Drague Sur Le Net Entre Futur Soumis Et Domi Avant Rencontre Réelle.

Dans mes deux premiers récits, je vous au raconté le premier rendez-vous réel avec celui qui pourrait devenir mon Maître. Mais l’histoire commence quelque temps auparavant sur internet. C’est cette période virtuelle que je me propose de vous raconter aujourd’hui.
Si ces trois histoires vous font saliver, j’écrirais la suite.
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Vers la fin de l’année 2015, je poste sur un site de rencontres éphémères entre hommes, une annonce qui dit à peu près ceci.
« Marié, je suis devenu surtout Bi. J'aime donner du plaisir à un homme avec douceur par des caresses, le lécher depuis les seins jusqu'au sexe, le sucer, le branler, le retourner, lécher ses fesses et titiller son cul... Quand je suis chaud, j'aime être soumis et sodomisé, avec capote. J'aime aussi le SM soft. »
Des réponses arrivent rapidement dont certaines purement farfelues et d’autres vénales. Ce n’est pas mon genre. L’une d’entre elles, venant de la même grande ville que moi, attire mon attention :
« Je suis un Maître expérimenté, soft, homme en activité qui sait se rendre disponible. Toujours curieux et ayant soif de connaissances et d'expériences. Si tu es docile, discret et sincère, je te suggère de faire connaissance via la messagerie dans un premier temps. Envoie un signe et on décide ensemble. Je te précise que soft peut vouloir dire autoritaire si le soumis est désobéissant, et là je donne ce que j'aime le plus...la fessée à l'ancienne. Nu sur mes genoux »
Quelques échanges de message et de photos de plus en plus dénudées, nous font comprendre que le feeling est bon et que notre attirance est réelle. Nous convenons donc d’un jour et d’une heure de rendez-vous pour la semaine suivante. Nous serons libres tous deux pour quelques heures.
Pourtant, Celui qui s’est présenté comme le Maître et qui me demande d’être son soumis veut encore me tester avant de me préciser le lieu précis. Il précise alors comment je dois me préparer physiquement et mentalement durant le week-end.


« Je serai assez strict sur ta tenue... Et il y a une chose à laquelle je tiens, CUL NU sous ton pantalon et pour me faire plaisir, samedi tu porteras toute la journée un plug. Dimanche matin, en te levant, tu prendras un cordon et tu attacheras tes trois pièces un peu serrées. Lundi matin, tu me raconteras ta journée. Dès réception, je te donnerais le lieu de notre rendez-vous. »
Voici donc le récit que je lui ai envoyé :
« Bonsoir cher Maître,
Comme vous me l’avez demandé, Je vous fais le compte rendu de mon W.E. Samedi, j’ai introduit le plug en y mettant du gel et je l’ai bien gardé lorsque j’étais assis. Par contre lorsque je marche, il a tendance à se faufiler hors de moi. Dimanche matin j’ai pris un lacet rouge pour attacher mes bourses. Je ne savais pas trop comment procéder ni comment il fallait serrer le nœud. Bref, j’ai fait de mon mieux. Plus tard, le nœud s’est desserré et j’ai dû le faire autrement dans les toilettes d’un bar.
J’ai donc attaché le lien en enserrant à la fois mes bourses et ma queue en serrant plus fort. Rien que d’y penser, c’est-à-dire sans toucher, J’ai bandé. Ma tige a alors tellement grossit et durcit que le frein tirait sur le gland jusqu’à créer une petite douleur. Je n’ai débandé (un peu) qu’en étant assis au repos. Mais dès que j’y pensais (et c’est souvent) ou que je marchais, je bandais à nouveau et de plus en plus fort.
Si j’y pense trop longtemps, la pression monte dans les corps caverneux de ma tige et la douleur augmente au fur et à mesure. Ça me fait un davantage mal, aussi j’essaie de penser à autre chose par exemple à mon travail et ça va mieux. Mais en me promenant ce dimanche j’ai eu de nombreuses occasions de voir et de suivre dans la rue de jolies fesses moulées dans un jeans slim. Comme vous m’aviez interdit d’avoir quelque rapport que ce soit, je n’ai fait que regarder, admirer et imaginer. Durant ce temps, je ne débandais pas et la douleur se mêlait au plaisir. Au bout de quelques temps je n’ai plus tenu et j’ai enlevé le lien pour faire mes besoins naturels.
Je dois vous avouer que je ne l’ai pas remis tout de suite…
Quelques heures plus tard j’ai renoué une autre lanière rouge plus longue. J’ai utilisé une autre forme de ficelage. Un tour autour de mes trois pièces, puis je l’ai passée entre mes glandes afin de les séparer, un tour à gauche, un tour général, un nouveau passage entre mes burnes, tour à droite et serrage. Cela m’a semblé encore plus efficace et je me suis demandé combien de temps je pouvais tenir en étant pris entre le plaisir d’une érection dure qui dure et la douleur d’un gland qui commence à me brûler. Durant près d’une heure, je n’ai pensé qu’à vous Maître, à vous obéir, à me préparer à être prêt et attentif à vos désirs.
Et puis, cette douleur-plaisir a fini par m’inquiéter : Ce lien devenait un garrot qui bloque le sang et met sous pression ma tige mais qui ralentit beaucoup aussi la circulation sanguine et ne régénère plus les tissus. Je ne voudrais pas qu’elle devienne tout bleue ou pire encore. Je suis donc allé aux toilettes pour une envie. Avant de défaire le lien pour uriner, j’ai pris des photos que je vous envoie. La miction a ensuite été quelque peu difficile aussi je n’ai pas attaché à nouveau mes bourses. J’espère que vous comprendrez sinon vous saurez me punir. Voilà, j’ai aimé cette journée qui m’a fait bander de longs moments, qui m’a fait penser à vous souvent.
Votre soumis qui pense encore et toujours à vous.

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