Singapour - Partie 5 (Dernière)

SINGAPOUR- partie 5 (dernière)
Ce soir-là Brigitte avait désigné une entrée pour les femmes et une pour les hommes. Son mari animait la soirée des hommes et Brigitte celle des femmes. Les salles étaient aux deux extrémités de la maison donc il n’y avait pas de rencontres possibles.
Une fois dans la première salle de la fête, les invitées, déjà nues, étaient reçues par Brigitte qui faisait la collecte des colliers. L’hôtesse avait décidé de commencer une collection des petites culottes et inscrivait le nom de la propriétaire et la date. Éveline et Farah se tenaient par la main tandis que Nellie et Najwa se tenaient pas la taille. Dao et Tushi étaient ensemble, ainsi que Lan et la servante de Dao. Éveline avait fait un petit discours pour ses amies la journée précédente et elle ignorait si le message avait été compris surtout en ce qui concernait Nellie. Lan et Nellie avaient commis une faute lors de la petite orgie chez Tushi (voir partie 4). Cette dernière, en parfaite hôtesse, n’avait rien dit mais elle n’avait pas oublié. La belle Lan avait monté Nellie et les deux femmes avaient baisé jusqu’à l’orgasme. Une servante ne montait pas une maîtresse, surtout pas une maîtresse étrangère et invitée. Nellie était aussi à blâmer en acceptant l’accouplement avec Lan, mais c’était son ignorance des règles du milieu. Najwa en voulait à Lan et était terriblement jalouse de la belle servante. Éveline surveillait les invitées et se demandait quand l’orage allait éclater.
La première pièce avait une porte pour y accéder et une pour en sortir. Autrement les quatre murs étaient percés d’ouvertures, certaines petites et ovales, d’autres rectangulaires et plus grandes. Sur deux murs les ouvertures étaient occupées par des mottes poilues ou rasées, des fesses ou des seins. Les ouvertures des deux autres murs étaient ouvertes et invitantes. Au-dessus de chaque ouverture il y avait un numéro qui servait de référence à toute femme qui voulait vanter les mérites d’une en particulier.

Il n’y avait pas plus d’une douzaine de femmes parmi les invitées, alors tout le monde pouvait se servir à volonté. Brigitte appelait cette salle « Le buffet » car on dégustait, on échantillonnait les délices de la chair.
Nellie était tentée par les fesses et se risqua à lécher une paire particulièrement juteuse. Puis elle en goûta une autre, et une autre.
« C’est comme le fromage, plus le chiffre est gros plus c’est…fort », dit-elle à Éveline en rougissant.
Éveline avait goûté à quelques mottes très juteuses. Une avait un « P » à côté d’un numéro et Éveline avait deviné juste. Elle s’y attarda plus longuement que pour les autres. Brigitte qui faisait le tour avisa Éveline qu’à chaque cinq minutes la fille derrière le mur changeait et chacune venait de pisser, alors on goûtait toujours une pisse fraîche.
Les ouvertures ouvertes servaient à celle qui voulait y mettre du sien. Najwa y mit sa motte et une femme qu’elle ne voyait pas la lécha jusqu’à la jouissance. Farah se fit lécher le cul et Nellie aussi. Éveline se plaça devant Farah et la masturba pendant qu’elle se faisait lécher son petit trou (qu’Éveline connaissait bien). Tushi et Dao vinrent payer leurs respects à Éveline et Nellie. Tushi et Nellie se dévisagèrent sans s’embrasser, pendant que Dao et Éveline se léchaient le visage. Brigitte poussa tout le monde vers la porte de l’autre salle qui était ouverte.
C’est là que l’orgie débutait. La première salle contenait plusieurs matelas et c’était là que les femmes se faisaient jouir. La deuxième salle était réservée aux autres activités. Il y avait deux bains vides pour les jeux d’eau et deux autres bains pour se laver. C’était aussi la salle des combats avec un assortiment de souliers pour que les combattantes puissent se donner des coups de pied sans se blesser les pieds.
Les deux Américaines qu’Éveline avait rencontrées précédemment étaient déjà dans la salle d’orgie. Éveline les évita et se dirigea plutôt vers la belle Chinoise qu’elle avait vue avec sa servante blonde (voir Partie 3).
Elle amena Farah avec elle. Éveline et la Chinoise étaient toutes les deux rasées. De même taille, les deux femmes s’approchèrent lentement d’abord puis s’embrassèrent sans plus de présentation. Farah et la servante blonde ne semblaient pas prêtes à copuler et regardaient les deux femmes mûres qui commençaient à se frotter tout en restant debout. Elles auraient pu choisir un lit mais semblaient préférer cette position. Elles se prirent par les fesses pour se stabiliser mais aussi par pur plaisir. Elles étaient motte rasée contre motte rasée et les deux pubis se frottaient. Éveline n’avait pas baisé avec sa motte rasée depuis très longtemps. Les deux servantes se mirent aussi au travail. Accroupies derrière la maîtresse de l’autre, elles léchaient le trou de fesse qui s’offrait à elles. Dès les premiers coups de langue, les deux maîtresses grognèrent de plaisir et elles se prirent à bras le corps, se frottant les lèvres avec de plus en plus de pression et de vitesse. Farah plongeait sa longue langue dans le trou de la Chinoise tandis que la petite blonde tournait et retournait la sienne dans le trou plissé d’Éveline.
Finalement les deux lesbiennes, les jambes bien écartées, réussirent à se faire jouir sans tomber. Les deux servantes se rejoignirent entre les jambes et léchèrent la cyprine qui coulait lentement le long des cuisses des deux femmes plus âgées.
La salle se remplissait rapidement de couples et de trios qui occupaient les nombreux matelas étendus ça et là. La Chinoise et Éveline s’échangèrent des confidences à voix basse pendant que Farah et la blonde se faisaient une grosse sucette mutuelle sur un matelas. La Chinoise était au courant de la tension entre le couple Nellie-Najwa et celui formé par Tushi et Lan. Éveline avait vu Lan et Najwa se diriger vers la salle des combats.
La Française invita sa nouvelle amie à assister au combat qui était non seulement prévisible mais imminent. La Chinoise, comme Éveline, était fort excitée par les combats de femmes.
Elle avoua en rougissant qu’elle avait elle-même engagé le combat avec un certain nombre de femmes lors des fêtes de Brigitte.
Lan était plus grande, plus âgée et plus forte que Najwa et ce combat était plutôt symbolique et une question d’honneur. Une fois face à face, Lan commença par refuser la confrontation. Les encouragements des spectatrices, assez nombreuses, la poussa à attaquer Najwa à coups de pied et de poings. La servante de Nellie tenta d’esquiver les coups le mieux possible mais un coup de pied la renversa. Lan se jeta sur elle mais seulement pour la stabiliser et sans la frapper. Les deux femmes avaient sauvé l’honneur et se séparèrent sans se parler. Éveline et la Chinoise s’embrassèrent et s’excitaient en se parlant de cul. Éveline avait découvert une lesbienne aussi cochonne qu’elle et elle était ravie.
Les deux nouvelles amoureuses ne voulaient pas manquer l’affrontement entre Tushi et Nellie. Il était question d’honneur là aussi mais la différence c’était que les deux femmes étaient de même taille et environ du même âge. La Chinoise dit à Éveline qu’elle s’était battue avec Tushi il y avait un an environ et que le combat avait été violent.

Nellie et Tushi avaient mis leurs souliers et s’approchaient comme deux chattes prêtes au combat. Après un échange de coups de pied sans conséquence, les deux femmes s’attaquèrent avec une volée de coups de poing à la tête et sur les nichons. Éveline et la Chinoise se tenaient par les fesses les yeux fixés sur les deux combattantes nues et rasées. C’était une vraie bataille de lesbiennes. La première manche avait laissé sa marque sur les femmes qui saignaient un peu du nez et avaient les joues et les nichons rougis. La deuxième volée de coups laissa les deux rivales sonnées et chancelantes. La Chinoise avait chuchoté à l’oreille d’Éveline que Tushi était à son meilleur dans un corps à corps, les deux femmes se prenant aux cheveux. Tushi tentait de déstabiliser Nellie avant de lui sauter à la tête.
Pour la troisième manche, Tushi invita Nellie à continuer la bataille par terre. Les deux corps volèrent dans les airs pour une seconde avant de s’écraser sur le plancher de bois. Les deux femmes réussirent à se mordre un nichon et à s’arracher quelques centimètres de cheveux avant que Brigitte et d’autres femmes n’interviennent pour séparer les combattantes. Il y avait peu de sang et les deux femmes semblaient s’en tirer avec des ecchymoses et des bleus qui seraient plus évidents le lendemain. L’honneur était sauf pour les deux. Le duel était terminé.
Brigitte demanda aux deux combattantes de s’embrasser, ce qu’elles firent de bon cœur. Éveline entoura Nellie d’une couverture et la conduisit à un banc pour lui enlever les souliers.
« J’ai tellement envie de pisser », dit Nellie avec un sourire.
« Alors…viens », dit Éveline
Deux femmes venaient de quitter un des bains vides et les deux Françaises prirent leur place et vidèrent leur vessie l’une sur l’autre. Nellie était en bonne forme et contente de son combat.
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Le lendemain matin très tôt, Éveline, Farah, Nellie et Najwa quittèrent leur hôtel respectif et se rejoignirent sur le quai. Nellie avait le visage un peu enflé mais les autres signes de son combat étaient cachés par sa robe. Les femmes descendirent dans le dortoir déjà surchauffé. Même si le voyage de retour était de jour, les femmes devaient rester au dortoir pour ne pas se mêler aux hommes. Farah et Najwa se couchèrent côte à côte, tandis qu’Éveline et Nellie firent de même. Les quatre femmes étaient nues sous leur robe de coton. Elles n’attendaient que le départ du navire et que le dortoir soit privé de lumière pour renouer discrètement les bonnes habitudes qu’elles avaient acquises durant ce voyage.
FIN

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