Vacances À La Ferme ...

Avoir plus de dix sept ans et être obligé de suivre ses parents lorsqu’ils décident d’aller quinze jours en vacances dans un gite rural c’est une vraie galère
Laisser ses copains et surtout sa petite amie m’arrache les tripes, en pleine campagne et pour paysage des champs des arbres pas un seul commerce a moins de cinq kilomètres, mes parents sont furax de voir que je ne veux pas les suivre dans leurs visites rurales à chier !
Le premier soir dans ma chambre sous les toits, derrière la cloison en carton ou placo qui parait mince, j’ai entendu de la ‘grande musique’ genre opéra, accompagnées de bruits sourds comme si quelqu’un sautait sur le vieux plancher, excédé j’ai tapé a la cloison, la mélodie et les bruits ont cessés d’un coup mais très vite ils ont étés remplacés par des plaintes que je devines féminines, soit des pleurs, soit des gémissements comme ceux que pousse ma copine lorsque je la caresse
A nouveau je frappe un coup bref suivis de deux autres, comme un code, une fois, deux fois, enfin ‘ça’ cesse et ‘ça’ répond, aussitôt une voix de femme me parvient par la fenêtre ouverte a cause de la chaleur

- Héo ? Héo ? C’est toi le vacancier ? approche !
- Salut, c’est toi qui fais ce vacarme ?
- D’abord ce n’est pas du vacarme ! si tu veux discuter tu peux venir sous ma fenêtre en marchant sur les tuiles, mais attention interdiction de pénétrer dans ma chambre !
- OK j’arrive …

C’est la fille des propriétaires qui doit avoie a quelque chose prés mon âge, une brunette a queue de cheval, pas trop mal gaulée, mais la place est prise, un garçon vient lui rendre visite en scooter tous les jours, donc a oublier ! J’avance avec précaution sur les tuiles, la fille est penchée a la fenêtre, lumière éteinte, je distingue un marcel bien trop large pour elle, par les emmanchures je devine une belle paire de loches, pour le bas je ne saurais dire …

- Salut, moi c’est Maude et toi ? Romuald t’es en vacance, c’est ça ?
- Oui, c’était quoi ce boucan
- Le premier ? hé bien je fais de la danse classique depuis toute petite, ça résonne sur le plancher
- En tutu ?
- Non, j’ai grandi et il est trop petit, ma mère gueulait parce que mon père voulais que je continue à danser devant lui ont voyait tout, elle a menacé de le dénoncer aux flics, alors j’ai arrêté, quand je suis seule je le fais nue
- Tu étais donc à poil tout à l’heure ?
- Bien sûr, quand tu as tapé ça m’a excitée de savoir que tu étais juste derrière la cloison alors je me suis caressée
- Masturbée ?
- Masturbée, branlée comme tu veux ! mais ça m’a fais du bien, nous le faisons souvent avec Lionel, mon copain
- Vous couchez ensemble ?
- Il y a belle lurette ! mais il commence à se lasser de me monter dessus a chaque instants, alors nous organisons de parties de masturbations face a face, son fantasme c’est de me faire danser nue devant ses copains, moyennant une petite participation pour entretenir son club !
- Son club ?
- Ses parents sont fermiers, comme les miens, et dans une ancienne étable il a fait un ‘club’ avec un comptoir sur lequel il me fait danser, boule à facettes, frigo avec des bières etc.

etc.
- Ben dit donc...
- Si tu veux demain je lui demande de t’inviter, c’est seulement à trois kilomètres d’ici
- Tu danserais ?
- Sans doute, nous pourrions aussi nous caresser les uns devant les autres
- Hooouuuua ! vous ne vous emmerdez pas à la campagne !
- C’est justement parce qu’ont s’emmerdent qu’ont fais ça !
- Bon hé bien je vais me coucher
- Humm-humm, tu bande n’est-ce pas ? tu veux aller te branler dans ta chambre ?
- C’est ta faute avec tout ce que tu me raconte c’est normal
- Toi tu as un sérieux besoin de connaitre Lionel ! soit dans la cour demain a quatorze heures
- Ha chouette ! a demain Maude !

Je me suis masturbé comme un forcené deux fois de suite, je voyais cette fille nue faisant des pointes et des grands écarts lui ouvrant la chatte, ils se branlent face à face ? Est-ce que je serais capable d’assurer ?

Le lendemain matin mes parents sont stupéfaits de me voir de si bonne humeur, ils ont déchantés lorsque je leur ai dis que je ne les suivais pas en balade une fois de plus ! Ma mère m’a demandé pourquoi j’avais de cernes sous les yeux, si elle savait pourquoi… heureusement que j’avais des mouchoirs en papier pour décharger dedans !

Le lendemain à l’heure dite je traine dans la cour de la ferme, un bruit de scooter échappement libre fait sortir Maude de chez elle, elle coure vers Lionel qui roule sans casque et lui roule un patin d’enfer

- Approche Romuald, chéri, je te présent notre vacancier, il se fait chier tout seul, si nous l’invitions au club ?
- Pourquoi pas, justement je voulais tester un truc avec toi
- Ha bon ? c’est quoi
- Lulu notre ouvrier, il est un peu simplet mais très gentil, je voulais que tu te montre a poil devant lui pour l’exciter ! il n’a pas baiser depuis des années !
- Je veux bien mais il ne me touche pas hein ?
- Promis ! aller monte Romuald, ont peut tenir a trois sur cet engin, pour trois kilomètres ça va le faire, mais sortons de la cour pour pas que ses parents le voit

Après avoir faillit prendre le fossé plusieurs fois nous voici dans une autre cour de ferme, il ouvre une vielle porte, nous pénétrons dans ce qui ressemble a une ancienne étable mais qui sent toujours très fort la vache ! Un semblant de comptoir de bar assez large pour que quelqu’un puisse se mouvoir dessus et trois hauts tabourets, tout ça fait maison, pour seul éclairage une boule a facettes ringarde mais qui fait son effet, le sol en béton est juste propre, dans un coin sombre une épaisseur de paille recouverte d’une vielle couverture… je me demande a quoi peut servir une telle couche ?? !!

- Voilà notre repaire ! qu’est-ce que t’en dit ?
- Super !
- Ici ont fait ce qu’on veut, une fois la porte fermée a double tours nous somment chez nous
- Que fait-ont chéri ?
- Tu veux danser pour le vacancier ?
- Oui mais comment ? nue ?
- Pas dans l’immédiat, laisse nous apprécier tes talents, je suggère que tu quitte tes fringues les unes après les autres
- Un striptease quoi !
- Appelle ça comme tu veux, je veux voir si je suis jaloux ou pas devant un mec qui te mate
- Moi ça m’excite mon lapin, je suis déjà mouillée
- Cochonne ! fait voir ??? huuuuuuummmmmmm ça promet un bel après midi ! prépare toi je vais mettre un c.
d.
- Assoyez-vous sur les tabourets messieurs et regardez l’artiste

Elle commence à évoluer au milieu de la pièce en prenant de plus en plus d’assurance, j’admets que sans être une danseuse étoile elle se débouille bien, sa jupe virevolte laissant apercevoir ses cuisses musclées et sa petite culotte rose de plus en plus souvent, soudain elle jette son corsage a fleur d’une autre époque dans notre direction, ses seins volumineux sont prêt a passer par-dessus les bonnets trop petits

- Bravo mon poussin ! continue ! je commence à bander, et toi le vacancier ?
- Euh, hé bien oui je l’avoue...
- N’ai pas honte c’est normal, tu peux la sortir et te branler comme moi, ca va lui faire plaisir de voir qu’elle nous fait de l’effet, ainsi elle va quitter le reste vite fait

Lionel se débraguette et sort sa verge raide d’une taille normale, il la décalotte et commence un lent va-et-vient , un peu désorienté je l’imite, je dois avouer que je suis un peu mieux monté que lui , ça ne passe pas inaperçus aux yeux de Maud qui tout en se déhanchant fixe mon gland rougi par l’érection

- Elle a l’air d’aimer ta bite...
- Tu crois ?
- Regarde elle va virer le reste de fringues…

La jupe tombe sur ses chevilles, repoussée adroitement la voilà en slip et sousting, pressée d’en finir elle passe les mains derrière son dos pour libérer ses loloches qui se redressent, les tétons allongés sont entourés de larges aréoles brunes, sans s’arrêter de gesticuler elle les soupèse et porte un bout a ses lèvres, la langue sortie tète le mamelon

- Quelle salope, elle nous nargue !
- Ça c’est de l’érotisme !
- Tu va voir, le clou du spectacle arrive

Les deux pouces dans les élastiques du slip elle le fait balancer de droite à gauche sur ses hanches, effleurant la toison pubienne

- Chiqué ! Remboursez ! À poil ! à poil !
- Oui ! à poil ! à poil !

Je remarque que le fond de la culotte est imbibé de mouille, se retournant elle nous fait voir rapidement ses fesses dodues, puis se campant sur ses longues jambes elle baisse le vêtement lentement et se retourne enfin nue

- Ne bouge pas poussin j’arrive !

En deux secondes il est à poil et va enlacer sa copine par derrière ses mains enveloppent les seins

- Regarde cette paire de nénés, et cette touffe brune, si tu savais ce qu’elle cache …
- Passe ta queue entre mes cuisses chéri, tu l’excite grave, regarde sa verge comme elle saute !
- Vient avec nous, fout-toi a poil aussi, nous allons l’affoler de caresses

Je ne me fais pas prier, au diable la pudeur et la bienséance ! Une fois devant cette fille nue je ne sais où poser les mains, c’est elle qui me prend par un poignet et la pose sur un nichon que Lionel daigne me laisser, mon bout prêt a éclater effleure ses poils je dois me retenir pour ne pas m’avancer, et puis j’aperçois le sien qui dépasse ! …
Maude m’attire a elle en me prenant par le cou, nous voici collés étroitement, je l’enlace et n’hésite pas à lui faire sentir la dureté de mon érection, soudain Lionel se détache de notre trio, est-il vexé ?

- Ne vous arrêtez pas, je vais m’assoir et vous observer, lève une jambe poussin
- Mais Romuald va pouvoir me pénétrer ?
- Avoue que tu en as envie, alors faites le, ça me fait mal aux couilles tellement je bande !

La fille passe une main entre nous deux et att ma queue pour la guider vers sa vulve embroussaillée, je plie légèrement les genoux, une fois que je sens la chaleur de son vagin je remonte sans à-coups, j’écarte ses chairs d’un seul coup de reins, elle repose sa jambe et avance son bassin au même rythme que moi, les deux mains sur ses fesses nous baisons debout, certes c’est inconfortable mais tellement intense …

- SUPER ! Embrassez vous, au point ou nous en somme c’est ni plus ni moins ! Tu sais quoi poussin ? Je téléphone à Lulu notre ouvrier, je veux qu’il participe et puis si tu voyais ça queue, il est mieux monté que notre âne, ce n’est pas difficile, lorsqu’ils se croisent celui-ci braie de honte !
- Tais toi poussin je vais jouir ….
aaaaaaaaaaaahhhhhhhhoooooooooooouuuuuuuuuiiiiiiiii ! que c’est booooooooooonnnnnnnnnnnnnnn
- Moi aussi je décharge ! ooooooooooooohhhhhhhhhhhhhhhhhhhhooooooouuuuuuuuuuuu
- Putain vous me faites partit aussi wwwooouuuuuaaaaaaaaaaah ! je ne croyais pas accepter ça, mais c’est super bon de voir sa nana se faire troncher, assied toi sur un tabouret, Lulu va arriver il va te nettoyer la chatte
- Il est propre au moins ton ouvrier ?
- Dans le doute il avait pris sa douche !
- Je veux bien qu’il me nettoie la moule mais je ne veux pas qu’il me saute, qu’il se dépêche, ça coule entre mes cuisses
- Le voilà, je vais lui ouvrir, reste assise … salut Lulu !
- Bonjour patron, tu voulais me voir, mais vous êtes tous nus ?
- Ça te défrise ? a propos y’a combien de temps que tu n’as pas tiré un coup ?
- Houlàlà ! ça fait dix ans, c’est mon ex patronne qui m’a dépucelé, le patron nous est tombés dessus il m’a viré a coups de pieds au cul ! elle est belle ta copine …
- Justement, elle vient de baiser et je comptais sur toi pour lui laver la chatte avec ta langue
- C’est vrai ? je peux y aller ?
- Oui mais avant fout-toi a poil comme nous
- Je bande patron …
- Et alors ?
- Elle est plus grosse que la votre ? ça ne va pas vous gêner ?
- Boff ! pas du tout, dépêche toi ça tombe sur le sol !

Lulu bat un record de vitesse pour se déshabiller !effectivement un véritable gourdin se balance entre ses jambes, il le tient pour marcher

- Posez vos jambes sur mes épaules mademoiselle, écartez vos cuisses, hou-là ! c’est bien plein, j’y vais … mmmmmmuuuuuuummmmmmmmm, c’est bon !

Nous l’entendons laper comme un chien, Maud se mord les lèvres, les yeux révulsés, elle se cramponne a Lulu par les oreilles pour le guider là où il faut, soudain celui-ci se relève brusquement en se tenant la trique d’une main et maintenant la fille de l’autre pour éviter qu’elle ne se dérobe, tout va très vite, Lionel n’as pas le temps d’intervenir, sa nana est littéralement embrochée par le manche de pioche veineux, elle happe une énorme bouffée d’air et finalement se laisse forniquer la vulve par le chibre qui lui étire le vagin en tous sens

- Ben mon vieux ! J’ai rien vu venir ! Quel mâle celui-là ! Et elle en redemande la chaudasse !
- C’est impressionnant ! tu laisse faire ?
- Boff, ça devait se faire un jour ou l’autre, la semaine prochaine j’invite des copains, je vais avoir mes spots !

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