Le Chantier (15)

J’ai commencé mon travail et j’ai obtenu un poste d’assistante pour Nadia, nous fêtons ces bonnes nouvelles un verre de champagne à la main et comme à notre habitude, nous commençons à être pompettes.

• Je manque à tous mes devoirs, Valérie, j’ai vu tes jumelles tout à l’heure.
• Et tu as vu la ligne bleue des Vosges.
• Pardon ?
• Avec mes jumelles.
• Marrant Valérie, je me bidonne, tes filles, tes jumelles.
• À celle-là, elles vont bien.
• Arrête de picoler, tu dis n’importe quoi.
Elles te donnent un gros baiser.
• Donc deux.
• Pardon ?
• Pas un gros baiser mais deux puisqu’elles sont deux.
• Arrête, tu es soûlante avec tes blagues à trois balles.
• Je suis sérieuse, comment cela va avec Sylvain.

Quelle vieille idiote, comment puis-je être aussi débile, lui demander des nouvelles de son amant avec mes filles, je dois arrêter de boire, je perds tout jugement.

• N’aie pas peur, j’assume, Sylvain a eu deux effets sur moi.
Le premier, c’est qu’à mon âge, je pouvais encore séduire même un jeune homme et la deuxième cela a été l’occasion de quitter Hugo et de prendre beaucoup de bon temps avec vous.
Jamais ma vie n’a été aussi trépidante et mes parties génitales aussi bien sollicitées. Vous m’avez fait connaître des choses exceptionnelles et cela va continuer, j’en suis sûr.
Justement tes filles.
• Ma paire de jumelle ?
• Arrête, je vais m’énerver et tes fesses vont s’en souvenir surtout qu’elles sont nues.
• Mes filles, mes jumelles.
• Elles t’embrassent et en ce qui concerne Sylvain après c’être excusé de me l’avoir soufflé, si j’ai bien compris, ils ont établi un ménage à trois et tes deux filles le prennent en sandwich.
Ils semblent heureux ensemble.

C’est à ce moment que nos deux sexes sur pattes nous rejoignent.

• Mauvaises nouvelles, nous avons fini les crépis et démonté les échafaudages et nous partons demain matin pour Bordeaux vers un nouveau chantier.


• Nous malheureux de partir mais je veux venir vous voir et toi Maryse, car je t’aime.
• Nous sommes deux, j’espère que nous garderons le contact.
• Mieux que cela, j’ai des propositions, attention, honnêtes à vous faire.

J’explique à tous les idées qui me sont venues en visitant le chantier, Petrov adhère à cent pour cent et va me faire une demande de poste.
Pour Christian, il me suit entièrement et va suivre la formation où je vais l’inscrire dans le cadre d’une reconversion.
Petrov va postuler pour le poste de gardien, je pense qu’il a quatre-vingt-dix-neuf virgules neuf pourcents de chance de l’obtenir, je connais trois femelles qui vont agir dans ce sens, ce sont les louves qu’ont se le disent.
Quant à Christian, après une formation pour adultes comme maître-nageur sauveteur, le poste de responsable de la partie nautique des choses lui reviendra et vu sa carrure, il sera formidable à ce poste.
Je sais, on va me dire que je me sers de mon poste pour placer mes pions, je l’assume, et même je le revendique, ni Petrov ni Christian ne sont mariés ni pacsés avec nous, aucun conflit d’intérêt.

J’ouvre une deuxième bouteille de champ et nous terminons le reste de la nuit dans une gigantesque partouze où nous nous servons des sexes des uns ou des autres pour faire éclater nos corps. Nous sommes tombés d’accord que nos deux sexes vont partir à Bordeaux pour éviter les ragots pendant que nous agirons pour leur faire obtenir les postes, les numéros de portables vont nous servir pour rester en contact avec eux et les tenir informés de l’avancée de leurs engagements.
Je tiens une dernière fois à sentir leurs deux bites de chaque côté avant et arrière de mon corps entièrement disponible à les recevoir.
Je regrette ce début d’hiver qui nous prive de la piscine, si tout va bien l’an prochain, je ferais poser un abri et un chauffage de l’eau.
Ce que je regrette le plus c’est mon lit de plaisir plus facile pour faire des jeux qu’un canapé ou un simple lit.

Le réveil du matin, par le soleil me, manque aussi.
Lorsque mes deux verges me remplissent, je mesure tout le chemin parcouru depuis le début de l’été où ce lit était exclusivement réservé à des siestes et des séances de bronzage.
Bronzage qui est intégral cette année car chaque millimètre de mon corps a été caressé par les rayons de notre dieu-soleil.
Pour notre dernière soirée avant des semaines, je réunis les deux sexes de mes amants dans ma bouche et en point d’orgue de nos ébats, j’avale leurs deux foutres qui se mélangent dans ma bouche.
Au matin, avant que je parte à mon travail après avoir embrassé Petrov et Christian, nous regardons la grue soulever la cabane à chantier, où nous avons passé un été plein de luxure.
Je passe à la mairie faire valider le contrat de Nadia auprès du Maire.
Elle commencera auprès de moi dès lundi prochain.
Une fois de plus il essaye de me choper, je lui échappe de justesse.

• Samedi, tu subiras encore plus chaque fois que tu me fais un refus.

J’adore ces menaces, il a tellement l’air sûr de lui, que j’ai qu’une hâte de voir ce qu’il est capable de faire avec sa bite monstrueuse dans la catégorie poupée.
Je repasse chez moi pour récupérer Nadia et lui faire découvrir nos bureaux.
Tenu de combat pour les deux, j’ai une petite idée derrière la tête avec Lionel.

Lorsque nous pénétrons sur le chantier par la grande porte étant la reine de ces lieux où Lionel arrive rapidement.
Il est étonné que nous soyons deux, mais semble avoir le gabarit pour assurer.
Nadia est très contente de constater la luminosité des pièces.
Mon bureau le plus vaste est encadré par deux autres bureaux.
Immédiatement Nadia me désigne celui où elle souhaite travailler les bureaux sont dans un coin et deux ouvriers envoyés par le Maire attendent de les mettre en place.
Je dirige la manœuvre et rapidement ils s’éclipsent le travail terminé.

Je m’appuie sur le bureau donnant l’impression d’être fatigué.

• Tu as déjà vu une aussi jolie femme beau gosse.

C’est Nadia qui vient de lâcher ces mots toute en s’approchant de moi.

• Regarde, avant de venir, elle m’a dit qu’elle avait envie de toi et c’est même préparée en enlevant sa culotte.

En même temps, elle soulève ma jupe montrant l’intégralité de ma chatte.

• Tu veux y goûter, la salope mouille pour toi. ... Avance.

Un instant hésitant Lionel les yeux exorbités fait un pas en avant, il semble hésité me regarde.

• Pardon, vous êtes belle, mais j’aime ma femme et je suis fidèle.

Sur ces mots, il tourne les talons et quitte le bureau.

• Valérie, c’est ce qui s’appelle se prendre un vent.

Elle me tombe dans les bras et toutes deux, nous éclatons de rire.
Étant retourné chez moi sans revoir le chef de chantier au retour de Maryse, nous avons recommençons à rigoler.

Le samedi arrive et comme prévu Pierre sonne.
Nous sommes prêtes en tenue de combat. Nous sommes allées à Toulouse le jeudi où Maryse était libre de cours tout l’après-midi pour refaire notre garde-robe.

• Bonjours mesdames, je vais rentrer ma voiture dans votre garage.

Aucun problème mais je m’interroge sur son but.
Je vais ouvrir et il entre.
La porte basculante fermée, il sort de son coffre une première cagoule noire.

• Valérie met cette cagoule et cette boule dans la bouche de Nadia et après celles qui sont pour Maryse.

Je sais qu’il a le droit de faire ce qu’il veut alors je suis ses ordres.
La cagoule que j’ai en main à des fermetures pour dégager les oreilles et les yeux.
Rapidement nous sommes affublées des boules dans la bouche des cagoules avec juste un trou pour notre nez nous permettant de respirer.
Vous me dites, je n’entends rien, pardon, ne vois rien, c’est comme cela que je peux transmettre l’impression que je ressens avec cette cagoule sur la tête.

Certains bruits m’arrivent tout de même mais très assourdis comme, lorsque l’on met la tête sous l’eau.
Je sens une main prendre ma main et dans le mouvement une menotte est placée dessus. L’autre main suit et je me retrouve menotté et placé dans une voiture.
Nous semblons être toutes les trois sur la banquette arrière lorsque la voiture démarre.
Le noir, nos oreilles bouchées à partir de ce moment le stress monte en moi.
Où ai-je entraîné les filles ?
Pierre semble être un malade.
Va-t-on, nous retrouver au fond de la rivière tuée par ce maniaque ?
Serait-il un tueur en série qui profite de sa situation sociale pour amener des filles sottes comme nous qui viennent volontairement se mettre dans ses pattes ?
La voiture roule, tourne à droite puis à gauche lorsque des mains se posent sur les miennes.
Ce sont celles d’une des filles et je sens qu’elle tremble.
J’essaye de la réconforter, mais je me rends compte que sans la parole les choses sont plus difficiles.
Combien de temps roulons-nous, je dois dire que j’ai perdu la notion du temps.
Es-je dormi. J’aimerais le dire, mais à un moment la voiture s’arrête, puis repart puis quelques mètres il semble que nous soyons arrivés.
Il nous a fait sortir et nous attendons debout dans l’impossibilité de savoir ce qu’il manigance.
Mes vêtements s’en vont un par un et Pierre je suppose me tire par les menottes.
Il a dû s’occuper de Maryse et de Nadia, car le temps m’a paru long.
Il me fait descendre des marches prenant beaucoup de soin à ce que je tienne s une rampe afin que j’arrive entière en bas.
Il me tire les mains vers le bas et je sens une surface dure. Il fait glisser ma main sur toute la longueur me montrant que c’est une sorte de banc que je touche.
Un mouvement sur les poignets m’oblige pour éviter la douleur de m’agenouiller, les seins posés sur le banc.
Il m’enlève les menottes, mais avant que je n’aie le temps de réagir, ma main droite puis la gauche sont prises dans des bracelets qui doivent avoir une surface en velours pour éviter les blessures.
Il en fait de même avec mes mollets après m’avoir fait écarter les jambes.
Le velours me rassure quelqu’un qui en voudrait à notre vie nous ferait souffrir sans prendre de précaution.
Je pense que Pierre va nous faire souffrir mais souffrance de jeux, Pierre semble être un sado qui prend son pied en nous humiliant.
Reste à savoir si les louves en bien mauvaise posture aimeraient être des femmes masos.
Une longue attente me fait gamberger, car je m’ennuie ferme dans la position qu’il m’a fait prendre.
Le temps me paraît long surtout au bout d’un moment ou la position me pèse.
Mes mains attachées au sol ainsi que mes jambes immobilisées commencent à me tirer, je cherche à changer de position, mais hormis ma tête mon corps est dans l’impossibilité de bouger.
Alors que je m’étais assoupi une main passe doucement sur ma chute de rein jusqu’à ma nuque pour mieux redescendre et venir caresser les côtés de mes seins.
Je dois reconnaître que ces mouvements pratiqués sur tout mon corps finissent par me faire mouiller.
Que Pierre malgré sa petite bite vienne me la mettre, car je promets d’en tirer le maximum de plaisir.
Ma position et le fait de ne rien voir ni de rien entendre m’oblige à faire un monologue pour exprimer les sensations bizarres que la situation que je vis me procures.
C’est à ce moment-là que le premier coup de lanière s’abat sur mon postérieur…

Comments:

No comments!

Please sign up or log in to post a comment!