Quel Beau Fantasme, Quelle Belle Jouissance...

En passant dans le couloir, je crus entendre un gémissement. Je poussais doucement la porte qui s’ouvrait sans bruit et vis l‘impensable. Je m’arrêtais sur le seuil, étonné ! Claire était dans notre lit, et pas toute seule, Cathy l’accompagnait, toutes nues, en train de se caresser avec la bouche, du moins je le présumais d’après leur position en tête-bêche. Telles qu’elles étaient positionnées j’avais
sous les yeux des fesses roses de Cathy.
- Oh ! Qu’est-ce que vous faites ? Lâchais-je. Vous n’avez pas honte !
Les deux femmes levèrent la tête en même temps.
- Oh pardon ! Fit Cathy.
Affolée, elle se réfugia dans la salle de bains, adjacente. Et cela pendant que ma femme me regardait d’un sourire taquin.
- Tiens Alain ! Toi ici !
- Si je m’attendais… C’est scandaleux ! Qu’as-tu à dire pour ta défense ?
- J’avais envie d’essayer voilà tout ! Et puis, il n’y a pas de mal à se faire plaisir.
- Si tu prends cela comme ça.
L’argument de ma femme était des plus pertinents.
- Cela te dit de participer ? Me demandait-elle.
- Je suis étonné de t’entendre dit cela, toi ma femme.
Je mourais d’envie de lui répondre oui ! mais je n’osais l’avouer. Heureusement Claire n’avait pas besoin de mon approbation, pour lâcher.
- Viens-donc Cathy, n’ai pas peur. Alain est complaisant.
- Mais je suis toute nue !
- Moi aussi… Alors ?… Je ne crois pas que cela gêne beaucoup Alain. N’est-ce pas mon chéri ?
- Et comment que cela ne me gêne pas, tout au contraire.
- Salaud ! M’envoya ma femme. Alors ? Qu’est-ce que tu attends Cathy ?
- Qu’Alain se déshabille aussi ? Répondait Cathy toujours dans la salle de bains.
- Tu entends Alain ? Tu dois te déshabiller, comme nous ! Allez dépêches-toi !
Je n’avais même pas pris le temps de réfléchir. Que déjà, je m’exécutais.
- Mais mon salaud tu bandes ? S’exclama ma femme.


- Il faut avouer qu’il y a de quoi ? Non ?
La curiosité sans doute poussait Cathy de sortir de sa planque. Les joues empourprées, le regard rivé sur ma queue.
- Approche, fit-elle à l’adresse de notre hôte, vas-y caresse-la.
- Mais je ne sais pas si je dois.
- Mais c’est moi qui te le dis.
- Bon si tu assistes ! Répondait-elle en s’agenouillant.
J’étais aux anges ! Ce que j’avais tellement espéré se réalisait. Ma femme avec une autre femme. Pas le temps de m’attarder dessus
que déjà je sentais la langue de Cathy me lécher le gland. C’était fabuleux surtout devant les yeux témoins de ma femme. D’ailleurs cette dernière vint la rejoindre. Elles se partageaient ma queue, alternant caresses avec les mains, sucettes et introductions entre les lèvres. Cathy était très bonne à ce jeu. C’était un plaisir divin quand sa bouche entourait ma verge et que ses mains habiles manipulaient

avec douceur les testicules. Je ne pensais pas pouvoir me retenir longtemps. Déjà je sentais monter la semence dans ma tige. Cathy me but jusqu’à la dernière goutte, sans broncher.
Un peu groggy, je posais mon cul sur le lit froissé. Claire en profitait pour se coller contre moi, tandis que Cathy, attendait sagement qu’on lui signifie quoi faire. J’empaumais un sein à chacune de mes mains. Du bout des doigts, j’essayais de branler le téton. Je
lâchaient leurs seins pour passer la main dans leurs dos, puis sur les reins. Et glisser comme ça jusqu’à ce qu’ils atteigne leurs postérieurs. Mes doigts fouillaient dans la raie et chatouillaient leur anus. Si Claire se dérobait, n‘étant pas trop amatrice de ce genre de caresse, Cathy grognait de plaisir et se laissait faire. J’en profitais pour enfoncer mon index dans son cul.
Je bandais, débandais puis bandais de nouveau, en cherchant
chaque fois de nouvelles caresses, plus vicieuses à donner. Si tôt, après une éjaculation. Il y avait longtemps que cela ne m’était arrivé, il fallait en profiter.
Laquelle allais-je bien me faire ? J’avais encore le souvenir des fesses de Cathy devant les yeux quand j‘avais passé le pas de la porte.
C‘était décidé, c’était son cul que j’allais me payer. Alors tout en regardant ma femme j’avais de nouveau enfoncé le doigt dans le
sphincter de Cathy. Elle grognait de plaisir. Je fis aller et venir l’index dans le cul, ce qui la fait gémir.
- Tu as l’air d’aimer ça ! Lui fit ma femme.
- C’est bien la première fois qu’un mec s’intéresse de ce côté-là de mon anatomie.
- Eh bien ne soit pas autant ravie ! Répondait ma femme. Tu ne sais pas ce qui t’attend.
- Je suis du genre aventurier si tu veux savoir.
- Je suis certaine qu’Alain ce fera un plaisir pour t’en faire la démonstration, n’est-ce pas Alain ? Se moquait Claire. Qu’est-ce que tu en dis, Cathy ?
- Oh ! J’espère seulement que cela ne t’ennui pas… aah !… que je… avec Alain ?
- Où vas-tu chercher ça ? Avoue que l’expérience te tente.
- Je ne dis pas non…
Pendant qu’elles se faisaient la discussion, de mon côté j’en
profitais pour introduire un second doigts dans l’anus de Cathy et pistonnais pour élargir l’orifice. La femme gémissait de plus belle. Sous mes indications, elle s’allongeait sur le dos. J’écartais ses jambes découvrant le petit trou fripé. J’étais impatient de foutre ma queue dans son cul. Je me positionnais, je m’avançais, chatouillais son sexe de la pointe de ma verge, avant de chercher le bon angle.
Elle eut à peine un frémissement du corps quand je posais mon
gland en plein sur l’œillet palpitant. Je m’enfonçais facilement, beaucoup trop facilement. Je ne me couchais pas complètement contre elle, mais je restais appuyé sur les coudes, remuant seulement le bassin, d’un léger mouvement de côté.
Je régissais le rythme de mon branlage, bien décidé à savourer
ce plaisir rare. Je passais les deux mains sur ses seins, constatai que les pointes étaient dures et contractées.
Une de mes mains descendit le long de son corps, pour caresser le buisson de poils qui lui décorait la motte. Je trouvais son vagin un peu trop dilaté, mais doux, confortable, et surtout bien glissant. Elle mouillait comme je n’avais jamais vu mouiller une femme. Mes doigts glissaient dans une écume
gluante. Ils glissaient dans son sexe avec des clapotements incongrus. C’était toujours un peu surprenant quand on était en train d’enculer une femme, de trouver une chatte vide et disponible. Je le touchai, le malaxais à plaisir, agaçant le clitoris d’un doigt expert, enfonçant un index coquin dans le vagin détrempé. Sa vulve réagissait très fort. Je faisais des efforts surhumains pour me retenir.
Sous les yeux témoins de ma femme, je fis changer Cathy deux fois de positions, à quatre pattes, d’abord, pour voir ma verge s’engloutir entre les fesses, dans un orifice si distendu qu’on en distinguait à peine les contours. J’avais l’impression de pénétrer un pot de miel tellement c‘était onctueux. Je fis aller et venir ma verge lentement, très lentement, pour examiner le mouvement de piston. La position à quatre pattes écartaient automatiquement les fesses et je voyais bien tout.
J’essayais de me retenir, de ne pas la défoncer trop fort, pour retarder une jouissance que je pressentais extraordinaire, mais très rapidement, la nature prenait le dessus, je ne pouvais plus me contrôler. Pour finir, je me plaçais bien au-dessus d’elle et la pilonnais rageusement, jusqu’à me vider dans son intestin dilaté. Au même
instant, je perçus trois ou quatre contractions puissantes, autour de mon membre. Elle aussi venait de prendre son plaisir.
Je plaquai mon ventre contre la raie un peu élastique, qui s’enfonça sous la pression. C’était si bon de jouir très loin dans le cul de Cathy.
Toujours emmancher dans son cul, je me laissais glisser sur le
lit. Je tenais à rester un moment allongé sur elle, j’attendais que mon sexe glissât de lui-même hors du trou pour rouler de côté sur le lit.

Pour le plus grand plaisir de mes yeux, de nouveaux les deux femmes se positionnèrent sur le lit pour se sucer mutuellement le minou. Le spectacle était des plus charmants. Je restais à les admirer. Tout à coup, peut-être un peu jaloux, j’installais Claire sur le lit.
Ses cuisses écartées laissaient voir sa chatte. Elle était luisante de mouille, de désir, de salive aussi, c’était un appel auquel je ne résistais pas. À me commander de me précipiter entre ses jambes pour lécher le cocktail qui sourdait du vagin.
- Oh Alain !… Aaah ! Gémissait-elle.
Elle n’avait pas mis longtemps à jouir.
- Ouiii !… aaaaah !… ouiii !… meuuuh ! Baise-moi vite ! J’ai trop envie… vient !
J’étais dans un tel état d’excitation que je ne me le fis pas redire. Je m’enfonçais avec délectation dans la chatte accueillante. À nos côtés, Cathy m’encourageait.
- Vas-y Alain ! Baise-la fort cette salope !
Tous ses événements eurent raison d’elle. Son orgasme déclencha le mien. Nous mettions quelque temps à retrouver notre souffle. J’étais vidé, lessiver. Dans un demi coma, je vis Cathy s’approcher.
- Tu vas bien Alain ? Tu ne veux pas que je te caresse ?
Elle s‘agenouillait devant moi et portait la verge molle et luisante de mouille à ses lèvres.
Claire s’approcha de moi, pour venir se blottir dans mes bras.
Quel beau fantasme, quelle belle jouissance.

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