Charline

Charline est ma coiffeuse depuis 4 ans. Elle me coiffe depuis le début de son apprentissage en 2011. Jolie brune, fine et élancée, elle s’occupe de moi avec talent et douceur. Corinne, sa patronne lui laisse le salon en toute confiance lors de ses congés et un jour sur deux elle ferme la boutique. Ce soir c’est son tour. Je lui ai téléphoné hier pour obtenir un rendez-vous afin de me faire couper les cheveux comme d’habitude. J’ai réussi à lui arracher de me recevoir à 19h00, privilège rare qu’elle n’accorde généralement pas. Il faut dire que je l’ai suppliée car je pars en catastrophe demain pour un déplacement sur Paris.

- « C’est bien parce que vous êtes un très bon client et que vous êtes très gentil ! À demain ! »ajoute-t-elle avant de raccrocher.

C’est vrai que je ne suis pas exigeant et que je suis généreux avec elle. Je n’oublie jamais la petite soucoupe en partant et la gratifie de conséquents pourboires.

Je sais que je suis un peu vieux pour elle, mais elle me trouve charmant avec mes habitudes de monsieur très courtois et un peu « vieille France ». Elle a 23 ans à peu près, un « ami » et un jeune bambin qui s’appelle Axel. Je les ai croisés tous les trois au marché il y a peu. Son mec est assez quelconque mais sympa et travaille comme vendeur dans je ne sais trop quoi. J’avoue à ma grande honte que j’ai quelques pensées lubriques lorsqu’elle s’occupe de moi. Elle pourrait être ma fille mais, j’adore ses doigts fins qui courent dans mes cheveux lors du shampooing et je raffole de sentir ses mains se poser sur ma joue au moment de me raccourcir les pattes. Mais ce que je préfère c’est quand elle m’attire vers elle après m’avoir installé sur le fauteuil et qu’elle me saisit le crâne pour commencer son travail. Je fais exprès de me pencher en avant à chaque fois pour que ce contact dure ne serait-ce qu’un millième de seconde de plus et je me détends complètement pour parfois frôler sa poitrine.



Ce soir elle s’occupe de moi aussi bien que d’habitude. Elle est habillée très simplement : un pantalon slim qui gaine ses jolies jambes et un tee-shirt noir assez moulant, des ballerines assorties. Elle fermera dans quelques minutes. Il fait nuit et froid. La buée trouble la vue que nous avons de la rue déserte. Elle applique un peu de cire sur mes cheveux en guise de finition quand le téléphone sonne. À cette heure ce ne peut-être que son « ami » ...
Je la sens très déçue quand elle raccroche et je lui demande ce qui ne va pas :

- « Kevin sera en retard d’une demi-heure pour venir me chercher. Ça ne m’arrange pas du tout car depuis une semaine une bande de « petits cons » rode dans le quartier et je préfèrerai ne pas fermer seule. »

- « Je vais rester le temps qu’il arrive si vous voulez ! » Lancé-je spontanément.

- « C’est super gentil, vous êtes trop mignon vraiment. Ça ne vous dérange pas ? »

- « Au contraire, nous allons passer un bon moment à parler en l’attendant. »

Charline disparaît dans l’arrière boutique, se saisit de son portable et envoie à son mec un sms pour le prévenir qu’un client reste jusqu’à ce qu’il arrive. Je règle, laisse 5 euros dans la soucoupe et me pose dans un coin en la regardant passer le balai. Je dois avoir un regard un peu plus appuyé que d’habitude car elle me retourne un grand sourire et me dit :

- « Vous me regardez bizarre ce soir ! »

- « C’est que je vous trouve très jolie » Lui dis-je avec naturel.

- « C’est vrai ? Ça fait longtemps qu’on ne me l’a pas dit. Depuis la naissance d’Axel, Kevin me délaisse un peu ».

- -« C’est vraiment dommage...Je suis un peu trop vieux pour tenter ma chance mais avec 20 ans de moins... »

- « Je me laisserai peut-être faire me dit-elle avec dans les yeux une lueur coquine.

- « Avec Corinne on vous trouve trop mignon et je crois que la patronne aimerait bien vous connaitre un peu mieux ! »

- « Non.
.. ? Moi, c’est vous qui me plaisez le plus... »

Pendant notre discussion, elle s’est arrêtée de balayer et reste plantée devant moi, le manche du balai dans une main et l’autre sur la taille. Elle penche son joli visage sur le côté :

- « Je vous plais comment ? »

Á ces mots je me lève et en guise de réponse, l’att au niveau de la taille, la plaque contre moi tandis que de la main gauche, je rapproche son visage pour l’embrasser avec fougue.

- « Tu me plais comme ça ! »

- « Hmmmmph », grogne-t-elle, sans pour autant se débattre.

Le balai est tombé par terre, dans un claquement sec. Je sens sous mes doigts sa taille fine et musclée. Je me détache d’elle pour saisir les boutons de son jean. Je les fais sauter un a un dans un claquement de doigts et fais glisser le long des ses cuisses le pantalon. Il ne tombe pas et reste à mi chemin tirebouchonné juste au dessus des genoux. Je découvre une petite culotte blanche en coton toute simple qui cache une toison brune assez fournie mais très bien entretenue. Devant mon empressement elle me retient et me dit :

- « Non pas ici, viens ! »

Elle remonte prestement son jean et se dirige vers le fond du salon dans le petit local où chantonne encore la radio d’ambiance. A l’abri des regards indiscrets, elle se montre plus entreprenante. Elle baisse ma braguette pour atteindre mon sexe qui commence à prendre une taille de plus en plus respectable sous ses doigts. Elle descend à mes pieds et s’empare goulûment de ma virilité. Elle m’aspire avec un entrain qui fait plaisir à voir. Ses cheveux mi-longs courent sur ses épaules en suivant ses mouvements. Ma jolie coiffeuse me gratifie d’une fellation de première classe : ma bite gonfle de plus en plus sous ses coups de langue. Le jeu de sa main avec ses rotations autour de ma colonne me transportent vers des sensations que j’avais un peu oublié. Me sentant assez gros à son goût elle cesse ses va et vient pour se dresser devant moi.
Dans le même geste, Charline pose sa main sur mon épaule, soulève sa jambe et se débarrasse d’un coup de son pantalon. Son ventre est plat, encadré par des os saillants, sa taille est d’une finesse incroyable ! Je pourrai en faire le tour avec mes deux mains mais je préfère plonger sous le coton blanc et fouiller les trésors qui se cachent sous sa toison. Je découvre son clitoris et commence à alterner un voyage entre lui et ses lèvres. Elle commence à réagir en venant à ma rencontre dans des aller retours du bassin de plus en plus saccadés.

- « C’est bon, c’est bon » Me dit-elle entre deux baisers humides.

Je n’ai aucun mal à m’introduire plus avant et commence à la caresser avec un, puis deux, puis trois doigts impatients.

- Vas-y prends-moi ! Prends-moi !

Je la sens qui mouille de plus en plus jusqu’à ce qu’elle se lâche complètement en inondant ma main d’urine tout en se mordant les lèvres pour ne pas crier. Elle reprend à peine son souffle que je la soulève sans difficulté pour la poser sur un petit meuble. Elle est légère comme une plume et, comme une poupée désarticulée, se laisse faire quand je descends à mon tour entre ses cuisses. Son sexe sent l’amour et est littéralement trempé. J’y plonge ma bouche avec délice et la fouille de ma langue. Je m’attarde sur son bouton, puis sur les lèvres, puis retrouve son clitoris que je décapuchonne en l’aspirant. Elle se met à grogner, à geindre sous mes soins.

- « Hum, hum, hum,... Tu vas me faire jouir encore, c’est trop bon, continue ! Continue !... »

Et effectivement à peine remise de son premier orgasme, elle succombe avec délice au plaisir, emportée par la vague que mes caresses lui procurent.

- « Aaaahhh ! »

C’est un cri qu’elle pousse sans retenue, n’ayant pas réussi à le contenir. Je la sens jouir, son corps tendu comme un arc, son sexe parcouru de mouvements intenses, la voix chevrotante et le souffle coupé.


- « C’est trop bon, c’est trop bon !» Me dit-elle en saisissant mon visage pour le couvrir de baisers.

- « Viens prends-moi maintenant » Me lance-t-elle avec un regard perdu,

Je la rapproche du bord du meuble dont elle agrippe les deux pieds et elle se couche spontanément. Je m’empare de ma bite et sans effort l’envahis de toute ma longueur.
- « Aaahh ! » Fait-elle, surprise dans un souffle rauque. « Comme tu es dur, c’est trop bon ! Prends moi ! Viens ! »

Je ne me le fais pas dire plus longtemps et commence à la prendre sans égard pour notre petite table qui couine presque aussi fort que Charline.

- « Ha ! Ha ! Ha ! » Fait-elle à chacun de mes coups de butoir.

Maintenant complètement allongée sur la table, les cuisses grandes ouvertes, elle s’abandonne totalement. Au plus profond d’elle, je prends une pause et en profite pour découvrir sa petite poitrine. Je sors chaque globe de chair de son soutien gorge et me mets à en pincer les bouts déjà durs.
Cette caresse conjuguée à mes va et vient de plus en plus amples, lui arrachent un autre orgasme. Elle n’émet plus un son cette fois. Sa tête fait des mouvements incontrôlés de gauche à droite comme pour me dire non. Les lèvres serrées, les yeux mi-clos, elle fixe le plafond de l’arrière boutique.
Je commence à cet instant à sentir monter en moi le plaisir et comme je lui dis que je vais jouir elle sort de sa torpeur pour me dire :

- « Pas en moi, s’il te plait ! Pas en moi ! »

Je m’extrais alors d’elle en reculant. Elle se redresse et retombant sur ses pieds comme un jeune chat. Elle s’accroupit devant moi pour recevoir avec un mouvement de recul mon sperme vient s’écraser sur son visage, la maculant encore plus à chaque giclée. Je manque de perdre l’équilibre tant ma jouissance est extrême. Cette petite salope m’aura fait jouir comme un dingue.

Il nous faut une bonne minute pour reprendre nos esprits. Sans un bruit nous nous rhabillons. Lorsque nous voyons les phares de la voiture de son mec qui se gare devant le salon. Je lui glisse un baiser sur la bouche en la remerciant.

- « c’est moi qui te remercie » Me dit-elle.

- « Tu reviens quand tu veux faire la fermeture » Ajoute-t-elle dans un sourire.

Je salue d’un geste Kevin qui dans un grand sourire me remercie d’être resté. Si tu savais mon gars...

Comments:

No comments!

Please sign up or log in to post a comment!