Mon Apprentissage-8

Je récupérais Brigitte le mercredi après-midi pour prendre la route de Monaco. Elle était vraiment superbe. Elle portait un combi-short bleu clair. Pendant le voyage elle me raconta son histoire.
Elle avait vécu dans une famille aisée à Lyon. Benjamin d’une fratrie de six garçons, Paul, c’est son vrai prénom était arrivé sur le tard. Plutôt chétif par-rapport à ses frères, il avait été couvé, materné par sa mère. Il se sentait différent. Il préférait la compagnie des filles et leurs jeux. Il avait des traits délicats. Adolescent, il était devenu un peu le souffre douleur de ses frères qui se moquait de lui et de son manque de virilité. Inscrit au football contre son gré, il avait fait l’apprentissage des douches collectives, des jeux débiles de comparaison de sexe, de pilosité. Avec son aspect androgyne, sa faible pilosité, sa petite queue, il se sentait de moins en moins à l’aise. Il abandonna très vite ce sport car il ne supportait plus les quolibets et les réflexions de ses camarades de jeu.
Il fréquentait les magasins de mode féminine. Il aimait toucher les tissus des robes des chemisiers, les dentelles. Il commença à voler de la lingerie et des vêtements qu’il ramenait chez lui. Le soir il se travestissait. Il se sentait bien en femme et il portait de plus en plus de lingerie sous ses vêtements de garçon. Il prenait aussi de plus en plus de risques pour assouvir sa passion des vêtements féminins. Physiquement il était beau avec les traits très fins et ce côté gracile, un peu efféminé. A 16 ans, il était glabre. Seul, un très léger duvet recouvrait ses jambes. Son sexe était plutôt long et fin et ses couilles pas très développées. Il avait découvert le plaisir avec la masturbation. Un jour, il se fît prendre sur le fait dans un magasin. Le vol était suffisamment important pour qu’une perquisition soit faite dans la chambre où la police découvrit de nombreuses affaires volées. Il dût avouer la vérité à ses parents, leur confesser ses goûts particuliers.

Ils étouffèrent le scandale en indemnisant les magasins où il avait sévi et décidèrent de le mettre en pension dans un lycée privé qui avait la réputation de mater les fortes têtes. On l’affecta dans une chambre qu’occupait un garçon de 17 ans, Pierre. Ce dernier, capitaine de l’équipe de rugby, était un très beau mâle de 1m85, plutôt sympathique, à la musculature impressionnante.
Paul n’était pas très à l’aise. Beaucoup de ses condisciples étaient de petites frappes. Très vite son apparence physique fît qu’il se trouva en butte à des moqueries. On le traitait de gonzesse, de pétasse et certains se permettaient de lui caresser les fesses. Pierre le voyant en difficulté intervint, en secoua quelques uns et le pris sous sa coupe. Le harcèlement cessa.
Pierre dans la chambre se promenait souvent en slip. Quand il prenait sa douche, il ne se cachait pas et Paul pouvait admirer sa musculature et son sexe impressionnant au repos. Pierre possédait une collection importante de revues pornographique qu’il cachait dans le double plafond de la chambre. Le soir, Paul le voyait se masturber de plus en plus ouvertement en lisant ses revues. Il était fasciné par la taille du sexe de son ami. Un soir alors qu’il passait à proximité de lui, Pierre le retint, pris sa main et la posa sur sa queue en lui demandant de le branler. Il le retenait très fortement. Il ne pût que s’exécuter et l’amena très vite à la jouissance. Pierre lâcha de longues giclées de spermes en poussant de longs soupirs. Paul était aussi très excité. Il avait aimé tenir cette superbe queue entre les mains et voir ce bel athlète réagir à ses caresses. Pierre pour le remercier lui caressa les fesses.
Le lendemain, Pierre allongé sur son lit, son sexe dressé, pointant fièrement. Il appela Paul lui demanda de se mettre nu et de le caresser. Ce dernier s’exécuta branlant le d’une main et de l’autre lui caressant le corps. Sentait sa sève monter, Pierre le saisit par les cheveux et l’obligea à baisser la tête à hauteur de son sexe.
Le gland forçait ses lèvres. Ouvrant la bouche il engloutit la queue et commença une fellation. C’était pour lui une première. Pierre le guidait à la voix lui demandant d’accélérer, de ralentir, de lécher la verge et les couilles. Maintenant la tête de Paul, il se déversa dans sa bouche et l’obligea à avaler sa semence. Il mit ensuite Paul à quatre pattes. En le branlant d’une main, il lui ouvrît le cul de l’autre après l’avoir obligé à lui sucer les doigts pour les humecter. Paul appréciait visiblement cette caresse. Son cul venait à la rencontre des doigts qui le fouillait. Sa queue, longue et fine palpitait dans la main de Pierre qui accéléra pour le faire juter. Poussant un long soupir il se vida, pendant que Pierre continuait à lui travailler la rondelle.
Au bout de 10 jours de ce traitement, il était prêt. Son cul était devenu souple et acceptait quatre doigts. Pierre le prépara soigneusement. Appuyant fortement son gland sur l’anus, il s’enfonça en lui. Paul ressentit une douleur assez forte au moment où le muscle céda sous la poussée de l’imposante queue. Le laissant récupérer, Pierre commença ses mouvements d’aller retour doucement pour lui permettre de s’habi à cette grosse bitte qui le transperçait. Paul appréciait de plus en plus cette pénétration. Pierre lui mordillait la nuque tout en lui caressant et pinçant les tétons. Il accéléra de plus en plus son mouvement et se déversa en lui. Lorsqu’il sentit ces jets de sperme chauds qui se répandaient en lui, Paul jouit dans la main de Pierre qui le retourna et l’embrassa avec passion.
Ils continuèrent leurs relations tout au long de l’année scolaire. Ils étaient suffisamment discrets pour que leur liaison reste cachée. Personne n’aurait pu imaginer que le capitaine viril de l’équipe de rugby avait des relations avec comme ils le disaient entre eux cette « tantouze » de Paul.
En lisant les revues de Pierre, Paul sentait une excitation particulière en regardant Les travestis. Il se rappelait le plaisir qu’il prenait en mettant de la lingerie et des tenues de femme.
Il ressentait de plus en plus sa féminité. Il n’aspirait plus qu’à une chose, être libre un jour et vivre en femme.
A la fin de l’année, ses parents acceptèrent de le reprendre à la maison mais il se sentait étroitement surveillé. Pierre sur avait donné un plug qu’il utilisait dès qu’il se masturbait.
Il rentra à l’université. Il revit avec toujours autant de plaisir Pierre qui s’était marié mais qui n’oubliait pas celui qui lui avait donné tant de plaisir. Il laissa pousser ses cheveux. Il se travestissait de plus en plus, sortant de plus en plus en femme. Il commença à fréquenter les boites où il rencontrait des transgenres. L’un d’entre eux, qui s’était pris d’affection pour lui, lui appris à se maquiller, à se préparer. Ses traits étaient suffisamment féminins pour donner le change. N’eut été sa pomme d’Adam, il pouvait faire illusion. Il rencontra des travestis qui s’étaient fait opérer tout en conservant leurs queue. Il en rêvait. Etre sodomisé en sentant des seins se frotter dans son dos le mettait dans un état d’excitation maximum. Les hommes et les femmes adoraient le sucer. Son sexe long et fin avait beaucoup de succès.
Il termina ses études d’art plastique. Ses parents l’année décédèrent dans un accident de voiture l’année de ses 30 ans. Il reçu un héritage conséquent. Il n’avait plus de contacts avec ses frères.
Il consulta un chirurgien qui accepta de l’opérer et de faire les modifications corporelles qu’il souhaitait. Ce fût un parcours long et difficile de trois ans. Il se fît implanter des prothèses mammaires, rectifier la pomme d’Adam, modeler les fesses. Une rhinoplastie et une modification de ses lèvres pour les rendre plus pulpeuses avaient complété sa transformation. Sa voix avait changée. Le chirurgien était fier de son œuvre. Il est vrai que, l’aspect androgyne de Paul avait facilité la tâche. Il lui proposa changer de sexe, ce qu’il refusa préférant conserver sa queue. Au début, le traitement hormonal l’avait privé d’érection, mais par la suite il avait retrouvé cette capacité.

Avec l’aide de l’équipe médicale il réussit à obtenir une attestation prouvant transsexualité. Il acheta un appartement à Nice. Il était devenu Brigitte, une très belle femme, coquette et sexy. Les hommes se retournaient sur son passage
A 35 ans, elle avait suffisamment d’argent pour vivre de ses rentes. Elle se créa un réseau de partenaires qui lui permettait d’assouvir ses besoins sexuels. Elle rencontra alors Jean-Jacques. L’amour de l’art les rapprocha. Il était homosexuel. Elle posa pour lui. Ce corps de femme presque parfait avec une queue le troublait beaucoup. Ils entamèrent une relation sexuelle. Jean-Jacques était passif et plutôt soumis. Il aimait beaucoup le SM. Brigitte accepta de le suivre dans cette voie, qui leur apporta à tous les deux beaucoup de satisfactions.
Elle demanda à Jean-Jacques de la prévenir lorsqu’il faisait poser des beaux mâles jeunes et bien formés. C’est comme cela qu’elle sut que je devais poser pour lui. Ce dernier impressionné par mon physique, lui avait proposé de me rencontrer lors d’une séance de pose. Mon retour inopiné dans l’atelier inopinément avait modifié ses plans et nous étions devenu amants. Comme elle avait beaucoup aimé nos deux rencontres, elle avait accepté volontiers de m’accompagner à Monaco.
Elle savait que j’aimais beaucoup les femmes mûres. Comme j’étais bisexuel, elle comptait m’associer à ses pratiques car elle avait quelques fois affaire à des couples murs qui souhaitaient varier leurs plaisirs. Elle avait beaucoup aimé la façon dont nous avions piégé le patron de Céline. Ce dernier continuait à lui téléphoner souhaitant la rencontrer à nouveau.
Elle aimait beaucoup séduire les beaux mâles. Elle était très habile et arrivait quelquefois à cacher en particulier quand son partenaire se laissait attacher, sa virilité. Elle savait se servir de son cul comme un vagin. Elle s’était suffisamment entraînée et prenait des gros calibres facilement. C’était un véritable aspirateur. Elle maitrisait complètement son muscle anal. Elle aurait voulu cependant avoir un sexe plus épais mais la nature l’avait fait ainsi.
Elle avait placé sa main sur ma nuque et me regardait avec beaucoup de tendresse. Nous étions vraiment bien ensemble.
Margaret nous attendait surprise par le physique Brigitte. Elle ne s’attendait pas à voir une aussi belle femme. Elle n’avait jamais fréquenté de transgenre. Elle était nue sous sa petite robe. Elle ne portait pas de culotte et de soutien gorge.
Excitée, elle aurait voulu que nous prenions un peu d’avance. Brigitte était d’accord mais je refusais. Il fallait garder des forces pour la suite.

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