Le Marin. La Parisienne En Vacances. (9)
Jai eu peur, le père de la petite que jai dépucelé dans le bal du village dans le champ derrière léglise mannonce quelle sest retrouvée enceinte.
Nous apprenons que cest le copain qui est venu avec la petite grosse quelle a incriminée me sauvant davoir la famille sur le dos.
Votre fille est là.
Non, ils habitent à Ploemel avec mon petit-fils où ils ont repris la boulangerie près de léglise du village.
On les a mariés alors quelle était enceinte de plus de deux mois et que rien ne se voyait.
Nous avons cassé nos tirelires son père et moi pour les installer, mais la boulangerie est vétuste et ils travaillent darrache-pied pour remonter laffaire.
Jai été magnanime avec les s, car je suis fou de mon petit-fils, jai un seul regret son prénom, jaurais espéré quil est un prénom bien breton, mais ma fille nous a imposé Victor, allez savoir pourquoi.
Enfin, il est en bonne santé et si vous pouviez voir ses baloches à trois mois, il va faire plaisir aux filles quand il sera en âge de sen occuper.
Je suis liquéfié, de grosses gouttes coulent de mon front surtout quand je regarde Véronique avec mon bachi sur la tête ou en toutes lettres je vois le nom de Victor Schoelcher.
Bien, il faut reprendre la route, on a encore des choses à aller voir.
Où allez-vous ?
Auray voire la basilique et Carnac voire les alignements.
Vous passez près de Ploemel, faites le détour, vous verrez mon petit-fils avec ma fille.
Vous êtes sûr de les trouver, la boulangerie est la seule sur la place de léglise.
Au oui, jadore les bébés, jaimerais le voir.
Je pense que le temps est compté pour faire ce détour si nous voulons être à lheure à notre rendez-vous ce soir.
Dépêchez-vous !
Je vous attends à la voiture.
Discrètement dune façon naturelle, je pars vers la Mercédès oubliant de récupérer ma coiffe en avançant jusquà elle.
Assis derrière le volant, je vois Véronique payer et avec Didier enfin quitter le cafetier qui leur fait un petit signe damitié.
Je suis prêt à dégager rapidement, je peste de voir Véronique revenir sur ses pas et entrer dans le café toujours avec ce foutu bachi avec le prénom Victor dessus.
Quel idiot je fais davoir dit au père que javais vu sa fille au bal qui faisait banquette.
Certes, il semble quelle ait omis de parler de notre rencontre en échange dune boulangerie, mais plus je mettrais de kilomètres entre moi et cet homme et plus je serais rassuré dans mon envie de rester célibataire.
Cinq à six minutes et elle arrive toujours flanquée de Didier qui semble se comporter comme son petit toutou.
Dépêchez-vous ?
Nous allons être en retard, Véronique, donne-moi tes clefs, je vais conduire.
Elle me les donne et je démarre en trombe faisant crisser les pneus.
Calme toi joli papa, elle est à Ploemel avec ton fils, pas la peine de bousiller ma voiture, il faut que je rentre à Paris.
Rigole, crois-tu que cest drôle de découvrir ce que je viens dapprendre sans aucun moyen de faire quoi que ce soit.
Et si même je le reconnais, comment je ferais avec une paye de quartier-maître pour élever cet et sa mère ?
Ils sont aussi bien là où ils sont.
Je fais plusieurs kilomètres en direction dAuray et passant près dun chemin avec un bouquet de buisson, je fais tourner la voiture et je larrête dès que la route nous est cachée.
Descends.
Lordre que je donne à notre amie est assez sec pour quelle lexécute sans en rajouter.
Je contourne la voiture et la couchant sur le capot tout chaud, je soulève sa jupe et en écartant sa petite culotte, je lui introduis ma verge dans le vagin et je la laboure avec de grands coups de pine.
Putain, espèce de saligaud que cest bon, ais plus souvent de grandes frayeurs si cest pour me prendre comme une bête fait des s à toutes les filles du coin derrière leur église.
Cest le moment que je sens partir un très bel orgasme traversant son corps et quayant attrapé ses seins à travers son chemisier, je redouble la puissance de mes allées retour lui arrachant un immense cri de plaisir.
Cest dégoulinant de sueur que je referme mon pantalon après avoir une nouvelle fois rempli son intimité.
Je suis de retour derrière le volant voyant devant moi ma chérie toujours affalée sur son capot et semblant avoir du mal à revenir parmi nous.
Elle finit par retoucher terre et à nous rejoindre en se tortillant pour remonter son carré de dentelle et de rabaisser sa jupe.
Peu de temps après par chance, ils sont assoupis tous les deux quand sur notre droite la pancarte indique Ploemel.
Je suis à deux doigts de tourner, car jai beau être fière devant mes amis apprendre que du dépucelage dune petite boulotte, je me suis reproduit minterpelle.
Voulant rattr le retard que mon coup de phallus a engendré, je zap sur notre droite la basilique Sainte-Anne-dAuray que nous longeons sans nous arrêter, car depuis que nous sommes reparties la tension reste palpable entre nous.
Cest à Carnac que Didier réussit à détendre latmosphère en nous faisant jouer à cache-cache au milieu des pierres pleines de mystère.
Dans ces années de fin 60, les alignements sont peu fréquentés et cest tout naturellement quà ce petit jeu doù est tu, tient, tu es là non, cest moi qui repasse par là immanquablement Véronique est obligé de se faire attr et que nous pouvons nous vanter de la prendre en double pénétration avec mon compagnon de jeu sous un gros dolmen semblant protéger notre copulation.
Baiser derrière léglise de Languidic était déjà un exploit lan passé, baiser cette femme belle et bandante quest Véronique au milieu de ces pierres mégalithiques reste un moment dexception.
Cest le bruit de voix semblant venir dans notre direction qui nous fait nous enfoncer plus profondément sous le dolmen.
Cest un couple damoureux qui nous apparaît sans pour autant nous voir.
La jeune femme est pendue au bras de son homme.
Lui est une baraque avec qui jéviterais de me quereller, car je suis sûr de ramasser une rouste.
Nous avons confirmation quils sont mariés quand nous les voyons sarrêter et se prendre la bouche dans un baiser passionné, le garçon retourne, sa compagne lui remonte son débardeur dune main la plaque sur un menhir légèrement incliné et lui ayant relevé sa jupe se présente pour lui planter sa dague.
Chérie, attends que nous soyons à lhôtel, je sais bien que cest notre voyage de noces.
Non, arrête.
Comme de bien entendu il continue sa besogne et rapidement prise par la chatte les roberts rappant sur la pierre, elle bouge son cul pour quil la pénètre plus profondément.
Cest à ce moment que nous manquons déclater de rire, risquant quils nous découvrent au risque darrêter notre couple dans leur moment de bonheur.
Oui met moi là bien à fond comme tu sais si bien le faire depuis hier après la cérémonie ou tu mas dépucelé, vas-y, jaimerais que notre première soit conçue parmi ces pierres millénaires et que la force que je sens se propager en moi par les seins et mon ventre qui frottent déçus nous donne un magnifique bébé.
Voilà pourquoi nous manquons déclater de rire, cest le jour des bébés déjà conçu et à concevoir.
Cest comme cela se croyant seul au monde que nous jouons les voyeurs pendant que nos amoureux senvoient en lair.
Un dernier baisé et nous les voyons repartir.
La terre est ronde et le monde est petit, il faut moins que le tour de la terre alors que nous sommes répartis dans deux directions opposées pour que nous nous retrouvions avec les jeunes mariés à côté de nos voitures.
Bonsoir, messieurs et madame pouvons-nous vous demander un service ?
Bien sûr.
Pouvez-vous nous prendre en photo devant ces magnifiques alignements ?
Prenez la pose, je vais faire plusieurs photos.
Je les mitraille trois fois au cas où une photo soit loupée.
Benoît prend lappareil pour que nous facions une photo avec ces marins, nous espérions en voir à Brest la semaine prochaine, cest la providence qui nous envoie ces deux beaux jeunes hommes.
Vous me prêtez votre chapeau, mes copines mont dit que si javais la chance de toucher un pompon pendant notre voyage de noces, notre couple serait chanceux et fécond jusquà la fin de notre vie.
Comment refuser de faire cette photo entourée de deux jolies femmes qui chacune ont mis notre bachi ?
Le marié Benoît pose son appareil sur le toit de leurs 2 chevaux et vient rapidement nous rejoindre.
Le marié, la mariée, Didier Véronique et moi, les trois garçons entourant les deux femmes.
La première photo prise, il propose que nous changions de place.
Lui, Véronique, Didier, Gislène, cest du moins le nom quil lui donne et moi.
Le temps de cadrer, enclencher lautomatique et il nous rejoint.
Je fais un mouvement pour reculer manquant de tomber et ce que je vois me sidère.
Didier caresse le cul de Gislène qui ne dit mot.
Quand je disais que davoir dessalé Didier en avait fait une bombe sexuelle sur pattes, jétais loin du compte.
Nous sommes dans le centre de Carnac à lhôtel, pouvons-nous vous inviter à boire un verre ?
Nous avons rendez-vous au port de pêche de Lorient chez des amies qui ont un restaurant et qui nous ont invitées, mais nous pouvons vous suivre, nous avons une heure devant nous.
Nous reprenons les voitures et il est drôle de voir une Mercédès coupée sport suivre une, 2 chevaux.
Nous nous garons et nous nous installons à la terrasse de leur hôtel, Benoît semble intéressé par notre travail à bord.
Je vois que votre jeune collègue à une inscription sur son chapeau différent dû tient, Victor Schoelcher sur le tien et École des mécaniciens pour le jeune.
Pour commencer, Gislène notre béret sappelle un bachi
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