Singapour - Partie 3

SINGAPOUR – PARTIE 3
Brigitte et Dao, la femme de l’homme-étalon, avaient décidé de regarder s’accoupler leur partenaire. Ce serait un spectacle entre deux hommes très beaux et visiblement excités l’un par l’autre. Le mari de Brigitte suivit sa femme dans la pièce. Il était complètement nu et se mit accroupi au milieu de la chambre. L’autre homme se leva et se dirigea vers lui. Les deux étaient bronzés. Le mari de Brigitte avait les cheveux rassemblés en queue de cheval et le mari de Dao avait les cheveux très bruns et très courts. Brigitte et sa nouvelle amie Dao, toutes les deux nues également, prirent position à environ 3 mètres des hommes et s’allongèrent sur le côté, Brigitte derrière son amie et lui posant les mains sur les fesses. Éveline et Nellie, qui étaient encore plus éloignées du spectacle, s’aperçurent que Brigitte portait un gode-ceinture même s’il était très peu visible.
Le marie de Brigitte ouvrit la bouche pour prendre l’instrument de son compagnon. Il suça lentement le gland d’abord, puis l’homme poussa sa queue un centimètre à la fois dans la bouche invitante de son amoureux. Une fois la queue presque disparue, il la ramena lentement sans la faire sortir totalement.
« Tu as déjà vu ? », chuchota Nellie à l’oreille d’Éveline
« Vu quoi ? », demanda Éveline, un peu espiègle et taquinant son amie encore débutante dans le domaine du voyeurisme.
« Eh bien, deux hommes pardi ! », s’impatienta Nellie
« Bien sûr. Le mari de Brigitte va se faire enculer par ce beau mec bandé. « , dit Éveline, « Moi je trouve ça excitant mais à l’occasion seulement. Je préfère voir deux femmes ».
« J’en ai entendu parler bien sûr, mais je ne l’ai jamais vu et je t’avoue que je mouille en y pensant », avoua Nellie qui chuchotait pour ne pas briser ce silence autour du spectacle.
« Brigitte va enculer l’autre femme avec son gode d’ivoire’, annonça Éveline
« Tu me le ferais si je te le demandais ? », répondit Nellie, frottant sa joue contre celle de son amante.


« Bien sûr mon amour. J’en ai un mais je l’ai laissé à la plantation. Je pourrais emprunter celui de Brigitte «, dit Éveline. « Mais le plus simple c’est de demander à Brigitte de te le faire. Je ne suis pas jalouse et je suis certaine qu’elle en meure d’envie».
Les deux lesbiennes arrêtèrent de parler et regardèrent le spectacle qui passait au deuxième acte.
Le mari de Brigitte était à quatre pattes, en position pour recevoir l’engin de son nouvel amant. L’autre homme, suivant la coutume de ce type d’accouplements, écarta les fesses en forme de poire de son amant et enfoui son visage entre les deux globes. Brigitte massait l’entre-fesses de sa compagne pendant que l’étalon faisait visiblement le va-et-vient avec sa langue dans le trou du mari de Brigitte. Ce dernier ronronnait comme un gros chat. Éveline et Nellie se regardèrent en souriant. Brigitte avait son doigt loin dans le trou de sa compagne et l’enculait de cette façon avant de passer à l’acte avec son gode.
L’homme s’était glissé sur le dos du mari de Brigitte et sa longue queue disparaissait lentement mais sans s’arrêter dans le vagin masculin de sa « bitch ». Le mari de Brigitte fermait les yeux de bonheur et se faisait embrasser dans le cou. Brigitte et Dao étaient dans la même position que les deux hommes et Brigitte avait déjà harponné la femme qui criait de plaisir. Les deux couples s’enculaient avec frénésie devant Éveline et Nellie qui regardaient bouche bée en se branlant comme si elles étaient seules dans leur chambre.
Le gode de Brigitte était muni d’un bouclier de caoutchouc qui lui recouvrait une partie du mont de Vénus et qui servait surtout de masturbateur pour celle qui enculait ou enfourchait sa partenaire. À chaque pénétration, la mince couche de caoutchouc frottait contre le clito de Brigitte et lui procurait un plaisir certain. Éveline avait déjà aperçu Dao lors des orgies lesbiennes organisées par Brigitte mais n’avait jamais réussi à l’approcher à cause de la foule de ses amantes.

Les deux hommes avaient terminé leur accouplement et s’étaient retirés discrètement pour continuer leurs amours dans une autre salle, probablement en compagnie d’autres hommes nus et voyeurs.
Éveline et Nellie ne purent contenir leur désir lorsqu’elles virent Dao gicler à la suite de la pénétration anale de Brigitte. Nellie brûlait d’envie de se faire enculer alors qu’Éveline avait plutôt l’œil sur la belle Vietnamienne qu’elle avait désirée lors de sa dernière visite. Les deux couples de lesbiennes enragées se retrouvèrent au milieu de la pièce.
Brigitte et Nellie se roulèrent sur le plancher en s’embrassant et en se suçant mutuellement leurs tétines. Dao avait conduit Éveline à un bain étroit et long qui était dans un coin de la chambre. C’est probablement Brigitte qui avait dévoilé à Dao qu’elle partageait avec Éveline une passion secrète pour les jeux d’eau, comme on les appelait familièrement. Dao était aussi une adepte de cette activité et la Française ne protesta pas quand Dao lui suggéra une séance de pisse en 69.
Brigitte avait remis son gode et avait suggéré à Nellie de la prendre en position ‘missionnaire » au lieu de la position plus conventionnelle qu’elle avait utilisée avec Dao. Nellie acquiesça avec bonheur, surtout que la Française avait été sollicitée alors qu’elle était déjà sur le dos, les jambes relevées et retenues par ses bras, montrant ses deux trous à Brigitte. Cette dernière n’hésita pas à plonger sa langue dans le trou plissé, la tournant dans tous les sens. Nellie se frottait lentement la chatte et ferma les yeux lorsque Brigitte la monta face à face en lui glissant son gode dans le trou qu’elle venait de déguster. Nellie ouvrit les bras pour accueillir son amante qui la monta comme aurait fait un homme, l’embrassant et lui suçant les tétons.
Le brut de femmes s’accouplant avait attiré une dizaine de femmes nues et d’autres en robe de soie transparentes dans la grande salle. La plupart étaient asiatiques mais il y avait aussi des Européennes et des Américaines.
Éveline et Dao avaient vidé leur vessie l’une sur l’autre en 69 et continuait leurs ébats en se suçant la chatte. Ce spectacle tout à fait spécial attira deux Américaines, grandes et minces, et d’un certain âge, qui se masturbèrent tout en regardant les deux lesbiennes dans le bain couvertes du nectar jaune.
Brigitte et Nellie venaient de terminer leur accouplement quelques minutes avant que la vague de nouvelles recrues envahissent la salle. Une Asiatique s’offrit à Brigitte pour remplacer Nellie. Plusieurs femmes étaient accompagnées de leur servante qui avait l’âge de Farah et de Najwa. Ces belles jeunes filles attiraient beaucoup d’attention et les maîtresses étaient ouvertes aux échanges éphémères pour leur plaisir mutuel.
Éveline et Dao avaient cédé leur place aux deux Américaines et se lavèrent dans un grand bain chaud avant de s’essuyer et de se joindre à la petite horde de nouvelles femmes dans la salle.
« Alors tu t’es fait enculer ?¨ », demanda Éveline à Nellie, un sourire en coin.
« À l’os », répondit Nellie en rougissant
« Et toi…Brigitte m’a dit que tu pissais avec Dao ? », demanda Nellie feignant d’être horrifiée
« Oui…grosse pisse…j’en avait plein la bouche et les oreilles », dit Éveline en se trémoussant.
« Il faut que toi et moi on se fasse ça à l’hôtel », chuchota Nellie qui l’avait fait avec Najwa.
Éveline avait l’expérience de ces petites orgies lesbiennes organisées par Brigitte et expliquait certaines choses à Nellie. Il y avait des femmes qui couchaient ensemble depuis longtemps, d’autres se voulaient mais n’osaient pas car elles étaient déjà en couple avec une autre femme (le mari ne posait pas un problème), enfin il y avait celles qui se détestaient parce qu’une avait volé la maîtresse ou la servante de l’autre. Les servantes, elles, étaient voraces et ambitieuses. Elles étaient volages et allaient d’une maîtresse à l’autre, préférant la plus riche ou la plus belle, ce qui causait des jalousies et des bagarres.
Ces orgies étaient une occasion de baiser mais aussi une excuse pour régler des comptes.
« Tu as vu la Chinoise là-bas avec la servante blonde ? », dit Nellie sans la montrer du doigt
« Oui..c’est une copine à Brigitte et sa servante lui sert de monnaie d’échange avec d’autres femmes. C’est dommage que Najwa ne soit pas ici, tu aurais pu faire un échange », dit Éveline, « Je pense qu’on devrait retourner à l’hôtel. La prochaine fois on viendra avec nos filles ».
Nellie acquiesça et les deux femmes retrouvèrent leurs vêtements et quittèrent ce lieu de débauche pour un autre plus intime : la chambre d’hôtel d’Éveline.
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En entrant dans la chambre d’Éveline et de Farah, les deux femmes surprirent les deux servantes au lit. En fait ce n’était pas une surprise, mais elles en firent tout un plat au grand plaisir des servantes. Avant d’approcher le lit, les deux femmes mûres se mirent à poil.
« Ah les cochonnes ! », s’écria Nellie
« Pendant qu’on était au temple faisant nos prières, nos deux servantes se suçaient et se frottaient comme deux gouines en chaleur, « vociféra Éveline, ayant du mal à retenir son rire
Farah et Najwa continuaient à s’étreindre tout en riant aux éclats. Elles étaient couvertes de la tête au pieds de leur cyprine et de leur jouissance.
Nellie et Éveline les sortirent du lit, toutes nues qu’elles étaient, et prirent leur place dans un lit qui était complètement mouillé. Elles retirèrent la couverture et se mirent à se prélasser sur le drap imbibé de toutes les odeurs et de tous les liquides. Elles léchaient, se frottaient le nez et les lèvres contre le drap, elles humaient les odeurs des ébats des deux jeunes lesbiennes.
« Et vous autres, qu’avez-vous fait ? Vous vous êtes sucées comme des malades ? » demanda Farah
« Bien sûr, et je me suis même fait enculer par une dame avec un gode en ivoire », répondit fièrement Nellie.
« Bravo ! », crièrent les filles
« Et moi j’ai fait une grosse pisse avec une belle Vietnamienne », dit Éveline en souriant de toutes ses dents.
« Nous aussi on a fait une pisse entre nous », répondirent les deux filles
« Ah…je ne savais pas que vous aimiez ça ? », demanda Éveline qui savait que Farah ne se faisait jamais prier.
Les deux jeunes femmes de 20 ans se couvraient le visage en riant et puis se prirent par les fesses en s’embrassant.
« Ah moi je soupçonne qu’on ne nous dit pas tout », dit Éveline faisant un clin d’œil à Nellie.
« Moi non plus. Je pense que vous êtes allées un peu plus loin mais je ne fais que supposer », dit Nellie rougissant de plaisir.
Les deux jeunes femmes se cachèrent de nouveaux dans le lit et se recouvrirent de la couverture.
« Ne regardez surtout pas mais j’ai promis une rencontre dans un bain vide à mon amie Nellie’, dit Éveline en prenant Nellie par la main et l’amenant dans la salle où se trouvait le bain.
« Nous allons vous amener chez Brigitte avant de repartir par le navire », dit Éveline en se retournant.
Les deux femmes mûres se retrouvèrent dans le bain et entendirent les servantes qui sautaient de joie.
À SUIVRE

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