Fantasme Au Bureau...

-- ATTENTION HISTOIRE POUR LECTEURS AVERTIS --

Pour ne pas trimbalé mon collègue pour cet aller-retour jusqu‘à Paris, j’ai attendu l’heure du repas pour aller chercher dans le bureau de ma chef de service mon ordre de mission. J’ai frappé deux coups pour la forme, sachant très bien qu’à cette heure j’avais peu de chance de rencontrer âme qui vive. Et je suis entré en toute innocence. Le spectacle qui m’attendait derrière la porte m’a émoustillé pour le restant de ma vie. Camille (donc ma chef de service) se trouvait sur place. Elle avait retiré son éternelle veste de tailleur pour laisser apparaître dessous un chemisier grand ouvert, sur un soutien-gorge en dentelle. Par transparence, j’ai perçus les larges mamelons sombres, mais aussi les tétons enflés avant qu’elle croise immédiatement les bras devant ses seins lourds.
- Mais Alain ? Que voulez-vous ? Me disait-elle, le visage fardé de poupée décomposée.
- En voilà une surprise ! Jamais je n’aurais imaginé en ouvrant votre porte, voir ce que j’ai là devant les yeux.
- Il serait gentille que vous quittiez les lieux s’il vous plaît !
- Et pourquoi le ferais-je ?
- Parce que je suis dans mon bureau.
- Oui ! Ça je le sais. Comme tout le monde de ce service le sait. Par contre, se qui ne savent pas c’est que vous vous tripotez pendant l’heure du déjeuner. Et croyez-moi, il va m’être très difficile à garder ma langue.
Il ne lui en a pas fallu plus pour se décomposer à l’écoute de mes menaces.
- Je peux avoir mon ordre de mission ?
- Il est là ! Me désignant une feuille du menton, gardant ses mains pour cacher sa poitrine.
Je m’en saisissais et alors que je m’apprêtais de sortir, Camille m’interpella :
- Alain ! Rassurez-moi ! Vous plaisantiez en disant que vous aurez du mal à tenir votre langue.
- Pas le moins du monde. Il m’a toujours été difficile de garder pour moi de tel secret.
- Mais… mais…
- Il n’y a pas de mais qui tiennent.


- Que voulez-vous, de l’argent Alain ? J’ai sur moi 200 €.
- Non, je ne veux pas de votre argent ! La seule chose qui ferait que je tienne ma langue sera que vous vous levez et retirez votre jupe, ainsi que votre culotte. Puis écartez les cuisses.
- Je pense que vous me faite marcher là, Alain ?
- Est-ce que j’ai l’air de plaisanter là, madame.
Elle avait tout à perdre dans cette affaire, ou à conserver si elle se montrait intelligente. Je devinais qu’elle réfléchissait à toute vitesse. J’ai fais volte-face, puis j’ai fait le tour du bureau derrière lequel elle était toujours assise, et j’ai découvert sa jupe noire du tailleur déjà retroussée sur ses cuisses. Elle portait des bas, la jupe est relevée jusqu’aux jarretelles. Elle m’a fixé et j’ai pus lire dans ses yeux de la surprise mais aussi un certain rouble. Elle m’imaginait jusqu’à ce moment, professionnel, pas vicieux.
- Le service ne croira jamais vos histoires.
- Et s’il arrivait qu’il le croie ?
Un lourd silence s’est installé entre nous. Elle a tenté de soutenir mon regard, et a finit par baisser les yeux. Se résignant, elle a dégrafé l’attache de sa jupe et la fit glisser le long de ses cuisses. Le chemisier trop court ne pouvait rien cacher de la culotte rose brodée. Qui moulait le pubis de son étoffe. Dont aucun poil ne dépassait. La toison semblait pourtant épaisse vue la bosse. Les cuisses étaient pleine, les hanches un peu grasses. Elle embaumait un parfum capiteux.
- La culotte.
- Quoi la culotte ?
- Je la veux.
Cela la fit rire.
- Je ne sais pas comment je peux accepter cela. Vous me dégoûtez, espèce de salaud ! Fit-elle, d’une voix sourde. Avant de glisser ses mains aux longs doigts ornés de bagues sous l’élastique de sa culotte et la baissa lentement tout en soutenant mon regard. Puis elle a levé bien haut les jambes, dévoilant ainsi son sexe. Dont la vulve est épilée sur les bords, de part et d’autre de deux bourrelets fripés et mauves.
Les lèvres étaient plus charnues sur le bas de la fente mauve foncé. Elle m’a tendu sa culotte.
- Vous devez être du genre à vous branlez dedans, non ? Et bien que vous la donne de bon cœur.
Lisait-elle dans mes pensées ? J’ai pris l’étoffe dans ma main, dont j’ai senti sentais l’humidité. Je l’ai glissé dans ma poche.
- Et maintenant on fait quoi ? M’a-t-elle lancé.
- Tant à faire, vous pourriez me montrer votre sexe.
- Et quoi encore ?
- On verra plus tard…
- Je pense que je n’ai pas le choix ?
- Non ! Je ne pense pas.
Elle s’est levée, pour se hisser sur son bureau. Prenant place sur son bord. Comme je le souhaitais. Sans que je lui dise, elle a écarté les cuisses, exhibant ainsi en pleine lumière son sexe que je remarquais enflé. Il s’en est dégagé de ce dernier une senteur épicée de sueur et de pisse. J’ai pris place dans le fauteuil à roulettes. Je l’ai approché jusqu’à arriver entre les cuisses gainées de noir de ma chef de service. Le visage à hauteur du sexe entrebâillé, à présent. J’ai enfoui mon nez dans les poils pubiens odorants. La toison fournie était très bouclée. J’ai trouvé dans ce nid une moiteur qui m’excita davantage. Je n’ai pas pu me retenir d’y coller ma bouche. Écartant du bout de la langue les grosses lèvres gorgées de sécrétions. Elle a sursauté au contact de ma langue chaude sur sa vulve et grogna. La chatte avait un goût acidulé de pisse et de transpiration. J’ai aspiré les grosses lèvres sombres, les mâchouillais comme pour en extraire la mouille. Plus bas, le trou du cul était un petit cratère niché dans une couronne de poils à peine bouclés. J’ai léché entre ses fesses et je me suis attardé sur l‘œil plissé. Chaque coup de langue provoquait des sursauts chez Camille.
- Ne vous attardez tout de même pas trop longtemps sur cet orifice ! Surtout que les collègues ne vont pas tarder à revenir du déjeuner.
Je me suis refusé de répondre. Me contentant de me lever du fauteuil, puis de me défaire.
J’ai frotté mon gland le long de la fente dégoulinante de mouille. Buttant contre le clitoris raide.
- Si vous désirez me la mettre dans la chatte, ne vous gênez pas pour moi. Je suis ouverte à tout !
Je n’avais pas l’intention de l’écouter, mais de faire ce que j‘avais envie. J’ai glissé pour ça mon bout dur entre les fesses, pour le frotter au contact de l’anus poisseux de ma salive. Puis j’ai donné un violent coup de reins. Mon gland s’est enfoncé dans le sphincter. Elle s’est alors redressée, des grosses gouttes de sueurs sur le front, les yeux exorbités.
- Sortez de là, je ne veux pas là, geignit-elle.
- Je sais ! C’est-ce qu’on me dit à chaque fois que je m‘introduis chez lui. Mais avec moi, c’est par là et c’est tout !
J’ai poussé encore et mon membre a disparu petit à petit, comme avaler par son cratère. Elle a grogné, les dents serrées :
- Mais ça me fait mal ! Je ne suis pas une pute. Assez ! S’il vous plaît !
Tant de politesse ne servait à rien chez moi. Surtout à ce moment d‘excitation. J’ai bougé, m’enfonçant un peu plus. Sentant le fourreau lisse se faire autour de ma verge. Vaincue, elle s’est laissé choir en arrière, sur le plateau de son bureau en m’injuriant de plus belle. Mais peu à peu ses plaintes se transformèrent en gémissement. Elle a empaumé ses gros seins à deux mains et elle les a pressés avec fièvre. Son corps réagissait malgré elle.
J’ai coulissé de plus en plus vite dans son orifice. Son clitoris s’est cabré, s’est dardé comme un sexe de chat. Elle a lâché ses seins pour se toucher la vulve. Elle avait tout oublié, même la douleur qui visiblement n’en était plus une.
Tout en la limant, je fixais son majeur glisser dans son vagin jusqu’à la bague ornée d’une grosse pierre. Elle accorda son branlage aux va-et-vient de ma bite dans son cul. Elle a atteint très vite l’orgasme, jouissant sans aucune retenue. Les contractions de son rectum autour de mon pénis provoquèrent ma jouissance.
J’ai senti ma verge se cabrer, et déverser sa jouissance dans le cul de ses jets saccadés.
- Oh, le salaud ! Il jute.
Comme je ne débandais pas je me suis autorisé d’une petite prolongation. Allant et venant de nouveau dans son cul. Et ça jusqu’à ce qu’elle se redresse, le front ruisselant de sueur et implora :
- Retirez-vous, maintenant… Je ne… ne peux plus le supporter. Par pitié sortez de mon cul.
Elle s’est d’elle-même détacher de moi. Et tout l’air accumulé dans les intestins pendant le pompage s’en est échappé. Produisant un pet bruyant.
- Oh, quelle honte ! Me fit-elle en cachant son visage entre ses mains.
Il était temps pour moi de remonter mon slip et pantalon. Alors que ma chef de service n’avait pas bougé. Toujours allongée sur le plateau du bureau. Je me suis installé sur le fauteuil pour admirer son anus encore dilaté par mon passage. Mon sperme en suintait par gros flocons à chaque fois que l’anus se contractait nerveusement. J’ai attendu qu’elle bouge, pour me lever à mon tour. Alors que j’ouvrais la porte pour sortir, elle m’envoya.
- Vous n’aviez même pas verrouillé la porte ! N’importe qui aurait pu nous voir !
Je me suis bien abstenu de lui dire que c’était ça qui me plaisait. Le besoin de me faire surprendre. Avant de partir en direction de Paris je suis passé par la case douche.

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