Un Plaisir Partagé Est Un Plaisir Double (21)

Un plaisir partagé est un plaisir double (21)

Nous avons appelé nos amis pour leur demandé s’ils étaient libre samedi pour venir chez nous pour clore le défi que mon amour avait proposé dans ce petit jeu coquin qu’il avait appelé « t’es pas cap » en leur demandant de se munir des photos qu’ils avaient prises. Ils leur restent quatre jours pour finaliser le challenge.

Nous sommes toujours très contents de nous retrouver ensemble, pendant que nos hommes s’étaient installés au salon, nous sommes allées faire le café. Je suis toujours curieuse de savoir comment ma copine est habillée, elle qui est toujours très coquette et porte des dessous séduisants et affriolants pour les garçons. Je lui soulève sa robe et je m’aperçois qu’elle a eu la même idée que moi en portant une robe sexy que nous avons achetée ensemble chez Amhed. (Elle s’en servait comme moi en fond de robe.)

« - Tu veux que l’on leur fasse la surprise en apportant le café et le dessert en tenue sexy »

Nous avons retiré nos vêtements du dessus pour émoustiller nos maris en nous présentant dans nos robes en mailles montrant nos roploplos et nos popotins. Celle d’Annie était noire, faite au crochet, ornée de perles argentées, et elle portait un string assorti. La mienne était en résille blanc, ultra courte, un décolleté dans le dos à la limite de mes fesses et de la dentelle vénitienne sur le pourtour de mes seins, j’avais également le string qui allait avec.

Nos hommes furent surpris de nous voir arriver dans cet accoutrement mais également ravi et aux anges de pouvoir admirer impudiques et provocatrices.

« - Vous nous troublez mes chéries, vous êtes trop belles dans ces robes qui vous vont à ravir et vous allez faire un malheur auprès des hommes et des jalouses auprès des femmes. Venez vous asseoir sur nos genoux, nous allons regarder les photos de dogging que nous avons prisent de vous. »

André avait bien fait les choses en sortant les photos sur papier alors que nous avons laissé les nôtres sur le portable.

Sur le premier cliché d’Annie, nous pouvons la voir dans un parking de supermarché dans une petite jupe courte, penchée dans son coffre de voiture, les fesses à l’air en train de ranger ses provisions et un homme qui la matait en face s’étaient aperçu qu’elle était sans de culotte.

« - C’est une superbe photo, j’aime beaucoup l’air étonné du mec qui attends pour ne rien manquer avant de rentrer dans sa voiture. Il va avoir longtemps la vue de tes jolies petites fesses, ma chérie. » Lui dit mon mari.

Sur mon premier cliché. Je suis assise à côté d’un homme d’un certain âge qui lisait son journal dans le parc. Je lui tournais le dos, j’avais mis mes jambes de part et d’autre du banc, ma jupe relevée montrait mon berlingot pour que mon chéri puisse le prendre en photo.

« - Ton petit diamant fait de l’effet avec les rayons du soleil qui entre tes cuisses ? C’est dommage que le papy ne se soit pas aperçu de cela. » Me dit André.

Sur la seconde photo d’Annie avait ouvert son imper pour se montrer complètement nue dessous, dans une rue piétonne de la ville.

« - Bravo, c’est une superbe photo, c’est regrettable qu’il n’y ait personne dans la rue, mais il fallait oser. Tu aurais du attendre un peu André que quelqu’un arrive. Malheureusement elle ne comptera pas. »

Sur ma seconde photo, nous étions en voiture, j’avais enlevé ma jupe et ma culotte, mis mes pieds sur le tableau de bord et je me masturbais quand nous avons doublé un poids lourd. On voit le camionneur regarder dans ma direction. Nous avons eu le droit à un appel de phare après l’avoir doublé.

Annie nous montra sa troisième photo, elle est dans un magasin de chaussures rempli de monde, essayant une jolie paire de hauts talons rouges. André a profité d’un moment ou sa minette s’est dévoilée pour prendre la photo.

C’était à notre tour de montrer la notre, je suis dans un super marché, baissée pour attr un litre d’huile dans le rayon du bas, montrant une partie de mes fesses à mon chéri pour qu’il prenne la photo pour notre défi.

« - La dame que l’on voit à côté de moi, était accompagnée d’un gamin quatre ans environ qui tirait sans cesse sur sa robe pour lui dire : « Maman, la dame n’a pas de culotte. » Sa mère le fit taire en lui disant : « Tu ne dois pas dire cela, tu ne vas pas devenir un cochon comme ton père ? »

Nous avons bien rigolé. Il était temps de faire une pose, pendant que Bob est allé chercher une bouteille de pinot blanc, nous sommes allées Annie et moi dans la cuisine pour discuter entre femmes.

« - Alors comment s’est passé ton retour de la salle de sport, ma chérie ? Ton mari n’a pas trouvé bizarre que nous sommes rentrées si tard ? »

« - Un peu, mais je lui ai dit que j’étais restée chez vous pour parler des vacances. »

« - Tu as l’intention de revoir ton Enzo. Si tu prends un abonnement, je viendrais avec toi ? »

« - Non, il m’a déçu, non pas qu’il ne m’ait pas bien baisé, au contraire, il est bien membré et j’ai pris mon pied avec lui et il m’a fait jouir. Mais je pense que cela ne peut pas être une relation sérieuse pour en faire un amant. Tu as vu qu’il s’est intéressé à toi en premier, je pense que pour lui un trou est un trou. »

« - Mais ma parole tu es jalouse ? »

« - Pas de toi, ma douce, mais il doit faire pareil avec toutes les femmes qu’il coachent. »

Nous sommes retournés voir nos maris qui nous avaient servi un verre de vin blanc pour regarder les dernières photos. Sur la quatrième photo d’Annie, elle était à la terrasse d’un café, elle à soulevant son tee-shirt le temps d’une photo en montrant sa jolie poitrine. Beaucoup d’hommes étaient attablés derrière elle.

Sur la suivante, on pouvait me voir poussant mon caddie pour le remettre en place. Comme c’était le jour que sur la photo précédante, je portais la même robe courte et légère, c’est le vent cette fois qui a dévoilé mon cul en s’engouffrant dessous. Bob à réussi à prendre ce moment coquin et j’ai eu la chance qu’il y avait un couple devant moi qui m’a permise de valider cette photo.

Quelqu’un venait de sonner à notre porte.

« - Vous attendez quelqu’un ? » Nous dit André

« - Non, ce doit être un démarcheur. Tu vas voir chéri, car je ne suis pas habillée convenablement pour aller ouvrir la porte. »

« - Et pourtant, tu auras pu avoir tout gratuit, s’il voulait te vendre quelque chose. » Renchérie Annie en plaisantant. »

« - Vas lui ouvrir toi. »

« - Je ne me permettrais pas, je ne suis pas chez moi, mon amour. »

Lorsque Bob est revenu, il était accompagné de Doan qui était venu nous rendre visite.

« - Je vous présente Doan, l’amant de ma femme. C’est un jeune homme bien sous tous rapports et surtout ce qu’elle apprécie chez lui c’est son imposant et démesuré sexe. Assied toi, tu prendras bien un petit verre de blanc avec nous. »

Il m’embrassa, après avoir dit bonjour à tout le monde et s’est assis à côté de moi.

J’ai vu Annie rougir un peu et croiser ses bras autour de ses seins, faisant semblant de ne pas le connaître devant son mari. Je la sentais mal à l’aise. Elle avait peur qu’il dise un mot de travers qui pourrait dévoiler qu’il se connaissait. (Pour avoir déjà baisé ensemble) Je fis signe à ma copine de me suivre dans la cuisine. Elle se leva, troublée, elle ne pensait plus que l’on voyait son cul au travers de sa robe, j’ai vu Doan se retourner pour lui regarder ses jolies petites fesses.

« - Tu étais au courant que Doan venait chez toi aujourd’hui ? »

« - Oui, je lui avais parlé que tu aurais aimé qu’il te baise « no-capote », mais qu’il nous fallait un test HIV récent. Pour le reste tu n’as pas à t’inquiéter, il est très discret et parle très peu. »

« - Pourquoi tu ne m’en as pas parlé ? »

« - Tout simplement parce que tu n’aurais pas voulu que je l’invite aujourd’hui, ensuite tu n’aurais pas osé te montrer dans cette tenue. Et enfin parce que j’en ai assez que tu sois toujours obligée de cacher à ton mari lorsque tu as envie de baiser avec un autre. Je veux que tu sois libre de faire ce que tu veux avec ton corps. »

« - Je ne sais pas comment tu vas t’y prendre, mais ce ne sera certainement pas aujourd’hui que Doan pourra me prendre sans capote. »

« - C’est mon mari qui va s’en occuper, alors soit positive. »
Nous sommes retournés à la table du jury pour savoir qui gagnera le titre de reine du dogging. Bob était en train d’expliquer à Doan ce nous étions en train de faire

« - Nous regardons des photos de dogging que nous avons pris de nos femmes, c’est un jeu entre nous et tu vas nous aider à élire la gagnante. »

La cinquième photo d’Annie, elle descendait de voiture dans une robe tablier dont elle n’avait pas mis les deux boutons du bas. Sa robe s’était assez ouverte pour qu’on lui voie sa fente pendant qu’un jeune couple passait.

Ma dernière photo que les hommes regardaient maintenant à été prise alors que je montais sur un Escalator d’un grand magasin. Un homme qui avait repéré notre petit manège entre Bob et moi, il avait vu que je ne portais pas culotte sous ma jupe courte en jean. Montant en même temps que moi, il m’a passé sa main au cul en se retournant sur mon mari pour voir s’il avait pris la photo. C’est le pouce levé que celui-ci l’a remercié, lui affirmant que la photo était dans la boite.

André ne voulait pas montrer la dernière photo qu’il avait dans la main devant Doan. Celle-ci avait été prise lorsque nous étions dans les dunes de la plage naturiste en présence d’un voyeur. Annie était allongée nue montrant son abricot devant l’homme qui se branlait en la regardant.

« - Tu peux montrer la photo de ta femme à Doan, puisqu’il a déjà vu ses nibards et son fignard dans sa robe à trous. Bien qu’il soit jeune, il n’est pas né de la dernière pluie. Il baise la mienne depuis un an et il est temps que tu prennes sur toi et que tu lui laisse un peu d’indépendance et que tu lui donnes carte blanche de décider elle-même de son corps. Tu vas prendre du plaisir toi aussi en offrant ta femme à d'autres hommes pendant leurs relations sexuelles. Cette pratique peut donc être excitante pour les deux membres du couple, et augmenter le plaisir sexuel. Cela ne peut se concrétiser que si les deux partenaires en ont envie. Quand nous serons à Agde, nous allons avoir des relations sexuelles avec d’autres personnes, ta femme aura des relations sexuelles avec un homme autre que toi et moi, et toi avec la femme d'un autre. Il faudra t’y habi si vous voulez devenir un couple libertin. Cette pratique va pimenter votre vie de couple, vous allez découvrir d'autres formes de plaisir ou encore désir de laisser libre cours à vos fantasmes : Chaque couple a ses propres raisons qui le poussent à aller explorer d'autres manières de partager le plaisir.
Alors pourquoi ne pas commencer aujourd’hui en offrant Annie à Doan, elle a peut être envie de satisfaire un de ses fantasmes ? »

« - A égalité de photos, puisqu’il y en a une qui ne compte pas, je déclare tout de même Annie la reine du dogging. Celle où elle se promène nue sous son imper dans les rues est vraiment insolente d’incitation. Comme promis, ma chérie tu auras le droit d’aller te choisir une tenue de sortie coquine dans les boutiques du centre naturiste et le photographe qui a réalisé toutes ces jolies photos se sera une bouteille de champagne. Maintenant tu peux peut-être avoir un avant goût de récompense avec Doan, si ton mari est d’accord bien entendu. »

« - As-tu envie de faire l’amour avec ce jeune homme noir ? »

« - Cela ne tiens qu’a toi de me donner la permission, de toutes façons il faudra bien que tu finisses par accepter puisque tu es d’accord pour que nous allions en vacances au paradis de la perversion. »
« - Vas-y mon gars, fait là jouir. »

Doan, a prit le visage d’Annie entre ses deux mains pour l’embrasser mêlant sa langue à la sienne. Leur baiser dura plusieurs minutes avant qu’il ne déplace ses mains vers ses seins dont les pointes érigées au travers les mailles de sa robe marquaient son excitation. ( Ses tétons étaient encore plus gros que les miens que vous voyez sur mon avatar) Il s’en saisit entre ses doigts pour les faire rouler et exciter encore plus ma chérie.
Abandonnant sa poitrine, ses mains s’emparèrent de ses fesses pour l’attirer contre lui. Elle devait à cet instant sentir son érection et je devinais son trouble. Annie gardait ses mains le long de son corps, passive. On devinait bien qu’elle ait envie de toucher ce corps devant elle, mais qu’elle n’osait pas ! Intimidée devant son mari. C’est l’homme qui lui prit les poignets pour les attirer contre son ventre, là où la bosse se faisait encore plus grosse. Tout en continuant de l’embrasser, il releva sa tunique pour découvrir son sexe enserré dans son string. Annie, alors, avança ses mains et fit sortir cette queue qui m’apparut énorme. Noire, dressée et dure. De ses deux mains, elle empoigna cette bite et se mit à la branler contre son ventre, lentement d’abord et de plus en plus vite. L’homme était également très excité. Leurs bouches restaient soudées. Par moment, elle s’écartait de lui pour contempler la queue de son amant, puis aussitôt, elle lui offrait à nouveau sa bouche à baiser.

Je voyais le visage d’André se décomposer, certainement une petite pointe de jalousie de voir sa femme aux prises de cet étalon noir, j’ai d’ailleurs connu connue cela au début lorsque je voyais mon mari dans les bras d’une autre femme. Je me décidais d’aller m’asseoir sur ses genoux pour le réconforter.

« - Tu sais André dans l'échangisme, il n’y pas de tromperie, pas de mensonges : tout se fait en couple. Etre échangiste ne consiste pas à vouloir aiguiser la jalousie de son compagnon : le couple échangiste doit former un duo, une équipe, et ce couple s'avère être plus important que le couple échangiste de quelques soirées. Tu vas voir votre couple en ressortira beaucoup plus soudé qu’avant, fais-moi confiance. »

Annie prit son courage à deux mains et ouvrit la cavité buccale à fond et se pencha pour sucer cette jolie queue. Elle se contentait pour l’instant de lui téter le bout, comme un nouveau-né qui s’acharne sur le téton de sa mère. Après plusieurs minutes, sa mâchoire était chaude, et elle commença à s’enfoncer la tête un peu plus sur ce véritable pieu aux mensurations irréelles. André regardait cela avec curiosité et excitation. Il ne pensait pas que sa femme, l’amour de sa vie, pouvait oser sucer en entier le membre sur dimensionné de ce jeune homme. Mais c’est bien ce que cette petite vicieuse était en train de faire, et elle n’était pas prête à en rester là. Je connais bien Annie, et je voyais maintenant qu’elle prenait du plaisir, qu’elle était tout simplement à l’aise.
Elle prit les couilles du black dans sa bouche et roulait sa langue dessus. Il avait le sexe et les bourses totalement épilés, ce qui rendait l’ensemble encore plus gros. Annie entrait cette bite en entier dans sa gorge, puis la ressortait, puis la rentrait à nouveau. Des filets de bave lui coulaient de la commissure des lèvres. Elle était maintenant déchaînée et ne s’occupait plus de son mari. J’avoue avoir ressenti un peu de jalousie, j’aurais bien voulu être à sa place. Doan prit Annie par les hanches, comme s’il s’agissait d’un vulgaire paquet, et la déposa sur le tapis du salon. Doan se déshabilla en se mettant nu, il en fit de même avec sa complice. Elle écarta alors ses cuisses. Son abricot était brillant de mouille. Le black se posa sur elle, en position du missionnaire, et frotta son gland longuement sur la fente de ma copine. Il lui préparait bien sa fente, et il fallait au moins ça pour qu’elle encaisse ce gigantesque rondin. Il enfonça ensuite son nœud en entier, presque jusqu’aux bourses. Annie poussa un cri de plaisir, et le gars commença à la ramoner tendrement, en lui prodiguant de petits baisers.

Cela avait excité mon copain, il m’embrassa, collant ses lèvres contre les miennes et roulant sa langue avec la mienne. Sa main était rentrée dans mon string, m’obligeant à lui écarter mes cuisses pour placer ses doigts sur mon clitoris qu’il masturbait vigoureusement. Il passa ma robe par-dessus la tête pour me mettre toute nue. Dégrafa son pantalon et sorti son membre en érection de son caleçon, écarta mon string pour que je puisse m’empaler sur son ramoneur. Je ne sais pas si c’est la vue de son épouse qui se faisait baiser par Doan qui l’excitait à ce point, mais il m’avait enserré de ses bras puissants sous mes seins, me soulevant et me faisait redescendre sur son soldat au garde à vous. J’avais l’impression d’être une cavalière émérite qui s’accrochait à l’encolure de mon cheval pour ne pas tomber.

Pendant de temps Doan accélérait le mouvement, et ses testicules claquaient de plus en plus fort dans une sorte de bruit humide. La femme d’André couinait à présent. Elle avait les jambes écartés à fond. Mais mon amant avait de l’expérience malgré son jeune âge, et il baisait ma chérie comme un dieu. Je ne sais pas s’il désirait la prendre dans une autre position. Le missionnaire avait l’air de leur convenir à tous les deux. André avait déjà arrosé mon petit jardin depuis un certain temps et eux étaient toujours en phase, comme connectés l’un à l’autre. Ils faisaient des pauses pour s’embrasser longuement entre deux séries de pénétrations profondes.

Annie eut plusieurs orgasmes. Quant à Doan, il faisait des pauses pour tenter de se retenir et durer le plus longtemps possible. Mais un moment, alors qu’il donnait de longs et profonds coups de reins à ma chère Annie, je le vis se crisper de tout son corps et dans un râle de fin, soudés et enchevêtrés, il juta au fond de sa crevasse. Il restèrent ancrés l’un à l’autre profitant encore du plaisir d’être l’un dans l’autre.

En tout cas, depuis cette soirée, Annie et André sont devenus plus complices et plus amoureux que jamais. Leur couple est beaucoup plus soudé qu’avant. Et je pense que ma copine pourra être libre de son corps et s’offrir du plaisir lorsqu’elle en aura envie. Nous verrons s’ils sont devenus de vrais libertins bientôt en vacances de le temple de la luxure.