Saga Familiale ( Suite N°1)

La fille de Germaine, Odile, en 1910 trouve un mari, ou plutôt son père trouve son futur qu'elle ne connaît que de vue. C'est un gentil garçon avec une bonne fortune, comme il se doit. La noce a lieu dans un excellent restaurant. La nuit de noce se passe dans un train qui les mène en voyage de noce. Bien sur comme c'est la première fois, elle n'est pas très satisfaite de ce qu'on peut appeler un simple accouplement. Pourtant son mari est gentil comme tout avec elle. Partis pour 3 semaines, son mari la baise au moins une fois par jour. Elle reste de marbre: son époux est plutôt porté pas son propre plaisir. Pourtant la mère de Germaine lui a bien dit que coucher avec un homme était agréable.
Elle ne peut se plaindre qu'à sa mère. Elle lui certifie qu'elle a beaucoup jouit, mais ajoute-t-elle avec ses amants et non son mari. Ce que dit sa mère est sacré. Elle se met en chasse d'un amant. A cette époque une femme à la recherche d'un amant est plutôt mal vue. Sa mère lui demande d'attende: elle lui trouvera bien celui qui la fera jouir. En attendant elle peut toujours se masturber. Sa fille se demande ce qu'elle doit faire: " passes toi la main entre les jambes et cherche tu trouvera l'endroit qui te fera certainement jouir.
Très étonnée de ce conseil, Odile essaye quand son mari se lève le matin pour passer une main entre ses cuisses écartées. Elle trouve facilement un endroit d'où elle tire un merveilleux plaisir inconnu. Elle recommence et le plaisir est encore plus fort. L lui semble qu'elle peut se passer d'un amant. Pourtant quelque chose lui manque: elle voudrait bien que son mari la fasse jouir. Un soir elle lui demande si il peut lui donner su plaisir. "On n'est pas au bordel ici". Ainsi ans l'esprit de son mari, le plaisir est réservé aux putains. Tan pis pour lui, il la baise comme il veut le samedi soir régulièrement. Il sa moque totalement sa femme qui est pour lui une vulgaire receveuse de son sperme.
Enfin pendant une soirée, comme sa mère elle rencontre un homme plus âgé qu'elle: ils dansent ensemble la danse à peine à la mode; le tango.

Il la serre dans ses bras. Ils sont pratiquement ventre contre ventre. Elle sent qu'il bande, ne sait que faire, sinon cacher cette érection en le serrant plus fort contre elle. Il continue à bander de plus belle. Elle ne sait plus comment faire: si quelque' un la voit avec un homme qui bande, que va-t-il penser. Elle l'entraîne vers un coin sombre. Il la serre contre lui, l'embrasse, lui fait poser la main sur son sexe dur:
- J'ai envie de vous.
- Envie de quoi ?
- Envie de vous faire l'amour.
- L'amour ? Vous n'y pensez pas; je suis une femme honnête.
- C'est bien pour ça que j'ai envie de vous baiser.
Elle est troublée: un homme qui a envie de baiser avec elle. Et d'abord qu'est-ce que ça veut dire baiser?
Il l'invite pour prendre un verre dans un café huppé, le lendemain à 17 heures.
Odile s'interroge longtemps avant de décider d'y aller: elle voulait un amant: en voilà un possible.
Enfin, sans plus hésiter elle va le rejoindre au café. Il l'attendait avec une certaine impatience. Elle arrive c'est le principal. Elle prend une limonade, assise près de lui. Il lui prend les épaules, se turne vers elle, l'embrasse sur la bouche. Elle sait au moins embrasse convenablement: leurs langues se touchent. Il pose une main sur un sein. Si elle se laisse aller, elle sait qu'elle va céder. Alors elle cède elle accepte la main qui la caresse, comme elle accepte que cette main se pose sur son bas ventre. Comme elle accepte ce qui lui demande: lui masser sa bite bien dure. Elle sait au moins une chose: ils vont faire l'amour. Un dernier baiser: ils partent chez ce futur amant. Il vit seul c'est visible, le ménage est fait très rapidement. Il l'emmène dans la chambre où il la déshabille relativement vite: elle porte moins de choses que sa mère à son âge. Tout de même il faut qu'elle soir bien vêtue. Elle est enfin nue. Il est aussi nu. Ils se regardent. La seule chose qui l'intéresse est le membre de cet homme. Elle le voyait pus petit.
Son mari ne l'a pas bien grosse: ça la changera. Ce qui la change surtout ce sont le façons de faire: au moins il cherche à lui donner du plaisir en lui cherchant le bouton, celui quelle caresse souvent. Il est très doux: il la fait jouir. Elle ne sait pas encore comment le remercier: elle prend la bite dans une main, ma frôle un peu. Il est : obligé de lui montrer comment le masturber. Elle s'y essaye: ces vas et viens donne pas mal de plaisir. Il l'arrête alors qu'elle aurait bien aimé aller plus loin. Il lui prend la pointe d'un sein, le suce. Il le fait un peu bander. Elle a envie qu'il recommence à le branler. Il a une autre idée: baiser tout simplement. Il la couche, lui fait écarter les jambes, sort sa langue, la lèche du genou jusqu'au début du sexe. Il arrive fin à son clitoris. Il le lèche: c'est bien meilleur qu'une simple masturbation, même faire par lui. Elle jouit plusieurs fois. Elle voudrait qu'il continue. Non, il se relève un peu, vas se poser entre ses cuisses ouvertes pour la lui mettre. Elle craint toujours quand son mari la lui met là. Pourtant avec cet homme ce doit être différent. Et c'est différent: il ne la pénètre pas rapidement comme son mari. Il est très doux: il la lui mets avec presque amour. Elle le sent bien quand il rentre dans son con. Elle le sens encore plus quand il entame les vas et viens. Elle le sens tellement qu'elle se laisse aller à ne jouissance qu'elle ne connaissait pas du tout: une véritable révélation. Son sexe est une suite de crispations d'orgasmes. Elle n'a jamais joui autant. Ils vont bien plus loin encore, il la force un peu pour qu'elle accepte de le prendre dans son cul. Ce n'est qu'après plusieurs sodomies qu'elle aime se faire mettre dans le cul.
A 19 heures elle s'en va: à demain, ici à 5 heures. Pendant très longtemps ils ont baisé de 5 à 7.
Plus tard arrive le 2 Aôut 1914. Les hommes en âge de porter les armes sont mobilisés, son mari et son amant doivent partir. Odile se sent comme veuve. Plus de mari (pour faire l'amour, ce n'et pas gênant), plus d'amant (pour faire l'amour c'est plus embêtant).
Elle a toujours ses mains pour se donner du plaisir. C'est bien beau un moment, la masturbation calme bien sur, moins qu'une autre personne. Elle ne cherche plus:aucun homme à se mettre sous la dent. Elle en parle à sa mère qui la traite de sotte: et les filles alors: je l'ai fait à l'époque pour mon plus grand plaisir.
Pas convaincue par sa mère, Odile se voit mal faisant l'amour avec une autre à moins que……sa cousine dans le même cas qu'elle. Justement sa cousine qui a mauvaise réputation dans la famille pour la vie dissolue qu'elle a: elle se montre souvent avec son amant; sans doute qu'elle aussi pourrait soulager Odile. Elle prend contact avec elle. La cousine est sans amoureux elle aussi. Elles se rencontrent, parlent de baise, de jouissance, de bite devant ou derrière. Chacune y va de son désir de jouir. La cousine dissolue lui indique qu'il existe un bon moyen pour jouir: baiser toutes le deux, sans se passer de bite ci possible. Odile en mouille de désir. La cousine aussi regarde bien le corps d'Odile: elle lui fait envie. Il faut dire que ce n'est pas sa première fille. Elles sortent ensemble pour aller chez Odile. Les hors d'œuvres sont vite fait: un baiser sur la bouche, une caresse rapide sur les seins, une main posée sur le pubis: elles sont nues déjà, le plaisir n'attend pas un instant. La cousine qui sait, lui apprend à branler une autre fille, la faire jouir, la lécher et être léchée. Elle sait aussi qu'il existe des nouveaux appareils qui bien manœuvrés font jouir les filles. Elle s'en débrouille pour ne avoir un et les voilà se baisant l'une après l'autre avec ces jouets q appelle pas encore sexuels.
La guerre finie, elle retrouvent toutes les deux leur mari ou amants sortis miraculeusement. Odile revient vers son amant: ils recommencent là où ils en étaient: baiser ensemble souvent.


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