Le Chantier (31)

Nous venons de passer une soirée mémorable dans la maison héritée de Pierre ou avec les louves, nous avons reçu les promoteurs hollandais cherchant à implanter une usine de retraitement de déchets verts.
La façon dont les filles se sont dépensées est admirable surtout l’initiative de Nadia les ayant fait descendre dans la cave où ils se sont fait même prendre des coups de cravache avant de finir dans le Jacuzzi.
Je suis tellement satisfaite de la bonne impression que nous leur avons laissé à en oublier Eliane attachée sur le lit où Sylvain a réussi à l’isoler afin que Nadia ait les coudées franches avec Willem qui semblait focaliser sur notre amie.
C’est en peignoir que discrètement étant réveillé de bonne heure, je décide d’aller la voir, car elle doit se morfond, après que Sylvain lui est mis une petite charge qu’elle a semblé appréciée, elle est seule et doit nous en vouloir.
Dès que j’arrive devant la porte d’une des chambres du premier ou par les caméras, j’ai vu notre couple s’isoler, Eliane attachée par les poignets et par les chevilles me regarde m’asseoir près d’elle.

• Valérie, détache-moi, j’ai compris la leçon, jamais plus je n’accaparerais Nadia. Tu sais que j’ai été amoureuse d’une jeune fille qui s’appelait Flavie et que Pierre m’a aidé à me sortir du mauvais pas ou je m’étais mise avec ses parents.
J’ai retrouvé dans Nadia des airs de cet amour féminin et j’ai peur de la perdre une nouvelle fois.
Hier lorsque cet homme a commencé à tourner autour d’elle, ma jalousie m’a poussé à me rapprocher d’eux.

Depuis mon entrée, aucun son n’est sorti de ma bouche.
Seul mon regard lui montre le degré de mon courroux aussi pour éviter qu’Eliane nous porte du ressentiment, je penche mon visage vers sa chatte offerte à ceux qui veulent l’honorer, les bracelets qui lui attachent ses pieds et ses poignets l’empêchent de bouger.
J’ai la possibilité de me servir d’une de mes mains comme je suis placé aussi, je saute sur le lit pour venir dans sa fourche.


Ainsi placé sans la quitter des yeux, j’approche mes lèvres de son calice pour boire à sa source.
Dès mes premiers coups de langue, Eliane se tord dans ses liens, car le plaisir monte rapidement en elle.

• Oui, Valérie suce-moi bien, j’ai attendu toute la nuit que l’on vienne me punir.

Si au départ je voulais qu’elle comprenne le courroux que j’avais pour une louve ayant trahi notre cause, si je reste muette, c’est parce que ma bouche est très attentionnée au plaisir qu’elle donne à notre vilaine fille.

• Dommage que mes fesses soient protégées de la portée de ta main, j’aurais aimé que tu me les rendes toutes rouges par la fessée que j’ai largement méritée.

Après mes lèvres, c’est ma langue qui file au fond de sa chatte, il faut que j’achète des boules à bouche pour les cris de plaisir qu’elle émet à la cantonade.
Espérons que Pierre a prévu une bonne épaisseur de murs afin que les passants dans la rue ne s’inquiètent de qui est égorgés.
Je continue à la lécher, la pénétrer avec ma langue, mes doigts jusqu’à ce qu’elle jouisse à nouveau.

• Alors ma belle, tu trompes ton amie avec la première venue.
• J’étais attaché et tu m’as violé.
• Voyez-vous cela, je l’ai violé, à qui vas-tu faire croire cela ?
• À tout le monde afin que tu sois conduite en prison.
• Et si je te laisse là pendant trois jours sans boire et sans manger.
• Tu seras accusé de séquestration.
• Et qui témoignera contre moi alors que tu es chez moi entrer ici par effraction pour venir t’attacher et te faire punir ?

En ayant cet échange, je la détache. Elle me saute au cou et m’embrasse tendrement.
Nous roulons sur le lit, et je pivote pour que nous formions un beau soixante-neuf où nos bouches et surtout nos langues nous tiennent lieu de sexe.
Elle jouit, je jouis, nos sexes en demandant plus elle se positionne en expertes fourches croisées, nos chattes et surtout nos clitos entrent en contact.
C’est frottement sur nos boutons nous entraîne inexorablement à émettre des cris de plaisir.
C’est épuisé dès le matin que Nadia nous trouve lorsqu’elle arrive pour libérer notre amie comme elle avait dit qu’elle le ferait.

• Je vois que tu me trompes alors que tu me refuses quelques petits plaisirs avec nos invités.
• Non, Valérie ma violée.
• Elle t’a violée et tu te loves dans ses bras.
• Qu’est-ce que je t’avais dit, personne ne te croira ?
• Assez joué, j’ai compris la leçon mes cœurs, Nadia vit ta vie comme je vais vivre la mienne et jamais plus je ne t’embêterais.

Elle a grand cœur, car Nadia approche sa bouche de nos bouches et c’est un triple baiser que nous nous donnons.

S’amuser est une chose, mais le travail m’appelle jusqu’à midi où j’arrive avec Nadia anxieuse de la réponse qui va être annoncée par nos deux responsables d’entreprise.

• Bonjours mesdames, avez-vous passez une bonne nuit.
• Oui, je me suis couché à vingt et une heures.
• Vous, peut-être mais notre amie Nadia a énormément participé à ce que ce matin, nous soyons particulièrement satisfaits de notre séjour.

L’anglais qui est parlé permet d’aplanir la difficulté entre le tu ou le vous.
J’adore cette phrase prononcée sur les frasques pratiquées avec Nadia, cela sent bon le contrat tant espéré.

• Mangeons tranquillement, au dessert, je vous ferais part des décisions que nous venons de prendre avec Willem pour la suite des opérations.

C’est légèrement plus sereinement que je déguste les plats que notre chef nous a concoctés.
Enfin, le moment attendu arrive. Ma tension monte d’un cran.
Mesdames et messieurs le gagnant qui empochera les trois cents emplois… Est la commune de ?
Bien sûr, c’est la catastrophe lorsqu’il nous annonce que la décision est une décision différée.

• Valérie, nous avons passé une très agréable soirée grace à notre petite Nadia et tous vos amis, mais pour le choix, je dois d’abord en référer à celle qui est actionnaire majoritaire dans la société.

Ma femme prénommée Hilda est celle qui décidera en dernier ressort.
Je l’ai eue en conférence à trois ce matin et elle souhaite venir personnellement vendredi prochain pour goûter aux joies de la piscine où nous avons passé un moment agréable.
J’ai cru comprendre que les deux jumelles qui se sont occupées spécialement de moi étaient vos filles aussi si vous le désiré, il est possible de se retrouver vendredi à vingt heures à notre hôtel.
Nous avons bien apprécié le repas du traiteur, pouvez-vous nous en faire préparer un de la même qualité et le faire facturer à notre société.
Je vous donne ma carte pour la facturation. Prévoyez assez de champagne mon épouse étant friande de votre breuvage.
• Tout sera fait selon vos désirs, à la seule condition que comme hier au soir vous ayez avec madame les yeux bandés afin de préserver la quiétude du lieu où nous vous avons emmené.
• Aucun problème, ce léger parfum de secret va plaire à ma belle salope de femme.

Contente de la tournure des événements, s’il souhaite faire venir sa femme dans notre maison des plaisirs, c’est que madame Rupert doit, elle aussi apprécier le libertinage, car sinon il aurait évité de la faire venir dans notre lieu de débauche.
Sans compter la manière où je crois avoir compris le mot « Bitch » chienne dans le sens de salope en français. Le sourire amusé mais explicite de Willem me fait penser que j’ai bien traduit.
Rupert traite sa femme de salope voire de chienne.

• Je crois que tout est réglé, rendez-vous vendredi, je vous souhaite bonne route pour le retour.

Rentré à la mairie, mon premier coup de fil est pour Chris et Soso.

• Allo, pourriez-vous, être disponible vendredi pour passer la soirée avec nous ?

Je leur explique les aboutissant de notre soirée et ce que j’attends d’eux.
Ils sont enchantés que Soso puisse nous prouver que malgré la distance, elle est une louve à part entière.

Après avoir raccroché, je passe un autre coup de téléphone et j’ai rendez-vous dans l’heure suivante avec mes interlocuteurs.
Je quitte la mairie avec Nadia après qu’elle est faite le tour des services afin de glaner des renseignements pouvant nous être utile.
Nous prenons la direction de l’étude des jumeaux notaires à qui je viens de téléphoner.
À l’heure prévue Mathieu et Luc nous reçoivent.
Si mes filles se ressemblent, ces hommes ont la même similitude que mes petites.
Qui est Mathieu, qui est Luc ?

• Bonjours mesdames, vous vouliez nous voir à quel sujet ?
• Avez-vous besoin de notre vote madame le maire ?

Il est drôle d’entendre parler des jumeaux ou jumelles cela me rappellent les chants canon chanter au prix de fin d’année et où l’un démarrait après l’autre.

• Pas pour le moment, ce ne saurait tarder.
Non, ce sont les élections qui vont avoir lieu pour remplacer Pierre qui motive notre présence.

Je leur explique que pour remplacer Pierre comme conseiller, je cherche un ou deux hommes. Un à la mairie et un en binôme avec moi pour le conseil général.

• Il va nous être difficile de vous répondre aujourd’hui, car nous avons beaucoup de travail avec l’étude.
• Mathieu ou Luc, il faut s’engager dans la vie, il est facile pour vous de prendre des décisions et vous défiler à d’autres.

Courroucé Nadia se lève et contourne le bureau pour venir voir le premier des frères.

• Quand nous sommes venues avec Maryse pour que vous donniez vos voix à Valérie pour obtenir la direction du complexe sportif et que vous nous avez baisé sur ce bureau, vous avez pris votre décision dans la minute qui a suivi notre proposition.
Très vite vous avez baissé vos pantalons et vos queues sont entrées en nous, pour notre plus grand plaisir, je l’avoue.
Alors maintenant il faut savoir renvoyer l’ascenseur.

Voyant où elle veut en venir, je dois prouver que moi aussi je suis une louve qui m’investit, je me lève, m’agenouille devant le frère que Nadia a laissé seul.
Il se laisse faire lorsque je lui défais sa ceinture et que je fais sortir de sa boîte une verge bien proportionnée.
Je suis contente de l’initiative de Nadia qui me permet de reprendre mes aventures sexuelles avec de nouveaux partenaires.
Dans ma maison des plaisirs même si j’ai eu la joie de retrouver mes amants de cœur, les bites de Rupert et Willem avaient l’air fortes appétissantes vues derrière mes écrans.
Certes, ce sont mes filles qui en ont profité alors lorsque mon partenaire entre dans ma bouche, ma langue rapidement lèche celui qui a bien voulu me confier son sexe.
Ma main le masturbe lentement tout en lui léchant le gland et en faufilant ma langue dans son méat.

• Valérie, on change.

La coquine voyant mon initiative s’empresse sur l’autre frère.
Je qui ma bite pour retrouver une bite identique de l’autre côté du bureau.
À un détail près qui peut se révéler d’une importance primordiale, si nos rapports avec eux deviennent intenses.
Sur sa verge celui que je reprends en bouche à un grain de beauté…

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