m'interrogeât-elle en me regardant et en laissant courir ses mains sur les bites tendues qui l'entouraient.
- Plutôt cinq; en lui faisant remarquer la présence du grand black qui se tenais toujours en retrait.
Une fois la surprise passée, elle lui dit de venir les rejoindre.
Je ne sais s'il attendait ce genre de feu vert, toujours est-il qu'il se déshabilla à son tour en se dirigeant vers le lit. Il avait la stature d'un alète et le regardant venir vers eux les mains d'Estelle mains cessèrent de papillonner et elle resta bouche bée. Lorsqu'il se tourna légèrement, je compris pourquoi. Le spectacle ne l'avait pas laissé indifférents, il bandait mais dans des proportions a peine croyables. Je n'en revenais pas qu'un homme puisse être monté de la sorte, elle non plus semble t'il. Sa queue noire dressée à la verticale au dessus de son ventre dépassait son nombril et elle était aussi large qu'un avant bras d'Estelle. Dans mon esprit l'expression bander comme un âne prenait toute sa signification.
Comme hypnotisée, elle le regarda s'approcher, sa queue tendue se balançant de droite à gauche. Elle tendit son bras pour la saisir, sa main avait peine a en faire le tour. Elle avança son autre bras et après l'avoir saisi elle commença à le branler avec ses deux mains.
Ali se mit à rire.
- Lorsque Karin se joint à nous, il crée toujours la sensation.
Nous regardions tous les mains coulisser le long de ce mandrin disproportionné. Elle approcha son visage, se caressa les joues avec le gland et essaya de le faire entrer dans sa bouche pour le sucer. En écarquillant ses lèvres, elle y parvint en partie mais elle préféra continuer à lui lécher le bout tout en continuant à le masturber mais d'une seule main. Lun des garçons s'était approprié l'autre pour se faire branler à son tour. Ils reprirent leurs caresses, qui un sein, qui l'autre, deux mains lui écartèrent les jambes et aussitôt l'un d'eux se pencha et sa bouche vint se plaquer contre sa chate et commença à la lécher.
A partir de ce moment tout s'accéléra.
Celui qui était penché sur sa chate s'est relevé et l'attirant vers lui il la pénétra d'un seul coup. Un autre avait remplacé la queue du black dans sa bouche et se faisait sucer, et elle branlait en plus une queue avec chaque main. Celui qui la pilonnait devait était certainement très excité, il joui rapidement. Il se retira, aussitôt remplacé par son collègue qui se mit à son tour en mouvement avec d'amples coups de reins. Estelle poussait des gémissements étouffés par l'une ou par l'autre des bites qu'elle suçait tour à tour. Le second joui à son tour en arque boutant son ventre contre le sien, sa queue bien figée au fond du vagin. C'est Ahmed qui prit sa place en suivant. Il pointa sa bite avec la main et d'un coup, il n'eut aucun mal à se glisser dans la fente entrouverte. Lui aussi se laissa aller rapidement, jouissant avec de grands râles. A peine s'était il dégagé qu'Ali la pénétra a son tour. S'en était trop, dans un feulement bruyant, elle joui une première fois. Encouragé par les râles d'Estelle, sa queue allait et venait dans la chate à un rythme endiablé, et lui aussi joui rapidement. Il se retira la laissant les jambes ouverte, la chate entrebâillée et luisante de mouille et de sperme des assauts précédents. Ahmed qui avait repris son souffle incita Karim à la prendre à son tour.
- Avec douceur s'il te plait, nous allons t'aider.
Avec un des garçons, ils prirent chacun une jambe pour les maintenir a la verticale et écartées a l'équerre. Dans cette position, les lèvres étaient grandes ouverte et la fente de la chate entrebâillée, on apercevait même poindre le clitoris tout raide dépassant de son capuchon protecteur.
Karin vint se positionner la queue en avant et avec précaution, il commença à la guider entre les cuisses. Petit à petit, il parvint à l'introduire a fond et il entama lentement des vas et viens, se dégagent en partie et s'enfonçant à nouveau. Estelle avait les yeux fermés sa tête ballottant de droite à gauche elle respirait de plus en plus bruyamment sous les aller et venus de ce mandrin qui la comblait comme jamais. La grosse queue noire sortait presque entièrement puis replongeait lentement au fond de la chate détrempée. D'un coup Estelle s'arque boutât et joui à nouveau. Dans le mouvement, il joui a son tour, mais désarçonné, sa queue se retira et il fini de décharger a long traits sur la chate béante et sur son ventre.
Le tableau de cet énorme pieu noir coulissant entre les cuisses blanches n'avait pas laissé les autres garçons insensibles et tous bandaient à nouveau de plus belle. Même Karim, le dernier à avoir joui et qui retrouvait son souffle, avait sa queue presque toujours aussi impressionnante.
Estelle reprenait lentement ses esprits, elle fini par rouvrir les yeux et sourit à la ronde, elle semblait comblée.
Ali se pencha vers elle, il lui prit une main, la posa sur sa bite dressée et en lui mordillant le lobe de l'oreille lui dit;
- Tu sens, on a encore envie, tu veux bien!....
Elle referma les yeux en faisant oui de la tête.
Ali s’installa confortablement, assis en haut du lit, le dos au mur, les jambes légèrement écartées. Estelle compris l’invitation, elle se mit a genoux entre les jambes, se pencha, se saisit de la queue dressée et la prit en bouche. Elle se mit lentement à le sucer, faisant aller et venir lentement ses lèvres le long de la colonne. Ali soupira de plaisir.
Penchée en avant, les fesses cambrées d’Estelle étaient une invitation à laquelle Ahmed répondit sans attendre. Il vint se positionner derrière elle, lui entrouvrit les jambes et se mit à la caresser avec ses mains. Il lui écartait les lèvres, faisant aller et venir ses doigts de la fente détrempée jusqu'à son petit trou dans lequel il finit par introduire son pouce. Il se saisit ensuite de sa bite, et sans efforts l’introduisit dans la chate. Apres quelques vas et vient, il se dégageât, il se pointa sur son anus et d’une vigoureuse poussée il la sodomisa. Elle se cabra sous la poussée en lâchant la bite qui occupait sa bouche. Ali la rappela aussitôt à l’ordre, en lui saisissant la tête pour la ramener contre son ventre. Docilement elle se remit à le sucer en le branlant lentement avec une main.
Sous les coups de boutoir de son enculeur, ses seins ballottaient dans tous les sens.
Les deux autres garçons se branlaient en profitant du spectacle et Karin avait prit place à mes coté sur le sofa, sa queue à nouveau dressée vers le plafond. Les allez et venues d’Ahmed s’accélérèrent et il jouit bruyamment son ventre collé contre les fesses. Soulagé il se dégageât et aussitôt l’un des garçons pris sa place en l’enculant à son tour. L’autre ni tenant plus se mit a lui pétrir les seins avec sa main libre, continuant a se branler de plus belle avec l’autre. Il finit par jouir en déchargeant sur le dos et dans le cou d’Estelle. Celui qui pilonnait son anus ne tint pas plus longtemps, en se cambrant il jouit avec de petits coups de rein et se dégageant, les derniers jets s’étalèrent sur ses fesses.
Voyant la place libre, Karim s’est levé et se positionna à son tour. Il saisi sa grosse bite noire a la main et fit coulisser son gland de haut en bas dans la raie des fesses détrempée. J’eu peur pour elle, mais non, il devait connaître les aléas de son engin et c’est dans sa chate qu’il s’introduisit d’une lente poussée. Pour l’aider dans sa manœuvre, sans que sa bouche ne quitte la bite d’Ali qu’elle suçait toujours, elle se contorsionna et ouvrit ses fesses à deux mains. Lorsque la queue fut avalée jusqu'à la garde ils poussèrent à l’unisson un grognement de satisfaction. Elle laissa échapper dans un souffle ;
- Oufff ! Que c’est gros !
Seul tous les trois restaient en action sur le lit en bataille, les autres préparaient déjà leur départ en se rhabillant. Karim pour sa part, il prit son temps, il allait et venait lentement, se dégageait presque entièrement et replongeait à nouveau son ventre contre ses fesses. Je n’en revenais pas qu’une telle queue trouve sa place. A chaque dégagement elle poussait un soupir étouffé et à chaque introduction lorsque le ventre était collé à ses fesses elle les remuait dans tous les sens comme pour la sentir encore plus bien au fond. Elle avait toujours la queue d'Ali dans sa bouche, elle la suçait avec application, coulissant ses lèvres de haut en bas. Elle l'avait repris d'une main et le masturbait en même temps. De sa main libre passée sous son ventre elle se caressait à la fois son clitoris et la base de la bite de Karim. Elle accéléra bientôt le mouvement de ses doigts sur son boutons et joui en grognant et en gigotant dans tous les sens coincée entre la queue dans sa bouche et celle au fond de son vagin. Cela déclencha la jouissance des deux garçons. Désarçonné par les mouvements incontrôlés d'Estelle, la queue de Karim s'était échappé de son refuge et il déchargeait à long jets de spermes dans la raie des fesses, maculant la chate restée entrouverte, propulsant les derniers jets jusque sur son dos. Ali se son coté avait commencé à se vider bien callé contre ses lèvres, l'obligeant à avaler les premières giclées mais sa queue échappa a la bouche et les derniers jets atterrirent sur son visage et dans ses cheveux.
Après avoir repris leur souffle, les deux garçons ont entrepris de se rhabiller. Quelques minutes plus tard, il ne resta qu'Ali et Ahmed dans la chambre, les trois autres s’était éclipsés sans faire de bruit.
J'avais aidé Estelle à s'essuyer et à se recoucher. Tous les deux se sont approchés et en se penchant l'ont embrassés à tour de rôle en la remerciant pour les bons moments passé avec elle. Après les avoir raccompagnés à la porte de la chambre je suis revenu auprès de ma femme toujours allongée sur le lit en bataille.
- Je suis complètement moulut, si tu à envie, je ne peu rien pour toi pour le moment.
Avoir envie, c'est le moins que l'on puisse dire. Je bandais depuis le début de la soirée et je l'avais laissée s'ébattre avec ses prétendants sans me mêler à eux. Il fallait que je jouisse moi aussi. Je me suis masturbé contre sa poitrine et rapidement j'ai longuement déchargé entre ses seins.
Après être passé sous la douche et après avoir enlevé le drap maculé qui recouvrait le lit nous nous sommes endormis l'un contre l'autre.
Au matin du dernier jour, je l'ai laissée endormie et je me suis levé pour la dernière excursion de la semaine à laquelle elle n'avait pas voulu venir.
Je l'ai retrouvée dans le courant de l'après midi, fraiche et dispo avec les bagages pratiquement bouclé pour notre départ dans la soirée. Un petit saut de puce, nous devions changer de station et donc d'hôtel pour la semaine suivante.
Je lui raconte rapidement ma journée et elle me fait part de son déjeuner avec une dame de notre âge avec qui nous avions bavardés a plusieurs reprise.
- Tu vois, celle dont tu me disais toi-même qu’elle avait l’air sympathique. A peine installée, elle s’est approché, m’a demandé si j’étais seule et suite a ma réponse elle m’a demandé si elle pouvait se joindre a moi. Elle s’est présentée, Eliane, nous avons bavardé de chose et d’autre et elle a fini par ne dire qu’elle avait quelque chose à m’avouer.
- Cela me gène un peu, mais je vous en fait part quant même. Ma chambre était contiguë avec la votre et vous m’avez empêché de dormir toutes les nuits de la semaine.
Devant ma mine gênée, elle eu un large sourire.
- Ne vous en voulez pas, cela m’a permis de fantasmer tous les soirs. C’est dommage que mon séjour se termine.
- Il se termine aussi pour nous.
Je lui ai expliqué que nous partions le soir même pour une autre station et un autre hôtel, pour une nouvelle semaine de vacances.
Et bien, le hasard !!!!
- Figure toi qu’elle va poursuivre ses vacances dans le même hôtel que nous. Finalement nous avons passé l’après midi ensemble à bavarder à la piscine. Elle vit seule, elle à perdu son maris au retour des vacances l'année précédente. Ils venaient tous les ans, une année ici et une année à l'autre hôtel. Mais la conversation revenait toujours sur cette semaine, elle était vraiment curieuse d’en savoir davantage sur nos frasques de tous les soirs. Je lui ai promis qu’à notre arrivée, nous dînerions ensemble et que nous lui expliquerions.
Le lendemain de notre arrivée, nous avons donc dînés tous les trois et Estelle lui a compté nos aventures par le menu, en n’oubliant aucun détail.
Ce fut le début d’un seconde folle semaine, mais là, c’est une autre histoire.


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