Pour Le Plaisir De Ma Dame (Suite De J'Offre Ma Femme À Mon Pote)

Bon.
Ma femme est une jouisseuse.
A un point tel que je ne l’imaginais pas, même si je savais qu’elle aimait « faire l’amour ».
En fait, il semblerait qu’elle aime bien baiser. Être bien baisée, pour être plus précis.
Cela a commencé par cette « erreur » avec Loïc, erreur qui s’est répétée, jusqu’à ce que ma femme devienne la star d’une soirée X, lors de laquelle sa prestation a conquis toute une assemblée (voir histoires précédentes).
Le hic : elle ne sait pas que je sais, n’ayant jamais été visible par elle lors de ces agapes…
C’est ce que je me dis ce matin alors que je suis au chaud dans sa bouche et que, contrairement à ses habitudes, elle vient en même temps me présenter son fruit juteux à lécher.
Alors que je sillonne ses différents chemins de plaisir de la langue, elle att mon doigt et le pose fermement contre son petit trou.
Ses expériences récentes développent sa gourmandise on dirait !
Obéissant, je lui rentre l’index dans l’anus, pendant que mon pouce vient colmater cette fuite qui parait ne pas devoir s’arrêter.
Elo geint, crie, et son cul commence à onduler de sorte que je m’accroche désormais à son sublime fessier pour l’amener jusqu’au plaisir.
Elle jouit longtemps et s’agenouille ensuite devant moi : « dans les yeux chéri, j’en ai envie !»
Evidemment je ne peux lui refuser et finis à la main ce qu’elle avait commencé avec la bouche, jusqu’à lui tartiner intégralement le visage…
Et alors que nous nous assoupissons, me vient l’idée pour continuer à la contenter et à l’aider à s’émanciper : lui offrir des espaces de vice dont je ne serais prétendument pas au courant !
Deux semaines plus tard, la semaine de l’anniversaire d’Elo.
J’ai pris RDV dans un salon de massage déniché sur internet : massages tantriques tao, effectués par homme et femme sur femmes et hommes.
J’ai présenté cela à Elo comme un massage ayurvédique censé la détendre au maximum, lors duquel elle doit être nue, mais massée par une femme.

Pour son confort, je ne peux rester dans la pièce et vais donc l’attendre en salle d’attente. Enfin tout au moins derrière le rideau du fond de la pièce au travers duquel j’ai une vue imprenable sur la table de massage.
« A tout à l’heure chérie, profite au maximum ! »
Je rejoins mon poste d’observation et la vois en train de faire connaissance avec sa masseuse, une belle brune asiatique qui fait mine de ne pas parler très bien le français et répond donc plutôt par mimiques aux questions d’Elo.
« Il faut vraiment que je sois complètement nue ? »
« Oui oui », et, joignant le geste à la parole, la masseuse se met elle aussi nue « mieux pour massage » dit-elle.
Le trouble d’Elo est perceptible, mais elle obtempère et s’allonge nue sur la table de massage, dans une atmosphère très zen : petit coulis d’eau, musique légère, encens divers et température élevée créent l’ambiance.
Elo couchée sur le dos une serviette chaude sur les yeux, la masseuse entreprend de s’huiler les mains à l’huile chaude, et commence à passer ses mains sur le corps d’Elo.
Les premiers instants sont tendus : Elo se tend et frémit au contact des mains expertes, puis elle finit par lâcher prise et décroise même ses jambes qu’elle avait gardé fermées jusqu’alors.
Les minutes passent, et le massage qui était plutôt général au départ commence à se préciser, aussi je vois bien les réactions d’Elo quand la masseuse insiste sur ses tétons qu’elle a si sensibles : sa respiration s’accélère et son torse se gonfle, comme pour aller quérir la caresse.
Puis insensiblement une main se détache et commence à caresser Elo du pubis à l’intérieur des cuisses, délicatement.
La position fermée du départ est bien révolue maintenant, puisqu’après quelques minutes de ces caresses qui mettent Elo en émoi, je la vois attr la main de la masseuse et la porter directement dans sa vulve frémissante !
Experte, la masseuse fait encore durer quelques secondes, puis enfourne quasi intégralement sa petite main dans la chatte d’Elo qui se tord sous ses doigts.

Elle ondule comme elle sait le faire, à la recherche de son plaisir que la masseuse sait habilement faire monter : une main quasi entièrement enfoncée dans la chatte d’Elo, l’autre court sur ses seins, en triturant sévèrement les tétons ou en les malaxant fermement.
Pendant ce temps elle frotte ses seins qu’elle a plus puissants que ceux d’Elo sur son ventre.
On dirait qu’elle la fait jouir de tout son corps !
Et ce qui devait arriver arrive : Elo se tend tel un arc, laisse sortir un long feulement qui dure bien 30 secondes et se termine en cri presque plaintif et se relâche, abattue par l’orgasme…
La masseuse la laisse souffler deux minutes et lui dit doucement à l’oreille « toi tourner sur ventre, deuxième partie du massage… »
Elo, KO, obtempère et se tourne sur le ventre, et attend.
« changer musique » dit la masseuse à ma femme.
« humph » répond Elo moitié comateuse.
Prétextant ce déplacement, la chinoise quitte la pièce, remplacée par un black très très black sublimement bâti qui vient se poster derrière Elo, intégralement nue.
Même rituel, il entreprend de s’huiler les mains, de chauffer l’huile avant de commencer à masser Elo qui s’étire sous ce doux réveil.
Dieu qu’elle est belle, peau laiteuse sur drap de soie rouge, sous les mains ébène de cet apollon…
Evidement qu’on a envie de lui faire plaisir.
Le massage prends sa vitesse de croisière, Elo en confiance d’emblée par rapport à la première partie du massage apprécie et ne boude pas son plaisir.
Pour ma part je parvenais jusqu’alors à me maintenir, derrière mon rideau, mais j’ai déchargé aux premières secondes où le masseur a attrapé les fesses d’Elo à pleine main, et entrepris de les faire rouler sous ses doigts expérimentés.
Cela ne semble pas le laisser complétement indifférent d’ailleurs, puisque je vois son lourd mandrin commencer à se dresser doucement.
Faut dire que le cul d’Elo…Ah je vous l’ai déjà dit ?
Elo, pensant toujours avoir affaire à la masseuse manifestement, lève ses fesses en arrière, à la recherche des mains du black, belle impudique le cul offert…
Elle agite ce dernier sous les yeux du black qui, très pro, ne se laisse pas happer et continue à la masser en se rapprochant de plus en plus de sa fente néanmoins.

Et tout en continuant à gonfler du bas quand même !
Pas encore rassasiée, Elo envoie comme tout à l’heure la main en arrière pour forcer la main de la masseuse (croit-elle) à s’occuper de sa chatte.
La main du masseur se dérobe plusieurs fois, et incite Elo à descendre sur la table, de manière à ce qu’elle soit pliée sur la table de massage, ses jambes touchant terre et son buste appuyé sur la table.
Elo renvoie alors la main mais n’att pas cette fois ci les doigts du masseur, mais bien une magnifique bite noire de 23 cm (j’ai bouquiné le site du salon de « massage » avant de venir…) sur laquelle sa main se crispe, incrédule.
Elle tente alors de se tourner pour vérifier qui est derrière elle, mais le masseur lui bloque doucement la tête : « shhhhtt », tout en reposant la main d’Elo sur son chibre divin.
Elo hésite une seconde, puis s’abandonne, mais n’abandonne pas son objet, dont elle vérifie par palpation les dimensions et la raideur.
Puis, alors que le black a recommencé à lui caresser les lèvres, elle le tire sensiblement vers elle.
Ces instants sont magiques : je vois cette bite de toute beauté se rapprocher tout doucement de la vulve d’Elo, en écarter doucement les lèvres, puis, centimètres par centimètres, entrer jusqu’au plus profond du trou de ma femme qui pousse un gros soupir au bout du parcours.
Je me suis à nouveau joui dessus à voir ça…heureusement qu’ils sont équipés ici, ils doivent avoir l’habitude des maris voyeurs !
Le black commence alors à faire des va et viens, lentement, d’une redoutable régularité.
Je sens qu’Elo trépigne, elle en veut plus, mais, tel un métronome, il ne s’en laisse pas conter et garde son imperturbable rythme…
Et tout d’un coup ça vient : elle commence à feuler de plus en plus fort, jusqu’à ce que ce feulement devienne un cri ininterrompu…..elle jouit encore !!
Le black qui n’avait pas bougé son rythme commence à alors à accélérer, accélérer, Elo n’est plus qu’un cri, plus vite, plus vite, elle arrache le drap de ses mains et le mord avec sa bouche entre deux cris…
Et tout d’un coup il lui att les cheveux, tire en arrière sa tête tel un chevalier les rênes de son canasson, et lui met un dernier coup effrayant.

Il ne bouge plus, il se vide en elle, il la repose sur la table et la remet allongée, elle est inerte.
La bite en feu à la main, je regarde s’écouler ce sperme blanc de noir qui sort de la chatte rose de ma femme et, au clin d’œil que me fait le héros du jour, je jouis à nouveau !
Quelques minutes plus tard, l’asiate reparait et aide Elo à se rhabiller, la raccompagne en direction de la salle d’attente que je rejoins en vitesse.
« Ouaahhh (bâillement), je crois que je me suis endormi chérie, ça a duré super longtemps, non ? »
« Ah ouais, ça m’a fait un bien….j’en ai encore les jambes qui flageolent…. »
Que ne ferait-on pas par amour….

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