Ophélie, De Femme À Femelle (13)

-- ATTENTION HISTOIRE FICTIVE POUR LECTEURS AVERTIS --


Vendredi soir, 23h50, il me tarde de rentrer chez moi, j’y suis presque, je suis devant ma porte d’entrée, dans l’allée de ma maison. Pourquoi je ne rentre pas ?
Tout simplement parce que je suis retenue par une laisse que tiens fermement mon Maître, occupé à discuter avec son ami, fumant une cigarette.
J’ai signé pour être sa chienne, sa soumise, sa pute, lui donnant tous les droits, tout pouvoir. Il n’y a pas plus de 5 mn, j’avais encore sa grosse queue dans mon cul, souhaitant que ça dure toute la nuit et la, malgré la douleur qui commence à se faire ressentir sur les paumes de mes mains et mes genoux, je reste à quatre pattes, à ses pieds, le regard baissé, priant silencieusement pour qu’aucun de mes voisins ne sortent de chez eux.
A cette heure pensai-je, ils doivent tous être couchés, mais, il suffit que je pense ça pour que j’entende Arnaud interpeller quelqu’un !

- Bonsoir, douce soirée pour promener nos animaux de compagnie non ?

Mon sang se glace quand je relève la tête et découvre le fils du voisin, tenant son berger, venant vers nous pour saluer mes bourreaux. Je le vois sourire en me regardant, retenant son chien qui est tout content de trouver une copine pour jouer. Je tremble de honte de m’exposer ainsi, je tire sur ma laisse pour, d’une part échapper au chien qui veut jouer, et aussi pour me réfugier chez moi.

- Je ne connais pas cette race de chien, dit le jeune homme tout en riant.
- Oui, c’est assez rare, commente Arnaud. En plus c’est une femelle, mais le vôtre est assez joueur

Si je fermai les yeux, j’aurai l’impression d’écouter une conversation banale entre deux voisins, mais il s’agit bien de moi, d’une femme bourgeoise rabaissée à être considérer comme un animal de compagnie !

- Oui il n’arrête pas, il est jeune.

Je le vois bien, moi à son niveau, il saute autour de moi, fait le fou, j’essaie tant bien que mal de me dégager, d’éviter ses coups de pattes ou te museaux.

Il tire sur sa laisse, essaie de se libérer.

- Pierre, ferme le portail, on va les laisser jouer 5 minutes ! décida Arnaud. Tu as bien 5 minutes devant toi mon garçon ?
- Je n’ai pas court demain, j’ai toute la nuit dit-il tout en libérant son chien. Mais c’est vrai que j’aimerai être à la place de mon chien.
Ils rigolent tous de bon cœur a ce sous-entendu du jeune homme et, Arnaud tout en me libérant me conseille d’être très joueuse si je ne veux pas recevoir une correction qui réveillera tout le quartier.
Aussitôt libre le chien court autour de moi, me saute dessus, fais le fou, des ronds sur la pelouse, j’essaie tant bien que mal de me protéger mais rapidement, il me fait rouler sur le côté. Je me retrouve les jambes en l’air, à moitié sur le dos, exhibant toute mon intimité aux spectateurs. Il continu de me sauter dessus et fini par déchirer une bretelle de mon top, faisant sortir mon seins sous les rires des maîtres. Je sens le chien qui s’excite de plus en plus, courant autour de moi, me sautant dessus, me griffant de temps en temps, j’essaie de le repousser, de m’échapper et, au bout de longues minutes, j’entends mon maitre me rappeler, enfin me siffler plus précisément.
Je me précipite vers lui, essayant de courir à quatre pattes, comme une véritable chienne, le spectacle doit être grotesque, mais je m’en fiche, je veux me protéger derrière mon maitre, fuir ce chien qui ne pense qu’à jouer.
Arrivée aux pieds d’Arnaud, il me rattache et me fait passer entre ses jambes, serrant ses genoux contre ma taille, pour surement me protéger du chien. J’essaie de reprendre mon souffle et, de remettre un peu d’ordre dans ma tenue, lorsque je sens quelque chose de froid contre mes fesses. J’essaie de me retourner pour voir ce qui se passe, mais dans ma position je ne peux rien apercevoir. Le truc froid se fait plus insistant et, quand je sens en même temps le souffle chaud, je devine avec effrois que c’est le chien qui est en train de me sentir le cul, comme une véritable chienne.
Prise de panique, je tente de me dégager mais, Arnaud me maintient fortement et en me tirant sur la laisse me dit :

- Ne bouge pas sale chienne, à force de l’exciter, il doit bien vérifier si tu es à son gout !

Sa truffe parcours toute mon intimité, il me sent le cul, la chatte, les cuisses, je sers les fesses pour échapper à cette humiliation, mais il force, donnant des coups de nez contre mes fesses, et une nouvelle pression sur ma laisse m’indique qu’il faut que je me détente. Je me déteste d’être aussi faible et d’obéir ainsi, mais n’écoutant que mon maitre, je m’ouvre, j’écarte les cuisses, laissant l’accès de toute mon intimité à ce chien qui, comprenant l’invite commence à me laper la chatte.
Le premier contact avec cette grosse langue râpeuse, partant de mon clitoris à mon cul en une seule fois me fais frissonner. Le deuxième coup de langue me fait pousser un Ah de bonheur, sentir cette grosse langue m’écarter les lèvres, me fouiller la chatte et me taper le clitoris avec force, fait voler en éclats toutes mes limites, me fait oublier cette humiliation.
Je me délecte de cette situation, si bien que lorsqu’Arnaud desserre son emprise et me libère, je ne bouge pas, au contraire, je jette me fesses contre mon lécheur canin, voulant le sentir me lécher toute la chatte en un seul coup de langue, me fouiller le cul et la chatte avec cette râpe. Je les entends me traiter de chienne, de salope, prête à se faire saillir, et il ne m’en faut pas plus pour partir dans une longue plainte, une longue jouissance, si forte qu’elle me fait rouler sur le côté. J’essaie de repousser la tête du chien, forçant encore pour boire tout mon jus, ne me laissant aucun répit dans ma jouissance. Sous mes plaintes et supplications, quelqu’un vint retirer le chien de mon intimité, me laissant seule allongée par terre, secouée de spasmes de plaisir, caressant encore ma chatte toute baveuse.
Je reprends mes esprits, me calme et en ouvrant les yeux, je vois le jeune propriétaire du chien en train de se branler au-dessus de moi.


- Putain de salope, comment je fantasme sur toi depuis le temps que je te vois dans ton jardin, m’avouât il tout en secouant sa grosse bite.

Le fait qu’il me dise ça, me fait oublier qu’il est mon voisin et à peine majeur. J’ai envie de le voir gicler sur mes seins et mon visage et, pour le finir, j’agrippe mes seins à pleines mains, les pressant l’un contre l’autre, mimant une branlette espagnole. Je le vois accélérer en redoublant les insultes, encouragé par mon maitre qui tient son chien, lui disant « vas-y arrose là cette pute » ou « elle n’attend que ça », il se crispe et dans un râle commence à me gicler dessus. Je vois de là ou je suis, de longs jets sortir de son gland, atterrir sur mes seins, mon top, atteignant même ma chatte. Il continue de secouer sa queue, de la pincer pour faire sortir les dernières gouttes qui me tombent sur le visage.
Pendant que j’essaie tant bien que mal de me remettre à quatre pattes, Arnaud redonnait le chien à son jeune propriétaire et lui proposa :

- On reste chez elle tout le weekend, si tu as envie de la baiser tu sais ou la trouver !
- Mais son mari ? s’inquiète le jeune.
- T’inquiète, on le gère. Rassura Arnaud
- Et je peux emmener des potes ? je suis sûr qu’elle aimera des grosses bites noires !
- La, tu m’intéresse mon jeune ami, s’enquerra Arnaud. Dit moi quand tu peux les emmener.
- Vous savez, si je leurs dit qu’il y a une salope de bourgeoise blanche à baiser, ils sont là dans 10 minutes.

Je reste sans réactions quand j’entends mon maitre lui dire ok, et de lui laisser ½ heure pour préparer la vide couille. Je regarde mon jeune voisin s’éloigner avec son chien, le téléphone déjà collé à l’oreille, imaginant raconter son exploit.
Et c’est toute nue, couverte de sperme, et totalement soumise que je rentre chez moi, suivant mon maitre et son ami, après une vérification dans la chambre de mon époux, Pierre m’emmène dans la salle de bain, pour me laver.

Il me pousse dans la douche et m’ordonne de me laver, devant lui. Je me savonne les seins, la chatte et le cul. Il me dit de bien insister sur mon cul, qu’il soit bien propre comme. Je m’accroupie dans la douche, le dos collé au carrelage, posant la pomme de douche entre mes cuisses bien écartées, le jet dirigé sur mes orifices, je commence à me doigter ma petite chatte et le cul, faisant rentrer l’eau tiède dedans, sous le regard brillant de mon admirateur. Je le vois qu’il commence à se caresser l’entre jambes, une belle bosse sous son jogging douteux, et ça m’excite ! J’ai l’impression d’être une chienne en chaleur, réclamant du sexe.

- Putain t’es vraiment une salope toi, t’en veux encore hein ? sale pute ! dit-il en sortant son gros sexe noueux pour se branler sans gêne devant moi.
J’ai deux doigts dans mon cul, appréciant le jet qui frappe ma chatte, regardant avec envie la main de Pierre aller et venir sur sa grosse tige. Je me pince les tétons pour m’exciter un peu plus. Il n’est pas long à venir, éjaculant de longues trainées de sperme sur le sol, dans un râle et un flot d’insulte.
La voix d’Arnaud nous sort de cette ambiance érotique, pestant, nous demandant e nous magner, qu’ils ne vont pas tarder à arriver. Je sors de la douche à quatre pattes, encore mouillée et frissonnante de plaisir.

- Nettoie tes conneries pétasse ! m’ordonna Pierre en désignant la flaque de sperme par terre.

Tout en le fixant du regard, je me baisse, posant ma langue dans ce liquide encore tiède. Je lape son sperme gluant, aspirant pour l’avaler, pour nettoyer mon carrelage n’en laissant aucunes traces. Ma tâche finie, il me ramène dans le salon ou déjà, mon jeune voisin et 3 copains m’attendent.

- Voici le deal, commença mon maître, vous ne parlez à personne de ce qui se passe ici, pas un mot à quiconque ! sinon, pas la peine de rester, on est d’accord ?

Bien évidemment, les 4 jeunes jurent qu’ils seront discrets.

- La salope de bourge est là pour vous vider les couilles, comme vous le voulez, mais pas de chichis, pas de plans guimauve, elle est là pour votre plaisir, c’est tout. Vous avez deux heures ! Compris jeunes hommes ?

Je vois dans leur regard de l’étonnement et de l’hésitation, sauf mon voisin, qui m’a déjà vu à l’œuvre et s’approche le sexe à la main, le secouant pour le faire grossir. Les autres n’avance pas, trop intimidés, l’un deux décide même de partir, trouvant ca trop glauque.
Je suis en quelque sorte déçu de ce départ, peut être peur de ne pas être assez comblée, mais ce sentiment disparait quand le premier jeune sort son sexe. Il est à peine bander et déjà lui arrive presque à mi-cuisse, d’une belle couleur noire brillante, avec un champignon marron. J’ouvre de grands yeux en le voyant et, je sens ma chatte frétiller d’envie. Arrivé à ma hauteur il me demande :

- Tu n’as jamais vu de bite black toi ! tu vas voir celle de mon frère, c’est pire salope.

En effet, il ne ment pas, de longueur égale, le diamètre est beaucoup plus prononcé. Je commence à sentir mon ventre se serré, de plaisir mais aussi de crainte. De tel monstre, ça va me déchirer, celles de Pierre et Arnaud sont grosses, mais rien avoir avec ces phénomènes !
Entourée de 3 énormes bites, les réjouissances commencèrent, e à avaler les uns après les autres, je les sens cogner contre ma gorge, je vois leurs queues se plier sous la pression. A peine cinq minutes que déjà j’ai de la bave partout sur le menton, par terre.
Ma bouche est complétement distendue, mes mâchoires déjà douloureuse mais je ne me plains pas, il faut que mon maitre soit fier de moi. Au fur et à mesure, je les sens moins timides, et les premiers crachats et insultent commence à pleuvoir, et de ce fait, je me sens plus humide aussi. Ils le sentent aussi car je suce avec plus de ferveur, essayant de les avaler au maximum. L’un deux me retourne, m’allonge par terre, le dos contre le parquet froid, on vient s’assoir sur mon visage, me forçant à lécher l’anus poilu et odorant, ou plutôt, de lui bouffer le cul comme il me le dit. Mes jambes sont levées et écartées et, je sens déjà le gland frapper contre mes lèvres. Malgré ma lubrification abondante, il a du mal en entrer mais, sous les encouragements d’Arnaud, il force, s’en tenir compte de mes plaintes. J’ai l’impression de me faire déchirer quand il entre enfin dans ma grotte, j’étouffe mes cris entres les fesses de celui qui me presse les seins sur sa bite dure et chaude.
Les mollets sur les épaules, ses larges mains autour de ma taille, il commence un pilonnage en règle de ma pauvre petite chatte, faisant claquer ses grosses couilles noires sur mon anus. J’ai du mal à respirer, par la violence de ses coups et, aussi par le fait que j’ai ma langue dans le cul du jeune. Ils me laissent respirer en échangeant leur place, plusieurs fois, maitrisant leurs excitations, ne voulant pas jouir trop vite pour profiter du temps qu’ils avaient.
Ils me prennent la chatte dans diverses positions, en missionnaire, en levrette, assis sur leur bite, pendant presque une heure. Je suis étonnée de leur endurance, et du fait qu’ils ne se sont concentrés que sur ma bouche et ma chatte.
Ensemble, ils décident de prendre une pause, pour reprendre leur souffle et se désaltérer. On leur offre des bières pour eux, une gamelle d’eau pour moi. Apres cette courte pause, l’un des frères me siffle, tenant sa queue dans sa main, assis dans le fauteuil pour que je vienne le sucer. Docilement, je m’approche de lui, passant devant mon maitre qui me regarde fièrement. Arrivée entre ses jambes, il me tend sa bite, recouverte de mousse, de mes sécrétions, la prenant dans ma bouche tout en me demandant si c’était lui le mieux membré ou son frère. Sachant que dans cette position, je ne vais pas tarder à être investit. Il m’appuis sur la tête, me forçant à l’avaler plus que de raison, me traitant de salope, de vieille chienne, de pute a blacks, tandis que son frère commence à appuyer sur mes reins pour me cambrer, faire ressortir ma croupe. Il me crache sur le cul, récupère de la cyprine pour huiler mon cul, et présente déjà son sexe sur mon anneau. J’essaie de réguler ma respiration malgré la queue qui m’emplit la bouche, me décontracte, pousse comme pour faire caca afin de faciliter cette pénétration hors norme.
Il tient sa queue à deux mains, appuyant de tout son poids sur mon anus qui finit par céder, presque sans douleur et assez facilement, trop facilement pour moi, me rendant compte de la salope que je suis devenue, une belle enculée comme ils disent.
Le fait d’être dans mon cul inhibe toute retenue, il commence à me martyriser le cul, m’agrippant les hanches, puis les cheveux, tapant de toutes ses forces contre mes fesses, il n’a plus aucune retenue, m’insulte de salope, de bourges à blacks, de pute de chantier, et plus il m’insulte et tape au fond, plus j’ai du mal à retenir mes cris de jouissance. J’aime être remplie de la sorte, j’aime qu’on m’humilie, qu’on me maltraite, je jouis à chaque fois qu’ils échangent leur place, ne laissant aucun répits à mon cul, même pas le temps pour qu’il se referme.
D’un coup, je me sens soulever par mon enculeur, comme une plume, toujours empalée par le cul, le dos contre son torse, montant et descendant à son rythme sur sa colonne de chair noire.

- Frérot, viens la prendre cette pute, elle en veut !

Mon dieu, je le vois se lever me faire face, tenant sa bite pour me l’enfoncer d’un coup dans ma chatte dégoulinante de mouille. Ils me prennent en sandwich, debout, au milieu de mon salon, m’arrachant des cris de plaisir. Leurs deux queues coulissent à merveille dans mes deux orifices dilatés, ne me laissant aucuns répits, me faisant délirer, je leur demande de ne pas arrêter, de me défoncer comme la grosse chienne que je suis !
Je sens des mains partout, dans ma bouche, sur mes seins mes hanches mes cuisses, j’ai l’impression qu’ils sont nombreux et, lorsqu’ils craquent enfin et jouissent chacun dans mes orifices, ma jouissance est si fulgurantes que je perds connaissance, le trou noir.

Es ce un rêve ? Un fantasme ? un cauchemar ?
Je le saurai quand je me réveillerai……….

Comments:

No comments!

Please sign up or log in to post a comment!