Le Marin. La Parisienne En Vacances. (7)
Après avoir passé la journée avec ma belle vacancière parisienne à la pointe du raz, je lai conduit sur le chalutier de Roger.
Elle sattendait à tous avec moi mais sûrement pas que je la donne comme esclave sexuelle à ces quatre hommes aux traits burinés par la mer et qui était à bord depuis trois jours avec les bourses bien pleines.
De retours dans sa chambre, elle en a tellement pris quelle aspire à passer le reste de la nuit pour récupérer, bien sûr, je respect son besoin et cest en la prenant simplement lovée dans mes bras que nous nous sommes endormis.
À 7 heures, je retourne à bord pour lappel du matin, je récupère Didier et à 8 h30, jentre chez Agnès.
La bise habituelle avant de prendre un café chaud, je vois bien quelle est sur des charbons ardent attendant que je lui rapporte, quel gage jai imposé à mon esclave.
Tu as déjà demandé à notre pigeon dêtre ton esclave.
Elle la été hier au soir et elle a largement joué le jeu, mais je garde, notre soirée pour moi, tu mexcuses, tu es susceptible si tu respectes notre pacte de lêtre et pourquoi je me priverais de timposer la même épreuve quà elle.
Je sais quil mest impossible dimposer la même chose à Agnès, car Lorient est une petite ville et notre jeu sur le chalutier peut être pratiqué avec des femmes de passage et dont toutes seront oubliées rapidement.
Pour les gens du cru, elle resterait Agnès, la salope qui cest faite tringlé par plusieurs marins pécheurs sur un chalutier et deviendrait, une femme peut ou pas fréquentable.
Agnès, si je ne te dis rien sur ce que Véronique à fait, tout de suite je vais te donner ton gage pour avoir perdu.
Salopiot, grâce à moi tu as réalisé ton fantasme avec cette jolie vacancière et tu veux aussi que je sois ton esclave.
Oui, mais que tu le veuilles ou non, tu as perdu.
En plus, tu vas aimer comme je commence à bien te connaître ce que jai choisi pour toi.
Dis toujours.
Tu connais Véronique.
Prends-moi pour une conne, on vient de la faire perdre au 421.
Non, Véronique la jeune femme qui tient la boutique de vêtements féminins en face de ton bar ?
Jai déjà parlé avec elle deux ou trois fois. Je lai même invitée à boire un café, mais à ce jour, jattends toujours.
Je suis allé acheter des vêtements avec notre Parisienne, car sa garde-robe était inadaptée pour se promener le long des plages et des grèves, jai flaché sur elle et jaimerais que nous passions tous les quatre, une petite soirée ensemble.
Toi, la Parisienne moi avec elle, nous serions trois pourquoi quatre ?
Quatre, la quatrième personne serait Didier, le mousse et qui te trouve très belle et ainsi ce serait ton cadeau pour mavoir aidé deux fois.
Je suis sûr que tu lapprécieras, Véronique ma parisienne la dépucelé et lui a appris à vous donner bien du plaisir.
Pourquoi attendre si longtemps, il peut rester près de moi dès la fermeture ce soir ?
Pour deux raisons plus ta chatte attendra et plus tu te donneras avec impatience et cela te motivera pour faire venir la marchande de vêtements.
Attention Véronique la Parisienne repart mardi, tu as jusquà lundi soir pour réussir ton gage desclave.
Son gage donné, nous rejoignons Véronique.
Entrée dans la chambre, elle sent, notre présence ouvre un il et voie Didier.
Elle a un regard de tendresse envers le petit et lorsquil glisse sa main sous le drap, elle accepte quil la caresse me montrant quelle a bien récupéré.
Je tiens à le garder en forme, car si tout va bien, nous risquons de passer une sacrée soirée au milieu de nos trois femmes du soir, me souvenant du rendez-vous avec la sur et la cousine de Roger.
Debout, belle fainéante, si tu passes tes vacances au lit ton médecin, est capable de venir nous enguirlander pour guérison partielle.
Après la journée dhier, je pense quil aura du mal à dire que jai refusé de suivre son traitement.
Je vois que Didier a envie de dire quelque chose certainement sur ce que nous avons fait hier, mais sa retenue naturelle le fait taire.
Il tire le drap découvrant lintimité de la grande malade et la prenant par la main, il la conduit dans la salle de bain où méticuleusement il la lave, la rince et la sortant de leau encore dégoulinante, il lessuie.
Pendant ce temps, je lui prépare une tenue mi-pute mi-bourgeoise pour passer la journée.
Alors que nous descendons au bar, pour Véronique, jai eu envie de lui faire prendre le petit déjeuner que mes copains mont infligé le lendemain de notre retour en France après nos six mois autour du monde.
Ils sont venus me réveiller venant du port de pêche, sans quils aient fermé lil de la nuit.
Lorsque je suis arrivé, ils avaient payé chacun leur tournée, en guise de déjeuner, il y avait sur le bar 7 verres de muscadet avec en bout une petite assiette avec un croissant.
Jai demandé à Agnès où était mon bol de chocolat, elle ma rétorqué quil semblerait que ces verres de muscadet et le croissant, je les eusse commandés avant de descendre.
On est fier lorsque lon est marin, jai tout bu remettant même ma tournée, mangé le croissant et retourné sur le bateau bourré plus mémorablement que les nombreuses fois ou jai passé des nuits blanches avec Roger et ses hommes au port de pêche.
Je me suis souvenu de lépisode des chaussures lavées à leau de mer après quelle est bue du chouchen aussi, elle a bien eu un croissant, mais avec un bon café.
Belle dame que voulez-vous visiter aujourdhui ?
Jaimerais que lon aille dans lintérieur des terres.
Aucun problème, lan passé mes parents sont venus et nous avons fait une balade que je vous propose de refaire, attention, nous avons rendez-vous avec Louise et Gaëlle à 21 heures, il faudra que nous soyons à lheure.
Pouvant conduire car son petit déjeuner a été soft, nous prenons la route vers Languidic.
Madame, arrêtez-vous sil vous plaît face à léglise.
Je suis incapable de vous dire le style de cette église, mais sur votre droite, vous voyez la salle des fêtes ou lan passé, je suis venu avec mon copain Gille conduisant sa voiture pour ma soirée de sexe, la plus mémorable de ma jeune carrière.
Ce soir-là André Verchuren et son grand orchestre étaient à laffiche.
Sil mest impossible de vous dire le style Gotique ou Roman de léglise, jai tout autant de mal à dire le nombre de personnes remplissant la salle ce soir-là.
Tout ce quil y a de sûr, cest quelle était comble.
À la gauche de léglise, vous avez un champ dherbes vertes et fraîches.
Madame Véronique, il vous faut savoir que dans ces campagnes les orchestres jouent immuablement le même rythme de morceaux dans la soirée, trois slows et trois danses modernes, Jerks, Madisone, Twists et rocks and Roll.
Jai rapidement repéré une jolie petite Bretonne bien fraîche et bien appétissante.
À la fin de la deuxième série de slows sétait emballé.
Je lui ai proposé de faire un tour dehors et un bras autour de son cou ma main dans son corsage empommant lun de ses seins nus car sans soutien-gorge, nous nous sommes dirigés vers le champ.
Dès que je lai eu couché dans lherbe sans aucun problème, je lui ai enlevé sa petite culotte que jai mise dans ma poche.
Didier, je te la ferais voir, je lai toujours à bord dans mon caisson.
Elle a écarté ses cuisses et je suis entré sans aucun problème au fond de sa grotte.
La belle devait avoir des heures de vol, car je la pistonnais sans aucun problème au fond de son vagin.
Je lai labourée jusquà ce quelle fasse entendre à ses voisines de plaisir, car nous étions quelques couples qui profitaient de ce carré dherbes tendres, quand elle a joui, je lui ai envoyé tous mes spermes retenus en moi depuis trois semaines où aucune femelle navait eu la chance de profiter de mon pompon.
Elle était comme souvent avec les Bretonnes chaudes du cul et avide de sexe.
Je me suis couché et sa bouche est venue me pomper au point quen moins de cinq minutes ma queue a été aussi raide quau moment où nous nous sommes allongés la première fois.
Je lai placée pour la prendre en levrette et alors que je pensais pénétrer dans sa vulve, elle ma pris la queue et me la placer sur sa rosette.
Jai poussé satisfait de laubaine et là encore je me suis retrouvé en un terrain bien des fois pénétré, car je glissais aussi facilement que dans sa féminité.
Repus de plaisirs, nous sommes rentrés dans la salle où Verchuren était au top.
Latmosphère était surchauffée et nous recommencions à danser un twist. Quand il a attaqué un morceau où je pouvais la faire danser un rock, je lui ai pris la main et jai voulu la faire démarrer en pointant du pied, un deux, mais à ce moment elle est venue me parler à loreille.
Jai eu du mal à comprendre, mais lorsque jai saisi les mots de petite et culotte, je me suis souvenu quelle était dans ma poche.
Elle pensait lavoir oubliée dans le champ et a décidé de retourner la chercher ayant peur que sa mère ne lui pose des questions au moment de faire la lessive.
Quand elle est revenue, bredouille bien sûr, nous avons dansé un slow lorsque Gille est venu me dire quil avait mal à la tête.
Cétait notre signe de ralliement entre nous lorsque nous faisions chou blanc et que nous décidions de changer de terrain de jeu.
Je lui ai dit que je finissais la série et que je le rejoignais à sa voiture.
Je profitais de la fin des danses lentes pour remercier la demoiselle de son hospitalité et après une dernière pelle, je la quittais.
Arrivé à la voiture, jai attendu plus de 10 minutes sans le voir arriver.
Je suis retourné dans la salle et après avoir tourné plusieurs fois la foule étant dense, je lai vu roulant un palot à une jolie brune.
Je me suis approché et lui ai demandé où en était son mal de tête. Il avait disparu comme par enchantement et il me laissait comme un con en plan au milieu des danseurs.
Jai cherché ma copine de début de soirée espérant lui remettre une petite saucée de sperme que javais gardé en réserve au cas où.
Je lai vu dans les bras dun petit noir bien plus baraqué que moi lembrassant avec la même passion que moi.
Jétais non loin de la porte dentrée et je les ai vus sortir certainement pour aller derrière léglise.
Vous pouvez penser, comment jai ri lorsque je raconte cette histoire, car jai toujours la vision de la belle salope se faisant mettre par cette bite sûrement aussi noire que celui qui la détient pataugent dans les grandes quantités de spermes que javais déversé devant et derrière.
Deux coups en une nuit, rien de plus commun regarde, les marins de Roger certains mont pris deux à trois fois et même le pépé, lui ça a été quatre bien que la quatrième, il mait pénétré, limé et fait partir une nouvelle fois sans pouvoir décharger.
Didier nous regarde incrédule, mais comme à son habitude il sest tu.
Alors quest-il arrivé ?
Jai soif, vous avez vu le décor, allons au bistrot là-bas, je boirais bien une bibine vous raconter cette histoire ma donné la pépie
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