Ton Retour 6

Je gémis, me tortille mais tu es trop rapide. « Je te déteste ! Tu te foutais de moi ! T’es qu’un salaud ! ». Tu jubiles et tu te redresse. Tu contemple ton œuvre ; je suis allongée, devant toi, mains attachés au-dessus de ma tête, seins nus à me tortiller comme un vers alors que mon issue est toute tracée. « Qu’est-ce-que tu regardes ??? Je te déteste !! Va te faire f… ». Tu plaque une main sur ma bouche mais je continue à t’injurier. « Que de vilaines choses qui sortent de cette bouche… On va remédier à ça… ». Tu approches ton visage près du mien et j’arrive à attr un bout de tes doigts que je mords. Un sourire en coin s’affiche et j’essaie de tenir face à ce sourire qui m’agace. « Lâche, puce. C’est dans ton intérêt. ». Je serre les dents encore un peu plus fort et tu essaies de retirer ta main. Ta main libre se promène sur mon torse nu et des frissons apparaissent. Tu promènes tes doigts tels un bonhomme cherchant son chemin et tu montes sur mon sein droit. « Lâche ma puce ». Je secoue la tête en faisant signe que non. Tu pinces mon téton et je hurle en gardant les dents serrées. Tu pinces de nouveau en faisant une légère rotation et le nouveau hurlement que tu m’arrache fait que je lâche ton doigt. Tu agrippes mon menton en serrant et tu atts ma lèvre inférieure avec tes dents, tu assois ton autorité et ton sourire continue de m’énerver. Tu te redresses et tends ta main droite vers la table de nuit, je recommence à te crier dessus jusqu’à ce que j’entende le sotch qui se déroule. Je me fige et un nouveau frisson glacé me traverse. « Non, KL tu ne vas pas faire ça, t’es pas sérieux… ? » - « Tu t’imagines quoi… ? ». Tu coupes un morceau avec tes dents et j’essaie de cacher ma tête dans le creux de mon coude mais tu m’att à la gorge avant et me ramène en face de tes yeux. Tu serres doucement tes doigts en enfonçant lentement ma tête dans les coussins, je calme ma respiration et tends la tête en arrière pour essayer de respirer. Je sens le sang s’accélérer dans mes tempes et un râle de plaisir sort de mes lèvres.

Tu enlèves brusquement tes mains et le sang qui circule de nouveau dans ma gorge me fait suffoquer sous l’effet de la surprise. Je ferme les yeux pour retrouver une respiration normale et quand je les rouvre, tes mains tenant le bout de scotch s’approchent de ma bouche suppliante et tu poses le scotch doucement en chuchotant « chhut chhut ma puce, calme toi». Ma voix devient un sanglot étouffé et je gigote. En guise de victoire, tu poses tes lèvres sur les miennes à travers le scotch. Tu te redresses et tu enlèves tes jambes d’autour de moi pour aller chercher un truc dans ton sac. Pendant que tu cherches, j’essaie vainement de me libérer mais les liens sont serrés ; je n’ai d’autres choix que d’attendre ma sentence. LA punition que tu m’as prévue. Tu reviens avec un sac en plastique que tu poses juste à côté de moi sur le lit. Tu en ressors des boites en carton que tu te dépêche d’ouvrir puis de mettre hors de ma vue. « J’ai quelques surprises pour toi mais j’aimerais que tu savoure vraiment ce moment ». Tu atts un foulard que tu me noue sur les yeux, j’essaie vainement de secouer la tête mais cela ne sers à rien. Je suis maintenant aveugle et dans l’incapacité de parler, je continue à gémir en espérant que tu reviennes sur tes pas. Je pleure, couine et sanglote. Mes mains tirent sur les liens, ça m’écœure d’être aussi faible par rapport à d’habitude mais ça m’excite de ne pas savoir ce qui va m’arriver. Tu cherches dans ton sac, j’essaie de savoir ce que tu fais. Tu effleure mon ventre d’un doigt puis tu effleure un sein, l’intérieur de ma cuisse, un téton, ma joue… Ces petites attaques inattendues me mettent les nerfs à fleur de peau et je soupire de lassitude. Tu poses tes genoux sur chacun de mes pieds et me voilà maintenant offerte et ouverte. J’ai honte mais le fait que je ne te vois pas me stresse et je cherche à fermer les jambes. Je serre les cuisses et tu poses la main sur mon sexe, je me fige. Tu passes un doigt lent entre mes lèvres et tu rentres ton majeur soudainement dans mon sexe brûlant.
La surprise de ton doigt froid m’arrache un nouveau cri et ma poitrine se soulève. Tu retires ton doigt tellement rapidement que je grogne de frustration. J’entends ton rire clair et je devine ton sourire. Tu effleure mon bas ventre de tes lèvres et tu poses délicatement ta bouche sur différentes partie de mon corps, cela me fait frissonner. Tu laisses mon corps ultrasensible se reposer quelques minutes, pendant que tu prépares l’attaque suivante. Tu sors 2 boules de geishas reliées par une ficelle que tu promènes sur mon corps, ça m’arrache des frissons…

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