Future Lope: Episode 2, J'Étais Passif, Je Deviens Soumis

Episode 2, j'étais passif, je deviens soumis
Je suis rentré chez moi et durant quelques jours j’ai tenté de le rayer de mes contacts sans parvenir à passer à l’acte. Après 3 jours j’étais toujours tiraillé entre l’idée de ne jamais le revoir et celle de le perdre, écartelé entre l’envie et la peur. Je l’ai finalement relancé. La réponse a tardé et, anxieux, j’ai tapé le message suivant :
- « J’ai très envie de vous voir et j’accepte que vous me preniez. »
- « Pour me servir et m’obéir ? »
- « Oui »
- « Appelle moi Maître »
- « Oui, Maître. »
- Chez moi Dimanche 10h, adresse… tu entres et tu te mets à poils dans l’entrée.
Ce dimanche, je suis en avance, tremblant à la porte, j’hésite devant ce qui ressemble à un saut vers l’inconnu ! J’attends un peu, je respire pour calmer ma tension et je sonne, la porte s’ouvre. Une chaise dans l’entrée avec un mot me disant que le test d’obéissance va commencer par le ménage et la vaisselle tout nu dans la cuisine. Si j’obéis, il viendra me voir mais je ne dois pas quitter la pièce.
Je me déshabille, laisse mes vêtements sur la chaise pour me rendre nu dans la cuisine qui est à côté. Les autres portes sont fermées. Un amoncellement de vaisselle et un panneau sens interdit sur le lave-vaisselle. J’ai donc commencé par les verres, lavage et essuyage puis les assiettes lavage et essuyage quand j’ai entendu : « ne te retournes pas, continues… A genoux, écartes les ! ». J’ai senti un liquide froid sur mon cul et un objet a été introduit dans mon anus. « Relèves toi et continues à obéir, ton trou a besoin d’être élargit. » C’est ainsi, à poil et godé que je frotte les casseroles, les rinces et les essuies. Comme j’ai terminé, je l’appelle. Il me demande de m’agenouiller à nouveau, ce que je fais. Il m’enlève alors le plug pour en enfiler un autre plus gros : « avec ça tu vas être à la bonne taille ! relèves toi, regardes vers le sol, tu dois être plus humble ».

Il me caresse les tétons et comme il les trouve petits, y mets des pinces métalliques.
Il les a mises assez loin sur l’aréole qui entoure le mamelon, c’est gênant mais pas trop douloureux. Ensuite, il s’est collé à moi pour me caresser les fesses d’une main tandis qu’il me tapotait les bourses de l’autre. Mon sexe a commencé à bander. Il a continué ainsi un moment puis sa main droite s’est insérée dans mon sillon fessier pour faire gigoter le plug. Sa main gauche est alors remontée sur ma tige par un mouvement de va et vient rendant ma queue turgescente. Il était resté habillé, j’ai donc tenté de défaire sa ceinture, je le voulais nu contre moi… J’étais prêt d’exploser lorsqu’il m’a repoussé violemment « je ne t’ai rien commandé, tu dois m’obéir, rien de moins, rien de plus ». Il m’a giflé la bite, ce qui m’a fait très mal.
Par réflexe, j’ai mis mes mains sur mon sexe. « En plus tu caches tes couilles ! » Il m’a attrapé les mains, les a mises derrière mon dos et les a attachées. « Suis-moi, c’est l’heure de l’apéro ».« Je voulais te faire plaisir mais tu n’es pas assez obéissant ». Il m’a alors poussé devant lui jusqu’ au salon. Deux verres d’apéritif avec des amuse-bouche étaient servis sur la table, il m’a à m’agenouiller par terre et s’est assis à table. « Tu n’es pas digne d’être à ma table » et il m’a jeté quelques cacahouètes « mange ! ». Il a bu un verre et comme je ne bougeais pas, il m’a pris la tête et m’a à manger à même le sol. Il a ensuite siroté lentement son deuxième verre, me jetant encore quelques gâteaux apéritifs de plus en plus loin. Je me précipitais pour obéir et manger. « J’aime regarder ton cul se trémousser lorsque tu cours à genoux et que tu te penches pour lécher le plancher à la recherche de ta récompense ». Ce jeu a duré un moment, je commençais à en avoir assez mais attaché ainsi, je ne pouvais pas me rhabiller avant de partir, je devais attendre le bon moment. Il avait fini son verre : « C’est l’heure de la sieste, Suis-moi ».

Les gâteaux salés m’avaient donné soif et je tirais la langue, ce qu’il a vu. « Bon garçon, c’est mieux, tu ne dis rien et tu te fais comprendre ». Il est allé chercher un bol d’eau qu’il a mis sur le carrelage de l’entrée puis s‘est assis sur le canapé après avoir ouvert sa chemise, défait sa ceinture et dégagé sa bite. « Viens te désaltérer à ma source, Commence par mes tétons puis tu boiras mon lait ». Là, vraiment je me sentais mal, j’étais venu chercher du plaisir et j’étais traité comme un chien. Mais comment fuir, nu avec les mains attachées. Une petite idée au fond de moi me disait cependant que le plug préparait quelque chose et que la récompense viendrait. Je me suis donc agenouillé devant lui et il a déplacé les pinces pour les accrocher sur la pointe des mamelons. J’ai crié de douleur. Il m’a laissé un temps de respiration puis a attiré ma tête vers son téton. Je lui ai léché et mordillé les tétons prenant garde à ne pas le mordre puis je suis descendu plus bas.
J’ai léché ses abdos et fouillé son nombril du bout de ma langue. J’ai tiré son pantalon avec les dents pour dégager ses cuisses et, enfonçant ma tête entre ses jambes, j’ai caressé ses cuisses avec mes joues tandis que mon nez et ma langue s’activaient sur son service trois pièces. Les mains attachées m’empêchaient de lui empoigner la queue. Je commençais à comprendre que je devais donner du plaisir à mon Maître avant d’en recevoir. Je m’appliquais donc avec ma bouche et ma langue à lui retrousser le prépuce ; à titiller le frein ; à astiquer la queue ; à gober les boules ; à lubrifier le gland ; à sucer les bourses ; à polir la verge… Il a tenté de me faire une gorge profonde mais à chaque fois que son gland heurtait la luette, j’étais pris d’une quinte de toux. Je me suis donc concentré sur le bout de sa teub, mes lèvres enserrant la couronne de son gland et le bout de ma langue chatouillant le dôme du gland et l’orifice du méat.
Mon Maître soufflait de plus en fort. Sa queue de plus en plus raide et dure m’emplissait la bouche quand tout à coup, il a lâché sa purée.
Le premier jet est venu dans ma bouche tandis que les autres jaillissaient sur ma figure, et mes cheveux, parfois au-dessus de moi pour retomber par terre. Je continuais pendant un moment à lui nettoyer le carafon puisqu’il m’avait chargé de faire la vaisselle. « Bon garçon, je vais te retirer les pinces ». Ce faisant il m’a tordu les tétons, me faisant pleurer de douleur ! « Va nettoyer le sol derrière toi ». J’allais me lever afin de chercher une serpillère lorsqu’il m’a dit de rester à genoux et de laver avec ma langue puisque je n’avais pas su tout garder en bouche. « Après tu iras boire de l’eau dans la gamelle ! » J’étais un peu fâché de son attitude après la jouissance que je lui avais donnée. Voyant mon air farouche, il a aussitôt complété « ensuite revient ici, je m’occuperais bien de toi ».

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