Saga Familialle ( Suite 3)

Le fille de Fanette née en 1940, Juliette, se retrouve étudiante Paris en 1968. Année mémorable pour la libération des mœurs. Juliette en profite comme jamais: elle a découvert le plaisir quand elle n'avait qu'une quinzaine d'année en se masturbant, comme sa mère dans la baignoire. Là, maintenant tout est possible, elle n'est plus vierge depuis ses années de lycée. En dernière de préparation au notariat elle se sent prête à conquérir le monde, sinon le monde au moins le plus de sexe possible. Elle occupe le studio que ses parent ont acheté: c'est plus simple pour elle que de venir tous les jours de Versailles. Elle n'habite pas loin des lieux de manifs. Si au début elle se tenait assez loin elle s'en approchait par curiosité. Juliette rencontrait un garçon de son âge, joli garçon, bien proportionné et semble-t-il bien pourvu par dame nature. Entre deux charges de C.R.S. ils se retrouvaient embrassées. Leurs lèvres ne se quittaient pratiquement pas. Juliette, bien "chauffée" l'emmenait chez elle. Sans tarder, il l'embrassait longuement. Excitée et pleine d'envie, elle lui sortait la bite pour la caresser. Pour une première fois entre eux deux, c'est elle qui le cherchait. Elle faisait plus que caresser lentement comme pour faire une découverte. Elle savait depuis longtemps comment réagissait un homme à qui on tient la queue. Il bandait de plus en plus. Elle le branlait tout en sachant qu'après l'orgasme, sa bite ne voudrait plus rien pendant un moment; accélérant les vas et viens en attendant qu'il jouisse. Juste avant qu'il gicle, elle lui prenait la pine en bouche pour récolter le sperme.
Toujours en pointe elle le déshabillait, lui embrassait les seins, lui caresser les fesses, avant de le voir bander à nouveau. Nue à son tour, elle s'offrait à lui: elle tendait son bas ventre contre le sien. Elle se frottait à lui pour bien sentir la bite en érection. Elle pouvait encore le faire jouir en continuant un moment ainsi. Elle avait besoin de sa queue dans son sexe.

Elle l'entraînait sur le lit où elle se laissait tomber jambes bien ouvertes. Elle tendait ses bras pour qu'il vienne vite la posséder. Enfin elle recevait ce corps sur le sien, sa moule bien béante voulait avaler la queue de cet amant. Enfin, elle pouvait pousser un soupir de soulagement: il la lui mettait bien profond, comme elle aimait. Elle sentait le sexe aller et venir en elle. Elle fermait les yeux pour ne profiter que d'une seule chose: cette chose masculine en elle. Elle jouissait longuement plusieurs fois jusqu'au moment où il lui donnait le reste de sperme de ses couilles.
Un des jours suivant elle rencontrait encore un garçon plus âgée qu'elle. Il lui semblait qu'il devait savoir des nouvelles façons de baiser. Il en connaissait, par ment toutes du goût de Juliette. Elle acceptait avec plaisir la sodomie, Elle prisait moins le faire se faire baisser devant lui par une autre fille. Elle en jouissait, tout en préférant une bonne bite.
Plus tard, les événements terminés elle réussissait à obtenir la capacité d'être notaire. Elle devait trouver une étude à acheter. La chance jouait en sa faveur: elle trouvait une petite étude à quelques kilomètres d'une grande ville. Du coup elle devenait une notabilité. Toujours célibataire, elle ne cherchait pas particulièrement un homme à épouser. Elle ne contentait de ses masturbations quotidiennes. Elle fuyait comme la peste la compagnie des célibataires du coin plus attiré par sa situation que par son physique.
Il lui arrivait souvent d'aller en ville pour simplement trouver une âme sœur pour quelques heuses.
Quand elle allait en ville, elle ne cherchait qu'à se faire mettre, uniquement guidée par ses besoins d'avoir une bite n'importe où. Il fallait simplement que son futur amant lui plaise. Elle connaîssait la marche à suivre pour lever quelque un. Ces nuits là il lui arrivait de sortir des bras d'un homme pour aller dans l'autres. Elle multipliait le nombre de ses amants d'un instant, comme une collectionneuse.

Ainsi une nuit pour baiser, elle sortait dans un café réputé pour le nombre d'hommes en recherche d'une femme. Elle se faisait remarquer par sa beauté sensuelle. Elle trouvait rapidement ceux qui lui plaisaient. Sans scrupule elle se donnait, telle une prostituée. Elle trouvait trois hommes pour venir avec elle. Dans sa chambre tous se mettaient en place pour baiser ensemble. Elle était vite nue: elle ne portait qu'une simple robe légère. Ces futurs amants la regardaient en bandant pour se disputer presque son cul. C'est elle qui choisissait: si elle avait trois avec elle c'était pour qu'ils se la partagent. Elle désignait celui qui devait la baiser, celui qu'elle sucerai et enfin celui qui la sodomiserai. Ainsi elle répartissait les rôles en fonction surtout de la taille des queues. Elle savait qu'ensuite elle pourrait changer les places des bites. En premier, c'est le moins membré qui devait la baiser, le moyen la sucerai le plus gros la lui mettrai au cul. Elle faisait coucher ce dernier sur le dos, venait s'empaler sur la bite bien bandée, une fois bien enculée, elle attirait le moyen pour qu'il la lui mette dans le con. Une fois bien prise des deux cotés, elle pouvait prendre dans sa bouche la pine du dernier. Elle s'arrangeait pour que les quatre jouissent ensemble, surtout ceux qui occupaient les deux lieux stratégiques. Elle avait jouit déjà plusieurs fois avant que le dernier lui jette son sperme dans la bouche.
Pour les faire bander à nouveau, rien ne valait pour elle que de se branler et le con et le cul devant les trois hommes. Ils pouvaient changer de trou sans problème. Bien sur ils recommençaient plusieurs fois.
Elle rentrait chez elle, le ventre satisfait.
Il se produisait un événement qui la sortait de sa routine d'aller en ville. Un pharmacien, qu'elle connaissait, voisin de son études, venait pour signer un acte d'achat d'une vaste demeure pas loin de chez lui. Elle avait bien repéré cet homme. Mais conformément à sa règle de ne pas se montrer sensuelle, elle l'avait un peu oublié.
Pourtant lui, ne l'oubliait pas du tout. C'est la raison pour laquelle il venait souvent à l'étude pour rectifier un détail de rien du tout sans importance. Elle commençait à espérer un geste de sa part.
La signature de l'acte se faisait tranquillement quand pour la remerciait il l'invitait chez lui pour un repas avec d'autres amis. Elle acceptait cette invitation: tout ce passait fort bien, les conversations allaient dans tous les sens, comme souvent. L'heure de partir arrivait. Juliette se préparait comme les autres quand l'hôte la retenait juste un moment. Elles restait pour un instant comme demandait.
En réalité elle ne sortait de chez lui que le jour se levant.
Il lui demandait de pose son manteau pour qu'ils puisent enfin bavarder tous les deux. Ils lui parlait bien pas de n'importe quoi: il lui faisait tout simplement une cours plutôt serrée. Il voulait lui montrer qu'il la désirait, qu'il la voulait pour lui tout seul, enfin qu'il serait heureux de la prendre pour la vie. Le genre de déclaration qu'elle n'avait jamais entendu. Il l'embrassait sur la bouche. Elle ouvrait bien sa bouche. Il commençait à la caresser, surtout la poitrine. Son excitation montait: elle mouillait. Elle sentait contre son ventre la queue de son amoureux grossir. Elle le laissait faire pour qu'il aille le plus loin possible. Il allait tellement loin qu'ils se trouvaient nus, dans la chambre. Elle redevenait une femme normale: c'est l'homme qui faisait ce qu'il voulait. Il ne voulait qu'une seule chose, la faire jouir, faisant passer son propre plaisir après le sien, Il la branlait longuement, venait poser sa langue sur le clitoris lui introduisait deux doigts dans le cul. Elle voulait lui rendre en parti les orgasmes qu'il lui avait donnés. Elle se penchait sur son sexe, le prenait dans la bouche et lui faisait une bonne fellation. Il en était tout heureux: la femme qu'il aimait savait bien baiser.
Le deuxième acte pouvait commencer: elle le faisait encore bander en lui montrant comment elle se masturbait.
Cette fois elle lui donnait son vagin. Il y rentrait très lentement: elle aurait voulu qu'il la lui mette vite. Il faisait exprès pour faire durer le plus longtemps possible le plaisir de la baise.Il avait raison: ils jouissaient en même temps. Après un instant de câlins, ils se racontaient, elle surtout disait qu'elle aimait beaucoup baiser, se faire enculer, sucer, être sucée, et surtout se branler. Ils s'excitaient encore. Cette fois elle se mettait en levrette en tendant ses fesses. Il venait sur elle, posait sa pine sur le cul. Elle se mouillait l'anus, lui demandait de la lui mettre profond. Il faisait comme elle voulait. Quand il était totalement en elle, il venait à la recherche du clitoris, le branlait lentement comme elle le souhaitait. Ils jouissaient encore une dernière fois.
Cette fois elle avait et un amant et un mari. Que demander de plus pour une femme sensuelle d'avor les deux à la fois ? La noce fut grandiose à l'échelle de la petite ville.

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