Martine &Amp; Eric

Brigitte
Brigitte faisait celle qui ne voulait pas connaître l'amour. Elle avait été échaudée quelques fois par surtout un grand brun qui lui plaisait pas mal. Une nuit en sortant d'une boite, il l'invitait pour un dernier verre. Martine un peu partie acceptait. Ce dernier verre se finissait dans un lit ou Martine à peine consentante se laissait faire. Il la baisait plusieurs fois. Elle s'échappait difficilement. Elle faisait le vœu de ne plus céder à un homme avant que son sœur soit ouvert.
Une soirée avec sa famille a suffit pour qu'elle change d'avis. Éric le copain de son frère faisait parti de ceux qui plaisent, comme ça naturellement. Ils étaient l'un près de l'autre, sans plus. Tout c'est déroulé naturellement. Contrairement à la dernière fois c'est elle qui cherchait le mâle, comme une chienne qu'elle devenait.
Ne voulant pas passer pour une fille facile, elle refusait au premier rendez vous. Elle devait se contenter seule dans son lit le soir même. Nue, elle caressait ses seins, ses cuisses, venait sur le pubis peigner les quelques poils. Son désir était si important qu'elle mettait doucement dans sa chatte plus que mouillée deux doigts. Elle se doigtait longuement avant de passer un autre doigt sur son anus. Elle aimait se masturber l'arrière train. Son anus bien mouillé par son jus qui coulait dans ses cuisses permettait un bonne branlette. C'est ce qui la faisait toujours partir vers son ciel étoilé. Ce faisant, elle ne bâtissait que sa prochaine nuit d'amour.
Le désir de Martine était visible quand Éric la rencontre. La discution de savoir où il vont ne dure pas, Éric l'invite chez lui.
Il possède un grand lit,une belle salle de main, un beau séjour. Martine est emballée par le séjour. Il y règne encore une bonne odeur de sexe, masculin et féminin : cette pièce suinte l'amour. Toutes ses phéromones agissent sur Martine, déjà offrande sur l'autel des baises d’Éric. Quand Éric veut l'embrasser pour commencer, il tombe sur bouche ouverte, prête à lui manger sa langue.


Martine a envie d'une suite profonde, longue, grande qui dure longtemps à la mesure de son désir. La bouche du garçon est à peine dans le cou, qu'elle tend ses seins. Quand il suce les seins, elle voudrait que ses lèvres soient plus bas, bien plus bas.
Elle n'y tient plus, contrairement à ses principes à ses habitudes, elle touche la queue a travers le pantalon. Il lui tarde qu’elle se manifeste en elle. Excité par Martine, Éric sort sa queue. Il est prêt à la mettre là où elle veut : lui préférerait la faire coulisser dans le sexe.
Les vêtements éparpillés dans la pièce ne les gênent plus. Éric pousse doucement Marine vers le grand divan. Elle se laisse faire, ses lèvres toujours contre celle d’Éric. La pine est contre le ventre de Marine, qui aime ce contact, prélude à une bonne introduction. Elle s'imagine que la bite n'est pas assez grosse. Elle la pompe dans sa main, en faisant coulisser le prépuce le long du fût principal.
Éric doit l'arrêter sinon il juterait rapidement. Il arrive à la faire s’asseoir sur le divan. Il écarte ses jambes, passe sa tête, monte doucement avec une lenteur calculée, même s'il bande. Après être monté en l'embrasant entre les cuisses, il arrive au point de non retour. Il sent les odeurs excitantes de la fille, qui elle sent son souffle rapide sur son sexe. Avant qu'il lui fasse quelque chose d’agréable, elle pose les jambes sur ses épaules, dans un signe d'abandon total. La cyprine coule en abondance, même entre les fesses.
Martine est prête pour une union orgasmique. Éric trouve une place plus que confortable pour sa bouche. Il avale d'abord ce qu'il trouve, les lèvres qu'il lèche lentement, les clitoris qu'il caresse. Martine commence à ronronner comme une chatte. C'est bon pour elle. Éric passe deux doigts dans le vagin. Il lui fait l'amour, comme chante l'autre, avec deux doigts. Il ignore ses cris de plaisirs.
Elle jouit quand il a mit la langue dans le vagin. Pour Éric il reste le principal : la baiser, la niquer.
Il se relève un peu, donne sa langue pleine de jus féminin à sucer à Martine qui se régale de son suc. En se relevant un peu il accède au trésor de l'entrejambe. Sa queue a grossit d'une façon inimaginable. Il a presque peine à pénétrer ce con ouvert qui en a connu d'autre. Quand il entre ça fait un ploc. Elle reçoit le mandrin avec un grand soupir de soulagement : enfin remplie.
Martine se laisse baiser, mais elle a une autre idée en tête. Elle fait sortir Éric, le fait légèrement changer de place. C'est elle qui place la pine sur son cul. Elle pousse ce qu'il faut pour faire sodomiser. Elle remue à peine pour bien placer la bite dans ses boyaux.
Martine ouvre en grand son compas en tenant ses jambes avec ses mains. Elle ne déguste que la pine dans son anus. Son nirvana, son ciel, son paradis. Elle accompagne les allers et venues. Elle jouit autour de la queue plusieurs fois. Elle sens surtout les spasmes d’Éric elle le sent venir en elle. Elle le force à poses sa langue sur le cul encore gémissant. Il lèche sa semence qu'il partage dans un immonde baiser.

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