Ma Femme Me Trompe Pour Mon Plaisir

Laurence et moi formons un couple très uni et complice. J’ai 58 ans, elle 49, mais en paraît 10 de moins. Nous habitons un petit coin de paradis du coté des Caraïbes.

Mon métier m’oblige à me déplacer fréquemment dans toutes les régions du monde pour des séjours relativement longs, de 2 semaines jusqu’à un mois.
Laurence est très jolie et porte à merveille les légères rondeurs de son âge. Sa poitrine est généreuse. Elle attire les regards envieux des messieurs et jaloux de leurs dames.
Nous nous adorons et pratiquons le sexe avec passion. Elle est très demandeuse et mes voyages fréquents la frustre beaucoup. C’est pourquoi, elle a le droit de disposer d’elle comme bon lui semble. Je l’encourage d’ailleurs à s’amuser et de profiter de la vie au maximum.
Elle me rend compte de ses aventures en m’envoyant à chaque fois de longs mails détaillés. Ces récits m’excitent beaucoup et je les attends avec impatience. Parfois, je trouve même qu’elle n’en profite pas assez souvent. Je conserve soigneusement tous ses courriers et ne me lasse pas de les lire et de les relire.
Je suis actuellement en Asie depuis près de 3 semaines et voilà le dernier que je viens de recevoir.

Mon amour,
Ce week end, comme je te l’ai dit au téléphone samedi matin, je suis partie passer quelques jours à l’Ilet avec notre fille. J’avais invité les D……... qui sont venus avec leurs 2 s. Je suis partie en Jet et les autres sont venus avec ton bateau.
C’est Ralph qui les a amenés.
En fin de matinée, Jean-Michel est venu nous rejoindre pour la journée. Après le déjeuner, profitant que le les autres soient allés faire la sieste, Il m’a demandé si je pouvais lui faire faire un petit tour de jet, car il n’avait jamais essayé le nouveau.

Nous voilà donc partie tous les deux, lui derrière moi, vers la Passe du Lamentin. Tu sais comme j’aime aller me baigner là bas. Nous étions à peine partis, que ton ami a posé ses mains sur mes cuisses, se collant contre moi, au point que j’ai senti le contact de son sexe sur mon dos.

Il a commencé à me caresser les cuisses, se rapprochant à chaque fois un peu plus de mon entrejambe. Voyant que je me laissais faire, il commença à me toucher le minou, d abord par dessus mon maillot, puis rapidement s’enhardit à passer les doigts à l’intérieur. Comme j’avais été me faire épiler la veille en prévision de ton retour, il trouva un sexe tout lisse qu’il commença à pénétrer avec ses doigts. J’avais senti son sexe grossir et c’était maintenant une énorme bite que je sentais collée contre mon dos. Il me masturba sur tout le trajet jusqu’à notre arrivée à destination. Un bon quart d’heure. Je coulais abondamment ; Tu sais très bien toi-même à quel point j’aime me faire branler dans cette situation. Ton ami avait pris à la lettre ta demande de bien s’occuper de moi pendant ton absence.
Arrivés à la Passe, nous avons mouillé le jet et comme l’endroit était comme toujours, désert, je me suis débarrassée de mon maillot comme je le fais d’habitude avec toi. Jean-Michel fit immédiatement de même, faisant apparaître à mes yeux, son énorme bite tendue. Je fixai avec envie son engin, en ayant été plutôt privée depuis ton départ il y a trois semaines. L’eau était délicieuse, nous nous sommes baignés longuement, puis brusquement, il m’a collé contre lui, sa verge dure contre mon ventre et a repris sa masturbation. Ses doigts me pénétraient profondément, il me branlait tellement bien, que je sentis vite mon désir monter. A mon tour je lui saisis la bite et j’ai commencé à le masturber. Il a une belle bête ce salaud. Puis il me retourna et se branla entre mes fesses pendant que ses doigts continuaient à me fouiller le bas ventre. Il me branla tellement bien, qu’il m’amena rapidement à un premier orgasme. Ton absence m’a mis en un tel état de manque, que je ne pus résister longtemps au désir de me faire baiser. Je lui saisis sa queue pour la présenter à l’entrée de mon intimité. J’étais tellement avide de bite qu’il me pénétra d’un coup, jusqu’à la garde. C’était tellement bon de sentir enfin une queue dans ma chatte que je fus au bord d’avoir un second orgasme, rien que de me sentir pénétrée.
Il me baisa longuement dans l’eau. Quel pied, après une si longue abstinence. Il ne voulut pas encore jouir, gardant je suppose des forces pour me donner encore du plaisir. Nous sommes sortis de l’eau et nous sommes allongés sur le sable. Sa queue pointait vers le ciel, grosse et turgescente comme je les aime. Je ne pus résister longtemps au désir de la prendre dans ma bouche. Je pense que je lui fis la pipe de sa vie, le branlant en même temps, le décalottant et le recalottant à chaque mouvement de ma main. Il me supplia d’arrêter, refusant de jouir, voulant encore garder toute sa rigidité. Il me fit allonger, et se mit à son tour à me donner du plaisir avec sa langue. Quel délice, il me bouffa la chatte longtemps, longtemps, tour à tour l’aspirant, la léchant, la pénétrant de toute la longueur de sa langue. Tu sais à quel point je suis folle de ça et je me suis laissé aller à de nombreux orgasmes, qui à chaque fois l’encourageait à m’en donner d’avantage, Lorsqu’il commença à me lécher et à me pénétrer le petit trou, je ne pus me retenir d ‘écarter, avec mes mains, mes fesses du plus que j’ai pu, tellement je suis folle de ce genre de caresse. Après qu’il m’eut longuement préparé mon petit trou, j’eus la surprise de m’entendre dire : «je t’en supplie, encule-moi ». J’en eus aussitôt honte. Mais déjà il présentait son sexe au bord de ma rondelle. Il m’avait tellement mouillée et j’étais tellement excitée que ce fut moi d’un mouvement du bassin qui le fit rentrer d’un seul coup jusqu’au plus profond de mon cul. Comme tu le sais, j’aime tellement me faire enculer, que je fus encore prise d’un violent orgasme, rien que de sentir mon cul rempli par son énorme bite. Il attendit que cessent mes spasmes, pour doucement commencer à aller et venir en moi. C’était absolument jouissif. Mon cul était tellement dilaté et mouillé, que l’on aurait dit qu’il m’enculait dans le sperme d’un autre. Je sentis qu’il n’allait pas tarder à venir et je lui ai demandé de me jouir dans la chatte tellement mon ventre réclamait d’être rempli de sperme.
A peine il m’a pénétré, je l’ai saisi par les hanches pour le faire rentrer au plus profond de moi et il a alors libéré sa semence dans des spasmes qui n’en finissaient pas. Je jouis à nouveau au contact de son sperme brûlant. Je pense que lui aussi devait être en manque, vue la quantité incroyable de foutre qui m’a rempli la chatte. Pour finir, je lui ai nettoyé la queue avec ma langue, pendant qu’il me branla dans son foutre, le cul et la chatte. Quand je me relevai, j’eus l’impression que des litres de sperme me coulaient le long des cuisses.
Après cette superbe baise, je me rendis compte que nous étions partis un peu trop longtemps, pour un simple essai de jet et qu’Il faudrait inventer un mensonge à notre arrivée.
Au retour, ce fut lui qui conduisit, et ce fut mon tour de le branler durant tout le trajet. Son sexe ayant déjà repris toute sa vigueur, je m’en serai bien refait un peu plus.
A notre arrivée, les autres qui se baignaient devant la maison, nous accueillirent avec un petit air entendu. Je ne sais pas si on pouvait voir les stigmates de cette super baise sur mon visage. Je crus bon de dire : « saleté de jet, il voulait plus redémarrer ».
Nous passâmes le reste de l’après midi à nous baigner tous ensemble
Dans la soirée, Jean-Michel devait repartir. C’est alors que le groupe électrogène commença à avoir des baisses de tension. Jean-Michel qui est le seul a pouvoir y faire quelque chose, dut se dévouer pour voir se qu’il se passait. En fait, s’était un problème de saleté dans le carburant, mais le temps qu’il remette tout en ordre, la navette qui devait le ramener était passée et déjà repartie à cause de la nuit qui arrivait.
Il fut contraint de rester passer la nuit ici. En fait, ça n’eut pas l’air de vraiment le contrarier.
Le seul problème, c’est que toutes les chambres étaient complètement occupées et que je ne savais pas où le faire dormir.
Et tout le monde de dire : « il n’a qu’a dormir avec toi, c’est toi qui as la plus grande chambre, le plus grand lit et de plus tu y es seule.
C’est comme ton frère, et puis on ne pense pas que ton mari ait quoi que ce soit à craindre de son pote. Il fut donc convenu qu’il dormirait dans ma chambre, en tout bien, tout honneur.
De toute façon, on avait pas trop le choix et c’était bien que la proposition ne vienne pas de moi.
Nous avons passé une super soirée, apéritif sympa : champagne à profusion, foie gras, enfin plein de truc, qu’à la fin on ne s’est même pas mis à table, et ça a tellement duré qu’au moment d’aller nous coucher, j’étais un peu pompette. Quand nous nous sommes dit au revoir, les autres nous on dit ; soyez sages.
Une fois dans la chambre et après avoir fait chacun un brin de toilette, j’ai demandé à Jean-Michel si ça ne le dérangeait pas que je dorme à poil comme d’habitude et il m’a répondu la même chose. On a rigolé et on s’est couché. Comme j’étais un peu pompette, je me suis collée contre lui, ai pris sa queue dans ma main, J’ai parlé, parlé, j’étais comme une chatte en chaleur, je lui ai dit que j’avais envie d’être bouffée, branlée, baisée, enculée, que j’avais envie de bite, que j’avais envie de sa bite, de la branler, de la sucer, de lui faire cracher tout son venin. Que je voulais qu’il me remplisse le cul et la chatte de sa bite, que je voulais qu’il me déverse des litres de foutre dans le cul et la chatte, que je voulais qu’il me baise et qu’il m ‘encule toute la nuit. Que j’avais le cul et la chatte en feu et qu’il fallait qu’il éteigne ce feu.
Doucement et tendrement, sans dire un mot, il m’a fait allonger, m’a écarté les jambes, m’a relevé les cuisses, s’est installé entre mes jambes et a commencé à me lécher, il m’a bouffé le cul pendant au moins une demi-heure passant de devant à derrière, de derrière à devant, enfonçant sa langue au plus profond de ma chatte et de mon cul. J’ai beaucoup joui. Et chaque fois que je jouissais, je cambrais mon corps secoué de spasmes. Je lui ai demandé de se tourner parce que je voulais lui sucer la queue pendant qu’il me bouffait. J’étais tellement excitée que je crois que j’ai jamais sucé comme ça.
Sa queue était maintenant énorme, le gland rouge comme j’aime. Il m’a dit : tu es belle, tu es salope juste comme il faut , tu es faite pour la baise, je vais te baiser toute la nuit. Ton mari a vraiment de la chance. Il m’a dit que tu aimerais qu’on te prenne tous les deux ensemble. On le fera à son retour. En attendant, je vais te défoncer la chatte et le cul.
Il m’a fait tourner sur le coté et m’a pénétrée. Il a fait aller et venir sa bite doucement dans ma chatte. Je m’étais cambrée au maximum pour le recevoir au plus profond de mon ventre. Ensuite, je me suis dégagée, et j’ai guidé sa bite dans mon trou du cul. Encore une fois, malgré sa grosseur, elle est rentrée d’un seul coup sans effort. Quel délice! Il m’a ramoné le cul pendant un temps interminable. Je voulais qu’il me défonce comme une salope, je l’ai fait sortir et me suis mis à quatre pattes. Je voulais qu’il me finisse en levrette. Il a réintroduit sa grosse bite dans mon cul, j’étais comme une chienne qui se fait défoncer, je lui serrais la queue avec les muscles de mon sphincter, ce qui eu pour effet d’accélérer sa jouissance et il s’est collé au plus profond de moi pour décharger son sperme chaud au fond de mon cul. Je me suis affalée sur le lit, lui sur moi, saturés de jouissance, nous nous sommes endormis, lui toujours dans mon cul.
J’espère mon amour que tu es contente de ta petite salope.
Ne te masturbe pas trop, gardes en pour moi.
Tu rentres après-demain soir et j’ai organisé avec Marc et Jean-Michel une bonne partie de cul, juste avant ton arrivée. Je sais que ça va encore te rendre fou de me baiser et m’enculer dans le sperme de tes amis.
Ta petite salope qui t’aime à la folie.

Je peux envoyer des photos d'elle à ceux qui m'en feront la demande.

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