Une Patronne Disponible

Un samedi soir ordinaire dans un abominable bar-tabac de banlieue qui fait office de brasserie, avec une odeur de frites bien grasses, ou les toilettes, ou le parking servent de lieux d’échange. Moi, ce n’est pas la drogue qui m’attire ! Je n’en prends que rarement et je l’achète toujours plus chère, mais de meilleure qualité à un tenancier d’une boîte de nuit chic des beaux quartiers.

Moi, je suis ici pour satisfaire un autre vice, la queue ! J’ai besoin de mâles, aux pluriels, pas du raffiné, mais du vrai. Des mâles bien macho, un tantinet arsouille, qui vous tronche sans façon ni tendresse. Juste attentif à son plaisir mais capable de vous exploser la rondelle.

Je n’en peux plus. Voici des mois que je me contente d’étreintes ordinaires d’amants trop doux. Mon équilibre mental exige que je me fasse mettre deux ou trois fois par jour minimum ! Si je n’ai pas ma dose, je deviens nerveuse, irritable, même détestable.

Heureusement pour moi, grâce à ma boîte de pub que je dirige, cela multiplie les occasions. Et comme je suis plutôt bandante, les mecs tombent dans mon lit facilement. Je recrute que de beaux garçons et pas un seul pédé, que du mâle bien monté et dispo. J’ai ainsi sous la main une horde de collaborateurs toujours ravis de sauter leur patronne.

J’ai horreur des gras-du-bide ! Je n’apprécie la grosseur qu’au niveau de l’entrejambe. Il arrive que les entreprises de ma clientèle me fassent cadeau de superbes étalons le temps de monter une campagne. Il y a aussi les hommes politiques ou les stars du show-biz, qui ne sont pas complètement nazes et baisent comme des divas. Sans compter les rencontres du hasard.

Si je ne jouissais pas comme la dernière des grosses cochonnes, je pourrais passer pour une nympho, mais voilà, je jouis. Je ne vis que pour jouir. J’ai trente-cinq ans et de très bons revenus, toutes les frasques me sont permises. Tant que les hommes sont à mes pieds ! Mais il m’arrive de penser avec terreur au moment où l’âge me rattra.



J’ai croisé le responsable d’une grande société de transport aérien. Un ancien pilote, la quarantaine sportive, de superbes yeux et un sourire ravageur. Comme vous

Pouvez le voir, contrairement à ce que disent les mauvaises langues, chez les hommes, je ne m’intéresse pas qu’à la bite et aux performances sexuelles.

Deux heures après il me montrait sa maîtrise dans le maniement du manche à balais et me faisait faire des loopings au fond des cieux. Une semaine que je plane matin, midi et soir.

Pourtant, maintenant, il faut que je satisfasse la part obscure de ma sexualité.
Quel que soit l’intensité de mon plaisir, vient l’heure où je dois me plonger dans le vice et la violence.

Les occasions de débauche ne manquent pourtant pas. Il y a même les partouzes où l’on peut se faire tringler plusieurs fois. Mais trop de gens que je croise par ailleurs, vie professionnelle ou relations sociales, pour que je puisse aller au bout de mes fantasmes et de mes pulsions.

Mais ces hommes sont des gens de mon monde. Aussi lubriques soient-ils, ils restent relativement trop courtois. Pas de quoi me donner les frissons. J’ai essayé de satisfaire mes instincts et mon goût de la souffrance, dans des manoirs isolés même dans les catacombes.

Toujours trop de beau linge pour que ces exhibitions satisfassent mes fantasmes et mes pulsions. Pendant quelques heures, ils sont amusants mais vite désespérants, leurs douleurs et leurs cris vite lassants. C’est le destin du commun des mortels, ne jamais sortir des ténèbres extérieures.

Ces nuits, sont tellement codifiées et ritualisées, leurs participants si prévisibles et si timorés que je suis devenu bourreau faute d’être une victime parfaitement comblée.

J’ai enfin trouvé la solution, dans les banlieues les plus crades. Je peux m’éclater dans les bras des petits caïds qui se croient des hommes parce qu’ils portent un flingue. Avec eux, je peux me rouler dans la boue, je me fais massacrer et ils m’arrivent de craindre pour mon intégrité physique.
Les coups, la violence et la contrainte n’ont plus rien de simulé et moi je connais le grand frisson.

Ce soir je vais pouvoir me goinfrer de petits voyous. Ma cure de honte, j’ai un besoin maladif de sexe crapuleux, il faut que je satisfasse mes instincts les plus bas. Je suis une salope, une garce qui a besoin pour jouir totalement de s’abaisser à des étreintes sordides, brutales et multiples.
J’ai découvert les plaisirs de l’ignoble, voici deux ans. Nous devions présenter des fourrures de prix. Un de nos créatifs a eu l’idée de génie, la banlieue et ses bandes. Voir des filles nues sous leurs fourrures dans des décors pouilleux et entourés de gamins de plus en plus déchaînés.
La meilleure photo était, une panne de voiture des trois filles au pied d’une HLM. Le concept a eu un énorme succès et ce numéro a battu tous les records de vente. L’érotisme des photos et des situations n’avait échappé à personne. Et surtout pas aux lecteurs qui furent plus nombreux que les filles à se procurer leurs exemplaires des mésaventures de trois écervelées égarées dans une banlieue chaude.
Il faut dire que les modèles tremblaient réellement de trouille, car, les figurants étaient de vrais loubards. Par précaution, nous avions osé un casting original, trois starlettes vraiment débutantes. Les professionnelles avaient toutes refusé de s’exhiber dans un quartier aussi chaud.
Une équipe avait soigneusement préparé les lieux et recruté les comparses. On les a bien payés et une douzaine de gros bras pour protégées les filles au k ou. Tout était resté sous contrôle. Sauf pour moi ! À cause de moi !
Depuis une bonne heure, on tournait la dernière scène. Des centaines de photos. La première, porte un manteau de vison rasé, et sa mise défaite dénude une épaule et un sein. La seconde porte une veste d’agneau doré trop courte pour ne pas dévoiler ses ravissantes fesses qu’un beau noir reluque sans scrupule. Il a les mains sur sa ceinture comme s’il allait enlever son falzar.

Quant à la superbe black, son manteau s’est largement ouvert sur ses trésors. Difficile de tenir les mecs. Dans un coin, l’un d’eux avait déjà sorti son engin et se branlait sans complexe. Sévir n’aurait fait que mettre de l’huile sur le feu. Les monteurs se démerderaient bien sûr pour supprimer les images trop hard.
J’entraîne à l’écart un des gardes du corps. Un beau noir avec des paluches qui me font espérer. J’ouvre sa braguette et j’enfourne ma main dans sa culotte. Pas déçue ! La bite tient ses promesses. Un bon vingt centimètres et la dureté de l’acier. Je l’ai pas doigté trente seconde qu’il m’inonde la main et s’en met plein le slip.
Incroyable le nombre de gaillards qui éjacule comme des lapins. J’en avais connu un comme ça. Il m’avait éjaculé en pleine gueule avant même que mes lèvres l’aient touché. Je le renvoie sur le plateau, le temps de remettre les bretelles de ma robe à la bonne place. L’agence de sécurité n’a pas intérêt à me le refourguer.
Je n’ai pas le temps de me rajuster qu’ils sont trois copains à lui autour de moi, sortis de je ne sais où. Des beurs ni très propres ni très beaux, mais déterminés. Ils m’entourent, ils me pressent. L’un d’eux se frotte contre moi. Je sens sa bite contre mon ventre, bon dieu, ça me retourne.
- Tu as vu la meuf ? dit un ! Dommage, plus toute jeune !

- Sûr, mais un quand même un sacré petit lot répond le second.

- C’est mignon tout plein, renchérit le troisième. Touche un peu ces nibards, du premier choix.
Il a déjà glissé sa main dans mon décolleté. Cinq doigts me malmènent le sein droit. Malgré moi je frissonne de plaisir.
- Et chaude avec ça la salope, s’écrit l’un d’eux.

- Normal, à cet âge, c’est des vraies chiennes !

- Elle aime ça ! Même qu’elle voulait se faire tirer par un black.

- Encore une qui croit qu’ils l’ont plus grosse.
Une autre main me pelote l’autre sein.
- Viens voir, il y en a pour tout le monde.

Difficile de lutter surtout si on n’en a pas envie en plus avec une robe si étroite que je déborde de partout. Les boutons du corsage sont assez ouverts pour qu’on plonge les yeux dans mon sillon mammaire.
Les lascars me collent si bien aux fesses qu’ils ont vu que je n’ai plus de culotte. Voilà belle lurette qu’elle a finie chiffonnée en boule dans mon sac, toute trempée de la mouille qui me coulait de la foufoune.

Ils se régalent les petits cons. Et moi aussi. Malgré mes craintes et une certaine gêne. Devant cette attaque imprévue et brutale, mes pointes durcissent, mes seins démangent et s’échauffent. Je sens que je m’alourdis contre eux. Ils le sentent également et se font plus pressants.

- Elle en veut cette pute, tu sens comme elle tremble.
Une main se glisse le long de ma cuisse, et se perd vers mon entre-jambe. Malgré moi je gémis un peu quand ses doigts toquent à l’entrée de ma vulve détrempée.
- Putain ! elle a la cramouille toute chaude et pleine de jus. Je te l’avais dit, elle a même pas de culotte. Écarte les cuisses que je te fourre mieux.
Je commence à m’affoler. Je me débats, je tente de fuir. Hélas, mes cris n’alertent personnes. S’ils les entendent, mes collaborateurs m’imaginent en galante posture. Un vrai coup, méchant et vicieux. Et moi, je suis presque au bord de la syncope tellement ça m’a fouetté le ventre. J’ai aimé sans pouvoir leur cacher. Ils se sont déchaînés.
Me voici immobile et soumise. Inutile de lutter, ils sont trois et chacun est bien plus fort que moi. Et puis une main qui grouille sur mes lèvres et deux autres qui pétrissent mes seins, ment je ne suis pas insensible. Le haut de ma robe est tombé libérant ma poitrine qu’ils dévorent d’une bouche avide. Je me laisse même embrasser sur la bouche.
- T’as vu cette pute, elle veut de la bite.
Derrière moi, le troisième, a retroussé ma jupe sur mes fesses nues. Il continue de me fourrer la chatte. J’ai fini par écarter les cuisses comme il le souhaitait. Trois doigts vont et viennent, rugueux et maladroits.
- Sûr qu’elle va en avoir de la bonne grosse bite.

- Un paquet tu veux dire.

- On va lui exploser sa petite chatte de blanche.
Quelques mouvements sporadiques. Il a sorti sa pine de sa braguette et le presse sur ma croupe. Une belle trique, dure, impérieuse, impatiente. C’est malin, j’ai le cul en feu.
Malgré leurs airs de féroces, ils sont timides. Ils sont si jeunes, le plus vieux n’a pas dix-huit ans. Et dire que je serai accusée de détournement de mineurs si on me surprenait presque à poil, en train de me faire à moitié prendre par ces trois petits cons.
Le crétin qui maintenant, se masturbe dans la raie de mes fesses, me tient par les hanches et son membre dressé s’écrase entre les globes charnus. Je n’en peux plus. Je me courbe davantage pour faire saillir ma croupe, je glisse une main entre mes cuisses et j’empoigne sa bite pour la guider où il convient. Il entre facilement et s’enfonce jusqu’aux couilles. Ses grelots velus tanguent sur le haut de mes cuisses. Il ramone sans se soucier de moi. Il baise comme il se branle, je ne suis qu’un trou, un sac à bites. Je tremble de tout mon corps. La peur, la honte et le plaisir.
- Hé les mecs ! je vous dis pas comment elle est trempée cette meuf !

- Mais tu la mets, t’es un rapide.

- Non c’est elle qui est rapide. Une vraie salope, elle se l’ait mise toute seule.

- Je suis sûr qu’elle aime autant sucer que se faire sauter.

- On partage ? demande le plus vieux.
Maintenant il donne de grands coups de reins en gémissant. Ses doigts crochent mes fesses et sa queue me défonce. Il va de plus en plus vite. Si ça continue, encore un qui va jouir trop vite. J’aime, mais je ne suis pas rassasiée.
Sans attendre de réponse le plus jeune baisse son jogging et se branle sous mon museau. Une odeur âcre de pine pas très propre. Il soulève mon visage et cherche à m’enfourner son gland luisant dans la bouche. Je me rebelle. J’ai toujours eu horreur des types qui veulent se faire sucer quand je me fais sauter. Ça gâche le plaisir.
- Attention ! Tu ne me dis jamais non, poufiasse !
Finalement il m’excite. Sa bite revient sous mon visage.
- Suce chérie où je t’étrangle.
Cette ambiance explosive m’excite. Il me tient les cheveux et frotte sa verge sur mes lèvres. Il sent fort. Il a une verge épaisse et dure. Et moi, je suis toute molle. L’autre s’active dans mon dos. Profond et rapide. Jamais trop profond mais beaucoup trop rapide. Il se vide en longues giclées juste de quoi me donner une moitié d’orgasme.
- Oui, c’est ça ouvre ta bouche de suceuse, je sais que tu aimes ça salope !
Il pousse sans ménagement, il me fait mal. J’adore malgré le goût trop fort. Son ventre plat et musclé m’émeut, je le caresse du bout des doigts. Il frissonne. Le troisième, a pris la place de son copain derrière moi. C’est le plus beau, son corps à la beauté des corps adolescents. Jusque-là, il ne disait rien et restait en retrait se branlant avidement. Il enlève les restes de ma robe.
Quand je suis nue, il se frotte contre moi. Je sens sa bite qui bat mes fesses et ses mains qui s’insinuent partout. Mon sexe inondé par le foutre de son prédécesseur, mes seins rougis d’avoir été tété et griffé à qui mieux mieux, mes fesses maltraitées.
Ses doigts trouvent mon cul. L’anus s’ouvre docilement quand il enfonce l’index et le majeur. Je pousse ma croupe pour accompagner sa pénétration et comme je pousse un soupir de plaisir, son compère en profite pour pousser son avantage. Sa bite s’enfourne jusqu’au fond de ma gorge. Je suffoque et je bave, la bouche trop pleine pour avaler ma salive.
Au rythme où il lime, c’est son foutre qui va bientôt ruisseler sur mon menton. Ses doigts s’agitent dans mon anus, je gémis de plaisir.
- Si tu voyais son cul, aussi ouvert qu’une chatte.

- Pas étonnant gamin, je me suis fait enculer voilà pas trois heures. C’est rodé et parfaitement lubrifié.
Sa bite glisse entre mes fesses, un frisson de dégoût et d’excitation me parcourt. Je suis vraiment une chienne. Une terrible secousse, un coup de rein magistral, sa bite me défonce la rondelle.
- Waou ! Quel trou du cul ! C’est comme ça que j’aime les greluches.
Il pilonne et je beugle. C’est tellement fort que je mords la verge du plus jeune.
- Conasse ! pas les dents où je te t’étrangle.
L’un a la queue rivée comme un bâillon dans ma bouche, l’autre va et vient comme un fou. À chaque fois, le boutoir sort presque en entier avant de s’enfoncer de nouveau, toujours plus brutal, toujours plus profond. Une main violente mon sexe, l’autre gifle mes fesses. Ils explosent l’un après l’autre. Le premier dans ma bouche, le second dans mon cul et deux fois je jouis comme une malade.
- Quand tu veux ma belle. On est là tous les jours. On fera même venir des copains si tu veux.
Je dois être vraiment folle, j’ai envie de revenir. Et au bout de huit jours, j’étais de retour. C’est là que tout s’est joué et que j’ai basculé.
J’avais envie de me faire baiser. Envie de ces simulacres de viols qui n’en étaient pas vraiment, puisque, je les recherchais, ou même, je les provoquais ! Mais quelle honte et quelle inquiétude. Imaginez que ce genre d’incartades vienne à se savoir. Je serais perdue de réputation et de crédibilité.
J’avais noté le numéro de téléphone du plus jeune. Nous convenons d’un rendez-vous.
- Je passe vous prendre ici à 20 heures. On file à ma campagne.
Mon idée n’est peut-être pas fameuse. J’ai une baraque paumée dans la nature, j’y serai tranquille, parfaitement tranquille.
Ils sont plus nombreux. Ce n’est pas pour me rebuter, mais cela va compliquer les choses. Difficile de tout garder le contrôle avec des grands qui vont vouloir jouer aux caïds devant leurs cadets.
Voici ce petit monde embarqué. Les grands à l’avant, à mes côtés, les gamins à l’arrière. Ma grosse Mercedes les fait bicher. J’en étais certaine. Je l’avais choisie pour cela.
J’entends déjà leurs petits cerveaux qui s’emballent. Clic-clac, clic-clac, clic-clac, ils cherchent quand et comment me la piquer. Pourvu que l’envie de me baiser soit la plus forte. Ça serait con que leur précipitation m’interdise de prendre mon pied.
Le sexe abrutit quand même moins les femmes que les hommes. Quand ils bandent, leur queue leur sert de cerveau. Même le cul trempé, une fille garde un peu de jugeote.

Tout va bien, pour l’instant, l’envie de me niquer est la plus forte. Mon importante garde-robe ne contenait pas vraiment de vêtements adaptés à la chasse aux loubards de banlieue en chaleur. La robe trop serré, trop courte, et bien décolletée, elle les sidère tous quand j’enlève mon long manteau avant de remonter en voiture. C’est un vibrant appel au viol.

La suite pour moi ! 24 heures formidable ! Je souhaiter du sexe sans ménagement, je n’ai pas été déçue, quelques souvenir restent de bleues sur les bras et les épaules.

Toutes les grosses bites m’offrent mieux que mes fantasmes. Et l’on aura beau dire, quand on a une dans le trou de balle, la taille fait la différence. Une belle et bonne ! Et plusieurs c’est encore mieux. Même si aujourd’hui j’ai du mal à rester assise.

J’ai vraiment pris mon pied ! Merci les gars et à la prochaine, prévenez vos copains.

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