Future Lope: Episode 1, De Bi Je Deviens Passif

Histoire d’une future Lope
Episode 1 d j’étais Bi, je deviens passif
Un jour sur un site de rencontre je reçois un message :
« Comment es-tu ? passif ? lope ? docile ? chienne ?
J’ai répondu que Oui, je suis une lope, docile, chienne si tu le veux... Je peux servir pour faire le ménage, le service à table ou encore le toutou sous la table, attentionné à faire plaisir.
« OK tite lope. As-tu photo de toi moins habillé ??
Je lui ai envoyé une photo de moi, tout nu (recto verso, sans la tête) et un mot lui disant que je le remerciais pour sa réponse et sa photo sur laquelle l'objet de son désir se dresse comme un piquet de tente.
« Merci tite lope, sexy tout ça, A quel âge ta toute première suce et sodo et tu es passif lope docile chienne depuis quel âge ? »
J’ai répondu que je me suis découvert comme Bi vers 46 ans et que plus récemment je suis devenu une lope
« Ok raconte ton histoire… »
C’est ainsi que j’ai rédigé ce texte que je publie sur HDS.
J'ai commencé tard. Jusqu'à 46 ans j'avais une vie d'hétéro même si j'ai toujours aimé regarder des photos et vidéos d'amour entre mecs. C'est là que je me suis aventuré dans un club gay juste pour voir puis pour sucer, caresser et lécher. Ma première sodomie s'est faite après plusieurs séances de succions. Le mec était très convaincant, doux et progressif. J'ai aimé mais il a fallu encore quelques séances pour prendre un vrai plaisir par l'anus.
Cet homme doux, je l’ai revu ensuite et c’est lors de notre troisième rencontre que j’y a vraiment pris du plaisir. Je me suis parfois demandé pourquoi j’avais continué avec lui avant de connaître le plaisir anal. Les fois précédentes j’avais accepté de le branler et le sucer jusqu’à ce qu’il me jouisse sur la figure. Lui m’avait juste branlé, mon sperme rejoignant le sien sur mon corps nu. J’en voulais plus mais je n’étais pas prêt à devenir un(e) autre. La fois suivante, ma première, il s’est allongé sur moi, tête bêche et m’a demandé de lui sucer la bite.

Durant ce temps il m’a lubrifié entre les fesses et m’a touché la rondelle. J’ai aimé cette douceur et la volupté de sentir les caresses sur cet orifice inviolé. Lorsqu’il m’y a introduit un doigt, j’ai sursauté… Il m’a dit que ça entrait bien et que j’allais apprécier des sensations nouvelles si je me laissais aller.
Comme j’hésitais à répondre, il m’a affirmé « c’est oui où je m’en vais ! ». J’ai lâché un petit oui et de suite il en a enfilé un deuxième. Comme le troisième se présentait à l’entrée, il m’a dit : « tu m’as raconté des salades, je ne suis pas le premier, vu comment c’est souple ». Non, il était bien le premier puisque seul un plug m’avait défloré jusque-là. Il s’est alors retourné vers moi et m’a demandé de lui dérouler une capote sur la tige et de lui sucer les couilles. Puis il m’a retourné sur le ventre, écarté les cuisses, s’est agenouillé entre elles et pointé son engin sur mon œillet. Après m’avoir demandé d’écarter mes fesses il m’a dit : « comme tu es d’accord, je continue, je serais doux ». J’ai compris que ce n’étais pas une question et que j’avais déjà accepté de me faire prendre par le cul. Il a tenu parole, sa teub est entrée progressivement.
Parfois il rajoutait de gel. C’était douloureux mais pas trop. J’étais traversé de sensations contradictoires, tendresse et volupté ou force et tiraillement… Puis il a commencé à faire des mouvements plus rapides et plus amples. J’entendais sa respiration s’accélérer Un centimètre en avant et un en arrière puis deux en avant et un en arrière et ainsi de suite avec et j’ai senti son gland buter au fond de moi en même temps que ses couilles caressaient mes fesses. Mon tube rectal s’échauffait par le passage de sa teub, mon intestin était martelé par son gland. Progressivement, la douleur a dépassé mes sensations de bien-être et au fur et à mesure qu’il me besognait, mes larmes ont commencé à couler.
Je devenais inerte et passif. Il s’est alors retiré : « mauviette ! je veux baiser un corps vivant, pas un bout de viande… ».
J’ai cru qu’il allait partir, m’abandonner là, seul. J’ai tenté de l’embrasser pour me faire pardonner, et lui, a tenté de me doigter mais il a dû convenir que c’était trop sensible. Il a alors retiré sa capote, a pris ma tête entre ses mains et a enfourné sa bite dans ma bouche : « essaye de te rattr ! » J’avais compris, c’était peut-être ma dernière chance. J’ai ouvert en grand, l’ai pris en bouche, j’ai entouré sa tige avec mes lèvres, léché le frein, sucé le gland, aspiré le méat tandis que je caressais et malaxait ses couilles. Il a lâché toute sa semence sur ma figure et m’a dit : « tu es presque pardonné, rappelle-moi le jour où tu seras disposé à m’obéir et seulement là, tu pourras jouir ! »

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