Mon Apprentissage-4

Il me restait à prendre contact avec Céline. Elle accepta de dîner avec moi dans un petit restaurant auprès d’une calanque. Elle était très jolie dans sa robe sac. Elle avait des cheveux coupés à la garçonne, des yeux vert émeraude. Elle était perchée sur des hauts talons mettant en valeur ses jambes. Elle ne portait pas de soutien-gorge car ses seins dardaient sous sa robe. Je lui demandais pourquoi elle avait essayer de m’allumer lors du repas. Elle me répondit que c’était parce que j’étais le plus jeune. Tous les autres étaient vieux. Elle avait décidé de flirter avec moi mais Aline l’avait empêché de mener à bien son projet. Elle était en dernière année de droit. Elle avait vécu un an avec une personne plus âgée qu’elle avait quitté car la vie terne qu’il lui faisait vivre ne lui convenait pas. Elle avait besoin de vie et d’action.
A la fin du repas je lui proposais de nous promener sur la plage. La température était douce, le ciel était constellé d’étoiles, nous étions bien. Au détour d’un rocher alors que nous étions bien seuls, je l’attirai à moi et commençait à l’embrasser et à la caresser. Elle avait un corps gracile et de petites fesses bien rondes. Pris d’une inspiration je me déshabillait et plongeait nu dans la mer. Enlevant sa robe et sa culotte, elle me rejoignit. Elle avait vraiment de petits seins pointus et un petit cul très rond. Nous regagnâmes la rive. J’avais de l’eau jusqu’au genoux. Elle m’empoigna les fesses et me prit en bouche. Sa langue jouait avec ma verge tandis que j’accompagnais ses mouvements de succion en la tenant par les cheveux. Ses doigts cherchaient ma rondelle pour les introduire dans l’anus. J’étais très excité. Je remontai sur le sable pour m’allonger sur le dos. Je m’emparai de son vagin pour l’ouvrir et l’empaler sur ma queue. Une grimace accompagna mon introduction. J’étais vraiment très gros et long pour elle. Je posais mes mains sous ses fesses pour l’aider dans ses mouvements. Une fois bien en place elle commença ses mouvements de va et vient.

Son vagin serrait ma queue comme un gant bien ajusté. La sensation était divine. Mes doigts s’étaient aventurés dans sa raie culière et je trouvais un anus très souple qui s’ouvrait facilement. Elle haletait de plus en plus au rythme des va et vient. Elle était belle, les lèvres pincées les yeux fermés. Dans un grand cri elle s’effondra sur moi. Continuant mes mouvements je me déversais en elle, trois doigts dans son petit cul. Je la pris dans mes bras. Sa main s’était emparée de mon sexe et je continuais à lui travailler le cul. Je lui demandai pourquoi il était si ouvert. En fait ce qui attirait les hommes c’est son côté petit garçon, son allure androgyne et beaucoup d’entre eux ne s’intéressaient à son cul. A leur contact elle s’était mise à apprécier la sodomie. Elle attirait aussi beaucoup les filles et s’était laissée séduire par des amies lesbiennes.
Continuant à lui travailler le cul, je la mis à quatre pattes, plaquant ses épaules dans le sable et surélevant ses fesses. Je présentais mon gland contre son anus et m ‘enfonçait facilement. Elle avait placé ses mains sur son sexe et elle se branlait frénétiquement. Mes doigts s’étaient emparés de ses petits seins dont je triturais et pinçais les bouts. Son cul était aussi accueillant que son sexe. J’y étais bien. A sa demande j’accélérai la cadence et je me mis à la défoncer avec vigueur. Elle couinait de plus en plus fort. Ses doigts branlaient son clitoris et son sexe. Elle était véritablement en transe. Avec un grand cri elle s’écroula dans le sable alors que je me vidais en elle, son petit cul collé à mon ventre.
Je la ramenai chez elle repue et contente. Elle me fit promettre de lui faire à nouveau signe.
Dominique avait suivi mes consignes et s’était fait épilée. Elle voulait de plus en plus de sexe et était toujours généreuse avec moi. Elle avait lu un article sur une boite échangiste et m’avait interrogé sur ces pratiques. Comme elle semblait intéressée je lui ai proposé d’aller passer un week-end à Lyon ou j’avais entendu parler d’un club chic ayant bonne réputation.
Elle accepta à la condition qu’on ne la reconnaisse pas. Je lui achetais un loup.
Le samedi soir nous nous retrouvâmes au Safari à Lyon. J’avais téléphoné auparavant au patron pour avoir toutes les garanties sur les gens qui fréquentaient ce club. Nous pûmes nous changer. Dominique portait outre son loup un soutien gorge ajouré d’où sortaient ses seins lourds et un string blanc qui séparait bien son globe fessier. Elle était perchée sur des hauts talons. Elle était très sexy. Je portais un short moulant qui mettait en valeur ma queue et un haut transparent qui ne cachait rien de ma musculature. J’avais demandé qu’on nous place dans un coin discret pour pouvoir observer les arrivants. C’étaient des gens plutôt âgés entre 40 et 65 ans. Dominique excitée regardait les couples se caresser et s’éclipser dans des endroits plus intimes. Je l’entrainais sur la piste de danse. Elle était collée à moi et ne pouvait ignorer les caresses des hommes et des femmes qui passaient à côté de nous. Etant le plus jeune j’avais mon petit succès. Nous retournâmes nous asseoir et une femme d’une cinquantaine d’année avec son mari nous proposa d’aller bavarder dans un coin plus intime où ils devaient retrouver un autre couple. Je me retournai vers Dominique qui donna son accord. Le couple était très bien assorti. Elle Julie, blonde très grande avec de très beaux seins en forme de poire et un cul bien ferme. Lui Joël très grand, sportif, bien fait. Son slip avait du mal une queue de bonne dimension
Elle pris Dominique par la main et l’entraina dans le couloir qui conduisait aux chambres privées. Nous retrouvâmes Juliette, petite femme brune à la poitrine imposante et son mari julien un petit homme plutôt effacé. Juliette embrassa aussitôt Dominique sur la bouche et lui enleva ses vêtements. Elle l’allongea sur le lit et commença à lui caresser les seins, le corps et le sexe.
Julie, la porte fermée se précipita sur moi, m’enlevant très vite mon short et mon haut. Joël lui était nu.
Julie s’agenouilla et nous pris alternativement dans sa bouche. Nous avions sensiblement une queue de la même taille et Julie prenait beaucoup de plaisir à nous sucer. Juliette s’occupait de Dominique qui poussait des petits cris. Julien essayait de faire bander sa petite queue en nous regardant.
Julie demanda à son mari de s ‘allonger par terre. Elle s’empala sur lui. En me regardant, elle écarta ses fesses, m’invitant à explorer son fondement. Je pris le tube de gel et enduisit copieusement son anus et commençait à la doigter pour l’élargir. Visiblement elle était habituée à se faire sodomiser car mes doigts rentraient très facilement ; Son mari continuait à la baiser contentieusement. L’estimant prête je présentais mon gland recouvert d’une capote devant son anus. Ma queue fût avalée facilement. Restait à coordonner mes mouvements avec ceux de Joël ce qui fût fait. Une fois en mouvement je m’emparais des seins de Julie, les malaxant les triturant. Je sentais la queue de Joël à travers la mince paroi qui nous séparait. Juliette qui avait laissé Dominique à sa jouissance, s’était approchée de nous et placée sur le visage de Joël pour se faire lécher le sexe tout en se branlant le clitoris. Julie criait son plaisir d’être prise par deux hommes. Joël céda le premier et se répandis en elle. Sentant que j’allais jouir, je me retirais, enlevais ma capote et giclais sur le visage de Julie.
Joël présenta sa queue à Julien pour qu’il la nettoie. Il le faisait avec beaucoup d’application serrant sa petite queue flasque entre ses doigts. Je retrouvais Dominique. Elle était ravie que Juliette se soit occupé d’elle. Elle ne savait pas qu’une femme pouvait donner autant de plaisir. Juliette s’équipa alors d’un gode ceinture et demanda à son mari de se mettre à quatre pattes, lui écartant les fesses elle le sodomisa brutalement, le traitant de tous les noms. Le petit homme encaissait sans broncher. Après quelques minutes elle demanda si quelqu’un voulait prendre sa place.
Joël se présenta et continua à le sodomiser. Juliette proposa ensuite à Dominique d’utiliser son gode ceinture sur elle. Après l’avoir équipée elle s’allongea sur le lit et Dominique la pénétra. Le tableau était superbe et excitant. Juliette se présenta devant la bouche de Dominique qui se mit à la lécher. Il ne me restait qu’à trouver un trou pour me soulager. Je m’allongeais près de la tête de julien que je forçais à me sucer tandis que Joël continuait à le besogner. Les trois filles jouirent pratiquement simultanément alors que Joël se vidait dans Julien. Sentant mon sperme monter je giclais sur la figure de Julien. Juliette l'envoya se laver et se rhabiller avant de l’exiler dans la voiture. Il faisait pitié avec du sperme plein le visage et les cheveux et coulant entre ses fesses.
Pour terminer la soirée je proposais à mes nouveaux amis de nous occuper que de Dominique et de la faire jouir par tous les moyens. Deux sexes, un gode ceinture dis mains cinq bouches pour elle seule. Elle ne doit plus se souvenir du nombre de fois où elle fut prise, sodomisée, godée, léchée, branlée, doigtée. Je me rappelle par contre de sa jouissance continue au point de perdre conscience.
Nous quittâmes bons amis en promettant de se revoir. Dominique à peine entrée dans la voiture s’était endormie. Juliette voyant cela me demanda de la baiser allongé sur le capot de la voiture, son mari lui léchant le cul.
Dominique reconnaissante pour ce week-end me remit une somme conséquente pour services rendus. Elle ne pouvait pas imaginer que le sexe produisait autant de plaisir.

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